Sexe dans les lieux publics 5: Jeune fille baise dans un parking extérieur

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Sexe Risqué Dans les Lieux Publics: Erotica Histoires (French Edition) Taschenbuch – 14. November 2019
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Une connexion en ligne conduit à une rencontre avec une femme européenne exotique. Une femme qui a un fétiche pour le sexe dans des lieux publics à risque. Elle ne peut pas en avoir assez et le plus pervers le mieux. Pas de chambres d'hôtel, pas de lits, pas de lieux ordinaires. En plein air, parfois à la vue de tous et toujours avec le risque d'être vu et d'être attrapé. C’est une fille coquine… à quoi va-t-elle penser ensuite? Qu'est-ce qui se prépare dans cet esprit sexy, inquiet et pervers? Pour le narrateur, at-il touché le gros lot ou l’a-t-elle conduit sur une route qui mène à la ruine? Après sa rencontre, tout ce qu'il sait, c'est qu'il commence à apprécier le risque et qu'il s'agit du meilleur, du plus sauvage et du plus libre des rapports sexuels qu'il n'ait jamais eu. Et il la suivra et la rencontrera n'importe où, n'importe quand.

Herausgeber

:

Independently published (14. November 2019) Sprache

:

Französisch Taschenbuch

:

50 Seiten ISBN-10

:

1708467637 ISBN-13

:

978-1708467630 Artikelgewicht

:

127 g Abmessungen

:

15.24 x 0.33 x 22.86 cm
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Baise en ville: les meilleurs plans


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Publié le 9 août 2017 à 10h00 Mis à jour
le 9 août 2017 à 10h00

