Seule et en chaleur
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Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
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Quatre départements en vigilance orange canicule
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Lundi, quatre départements – le Gard, la Gironde, le Lot-et-Garonne et le Vaucluse – sont concernés par une alerte orange, mais la liste devrait s’étoffer au fil de la semaine, prévient Météo-France. Il ne s’agit pas d’une quatrième canicule mais de la poursuite de la troisième.
La troisième vague de chaleur qui touche actuellement la France va se poursuivre toute la semaine. Les températures deviendront caniculaires dès mardi après-midi a annoncé Météo-France lundi 8 août. L’intensité du phénomène est « moindre que le précédent, mais plus durable en basse vallée du Rhône », précise le service météorologique.
Lundi, quatre départements – le Gard, la Gironde, le Lot-et-Garonne et le Vaucluse – sont concernés par une alerte orange pour canicule . « Le nombre de départements en vigilance orange devrait augmenter au fil de la semaine », a averti, dimanche, Christelle Robert, prévisionniste à Météo-France. Par ailleurs, douze départements sont en vigilance jaune pour des orages (non représentés sur la carte).
Côté températures, « ça va chauffer partout, on s’oriente vers un nouveau pic de chaleur qui touchera quasiment toute la France en fin de semaine en commençant par le sud du pays », a-t-elle précisé, les seules régions restant sous la barre des 30 °C en milieu de semaine étant situées le long de la Manche.
Lundi après-midi, « les températures sont à nouveau comprises entre 35 °C et 37 °C dans l’intérieur des régions méditerranéennes, localement 38 °C sur le Piémont cévenol gardois. Elles sont par ailleurs en hausse sur les départements du Sud-Ouest avec 34 °C à 36 °C », détaille le bulletin météo. Mardi, 36 ºC à 39 °C sont attendus de la basse vallée du Rhône au Sud-Ouest.
« Il ne s’agit pas d’une quatrième canicule, c’est la même, qui a commencé le 31 juillet, qui continue » , même s’il y avait depuis quelques jours, dans certaines régions du nord, un air plus respirable, a souligné la prévisionniste.
Dimanche en début d’après-midi, les endroits les plus chauds étaient situés dans l’Aude, les Pyrénées-Orientales, le Gard et l’Hérault. Des orages ont touché dimanche la Corse, les Pyrénées et les Alpes.
Sur Twitter, Metéo-France Sud-Est signalait une crue de la rivière Asco , en Corse, qui a reçu 17,9 millimètres d’eau en trente-six minutes. L’organisme avertissait du risque d’orages pouvant être accompagnés de grêle dans les vallées de la Tinée, de la Vésubie et de la Roya. Il n’y a pas de gros risque particulier recensé dans les départements en vigilance orages, a précisé M me Robert.
Malgré des orages qui se développent ici et là, la sécheresse historique se poursuit. Depuis le 17 juillet, l’indice d’humidité des sols est tombé au-dessous de celui enregistré lors des sécheresses historiques de 1976 et de 2003, a rappelé M me Robert.
La végétation sèche sur pied constituant un combustible facile, le risque d’incendie augmente. Dimanche, plus de 300 hectares ont brûlé dans le Finistère et le Morbihan .
Depuis le 1 er juin, Paris a connu huit nuits où la température a été supérieure ou égale à 20 °C, contre une seule l’été 2021, onze en 2020 – sur l’ensemble de l’été –, et seize en 2003 et en 1976. Nîmes a déjà connu quarante nuits à ce seuil depuis le 1 er juin, contre trente en 2021, quarante et une en 2019, cinquante-deux en 2003 et huit en 1976.
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Que prendre en compte dans le calcul de la puissance d’une PAC ?
Il faut prendre en compte le volume du logement, son coefficient de construction (déterminé par son niveau d’isolation), la température extérieure de base (zone climatique) ainsi que les besoins en chauffage de ses habitants.
Comment calculer la puissance d’une PAC pour 140m² ?
Le calcul de la puissance est le suivant : V x C x T. Le V correspondant au volume à chauffer, le C au coefficient de construction et le T à la différence entre la température ambiante et la température extérieure de base.
Le mode bivalent est un système à deux moyens de chauffage. Par exemple, une PAC sera en charge de 80% des besoins en chauffe totale d’un logement. Elle sera seule en fonctionnement lors des périodes douces et tempérées (automne, printemps). Lors de la période hivernale, un chauffage d’appoint (un poêle, une chaudière) vient compléter le travail effectué par la pompe à chaleur.
Accueil Pompe à chaleur Puissance pompe à chaleur Quelle puissance de pompe à chaleur (PAC) pour 140m2 ?
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Pour une surface de 140m² , il est préférable de s’orienter en direction d’une PAC d’une puissance minimale de 6kW . La puissance d’une PAC doit être estimée à l’aune de plusieurs critères : volume du logement, sa zone climatique, son niveau d’ isolation et les besoins de ses habitants.
Quelle puissance de pompe à chaleur (PAC) pour 140m2 ?
Si l’on ne retient que la surface (m²) du logement, la puissance moyenne recommandée pour un logement de 140m² est d’environ 6kW .
