Sexe Vieux Et Jeune Fille

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Sexualité







Publié le
16/08/2019 Ă  16:00






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Par CĂ©cile Maisonneuve, fondatrice de DECYSIVE et conseillĂšre auprĂšs du centre Énergie Climat de l'IFRI.

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« Les jeunes et le sexe : nouvelles pratiques, vieux réflexes »


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Les jeunes, une génération sur laquelle pÚsent moins de tabous.
Il y a quelques années, dans la France du XXe siÚcle, comment appelait-on celle qui multipliait les partenaires ? Une fille facile. Une allumeuse. Dans le langage courant : une salope. En 2019, à l'heure du féminisme triomphant, comment appelle-t-on cette jeune fille ? Une femme libérée ? Une séductrice ? Pas du tout. On l'appelle toujours... une salope. Pourtant, au cours de ces vingt années, tout a changé : la révolution numérique a bouleversé les modes de rencontre , la facilité d'accÚs au porno a banalisé la fellation ou la sodomie , la parole des femmes a commencé de se faire entendre, les tabous sont tombés les uns aprÚs les autres. Aujourd'hui, les jeunes discutent bien plus facilement de sexe que leurs aßnés, ils posent sans fausse pudeur des mots sur des pratiques, l' homosexualité est plus facilement assumée, l'égalité hommes-femmes a (un peu) progressé, beaucoup d'interdits n'en sont plus aujourd'hui. 

Il n'empĂȘche : malgrĂ© ces vingt annĂ©es Ă©coulĂ©es, les reprĂ©sentations n'ont pas Ă©voluĂ©. Se prĂ©valoir de nombreuses conquĂȘtes reste valorisant pour un homme et suspect chez une femme. Au moment de l'entrĂ©e dans la vie sexuelle, les jeunes continuent de moquer le garçon qui aspire au mariage ou Ă  l'Amour avec un grand A plutĂŽt qu'Ă  la performance physique ; et ils continuent de rĂ©prouver la fille qui assume - au mĂȘme titre qu'un homme - un authentique dĂ©sir d' aventures sans lendemain . 

"Il y a un fantasme incroyable sur la sexualité des jeunes , dont on entend souvent qu'ils feraient ''n'importe quoi''", constate Sarah Durocher, accueillante au Planning familial. "Nous ne faisons pas du tout ce constat-là. L'ùge moyen du premier rapport est stable, et le plus souvent il est protégé. Le nombre d' avortements n'a pas bougé non plus... En revanche, une chose a réellement changé en vingt ans : la masse d'informations à laquelle tout le monde a accÚs." 

Le romantisme chez les jeunes garçons reste un sujet de moqueries.
DĂ©sormais, Internet tient lieu de bible, lĂ  oĂč l'Education nationale reste frileuse, et le milieu parental pas le meilleur endroit pour "parler cul". "Les jeunes ont besoin de lieux de parole, conclut Sarah Durocher. Les garçons surtout : les filles discutent souvent avec leur mĂšre au moment des premiĂšres rĂšgles, ou de la premiĂšre visite chez le gynĂ©co. Mais qui discute avec les garçons de leur premiĂšre Ă©jaculation ?" 

Les forums de discussion, trĂšs prisĂ©s dans cette gĂ©nĂ©ration, sont ainsi devenus une source d'apprentissage, au mĂȘme titre que l'information mĂ©dicale ou scolaire, que la presse spĂ©cialisĂ©e, que les journaux d'actualitĂ© ou le modĂšle parental. Nathalie Bajos, chercheuse Ă  l'Institut national de la santĂ© et de la recherche mĂ©dicale (Inserm), spĂ©cialiste des questions de santĂ© sexuelle, en est convaincue : "On observe, depuis quelques annĂ©es, une diversification des sources d'information sur la sexualitĂ©, qui s'est fortement accentuĂ©e avec l'explosion du numĂ©rique. Les adultes ont perdu le monopole de la parole, donc le monopole du contrĂŽle sur la sexualitĂ© des jeunes , les filles en particulier. D'oĂč un phĂ©nomĂšne de panique morale, alors qu'aucune Ă©tude sĂ©rieuse n'Ă©taie, par exemple, un impact nĂ©gatif spĂ©cifique de la pornographie sur leur comportement sexuel." 

