Ses beaux seins appellent

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Ses beaux seins appellent
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Publié le 9 mai 2014 à 23:01 par La rédaction
À lire plus tard SauvegardĂ© Suivre #course #course Suivi
© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Découvrez la mésaventure de cette jeune fille qui a vu le bouton de son chemisier exploser en pleine course automobile. Résultat, un décolleté encore plus voyant.
Une voiture de course, un pilote expérimenté, une femme comme copilote, une caméra embarquée à l'intérieur de la voiture et un circuit. Tous les ingrédients étaient réunis pour un moment inoubliable. Il le fut mais pas pour les bonnes raisons.
A peine la voiture lancĂ©e sur la piste que le pilote a mis le pied au plancher, n'hĂ©sitant pas Ă  drifter le plus possible dans chaque virage. ProblĂšme, la jeune fille Ă  ses cĂŽtĂ©s est effrayĂ©e. Elle a beau se tenir Ă  tout ce qu'elle peut, son chemisier, lui ne tiendra pas. Deux des boutons ont ainsi explosĂ©, laissant apparaĂźtre la poitrine de la sexy copilote. Sans soutien-gorge, la poitrine pourra ĂȘtre admirĂ©e jusqu'Ă  la fin du tour de circuit. Mais le plus important, c'est bel et bien l'Ă©tat de la jeune femme, apeurĂ©e, qui ne peut mĂȘme pas cacher ses attributs. Dommage pour elle. Tant mieux pour nous.










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Les plus beaux seins de la télé
Quand le décolleté devient une arme de distraction massive


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Laurence2307


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Sar
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Ariane


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Sedetiam


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Laveritesijemént
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Sedetiam
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Delphine Ernotte, la boss du service public audiovisuel, cherche à « diversifier » la présentation du 20 Heures . Les « hommes blancs de plus de 50 ans » dégagent, aux profit des « jeunes femmes de la diversité ».
Adieu pĂąle patriarcat, bonjour fĂ©minisme colorĂ©. Trois crĂ©atures sont en compĂ©tition, une Noire trĂšs sensuelle (Kareen Guiock), une algĂ©ro-vietnamienne trĂšs girly (Émilie Tran Nguyen), et une Indienne dĂ©jĂ  en poste (Patricia Loison sur Soir 3 ). En outsider, Marie Drucker, la « niĂšce de », qu’on ne prĂ©sente plus, et qui change rĂ©guliĂšrement de petit ami dans Voici , histoire de rester dans la course.
En rĂ©alitĂ©, cette poussĂ©e de jeunisme fĂ©ministe cache une raison un peu moins antiraciste : il faut rĂ©cupĂ©rer les jeunes partis sur le Net, et un JT fĂ©minin attire plus de femmes... et donc d’acheteuses potentielles susceptibles d’ĂȘtre touchĂ©es par la pub avant et aprĂšs la tranche 20h-20h30. Ce que l’annonceur veut, Dieu le veut.

Voici les outsiders Kareen et Émilie, appelĂ©es Ă  remplacer les vieux colonialistes :

Sociologie d’un mĂ©dia de (moins en moins de) masse Ă  bout d’idĂ©es et dirigĂ© par des commerçants et des technocrates