Extrait de la série Sense 8 © Netflix
Dans une ruelle, une impasse étroite, au milieu d’une place, sous une porte cochère, le long du périph… L’espace urbain est aussi un terrain de jeux coquins. Parce qu’on jouirait mieux dehors que chez soi.
La ville sied à l’orgasme. Il y a ces quartiers de nuit où les sex-shops côtoient les clubs de striptease. Il y a ces lieux de rencontres – bars, saunas, boîtes, bosquets, parcs – où homos et hétéros se rendent dans le but de prendre leur pied.
Il y a aussi, et surtout, la baise spontanée. Celle qui n’était pas prévue et qui déboule sans crier gare, dans une rue, une ruelle, un passage, sur une place, sous une porte cochère, un dessous de périph. On lui prête peu attention, et pourtant elle est là, permanente, plus ou moins cachée, plus ou moins avouée. Comment en vient-on à jouir en pleine ville ? Quelle part d’animalité se déclenche en nous pour que l’on prenne le risque de l’extérieur ? Les regards épieurs sont-ils désirés, recherchés ?
“Je me suis retournée et je me suis dit : ‘Ah ! mais ils baisent ?!!”
Comme ceux de Clémentine (tous les prénoms ont été modifiés) qui se rappelle encore d’une certaine soirée d’été. Alors qu’elle passe à vélo près de la place de la République en travaux, à Paris, aux alentours de minuit, la jeune femme remarque “un couple en train de faire bruyamment l’amour sur des préfabriqués” . “Je me suis retournée et je me suis dit : ‘Ah ! mais ils baisent ?!!’ J’étais très étonnée. Ça m’a pas fait chier mais j’ai trouvé ça vraiment impudique.”
Si l’on ne connaîtra pas l’identité de celle qui se fit prendre sur un préfabriqué en “robe sans manches et sandales” , les témoignages concernant la baise en ville ne manquent pas. A croire que tout le monde l’a déjà testée.
“Il m’a plaquée contre un mur, baissé mon pantalon et on a baisé là sous la lumière du lampadaire”
Isabelle, 31 ans, se souvient avoir dérapé avec un plan cul, à Rennes. “J’avais 19 ans. On est restés vingt minutes à une soirée d’école puis on est sortis dans le square. Il y avait des immeubles, des jouets pour enfants au milieu. Il m’a plaquée contre un mur, baissé mon pantalon et on a baisé là sous la lumière du lampadaire. Je n’ai pensé qu’après aux dizaines d’entrées d’immeubles qui pouvaient contenir des paires d’yeux.” Plus tard, ça sera une cour d’école. “Ça faisait mal aux genoux”, se souvient-elle. Et l’ivresse ? “Sincèrement, je ne sais même pas si j’étais soûle…”
Chez d’autres, il faut la désinhibition par l’alcool pour se lâcher. A 17 ans, Lise s’éclipse, “éméchée”, d’une soirée en banlieue parisienne pour suivre un bassiste dont elle est “un peu amoureuse” dans un champ à 500 mètres de la cité des Mureaux (78).
“On se chauffe et arrive le moment fatal de la sodomie. Je ne l’avais jamais tentée. Le gars commence et je tombe dans les pommes la tête la première, le cul à l’air face à lui sous une lune brillante. Il m’a relevée, on est repartis à la soirée et on s’est ignorés !”, nous raconte-t-elle, mi-penaude, mi-amusée.
“On était super ivres, c’était marrant, excitant et assez flag !”
Pour apprécier ces témoignages, mieux vaut se munir d’une carte (enfin de Google Maps). Car ce n’est pas tant le partenaire, la position, l’orgasme qui comptent ici que le lieu, cité en premier, comme pour mieux marquer son importance, son caractère sacré.
Ainsi de Juliette, 26 ans, qui nous envoie via Messenger une photo du Théâtre du Nord, à Lille, “pour que tu visualises, haha” . Ce sont ces escaliers qui ont abrité les ébats de la jeune fille et d’un ancien amant, une nuit en sortant de boîte, il y a cinq ans. “On a fait l’amour à plusieurs étapes du chemin retour, debout sur un rond-point porte de Paris, dans une entrée d’immeuble… On était super ivres, c’était marrant, excitant et assez flag !”
Romain, 30 ans, l’a souvent pratiqué à la sortie des concerts de l’Ubu, à Rennes, peut-être à cause des bières ingurgitées, ou de l’érotisme des guitares. L’été dernier, il suit une fille dans “une petite cour secrète avec jardinet qui donnait sur La Vilaine (le fleuve rennais – ndlr) , le genre de cour où les gens se font des traces. Il y avait des mecs sur les poubelles dans des recoins. On a dû s’éloigner un peu.” Il se jure de retrouver l’endroit mais n’y parvient jamais, comme s’il s’agissait d’une porte mystérieuse, débouchant sur un monde parallèle, qui se serait depuis refermée.
“Un petit passage fleuri, romantique, pas de voitures”
Chez Gwendal, 34 ans, la porte est restée longtemps ouverte et très bien géolocalisée. Il l’avait située rue des Thermopyles, dans le XIVe arrondissement de Paris, heureux clin d’œil à cette route mythique située au centre de la Grèce dont le nom signifie littéralement “les portes chaudes” en raison des sources d’eau chaude qu’elle abritait. Normal, Gwendal est prof d’histoire-géo.
