Seul avec un bébé incroyable
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Seul avec un bébé incroyable
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par Leslie Muya
Créé le 26/03/2019 à 16:03 , modifié le 26/03/2019 à 16:03
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Parce que son premier accouchement a été traumatisant, cette maman a choisi de donner naissance à son quatrième enfant de manière naturelle chez elle et sans la présence d’une personne du corps médical. Désireuse de montrer les avantages d’un accouchement à domicile, Kara Baker s’est filmée pendant ce moment incroyable.
La vidéo laisse sans voix. Kara Baker, une maman américaine de 28 ans, est assise dans sa baignoire remplie d’eau et accouche calmement de son quatrième enfant. Tout est filmé et diffusé en direct le 23 mars. Le tout dure une trentaine de minutes. La maman est d’un calme olympien. C’est impressionnant. Elle est uniquement entourée de son mari (informaticien de profession) et de ses trois autres enfants : Brylie, 4 ans , Barrett, 3 ans, et Ash, 15 mois. Elle même n’est pas une professionnelle du monde médical . Mais elle a décidé de faire cela car son premier accouchement lui a laissé de mauvais souvenirs :
" Mon premier enfant est né à l’hôpital et sa naissance a été un événement traumatisant. J’ai donc décide de me renseigner et j’ai commencé à m’intéresser à la naissance naturelle dans l’eau. J’avais peur car je ne savais pas à quoi m’attendre et j’avais eu une péridurale pour mon premier." a-t-elle révélé au Daily Mail . D'après son témoignage , elle n'a pas eu son moment peau à peau avec bébé, elle n’a pas été encouragée à allaiter et que " le budget a été de 40 000 $ ".
Petit à petit, Kara Baker s'est donc tournée vers d'autres solutions pour accoucher. Durant sa troisième grossesse , elle n'a pas cessé de regarder des vidéos Youtube dans lesquelles des femmes accouchaient seules. Ca l'émerveillait de voir le miracle de la vie réalisé de cette manière. " Je pouvais voir le moment où les femmes abandonnaient leur peur pour accoucher sans douleur. " Elle a donc pris la décision d’accoucher seule à son domicile. Elle dit avoir fait confiance à son corps et à son bébé. Son mari a tout de suite soutenu cette décision.
En rentrant dans la baignoire , on la voit se masser tranquillement le bas du dos avec son mari à côté d'elle. Puis, elle respire lentement, change de position parfois et finit par donner naissance à une fille appelée Molly Fay Baker au bout d'une trentaine de minutes. Elle a choisi de montrer son accouchement en direct pour montrer une nouvelle facette de l'accouchement naturel et changer le regard négatif que porte souvent les gens.
" Regarder sur YouTube de vraies naissances m’a aidé à surmonter les stigmates de la naissance et les tas d'horreur qui nous sont racontées " estime-t-elle. " En diffusant la naissance en direct, j'espère changer la perspective des gens sur la naissance. Je veux que les gens sachent que le travail et l'accouchement ne doivent pas être douloureux ni craint. Donner naissance est ce pourquoi nous avons été créées. C'est vraiment un cadeau . "
Lors d'un accouchement, il peut y avoir certaines complications qui sont très difficilement gérables sans l’aide d’un obstétricien ou d’un professionnel de santé. Si l'accouchement venait à mal se passer, la maman n'aura pas la possibilité d'être bien et rapidement prise en charge. Lorsque l'on prend la décision d'accoucher seule, il faut être conscient des risques importants que cela implique autant pour le bébé que pour la maman. Accoucher à proximité d'une maternité réactive en cas de besoin peut déjà assurer une prise en charge rapide en cas d'urgence. L'accouchement à domicile en France est encadré. Pour qu'il ait lieu, il faut que la maman soit en excellente santé et que les circonstances de la naissance soient favorables. Par exemple : pas de grossesse gémellaire, pas de position du bébé par le siège. Pour accoucher à son domicile en France, il faut être encadrée et accompagnée d'une sage-femme libérale.
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La vidéo laisse sans voix. Kara Baker, une maman américaine de 28 ans, est assise dans sa baignoire remplie d’eau et accouche calmement de son quatrième enfant. Tout est filmé et diffusé en direct le 23 mars. Le tout dure une trentaine de minutes. La maman est d’un calme olympien. C’est impressionnant. Elle est uniquement entourée de son mari (informaticien de profession) et de ses trois autres enfants : Brylie, 4 ans , Barrett, 3 ans, et Ash, 15 mois. Elle même n’est pas une professionnelle du monde médical . Mais elle a décidé de faire cela car son premier accouchement lui a laissé de mauvais souvenirs :
" Mon premier enfant est né à l’hôpital et sa naissance a été un événement traumatisant. J’ai donc décide de me renseigner et j’ai commencé à m’intéresser à la naissance naturelle dans l’eau. J’avais peur car je ne savais pas à quoi m’attendre et j’avais eu une péridurale pour mon premier." a-t-elle révélé au Daily Mail . D'après son témoignage , elle n'a pas eu son moment peau à peau avec bébé, elle n’a pas été encouragée à allaiter et que " le budget a été de 40 000 $ ".