AprĂšs les CĂ©sar du CinĂ©ma, voici les Nibards de la TĂ©lĂ©. Pas de raison qu’E&R ne dĂ©cerne pas aussi ses rĂ©compenses. Comme toutes les corporations ont dĂ©jĂ  leur propre cĂ©rĂ©monie, il ne restait plus que les femmes de la tĂ©lĂ©, qui n’ont rien Ă  se mettre sous la dent, Ă  part les 7 d’Or, dont tout le monde se tape. À l’écran, les seins, ça compte beaucoup. Ça fait oublier – ou supporter – les banalitĂ©s ou les contrevĂ©ritĂ©s profĂ©rĂ©es Ă  l’antenne. Cet avantage compĂ©titif (Ă  moins qu’un jour les animateurs ne s’en fassent implanter) est utilisĂ© sans vergogne par les ambitieuses. Car ne vous y trompez pas : tous ceux qui veulent montrer leur bobine (et le reste) sont accros Ă  l’image, Ă  leur image, et Ă  la notoriĂ©tĂ© qui va avec. La dĂ©charge d’adrĂ©naline en plateau est une drogue dure.
E&R a voulu rendre hommage au talent (mammaire) de nos stars, qui n’est heureusement pas le seul. Enfin, pas toujours. DĂ©crochez vos ceintures, ça va dĂ©coll(et)er.
Avertissement : certaines photos ou personnalitĂ©s ne sont plus toutes jeunes, mais aujourd’hui, la chirurgie, cette amie des femmes, fait des miracles. Et ne rĂȘvez pas, nous n’allons pas tout montrer, il s’agit quand mĂȘme d’intimitĂ©, et nous avons de la pudeur : pas de Nicki Minaj ici. En revanche, les dĂ©colletĂ©s, trĂšs politiques , sont autorisĂ©s. Car la femme de tĂ©lĂ© compte d’abord sur son sex-appeal (des pieds Ă  la tĂȘte, des cheveux au Mules) pour conserver l’attention du tĂ©lĂ©spectateur.
Et les tĂ©lĂ©spectatrices ? C’est bien connu, les femmes aiment regarder les autres femmes, pour les juger (beaucoup plus finement que les hommes), et Ă©ventuellement, les dĂ©molir. Sur un dĂ©tail, une ridule, un couac. Nous n’irons pas jusque-lĂ , et vous prĂ©sentons maintenant le Top 20 de la tĂ©lĂ© française. L’ordre qui suit ne porte ni sur le volume, ni sur l’esthĂ©tique.
Rare, c’est un job de mecs, qui en plus sont prĂȘts Ă  tuer pour l’obtenir ou le conserver. Les femmes, pourvues de moins d’agressivitĂ© prĂ©datrice par la Nature, sont dĂ©favorisĂ©es dans cette course. Mais la paritĂ© lĂ©gale et la pression mĂ©diatique ont poussĂ© toute une gĂ©nĂ©ration de femmes sur le devant des plateaux. Le temps des William Leymergie entourĂ©s d’une nuĂ©e de secrĂ©taires-chroniqueuses soumises semble rĂ©volu. Ici, MĂ©lissa Theuriau, ex-bimbo de M6 devenue productrice et rĂ©alisatrice de documentaires plutĂŽt bien-pensants. Une madame Debbouze toujours sexy mais sobre : elle ne peut pas se permettre de dĂ©conner avec son image, il y va de sa crĂ©dibilitĂ©.
Lors de la soirĂ©e de la FĂȘte de la Musique sur France 2 en juin 2013, Patrick SĂ©bastien s’était permis quelques propos dĂ©placĂ©s Ă  cĂŽtĂ© d’AĂŻda Touihri. Elle n’a pas goĂ»tĂ© les plaisanteries qu’elle jugeait salaces, et l’expĂ©rience de coanimation bourrin/beurette ne reviendra probablement plus Ă  l’antenne. Conclusion : pas d’exacerbation des caractĂšres spĂ©cifiques fĂ©minins. La surexposition rhabille les femmes et planque les poitrines. Mais certaines n’ont rien Ă  perdre, et passent outre.
Faux seins Ă©normes, postures outranciĂšres, provocation de caniveau, les deux ultras blonde et brune des chaĂźnes privĂ©es NRJ12 et TF1 ne peuvent concourir dans la trĂšs sĂ©rieuse catĂ©gorie des Nibards d’Or. Il est trop facile d’entrer « normale » chez un chirurgien sĂ©farade du bas des Champs-ÉlysĂ©es, et d’en ressortir bombe sexuelle. Le peuple, qui ne s’y trompe pas – femmes comprises – assimile ces crĂ©atures modelables Ă  des nĂ©o-prostituĂ©es. Elles rĂ©pliquent qu’il ne s’agit que de second degrĂ©. Ainsi, une GĂ©raldine Muhlmann affole-t-elle Ă  sa maniĂšre les compteurs masculins en se situant sur un plan intellectuel, et non pas prĂ©-horizontal. La difficile conquĂȘte, implicite, n’en est que plus excitante. Bref, dans cette catĂ©gorie des bimbos en plastoc, on a Nabilla, la femme au couteau, et Victoria, comparse de Dechavanne dans ses Ă©missions de divertissement. La femme du magicien qui sert Ă  dĂ©tourner l’attention pendant le coup de Jarnac.
