Sexe avec une fille qui a les seins pointus

Sexe avec une fille qui a les seins pointus




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Sexe avec une fille qui a les seins pointus





Moteur de recherche















S'inscrire
Connexion









Accueil




Forum Journal des Femmes Santé




Beauté




Beauté des seins





Sujet Précédent
Sujet Suivant



Miss
-
3 mars 2011 Ă  17:40


 Utilisateur anonyme -
7 juil. 2013 Ă  23:48


A voir Ă©galement:



Poitrine 12 ans




Fille de 12 ans nu
- Meilleures réponses




Poitrine fille 12 ans
- Meilleures réponses



Seins a 12 ans
✓
-
Forum - Santé des adolescents




Ma fille de 12 ans veut un soutient gorge?
-
Forum - Esthétique




Suis maigre j'ai 12ans jai pas sein ni regles
-
Forum - Santé des adolescents




C'est quoi la taille moyenne d'une poitrine Ă  13 ans ?
-
Forum - Beauté des seins




Comment faire pousser sa poitrine a 12 ans
✓
-
Forum - Beauté des seins





Mozarette
3 mars 2011 Ă  18:26




Non, j'ai une amie dans le mĂȘme cas que toi. As tu aussi beaucoup grandi ou bien est-ce juste ta poitrine qui a grossi ?
As tu tes rĂšgles?
Mais ça doit ĂȘtre normal, tu es prĂ©coce mais il n'y a pas vraiment d'Ăąge.
Bisous







Agent 001



Messages postés



1

Date d'inscription
mardi 2 juillet 2013
Statut
Membre
DerniĂšre intervention
2 juillet 2013





9



2 juil. 2013 Ă  20:08




Salut! Moi j'ai eu 12 ans en avril,
-je suis en 5 Ăšme
-je mesure 1M60
-je pĂšse 50KG (je me trouve grosse)
-je n'ai jamais eu mes rĂšgles
-je fais du 95 A et je trouve que mes seins sont trop gros. Mes amies ont 13 ans (j'ai sauté une classe) et j'ai des seins plus gros qu'elles!!! J'ai une amie qui est grande et qui n'a pas de seins, et d'autres qui en ont des petits!
En plus, je ne suis pas le genre de fille qui aiment bien avoir des gros seins, qui mettent des t-shirts moulants.
J'ai peur qu'ils grossissent encore beaucoup.





Utilisateur anonyme




7 juil. 2013 Ă  23:48





Utilisateur anonyme


7 juil. 2013 Ă  23:48

Les informations recueillies sont destinées à CCM BENCHMARK GROUP pour vous assurer l'envoi de votre newsletter.
Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire.
Vous bĂ©nĂ©ficiez d’un droit d’accĂšs et de rectification de vos donnĂ©es personnelles, ainsi que celui d’en demander l’effacement dans les limites prĂ©vues par la loi.
Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matiÚre de ciblage. En savoir plus sur notre politique de confidentialité
.

Recherche BuzzFeed Recherche BuzzFeed
Edition US UK Australia Brasil Canada Deutschland India Japan Latam
California residents can opt out of "sales" of personal data.
Style · Contenu promotionnel 3 sept. 2017

RĂ©pondre
Retweet
Favori


RĂ©pondre
Retweet
Favori


«Cacher le tĂ©ton le rend d’autant plus dĂ©sirable qu’il en est devenu mystĂ©rieux.»