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En rentrant dans la baignoire , on la voit se masser tranquillement le bas du dos avec son mari à côté d'elle. Puis, elle respire lentement, change de position parfois et finit par donner naissance à une fille appelée Molly Fay Baker au bout d'une trentaine de minutes. Elle a choisi de montrer son accouchement en direct pour montrer une nouvelle facette de l'accouchement naturel et changer le regard négatif que porte souvent les gens.
" Regarder sur YouTube de vraies naissances m’a aidé à surmonter les stigmates de la naissance et les tas d'horreur qui nous sont racontées " estime-t-elle. " En diffusant la naissance en direct, j'espère changer la perspective des gens sur la naissance. Je veux que les gens sachent que le travail et l'accouchement ne doivent pas être douloureux ni craint. Donner naissance est ce pourquoi nous avons été créées. C'est vraiment un cadeau . "
Lors d'un accouchement, il peut y avoir certaines complications qui sont très difficilement gérables sans l’aide d’un obstétricien ou d’un professionnel de santé. Si l'accouchement venait à mal se passer, la maman n'aura pas la possibilité d'être bien et rapidement prise en charge. Lorsque l'on prend la décision d'accoucher seule, il faut être conscient des risques importants que cela implique autant pour le bébé que pour la maman. Accoucher à proximité d'une maternité réactive en cas de besoin peut déjà assurer une prise en charge rapide en cas d'urgence. L'accouchement à domicile en France est encadré. Pour qu'il ait lieu, il faut que la maman soit en excellente santé et que les circonstances de la naissance soient favorables. Par exemple : pas de grossesse gémellaire, pas de position du bébé par le siège. Pour accoucher à son domicile en France, il faut être encadrée et accompagnée d'une sage-femme libérale.
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Il y a 2 ans, nous avions suivi Léa pendant son parcours de PMA : de ses toutes premières interrogations à son insémination, à Londres. Alors que le débat...
Il y a deux ans, nous avions suivi Léa pendant son parcours de PMA : de ses toutes premières interrogations à son insémination, à Londres. Alors que le débat resurgit, à la faveur des états généraux de la bioéthique, elle nous raconte aujourd’hui la naissance de Paolo jusqu’à son baptême civil à 1 an.
La sage-femme n’en revient pas et regarde, épatée, Tom quitter la salle de naissance avec Paolo dans les bras. Il fait absolument tout comme il faut, calmement, sereinement, mais je le connais : il plane complètement, Tom. Moi, je flotte un peu. Et Paolo tète ses doigts. L’accouchement a duré quarante heures, et je nous décernerais bien une médaille, à tous les trois. Elle a raison, la sage-femme. Même si Tom, c’est mon ex. Et pas le papa. Ça, la sage-femme n’arrive pas à se le rentrer dans le crâne… Mais j’ai laissé tomber parce que moi non plus je n’en reviens pas : Paolo est là. Avec tous ses bras et toutes ses jambes. Je l’ai entendu tousser et j’ai enfin respiré. Je l’ai tenu tout contre moi, sa peau, ma peau, son cœur qui bat et le mien qui part en vrille… OK. Donc, j’ai fait ça : un bébé. Toute seule.
Douze mois plus tôt, c’était une vague idée. Une drôle d’idée. Une chanson de Goldman qu’on m’a chantée en boucle – sans aucune pitié pour mes oreilles. D’ailleurs, quitte à combler l’attente, on m’avait prédit le pire : j’allais mettre au moins un an avant de tomber enceinte, passer les trois premiers mois la tête dans les toilettes et/ou dans l’angoisse de la fausse couche, vivre la suite sous haute surveillance médicale. Alors tu parles d’une rigolade : en même temps, ma petite, vouloir devenir mère à 39 ans et célibataire, tu te compliques sacrément la vie, faut dire. Certes. Dans l’idée.
En pratique, j’ai eu la grossesse joyeuse. À quelques secondes près, pour être honnête. Au moment où, visitant la maternité au milieu d’une dizaine de couples, j’ai entendu cette petite voix dans ma tête : “Mais pourquoi t’es toute seule, toi ? Parce que personne ne t’aime, tu crois ?” Mes dialogues internes étant aussi vifs que rapides, je me suis aussitôt cloué le bec : “Parce que tu l’as choisi, tu te souviens ?” Personne ne m’a quittée, personne n’est mort : ça fait toute la différence. La solitude n’est plus psychique et douloureuse, elle est matérielle. Point. Le reste s’appelle le désir d’enfant, et ça, oui, c’est joyeux.