L’intellotte de la tĂ©lĂ© dĂ©sire deux choses, qui ne sont pas forcĂ©ment compatibles : ĂȘtre prise au sĂ©rieux, et ĂȘtre prise tout court. Prise au sĂ©rieux, et regardĂ©e comme un ĂȘtre dĂ©sirable. CrĂ©dibilitĂ©, et fĂ©minitĂ©. Cela demande un certain art de l’équilibre. L’air de pas y toucher (au sexe) tout en le suggĂ©rant fortement. On peut dire ce qu’on veut, mais les femmes excellent dans ce sport un brin lubrique. À cĂŽtĂ©, les hommes sont des bƓufs
 fascinĂ©s par des gazelles. GĂ©raldine Muhlmann, avec son agrĂ©gation de philo et son look de tenanciĂšre de galerie Ă  Saint-Germain, allie ces deux qualitĂ©s.
DotĂ©e d’un tel minois, GĂ©raldine n’a pas vraiment besoin de montrer de la chair. La nec plus ultra : celle qui montre rien. Il faut tout deviner. IdĂ©al pour les masos ou les soumis.
Face Ă  un public de grands patrons et de politiques, le sein ne se montre pas. Eu Ă©gard aux goĂ»ts d’hommes plus mĂ»rs, qui lorgnent plus vers les jambes et les pieds, un effort particulier est portĂ© vers le bas du corps. La sobriĂ©tĂ© Ă©tant de mise en haut, on retrouve l’impĂ©ratif sexy plus bas : pompes adaptĂ©es qui Ă©tirent la jambe, dĂ©jĂ  allongĂ©e par une jupe plutĂŽt courte. Objectif : fasciner le cochon qui sommeille en tout homme politique, et l’attirer sur un terrain plus familier, oĂč la petite phrase pourra tomber plus facilement, et faire le tour des revues de presse radio/tĂ©lĂ©. Technique Ă©prouvĂ©e. Attention Ă  ne pas s’habiller en courtisane devant un homosexuel ou un pĂ©dophile, coup d’épĂ©e dans l’eau assurĂ©, et mĂ©pris garanti.
Spécialiste numéro un des jeux de jambes : Caroline Roux. Qui doit avoir une garde-pompes équivalente à celle de Céline Dion (3 000 paires). Il y a des femmes folles de chaussures. Mais aussi des hommes fous de femmes folles de chaussures. Tous les goûts sont dans la nature.
Lapix, elle, a connu un certain succĂšs sur Canal et Dimanche+ , avant de cartonner dans C Ă  vous sur France 5. il est vrai qu’elle cumule : visage avenant, regard coquin, poitrine agressive, silhouette sportive, et tenues dangereuses Ă  la limite du porno-chic. Une combinaison gagnante, surtout depuis qu’elle a lĂąchĂ© le tout-politique pour le divertissement. Malheureusement, une Ă©mission gĂąchĂ©e par Patrick Liste Noire Cohen, le grand journaliste impitoyable avec les mĂšres de victimes d’attentat en quĂȘte de vĂ©ritĂ©, mais ce n’est pas le dĂ©bat.
Devant 5 Ă  6 millions de tĂ©lĂ©spectateurs, on ne peut pas, comme cette Albanaise, exhiber le matos. Le statut de femme-tronc exige de la tenue, et une poitrine naturelle, si possible pas trop stimulante. La minceur est de rigueur. Une vache laitiĂšre au 20 Heures dĂ©clencherait les quolibets dĂ©placĂ©s, et dĂ©tournerait la noble fonction informative vers quelque chose de moins prestigieux. C’est pourquoi la prĂ©sentatrice idĂ©ale est dans la quarantaine, le lifting invisible, pour faire plus dame que les pouffiasses jetables de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ©. Dame patronnesse, est le mot, mĂȘme si ça peut virer Ă  la tata XVIe. Les Français ont besoin d’une figure maternelle – que BĂ©atrice Schönberg incarnait parfaitement.
Dans le mĂȘme registre, la Chazal Ă©tait un peu trop cuir pour devenir la reine-mĂšre des Français. Et puis, afin de relancer le dĂ©sir et entretenir son fan-club (les gays l’adorent, comme toutes les cougars chics), il y a la sempiternelle paparazzade d’étĂ©, avec un jeune giton de prĂ©fĂ©rence. Notez que la prĂ©sentatrice se doit d’ĂȘtre sexuelle, mais pas de maniĂšre primitive. La tendance « crĂ©dible » doit l’emporter sur la tendance « bonnasse ». Sinon c’est foutu. Il faut dire que les mecs sont graves, avec ça. Le moindre Ă©cart sexuel, et tout l’effort de solennitĂ© est rĂ©duit en bouillie.