Votre adresse courriel (requis) Inscrivez-vous
This site is protected by reCAPTCHA and the Google Privacy Policy and Terms of Service apply.
Les seins qui pointent sont assimilés au désir sexuel. Et la perception suggestive de cette érection physiologique du mamelon féminin a une longue histoire, qui tient au statut des femmes et à la fameuse opposition maman-putain.
PlutĂŽt que «Comment? Couvrez ce sein que je ne saurai voir», on devrait dire «Cachez donc ce tĂ©ton que je ne saurai voir». Parce que les «coupables pensĂ©es» que la vue d’un sein suscite semblent se focaliser sur la pointe du mamelon . «On peut avoir de super grands dĂ©colletĂ©s et quasi tout montrer, sauf le tĂ©ton», fait remarquer Philippe Liotard, sociologue spĂ©cialiste du corps et de la sexualitĂ©.
La preuve: dans les annĂ©es 1980, pour Ă©viter d’ĂȘtre accusĂ©e de conduite obscĂšne sur scĂšne, la chanteuse Wendy O. Williams du groupe punk amĂ©ricain Plasmatics s’est couvert les tĂ©tons de ruban adhĂ©sif noir. Et ce n’est pas parce qu’on est passĂ© au XXIe siĂšcle que cette pudibonderie a disparu. Souvenez-vous du «nipplegate» . C’était en 2004 et toute l’AmĂ©rique s’était offusquĂ©e d’avoir aperçu le tĂ©ton, qui plus est percĂ©, de Janet Jackson. Autre exemple plus rĂ©cent, de ce cĂŽtĂ©-ci de l’Atlantique: mi-mai, LCI relayait un diaporama de Lily-Rose Depp Ă  Cannes avec les termes «Lily-Rose Depp n’a toujours pas retrouvĂ© son soutien-gorge» (subtile allusion moralisatrice Ă  son shooting topless pour le magazine Vogue ). DĂ©cryptage sur Twitter: «On sent bien que le tĂ©ton qui pointe a perturbĂ© les journalistes.»
C’est vrai qu’un tĂ©ton visible sous un vĂȘtement, voire un sous-vĂȘtement lorsque le soutien-gorge est sans coque ni rembourrage, gĂ©nĂšre souvent des cris d’orfraie et surtout des regards indĂ©sirables . IndĂ©sirables justement parce qu’ils associent seins en Ă©rection et dĂ©sir sexuel. «Il y a des situations oĂč je mets un bra [un soutien-gorge, NDLR] pour Ă©viter la gĂȘne
 des autres», tĂ©moigne ainsi une jeune femme sur Twitter , qui va jusqu’à utiliser le nĂ©ologisme de «tĂ©tophobie» , quand une autre avoue admirer celles qui parviennent Ă  ne pas rougir de leurs tĂ©tons qui pointent lorsqu’elles ne portent pas de soutif.
Pas Ă©tonnant. «Le sein est un espace trĂšs Ă©rogĂšne. Les pincements, les morsures, les baisers sur le tĂ©ton sont un classique de l’érotisme», pointe Philippe Liotard. RĂ©sultat: un mamelon durci et apparent est de suite apparentĂ© Ă  un signal Ă©rotique (et donc perçu par certains comme agressif et choquant parce que sexuel et rĂ©servĂ© Ă  la sphĂšre de l’intime –en somme, vulgaire dĂšs qu’il en sort).
Vous savez, dans Friends aucune meuf ne met de soutif, alors qu'en France si on apercoit un téton qui pointe c'est la 3e Guerre Mondiale
Tandis que les tĂ©tons de ces messieurs ne reçoivent pas tout Ă  fait la mĂȘme attention: aucune vulgaritĂ© dans l’érection d’un tĂ©ton masculin . Tout simplement parce que cette lĂ©gĂšre excroissance sur la poitrine de la gent masculine n’est pas perçue comme Ă©rotique, du moins d’un point de vue hĂ©tĂ©rocentrĂ© –au point que MaĂŻa Mazaurette a Ă©crit sur Le Monde le 23 juillet un article Ă  l’ironie perspicace intitulĂ© «Le tĂ©ton masculin comme nouvel horizon Ă©rotique» .