Aujourd'hui, le partenaire idéal est de plus en plus souvent recruté sur Internet, pour un soir ou pour un mois.
Les gynécologues disent l'inverse. Dans l'interview qu'elle donne, le 27 juillet, au Parisien, Pia de Reilhac, présidente de la Fédération nationale des collÚges de gynécologie médicale, s'alarme. Les sites pornographiques , assure-t-elle, "exaltent la performance, le rapport dominant-dominé, imposent une norme. Conséquence, de plus en plus de jeunes filles nous disent qu'elles n'ont pas de plaisir avec leurs partenaires. On observe une grande détresse. Les sexologues ont déjà lancé une alerte sur l'influence du porno, mais ils ne le disent pas assez fort." 

Etre entendus, mais quoi dire, alors que les images sont accessibles depuis n'importe quel téléphone portable ? Que, dÚs l'entrée au collÚge ou presque, un ado saura ce qu'est une "biffle" ou une "éjac faciale" ? Dans un sondage que l'Ifop a mené sur la vie sexuelle des Françaises pour le magazine Elle en février, quasiment 1 femme sur 2 indique avoir "surfé sur site pour y voir des films ou des images pornographiques". Parmi elles, 59 % ont moins de 30 ans... Pourtant, d'aprÚs les chiffres de l'Ifop, cette génération reste la moins consommatrice de sextoys (31 %, contre 43 % en moyenne), celle qui se masturbe le moins (70 %, contre 76 % en moyenne) et celle qui connaßt le moins ses zones érogÚnes (39 %, contre 22 % en moyenne). 

Quant à la fellation et à la sodomie, courantes dans la pornographie, c'est à nouveau parmi les jeunes femmes que ces pratiques apparaissent les moins fréquentes. Apparemment, la révolution sexuelle ne viendra pas de cette génération-là. Réponse laconique de Dora Moutot, créatrice du compte Instagram @tasjoui (445 000 abonnés), quand on l'interroge sur les nouvelles pratiques sexuelles des Français de moins de 30 ans : "Je crois franchement qu'il n'y a rien de trÚs nouveau." AprÚs quelques secondes, elle complÚte, tout aussi lapidaire : "Si ce n'est que les jeunes filles se font sodomiser trÚs tÎt." 

Pour les moins de 30 ans, l'un des enjeux reste une plus grande Ă©galitĂ© entre les hommes et les femmes, Ă  la conquĂȘte du droit de refuser. Quels que soient le milieu social, le niveau d'Ă©ducation, quelle que soit la culture. Dire non. Dire qu'on ne veut pas. Dans une sociĂ©tĂ© oĂč le " revenge porn " , la diffusion non consentie de photos intimes ou de propos privĂ©s sur les rĂ©seaux sociaux, touche de plus en plus de jeunes filles, la libertĂ© du choix est plus que jamais un combat Ă  mener. 

Les jeunes filles n'hĂ©sitent plus Ă  partager des photos d'elles, mĂȘme intimes, sur les rĂ©seaux sociaux.
D'autant que le poids de la norme demeure Ă©crasant chez les trĂšs jeunes adultes. Dans le cadre d'une Ă©tude rĂ©alisĂ©e sur le cybersexisme pour le centre francilien pour l'Ă©galitĂ© femmes-hommes Hubertine-Auclert, des chercheurs ont discutĂ© avec eux de la mise en ligne d'images confidentielles : que celles-ci soient diffusĂ©es "avec ou sans accord ne fait pas la diffĂ©rence pour les jeunes ; ils se focalisent surtout sur l'existence mĂȘme d'une photo intime, dont les filles seront systĂ©matiquement jugĂ©es responsables et blĂąmĂ©es. Ces filles sont perçues comme acceptant, voire encourageant, les regards sexualisĂ©s sur leur personne, ce qui est considĂ©rĂ© comme inappropriĂ© parce que ne tĂ©moignant pas d'une humilitĂ© fĂ©minine attendue. Elles seront exclues par les garçons mais aussi par les autres filles. 