La banquiĂšre de DSK a longtemps jouĂ© de ses charmes, en et hors plateau. HabituĂ©e des soirĂ©es TF1 et des soirĂ©es mondaines, comme la brigade du mĂȘme nom, Anne a plus jouĂ© de ses yeux de chatte que de sa poitrine, planquĂ©e bien au chaud sous ses pulls angora. Aujourd’hui, Ă  60 balais passĂ©s, elle ne se refuse aucune plastique, et si elle n’apparaĂźt plus sur nos Ă©crans, elle occupe le Net avec son HuffPost. Parfois, Le Grand Journal l’appelle pour commenter la derniĂšre semaine Ă©lectorale amĂ©ricaine, et profĂ©rer quelques vĂ©ritĂ©s puissantes du genre : « Obama peut gagner, mais Mc Cain aussi. »
Claire Chazal reprendra le flambeau d’attachĂ©e de presse de la premiĂšre chaĂźne d’Europe. DiplĂŽmĂ©e HEC rapidement repĂ©rĂ©e par un renifleur de talents (Philippe Tesson), Claire prĂ©sentera les JT pendant prĂšs d’un quart de siĂšcle, jouant de son look de dominatrice qui affole le prolo. La voix grave jusque qu’il ce faut pour jouer sur l’ambiguĂŻtĂ©. Beaucoup regarderont les infos (creuses) de la Une en rĂȘvant de possĂ©der cette speakerine de luxe.
Le problĂšme, quand on est un produit dit « branché », c’est qu’on se dĂ©branche trĂšs vite. MaĂŻtena Biraben, qui Ă©tait la reine de la matinale de Canal, en a fait l’amĂšre expĂ©rience en arrivant sur l’access , comme on dit. Ce sont les juteuses minutes avant le pic d’audience, entre 19 et 20 heures, sur lesquelles les chaĂźnes se disputent les annonceurs et leurs spots rĂ©munĂ©rateurs. La talentueuse Suissesse, « dĂ©couverte » par Ardisson et « apprĂ©ciĂ©e » par Hollande, paye les (s)pots cassĂ©s d’un changement de mode de consommation de l’écran et aussi d’une politique suicidaire de ses employeurs. Les derniĂšres traces de subversion ayant disparu sur la chaĂźne, cette derniĂšre ne peut mĂȘme plus faire semblant d’en ĂȘtre la matrice, Ă  l’heure de la concurrence de l’Internet. Il faut ĂȘtre vrai, ou disparaĂźtre.
Des qui sont vraies, ce sont les deux grosses Christine Bravo et ValĂ©rie Damidot, avec leur langue bien pendue. Incarnations de la Française dĂ©coincĂ©e, qui envoie chier hommes et femmes avec le mĂȘme tarif : une vanne dans la gueule. Comme la bonne nature va avec les gros nichons, on retrouve dans ce panier les poids lourds du genre. Ce ne sont certes pas des intellectuelles majeures (mĂȘme si elles surjouent les bonnes filles ), mais elles plaisent Ă  la France profonde, et au blaireau grivois qui sommeille en chaque homme. Peut-ĂȘtre imaginent-ils des croisements femme-gĂ©nisse en les regardant
 Soyons sĂ©rieux, les « grosses » de la tĂ©lĂ© savent trĂšs bien mettre en valeur ces atouts que sont les formes, et leurs adeptes sont nombreux. N’oublions pas qu’elles ne constituent pas des rivales dangereuses pour les femmes : elles sont donc, selon le verbiage du milieu, fĂ©dĂ©ratrices, ou non-clivantes.
C’est en vĂ©ritĂ© dans le stock inĂ©puisable et renouvelable de chroniqueuses qu’on peut pĂȘcher du lourd, question dĂ©colletĂ©s et provocation. Moins exposĂ©es, elles tentent leur chance en exploitant Ă  mort leurs atouts naturels (exemple, les Miss mĂ©tĂ©o de Canal) dans la mince fenĂȘtre de tir qui leur est impartie. D’oĂč cette lancinante impression d’agression sexuelle que peut ressentir le tĂ©lĂ©spectateur Ă  leur contact.
Interchangeable, nombreuse, concurrentielle, Ă  durĂ©e de vie limitĂ©e, Ă  moins qu’elle n’accĂšde au rang enviĂ© d’animatrice, la chroniqueuse fait le sel d’émissions de plus en plus plates et pĂ©nibles. On y retrouve toute la gamme, de la gonzesse brillante (l’excellente Clara Dupond-Monod Ă  la LittĂ©rature) Ă  la pure radasse de plateau, juste bonne Ă  gifler (Énora MalagrĂ©). Il est rare qu’on y trouve un boudin, Ă  moins qu’il ne propose un intĂ©rĂȘt Ă©ditorial poussĂ©, et que les producteurs n’aient pas trouvĂ© l’équivalent regardable. Ainsi, on a pu dĂ©couvrir l’anti-bimbo absolue Marie Colmant, une ex-rĂ©dactrice en chef de TĂ©lĂ©rama , assurer la rubrique internationale dans l’équipe de Bruce Toussaint. Donc que les pas-belles se rassurent, il n’y en a pas que pour les tops models. Une moche peut impacter en termes de... proximitĂ©. La tyrannie des belles admet quelques exceptions.