Mais pourquoi, alors que les tĂ©tons pointent aussi chez les femmes sous le banal effet du froid (la chair de poule, c’est sur les seins aussi) et Ă©galement chez les hommes sous celui de l’excitation sexuelle puisque les mamelons sont une zone Ă©rogĂšne quel que soit le sexe de l’individu, seuls les tĂ©tons fĂ©minins sont-ils systĂ©matiquement investis d’une connotation sexuelle? D’oĂč vient cette fixation Ă©rotique permettant aux seuls hommes de se promener torse nu sans s’attirer des Ɠillades critiques ou libidineuses? Les raisons tiennent Ă  la fois Ă  l’intime mais aussi au politique.
@GargouilleRouge Alors spoiler: un téton qui pointe et une teub en érection ça n'a RIEN à voir. Try again.
Si le tĂ©ton de la femme est aussi prĂ©sent dans l’imaginaire Ă©rotique, c’est d’abord parce qu’il est tout le temps cachĂ©. «Le dĂ©colletĂ© suggĂšre mais ne dĂ©voile pas le tĂ©ton, explicite Philippe Liotard. C’est un peu comme ce fantasme de voir la culotte sous les jupes des filles . On focalise le regard autour d’un dĂ©sir de voir, qui va, a contrario, commander aux femmes de se cacher, en serrant les jambes quand elles s’asseyent ou en se protĂ©geant avec un soutien-gorge, qui permet d’éviter toute visibilitĂ© de l’érection du tĂ©ton.»
C’est aussi ce qu’écrit la psychanalyste HĂ©lĂšne Parat dans l’article «Sein perdu, sein retrouvé» (Revue française de psychosomatique, 2017):
«Depuis la nuit des temps, le sein est omniprĂ©sent. OmniprĂ©sent mĂȘme quand il est cachĂ©, dĂ©robĂ©, car la prescription de la mise au secret ne fait que dĂ©signer plus fortement son extrĂȘme valeur.»
En gros, «c’est un jeu de cachĂ©-montrĂ©, de thĂ©Ăątre, qui fait monter le dĂ©sir du cĂŽtĂ© masculin. Plus on cache, plus on veut en voir davantage», avance Ludivine Beillard-Robert, doctorante qui mĂšne une thĂšse sur le sujet intitulĂ©e «La robe: du voir au voile. Pour une psychopathologie du corps fĂ©minin habillé». «Comme au thĂ©Ăątre, il y a des rideaux.» Les rideaux, ici, c’est le soutien-gorge, le T-shirt, la robe, la chemise, bref, tout ce qui vient crĂ©er une limite entre la peau dont la nuditĂ© est acceptĂ©e et celle qui reste de la sphĂšre de l’intime.
Sans compter qu'avoir cachĂ© le tĂ©ton le rend d’autant plus dĂ©sirable qu’il en est devenu mystĂ©rieux. DĂ©jĂ , Ă  la base, les seins, c’est quand mĂȘme ce que les hommes cisgenres n’ont pas, sauf exception , ce qui les entoure dans leur ensemble, tĂ©tons compris, d’un halo de mystĂšre. Ainsi revĂȘtue, par un corset dans les temps pas si anciens ou aujourd’hui par un soutien-gorge Ă  coque, la poitrine de la femme est non seulement dissimulĂ©e, elle est aussi modelĂ©e. HabillĂ©s, les seins deviennent ronds, sans aspĂ©ritĂ©s. Comme ceux des poupĂ©es Barbie. Exit l’arĂ©ole et le mamelon . La moindre rugositĂ© devient ainsi surinterprĂ©tĂ©e:
«C’est parce que les hommes sont pris dans cette Ă©nigme des femmes, qui est une Ă©nigme, qu’ils vont tout interprĂ©ter, ajoute Ludivine Baillard-Robert. De la mĂȘme sorte qu’un homme qui se gratte l’entrejambe, c’est frĂ©quent et considĂ©rĂ© comme grossier, tandis qu’une femme qui porte la main Ă  son entrejambe, c’est considĂ©rĂ© comme un geste de masturbation, vu comme Ă©rotique.»