Le niveau d'Ă©mancipation des jeunes filles serait donc le vrai marqueur de l'Ă©volution de la santĂ© sexuelle. Or si les diffĂ©rents sondages de l'Ifop montrent que la revendication du plaisir fĂ©minin apparaĂźt nettement entre 30 et 40 ans, elle reste moindre chez les plus jeunes. François Kraus, directeur du pĂŽle Genre, sexualitĂ©s et santĂ© sexuelle de l'Ifop, invoque le poids des ghettos, communautaires ou religieux, excessivement rĂ©gressifs Ă  l'Ă©gard de la libertĂ© des femmes. Il parle lui aussi de l'accĂšs de plus en plus jeune Ă  la pornographie et de ses effets : "La pornographie induit un niveau de fantasmes et d'excitation virtuelle qu'on retrouve rarement dans la vie rĂ©elle, ce qui peut ĂȘtre dĂ©stabilisant. En revanche, c'est un Ă©lĂ©ment qui accĂ©lĂšre et diversifie les pratiques sexuelles : dĂ©sormais, en quelques mois, un jeune couple fait le tour d'un rĂ©pertoire de pratiques et de positions sexuelles que les plus ĂągĂ©s n'achevaient qu'au bout de plusieurs annĂ©es !" 

Cette prĂ©cocitĂ©, conjuguĂ©e Ă  une extension du domaine des possibles, explique pour partie le succĂšs des sites de rencontre, oĂč la rĂšgle est l'anonymat, et qui permettent aux femmes - comme aux hommes - d'avoir accĂšs Ă  une sexualitĂ© purement rĂ©crĂ©ative sans subir l'opprobre du milieu social ou professionnel. Hier, on se rencontrait ; ensuite, on couchait ; enfin, on apprenait Ă  se connaĂźtre. Aujourd'hui, quel que soit son Ăąge, on coche des cases sur son portable, on rationalise ses prĂ©fĂ©rences, on encourage ou on Ă©carte en fonction des rĂ©ponses : on recrute le (ou la) partenaire idĂ©ale, pour un soir ou pour un mois. Le hasard n'a plus grand-chose Ă  voir avec l'histoire. 

Ces nouvelles façons d'entrer en relation, la place du numĂ©rique dans l'intimitĂ© des Français, les objets sexuels virtuels ou rĂ©els, le consentement : autant de questions qui n'ont pas encore de rĂ©ponse scientifique. La derniĂšre grande enquĂȘte sur la santĂ© sexuelle des Français date d'avant la rĂ©volution du portable, rĂ©alisĂ©e en 2006 sur plus de 12 000 personnes par l'Inserm et l'Institut national d'Ă©tudes dĂ©mographiques (Ined) Ă  l'initiative de l'Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS). 

Les jeunes femmes revendiquent le droit au plaisir.
Presque quinze ans plus tard, une actualisation des donnĂ©es s'impose : une nouvelle enquĂȘte est programmĂ©e pour 2020, toujours Ă  l'initiative de l'ANRS. Son prĂ©sident, le professeur François Dabis, en prĂ©cise le contexte : "D'un point de vue social, juridique, technologique et Ă©conomique, la sociĂ©tĂ© française a Ă©normĂ©ment changĂ© en vingt ans. Or on sait trĂšs peu de choses, par exemple, des consĂ©quences de la lĂ©galisation du mariage pour tous , de l'apprĂ©hension nouvelle des violences et de la diversification des pratiques sexuelles, de l'impact gĂ©nĂ©rationnel du porno, de la multiplication des formes de communication et de relations par internet... Les mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes sont de plus en plus dĂ©connectĂ©s. C'est pourquoi nous avons besoin de soutenir un ambitieux travail d'enquĂȘte sur ces questions, notamment pour adapter notre politique de prĂ©vention." 