Neuf mois plus tard, quand Paolo est né, j’en ai été doublement convaincue. Je ne compte plus le nombre d’amies, devenues mères, en couple, à m’avoir soufflé entre leurs dents un : “Toi, au moins, dès le départ, tu sais que tu es seule. ” Le débat sur la charge mentale n’avait pas encore eu lieu, mais les statistiques étaient déjà connues : même en couple, les femmes assument l’essentiel de la charge éducative. Et ce, dès la sortie de la maternité. Alors moi aussi, j’allais pouvoir y arriver. Quand Paolo et Tom sont revenus dans la salle de naissance, à les regarder tous les deux, l’évidence m’a fait sourire : oui, il assure, ton parrain.
Celle-là, on me l’a rapportée. Mais j’aurais pu la deviner, tant elle se lisait dans les yeux de celui qui l’a prononcée, la première fois qu’il m’a vue arriver avec Paolo dans la poussette. C’était le mec d’une copine. Elle s’est chargée de lui remettre les idées à l’endroit : non, je ne cachais pas une quelconque tare congénitale qui m’aurait empêchée de trouver le père de mes enfants. Oui, parfois, les planètes s’alignent de telle sorte qu’on peut se retrouver sans couple digne de ce nom au moment où cette satanée horloge biologique commence à se faire entendre. Alors, oui, plutôt que de faire un enfant avec le premier venu dont je me serais racontée (ou pas) que j’étais amoureuse, j’ai préféré me débrouiller toute seule comme une grande. Et je me suis fait inséminer à Londres, avec un donneur danois non-anonyme, parce qu’en France c’est interdit. Voilà. Deux mois après la naissance de mon fils, j’avais progressivement réduit mes explications au strict minimum. Mais j’y tenais. La question du père venant assez vite dans la discussion, j’ai tranché encore plus rapidement : je n’allais ni m’inventer pour compagnon un riche milliardaire texan qui préférait vivre auprès de ses puits de pétrole, ni laisser croire que j’avais pu faire un enfant dans le dos de qui que ce soit. On a les principes qu’on veut, et j’avoue une certaine fierté à avoir fait mon chemin sans piéger personne. À quoi s’ajoute sans doute un soupçon d’engagement qui me porte à faire savoir, autour de moi, que cette solution existe, bien qu’elle soit, aujourd’hui encore, illégale. Allez savoir, peut-être qu’à nous toutes, on pourrait un jour faire légèrement bouger les choses… Mais ça, Bruno, mon voisin de bureau, ça l’a fait hurler : “Tu te rends compte de ce que tu lui fais, à ton gamin ? Excuse-moi, mais tu comptes lui dire quoi, hein ?” Ma réponse est sortie toute seule : “À part la vérité, tu veux dire ?” Ce qui, par ailleurs, était déjà fait.
Un soir, quelques semaines après notre retour à la maison, je tenais Paolo dans mes bras. Il devait être 4 heures du matin, je n’entendais que les bruits de succion ravis autour de la tétine. Le temps d’un biberon, je lui ai dit : “Tu sais, moi, j’avais très envie que tu naisses. J’ai eu de la chance, parce qu’il y a un Viking qui a eu très envie que tu naisses aussi. Alors il a mis une de ses graines sur un grand drakkar, et le drakkar a traversé la mer, jusqu’en Angleterre. Là-bas, on a mis la graine du Viking qui allait devenir toi dans une grande malle aux trésors. Et puis on m’a appelée pour venir te chercher. Et puis un médecin a mis la graine dans mon ventre, et puis tu as poussé, et puis tu es arrivé. ” Paolo a continué à boire, imperturbable. Moi, je l’aime bien, cette histoire de drakkar. Avec les années, je devrai juste la faire évoluer un peu… Mais un jour, peut-être que lui ne l’aimera pas. Peut-être qu’il m’en voudra, et ça, oui, ça me fait un peu peur parfois. Mais je lui expliquerai. Je sais qu’un jour tu comprendras, Paolo.
Ça, c’est la dernière campagne contre la PMA et la GPA lancée par la Manif pour tous. Un quart de seconde, j’ai eu de la peine. Pour toutes ces courgettes transgéniques qui se trouvaient brocardées en place publique alors qu’elles n’avaient rien demandé. On était en octobre. Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les hommes et les femmes, venait de promettre, pour 2018, l’ouverture de la PMA aux femmes seules et aux couples de femmes. L’espace d’un instant, j’y ai cru. J’ai pensé à toutes celles qui devaient se mettre à espérer devant leur télé… Et puis j’ai zappé : comme c’était pile le moment où on s’est remis à hurler à la mort de la famille française, Marlène Schiappa a reculé. Avant d’avancer de nouveau, avec le lancement des États généraux de la bioéthique : en juillet prochain, on devrait savoir si on inscrit la question aux débats
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