Reste alors Ă  comprendre pourquoi les tĂ©tons et plus gĂ©nĂ©ralement les seins de la femme ont Ă©tĂ© cachĂ©s tandis que ceux de l’homme ont pu rester Ă  dĂ©couvert. D’autant que, apprend-on dans l’ouvrage DĂ©colletĂ©s , de Françoise CƓur et Jacqueline Cros-Vilalte (Éd. de La MartiniĂšre, 2003), il n’en a pas toujours Ă©tĂ© ainsi.
Du temps de l’Égypte antique, «sur une pĂ©riode de plus de mille ans, porteuses d’offrandes ou princesses jouent en suspendant leur sarrau par une ou deux bretelles qui tracent des obliques sur leur peau: larges, elles masquent des seins menus, Ă©troites, elles laissent voir sans maniĂšres leur rondeur ou leur pointe». De mĂȘme que les statuettes crĂ©toises de 1750 Ă  1400 avant J.-C. ont les seins nus (le reste du corps Ă©tant habillĂ©): «L’effigie crĂ©toise avance donc, redoutablement fĂ©minisĂ©e et laissant sans parure, dans une sobriĂ©tĂ© suspecte, cette seule plage de peau.»
Le changement (occidental) de situation et de vestiaire intervient avec la GrĂšce et la Rome antique. Vite vite vite, un drapĂ© pour venir cacher le sein et enfermer dans des vĂȘtements cette naturelle protubĂ©rance! Ce qui n’est pas sans rapport avec la place que l’on accorde aux femmes dans cette sociĂ©tĂ©. «Le rĂŽle de la femme est scellĂ©: gardienne du foyer, elle officie en intendante sur le quotidien domestique sous le contrĂŽle et sous la dĂ©pendance de son mari, de son fils aĂźnĂ© ou de son pĂšre.» Le sein et sa pointe ne sont plus une partie du corps quelconque: leur sortie ne doit avoir lieu que pour le bon plaisir de ces messieurs. Dans la statuaire mais aussi dans la vraie vie. «Du symposium , mĂąle libation, les femmes sont exclues, sauf au service de la virile assemblĂ©e, instrumentĂ©es pour le divertissement, bras nus, Ă©chancrure bĂąillant autour de la gorge.»
Le sein nu devient alors signe de civilisation barbare. «Rome, qui s’auto-investit d’une mission civilisatrice, se mĂ©fie des femmes barbares aux seins par trop libres et brinquebalants, disgrĂące qui ne guette par les Romaines.» Un discours qui rappelle le regard plus tardif mais tout aussi sermonneur de l’Occident colonisateur portĂ© sur les peuples autochtones, comme le signale Philippe Liotard:
«L’Occident a projetĂ© sur ces peuples une dimension sexuelle qui n’existait pas forcĂ©ment et que l’on retrouve dans les cartes postales "scĂšnes et types" , oĂč des femmes Ă©taient prĂ©sentĂ©es seins nus sous des prĂ©textes ethnographiques, puisqu’il s’agissait des peuples de l’Empire français, mais qui se vendaient pour la dimension Ă©rotique qu’on leur confĂ©rait.»
Un transfert est fait. PlutĂŽt que de reconnaĂźtre du pouvoir (politique) aux femmes, Ă  l’instar des divinitĂ©s crĂ©toises ou des Égyptiennes antiques, on en assigne Ă  leurs seins. Le pouvoir dont elles sont (plus ou moins selon les Ă©poques et les modes) autorisĂ©es Ă  jouer Ă©tant donc celui de la sĂ©duction. «Exclue des jeux du pouvoir, fermement maĂźtrisĂ© par son attentif compagnon, Madame s’essaye au plaisir d’une autre domination par les moyens qui sont les siens», lit-on dans DĂ©colletĂ©s .