La connaissance de la surface du logement ne permet pas d’être assez précis pour pouvoir correctement choisir la puissance de sa pompe à chaleur. Pour la trouver, il est requis de mettre en place un calcul simple :
P = V (en m³) x C (en W/(m³.°C)) x T (en °C)
P uissance = V olume à chauffer (en m³) x C oefficient de construction (en W/(m³.°C)) x la différence de T empérature (°C) entre celle souhaitée à l’intérieur et la température extérieure de base
Exemple de la puissance nécessaire pour une PAC dans une maison mal isolée à Rennes
Rennes se situe en zone climatique 2 (h2), la température extérieure de base est de -6°C et la température souhaitée dans le logement est de 20°C . La puissance nécessaire pour installer une pompe à chaleur dans cette maison de 140m² avec une hauteur sous plafond de 2.5m sera alors de :
Puissance = (140 x 2.5) x 1.3 x (20°C – (-6°C)) = 11.830W soit environ 11,8kW
Le coefficient de construction est indiqué lors du bilan thermique (aussi appelé DPE : Diagnostic de Performance Énergétique) du logement réalisé par un professionnel RGE .
Comme indiqué dans le calcul de la puissance d’une PAC, c’est bien plus que la surface du logement qu’il faut prendre en compte. Volume (m³), niveau d’isolation (qui permet de trouver le coefficient de construction), zone climatique, température intérieure souhaitée (besoins des habitants) : voici autant de critères déterminants.
Le nombre de personnes habitant dans le logement
Le volume global du logement est un paramètre plus précis que la simple surface puisqu’il intègre l’ensemble de l’espace à chauffer du logement.
Le V olume (en m³) d’une maison est obtenu en multipliant la S uperficie au sol (en m²) par la H auteur sous plafond (en m).
Par exemple, pour un logement de 140m² avec une hauteur sous plafond de 2,5m, on obtient un volume global de 250m 3 (140 x 2,5 = 250).
Le niveau d’ isolation thermique d’un logement importe puisqu’il permet de déduire les déperditions d’énergie d’un logement. Plus elles seront importantes et plus la puissance d’une PAC devra être élevée, et vice versa. C’est un professionnel RGE qui réalise l’estimation de ces déperditions lors d’un diagnostic de performance énergétique.
Une fois estimées, elles permettent de déterminer le coefficient de performance. À chaque niveau d’isolation, son coefficient (voir le tableau plus haut). Ce dernier est utilisé dans le calcul de la puissance (C).
Faut-il investir dans une PAC lorsque son logement est très mal isolé ?
Il ne faut pas investir dans une pompe à chaleur si son logement est trop mal isolé. En effet, cela serait synonyme de pertes d’énergie et d’argent puisque la PAC tournerait dans le vide, sans jamais atteindre son objectif de chauffe.
La température extérieure influence directement le comportement de la pompe à chaleur. Si cette dernière n’est pas très puissante, et que des hivers très froids se manifestent, il en sera fini d’une quelconque chauffe de sa part. Bien dimensionnée, elle pourra résister aux températures extrêmes et chauffer le logement normalement.
Il existe 3 zones climatiques en France :
❄️ H1 (climat froid) : -9°C ⛅️ H2 (climat tempéré) : -6°C ☀️ H3 (climat chaud) : -3°C
Dans un logement, plusieurs personnes aux besoins différents vivent en cohabitation. Chacune d’entre elles doit être prise en compte dans le calcul de la puissance, puisque ce sont elles qui déterminent le seuil de chauffe souhaité. Les besoins en chauffage seront différents d’un individu à un autre.
Pour ce logement, la puissance idéale de la pompe à chaleur est de 5,9kW .
Pour ce logement, la puissance idéale de la pompe à chaleur est de 10kW .
Pour ce logement, la puissance idéale de la pompe à chaleur est de 16,4kW .
Bien choisir le dimensionnement de sa pompe à chaleur permet de réaliser jusqu’à 75% d’économie sur la facture énergétique tout en permettant un chauffage confortable et efficace sur le long terme ( 20 ans ).
Le surdimensionnement d’une PAC , plus simplement une puissance beaucoup trop élevée par rapport aux besoins d’un logement, entraîne une série de problèmes :
C’est en atteignant trop rapidement ses objectifs de chauffe (mises en marche et arrêts successifs) que la PAC et le compresseur fatiguent assez rapidement. Cela est particulièrement le cas lors des périodes aux températures douces (automne et printemps).
Le sous-dimensionnement d’une PAC, plus simplement une puissance beaucoup trop faible pour subvenir aux besoins d’un logement, entraîne une panoplie de complications :
Dans ce cas, la pompe à chaleur tourne dans le vide , sans affecter la température ambiante voulue à l’intérieur du logement dans les proportions souhaitée par ses habitants. C’est une grande perte d’argent et d’énergie.
Lorsqu’une chaudière est en relève de PAC (bivalent, hybride ), cette dernière, constituant la principale source de chauffage toute l’année, doit pouvoir couvrir 80% de la puissance nécessaire, le reste étant pris en charge par le chauffage d’appoint, dans notre cas la chaudière.
Plusieurs modes différents sont possibles : le mode monovalent et bivalent.
Ce mode est fait pour couvrir la totalité des besoins avec un seul moyen de chauffage. Les PAC eau-eau sont les plus souvent concernées par ce mode.
Ce système est intéressant dans le cas d’une rénovation, car l’ancien mode de chauffage, encore efficace et en état de fonctionnement, peut encore être utilisé en complément d’une autre solution. En mode bivalent, la PAC couvre généralement 80% des besoins calorifiques, le reste est fourni par le chauffage existant.
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Calcul pour trouver la puissance nécessaire
Critères à prendre en compte dans le calcul
Volume global du logement, isolation, zone climatique, besoins des habitants
Puissance minimum d’une PAC pour 100m²
Il remplit la bouche d'une blonde
Il n'y a pas assez de bites pour elle
Petite asiatique baisée sur le sofa