"Il est indispensable de travailler sur les normes, sur les pratiques, confirme Nathalie Bajos, de l'Inserm. Il faut s'interroger sur les impacts de la révolution numérique, sur les effets réels ou supposés du mouvement #MeToo, sur la question du désir et du consentement , sur les effets de la crise économique, sur la remise en cause ou pas des modÚles dominants. La société structure la sexualité, qui est un champ d'expression des rapports sociaux. Le contexte est essentiel pour comprendre les évolutions." 

L'Inserm prĂ©pare actuellement un questionnaire et forme les personnes qui seront chargĂ©es d'interroger plus de 10 000 personnes par tĂ©lĂ©phone - entre 20 et 25 % des Français n'ont pas accĂšs Ă  Internet, ce qui limite la portĂ©e des sondages d'opinion rĂ©alisĂ©s via la Toile. L'enquĂȘte pilote, destinĂ©e Ă  valider le processus de questionnement, va bientĂŽt commencer. Rapport prĂ©vu en 2021. D'ici lĂ , Snapchat aura peut-ĂȘtre disparu, et "liker" les "stories" paraĂźtra peut-ĂȘtre obsolĂšte. Mais il est fort peu probable qu'on ait arrĂȘtĂ© de traiter des filles de salopes. 


dimanche 04 septembre 2022, Sainte Rosalie











Océane a mis fin à ses jours début juin
DDM - DDM SEBASTIEN LAPEYRERE










Faits divers , France - Monde




Publié le 01/09/2022 à 22:28
, mis Ă  jour

le 02/09/2022 Ă  07:19



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l'essentiel
Océane, 21 ans, s'est suicidée au début du mois juin aprÚs avoir été droguée et violée à plusieurs reprises dans son appartement de Beaune en CÎte d'Or. Son pÚre Yvan Bourdin a lancé un appel sur les réseaux sociaux pour faire accélérer la procédure judiciaire.

Avertissement : le récit qui suit relate des faits de violences et peut heurter la sensibilité du lecteur.
C'est un appel à l'aide qu'a lancé Yvan Bourdin sur les réseaux sociaux. Ce pÚre de famille originaire de Besançon a livré un témoignage glaçant dans un post Instagram relayé par le compte Noustoutes25. Il y raconte comment sa fille de 21 ans a mis fin à ses jours aprÚs avoir été droguée et violée à plusieurs reprises dans son appartement de Beaune en CÎte d'Or. Il appelle désormais les autorités à réagir.
"Le 10 fĂ©vrier 2022, notre fille Bisontine OcĂ©ane s'est fait droguer et violer Ă  plusieurs reprises dans son appartement Ă  Beaune par un camarade de classe qu'elle pensait ĂȘtre son ami et son confident. Elle s'est rĂ©veillĂ©e deux fois en quelques minutes dans la nuit, les bras et les jambes paralysĂ©s, en lui suppliant d'arrĂȘter, mais il a continuĂ© sans scrupule", explique-t-il. AprĂšs l'horreur des faits, Yvan Bourdin raconte ensuite le retour Ă  la maison de sa fille traumatisĂ©e. Psychologue tous les jours, tentatives de suicide, urgences psychiatriques, internement, le rĂ©cit d'une "longue descente aux enfers."
"Nous lui avons dit d'aller porter plainte tout de suite. Elle nous a répondu qu'elle était morte de l'intérieur et qu'elle se suiciderait si elle allait raconter ce qui lui était arrivé", explique le pÚre à nos confrÚres de France 3 Bourgogne-Franche-Comté . Pourtant, trois mois aprÚs les faits, en mai 2022 la jeune femme "trouve le courage d'aller porter plainte au commissariat de Besançon." AprÚs avoir effectué un prélÚvement de cheveux pour détecter une éventuelle présence de drogue, la jeune femme replonge dans une grosse dépression. Début juin, Océane s
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