Championne toutes catĂ©gories, la Bretonne MalagrĂ©, co-star de TPMP, la quotidienne du vendeur de chaussettes (trouĂ©es) Cyril Hanouna. GrossiĂšre, inculte et agressive, elle joue le rĂŽle de roquet du patron, la secrĂ©taire qui dĂ©fend bec et ongles son dieu. Ses interventions truffĂ©es de cul et de gros mots sont des tue-l’amour de premier ordre. L’effet de ces femmes hippies sans pudeur qui se baladent Ă  poil du matin au soir et qui anĂ©antissent tout dĂ©sir. Rendez-nous Christine Boutin !
C’est la « pĂ©teuse de dĂ©colleté » qui monte. La chienne (au vrai sens du terme, attention) que Ruquier lĂąche sur ses invitĂ©s quand ils dĂ©roulent une promo ou un discours lĂ©nifiant dangereux pour l’audimat. AppelĂ©e Ă  coprĂ©senter la grande Ă©mission politique de France 2, avec et ensuite Ă  la place de Pujadas, jugĂ© pas assez sioniste par la paire BHL-Field, elle devra faire semblant d’attaquer tous les candidats tout en Ă©vitant de parler de l’essentiel. On lui fait confiance : la belle est aussi astucieuse qu’ambitieuse. Et cela ne nous Ă©tonnerait pas qu’elle finisse par s’acoquiner avec un politique de poids...
Virginie Efira a larguĂ© la tĂ©lĂ© pour le cinĂ©ma, oĂč elle semble s’amuser. Il est vrai que son expĂ©rience d’humoriste sur Canal, malgrĂ© un salaire exorbitant, a tournĂ© court. Virginie, c’est la bonne copine pas farouche, du coup on oublie parfois la femelle aux appĂ©tissants appĂąts. Qu’elle n’oublie pas de montrer. PotelĂ©e, souriante, brillante, fĂ©ministe mais pas trop , on ne lui connaĂźt pas d’ennemis. Peut-ĂȘtre que les Caroline Fourest doivent la dĂ©tester...
Julie Raynaud, la brune de TPS qu’on voyait passer un peu dans toutes les Ă©missions de plateau, avant que la chaĂźne de TF1 ne soit rachetĂ©e par Canal+. Julie, son rire, et, excusez l’expression, ses gros seins. Elle ne se cachait pas de cela, et le rĂ©alisateur de ses Ă©missions non plus. Que ce soit du sport, de l’info ou du divertissement, elle avait toujours la tenue adĂ©quate. À ce niveau de volume et d’exhibition, on aurait presque pu la faire tomber pour dĂ©lit de racolage sur la voie publique. Mais curieusement, personne n’a jamais portĂ© plainte.
Faustine Bollaert, dans le genre bustĂ©e, c’est pas mal aussi. On va arrĂȘter de prendre des gants, parce
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La cougar baise le serveur et la servante

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