“Un petit passage fleuri, romantique, pas de voitures. On se croirait en Italie. Le soir c’est beau et calme, pas un chat. Je faisais souvent des détours avec mes rencards pour passer par là.” Il ajoute : “L’idée, ce n’est pas le sexe dans la rue, mais le lieu. J’ai déjà eu des relations dans un ascenseur, une voiture, le truc bourré, mais cette rue, j’y ai conclu des histoires, j’y ai eu des envies passionnelles.”
De même, Simon nous décrit davantage le “toit plat de l’immeuble années 1930 style fonctionnaliste dans le quartier de Recoleta, à Buenos Aires” que l’amant argentin avec lequel il a fait l’amour dessus, une nuit, à défaut de pouvoir utiliser sa chambre occupée par sa colocataire. “Je n’ai plus le souvenir de l’heure. Juste des images et du fait que c’était bon. On a joui en hauteur.”
Convoquons un sexologue. Pour Jacques Waynberg, cofondateur de la Société française de sexologie clinique, on jouit tout simplement mieux dehors que chez soi. “On a la météo, l’environnement, le confort à gérer, ça devient amusant. Mais va-t-on le faire trois fois par semaine ? Sûrement pas !”
“Les deux ennemis de la jouissance sont l’ennui et la mélancolie !”
Pour lui, la baise en extérieur vient pimenter une relation de couple un peu monotone, un quotidien banal. “Les deux ennemis de la jouissance sont l’ennui et la mélancolie !” Et puis, baiser sur l’instant évite les longs discours de l’avant et de l’après, le cérémonial de la gêne et du numéro de téléphone, et aussi de pénétrer dans l’intimité de l’autre en franchissant son palier, en dormant (ou pas) dans le même lit.
Loin de n’être que le théâtre des amants embourbés dans la lassitude, la ville se fait aussi le nid des amours interdits. De ceux qui n’ont pas de chez eux et sont condamnés à se lover sous des porches. A 20 ans, Thibaut, “les hormones en feu” , déménage à Londres. Un jour, comme il se balade vers Soho, il croise un mec juif hassidique, “costume sombre, chemise blanche, papillotes, kippa, très beau” . Ils ont le même âge, la discussion s’engage. “Je me suis rendu compte qu’on voulait la même chose.”
Or Thibaut vit avec un Allemand catholique intégriste, et le jeune homme vit chez ses parents “jusqu’au mariage” . “Il m’a dit ‘suis-moi’ et on a marché longtemps jusqu’au quartier de Marble Arch, rempli d’ambassades et d’apparts hyper-bourges. Il m’a emmené sous la porte d’un parking et il m’a roulé des pelles. D’un coup, on s’est mis à baiser. Il était 19 heures, j’avais peur que la porte s’ouvre. Ça n’a pas duré longtemps mais c’était amusant. Quand on a fini notre affaire, chacun est reparti de son côté.”
“Quand tu vois les préservatifs qui jonchent le sol”
Cet été, Michel a connu une aventure similaire. Alors qu’il faisait du vélo le long de la Seine, son regard croise celui d’un autre cycliste. Ils se retrouvent sous le pont d’une bretelle d’autoroute près de la Villette, “un lieu qui doit être fréquenté quand tu vois les préservatifs qui jonchent le sol”. “J’habite en banlieue et lui avec sa femme…”, explique-t-il pour justifier ce coït imprévu.
C’est la ville aussi qui a permis à Julien, 32 ans, d’échapper au glauque d’une relation extraconjugale. Lui vivait loin de Paris, elle était sur le point de se marier. Leurs rendez-vous se tenaient dans des endroits publics où ils s’éternisaient jusqu’à la fermeture.
“La rue permet de conserver un côté romantique, libre, spontané”
Ensuite, Julien marchait avec elle jusqu’à ce que ça dérape, refusant l’hôtel “qui aurait rendu l’infidélité trop réelle, préméditée” . “Je l’associe à quelque chose d’un peu honteux, genre escort. La rue, en dehors de l’excitation liée au risque de se faire prendre, permet de conserver un côté romantique, libre, spontané.”
Il se remémore l’une des fois, nombreuses, où leur excitation n’a pu être contenue : “Nous sortions d’un bar à cocktails, et approchions de chez elle. Déjà, dans la rue des Ecoles, en face du Collège de France, nous avions failli baiser, mais avions été interrompus par des passants. Quelques mètres plus loin, nous avons trouvé le bon endroit, en plein milieu de la rue Racine, je l’ai plaquée contre une camionnette blanche avant de remonter sa jupe.” Une autre nuit, à Pigalle, le couple se fait choper par la police qui menace de les embarquer s’ils continuent à fricoter dans la rue. “Nous nous sommes enfuis en courant.” 
Car l’amour en public reste interdit par l’article 222-32 du code pénal, passible d’une peine d’un an de prison et de 15000 euros d’amende. Le prix à payer pour mettre un peu de désordre dans des vies, des villes, trop bien rangées ? Jacques Waynberg : “Le sexe est toujours politique, vous savez.”
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Publié le 10/11/2017 10:33


Mis à jour le 10/11/2017 10:35



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