Rien de surprenant Ă  ce que MoliĂšre fasse dire Ă  Tartuffe «Par de pareils objets les Ăąmes sont blessĂ©es» aprĂšs la fameuse rĂ©plique du sein Ă  couvrir. Ni Ă  ce que Baudelaire loue la «gorge» de son amante Jeanne Duval avec cet alexandrin «Boucliers provoquants, armĂ©s de pointes roses!» dans le poĂšme Le Beau Navire . Ni Ă  ce que Françoise CƓur et Jacqueline Cros-Vilalte utilisent les termes «appas vĂ©nĂ©neux», dans leur ouvrage DĂ©colletĂ©s , pour dĂ©crire les seins de Madonna en 1990 rendus iconiques par la guĂȘpiĂšre rĂ©alisĂ©e par Jean-Paul Gaultier pour la chanteuse. Les seins sont vus comme des armes et les tĂ©tons comme des fers de lance, prĂȘts Ă  dĂ©cocher des flĂšches sĂ©ductrices.
Le «danger» des tĂ©tons n’est pas seulement apparu aprĂšs qu’on leur a attribuĂ©s un pouvoir charnel en les occultant derriĂšre des drapĂ©s Ă  l’époque grĂ©co-romaine. Si les tĂ©tons et les seins ont Ă©tĂ© couverts, c’est parce que leur Ă©tat naturel Ă©tait Ă©galement perçu comme dangereux. Dangereux parce qu’animal. Le tĂ©ton, qui est Ă  la cime du sein, a aussi Ă©tĂ© Ă  sa racine quand, sur le torse d’une petite fille, il Ă©tait la preuve de la virtualitĂ© de sa poitrine (c’est peut-ĂȘtre ce qui incite Ă  cacher les seins inexistants des fillettes avec des maillots deux piĂšces ). Et sa place pourra ĂȘtre modifiĂ©e lorsque le sein, avec l’ñge, flĂ©trira.
Surtout, ce qui gĂȘne, c’est l’allaitement, pardi, ce moment oĂč de ce mamelon peut jaillir du liquide. C’est bien ce que rĂ©sume Daniel Pennac dans son roman Journal d’un corps :
«Je trouve incroyable qu’une aussi belle partie du corps fĂ©minin puisse ĂȘtre fonctionnelle . Que ces merveilles servent Ă  gaver des nourrissons qui tirent dessus goulĂ»ment et bavent tout autour relĂšve du sacrilĂšge!»
Et c’est aussi ce que souligne dans son article «Sein perdu, sein retrouvé» HĂ©lĂšne Parat: «Le scandale freudien fut bien celui de rĂ©vĂ©ler cette conjonction inconsciente entre femme et mĂšre, et, Ă  travers la dĂ©couverte de la sexualitĂ© infantile, de mettre l’accent sur la mĂšre comme premier objet sexuel de l’enfant.» Dans la prĂ©face de son ouvrage Sein de femme, sein de mĂšre (PUF, 2011), elle dĂ©taille que «les seins Ă©rotiques ne sauraient ĂȘtre confondues avec les seins nourriciers, les "tĂ©tons charnus" avec les "tĂ©tons juteux"» et que «l’idĂ©alisation de la mĂšre et de son sein nourricier est une formation rĂ©actionnelle culturellement trĂšs prĂ©gnante, permettant de refouler tant le sexuel fĂ©minin de celle-ci que la permanence du sexuel infantile en chacun». ƒdipe quand tu nous tiens

Il fallait donc faire oublier la possible tension sexuelle et surtout incestueuse de la succion du sein maternel. La cachette toute trouvĂ©e a consistĂ© Ă  renvoyer les femmes Ă  un rĂŽle de mĂšre au foyer –enfermĂ©es entre quatre murs et dans leurs vĂȘtements. Sauf qu’en invisibilisant au max les tĂ©tons, on les a rendus dĂ©sirables. Et c’est ce qui, au fond, fait d’eux l’emblĂšme du difficile Ă©quilibre entre «la maman et la putain».
C’est bien pour cela que, lorsque la chanteuse punk Wendy O. Williams montrait ses seins sur
Il la baise pendant qu'elle dort
Natasha Nice Se fait défoncer la chatte en levrette
Ils utilisent tout ce qui traine au lit

Report Page