Sept éjaculations pour Claire

Sept éjaculations pour Claire




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Sept éjaculations pour Claire
Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Sexualité Par Dr Catherine Solano Le 01 avr 2021 L'éjaculation précoce, ça se soigne ? "Mon compagnon est éjaculateur précoce et je me demande à quoi cela est dû. Nous aimerions savoir si vous avez des conseils à nous donner pour allonger la durée de nos rapports" s'interroge Anne-Laure, 45 ans. La réponse du Dr Catherine...
Sexualité Par April Poësy Le 02 déc 2019 Sexo: les éjaculateurs précoces seraient de bons amants ! On peut être éjaculateur précoce et faire très bien l'amour. C'est ce qu'explique le Dr Catherine Solano, sexologue, qui donne 3 conseils pour faire durer le plaisir.
Sexualité Par Marie-Christine Colinon Le 22 août 2015 Troubles sexuels : des petites révolutions du côté des hommes Dix-sept ans après l'apparition du premier médicament pour l'érection, les hommes disposent de plus en plus d'aides extérieures pour assurer sous la couette.
Sexualité Par Agathe Mayer Le 13 juin 2015 Yorgasme : les bienfaits du yoga sur la sexualité masculine L'amour n'est pas un sport de combat, mais il est important pour les hommes d'éviter l'éjaculation précoce, essentiel de maintenir l'érection et être endurant dans l'exercice de l'amour.... Heberson Oliveira, professeur de yoga et créateur de...
Sexualité Par Emilie Cailleau Le 04 oct 2013 Insolite : un spray contre l’éjaculation précoce Le Dr Mike Wyllie, l’inventeur du fameux Viagra, a développé un nouveau "remède" pour aider les hommes éjaculateurs précoces : un spray qui permet de retarder l’éjaculation.
Sexualité Par Dr Catherine Solano Le 04 août 2013 Existe-t-il un médicament contre l’éjaculation précoce? Je suis éjaculateur précoce et je voudrais savoir s’il existe un médicament pour traiter ce problème que ma partenaire et moi vivons de plus en plus mal… Julien, 37 ans.
Sexualité Par Claire Frayssinet Le 05 avr 2013 Ejaculation précoce : un trouble sexuel fréquent mais tabou D’après une étude OpinionWay, l’éjaculation précoce est le premier motif de consultation d’un sexologue et a déjà concerné près d’un homme sur deux.
Sexualité Par Catherine Solano Le 01 fév 2013 Couple : il éjacule toujours trop rapidement, je voudrais l’aider En couple depuis deux ans, je n’arrive quasiment jamais à l’orgasme, car mon ami éjacule trop vite. Il est frustré et moi aussi. Existe-t-il des solutions ? Anne, 36 ans.L’éjaculation prématurée est le problème sexuel masculin le plus fréquent:...
Sexualité Par Agathe Mayer Le 22 nov 2012 Ejaculation précoce : enfin un médicament pour la soigner En 2013, le Priligy déjà vendu dans plusieurs pays européen sera enfin disponible en France, et permettra aux éjaculateurs précoces de mettre un terme à leur incapacité. Explications de Catherine Solano, médecin, sexologue.
Sexualité Par Docteur Catherine Solano Le 15 août 2011 Témoignage : je suis éjaculateur précoce L'éjaculation peut être difficile à contrôler chez un homme. En écoutant son corps, on peut parvenir à maîtriser son excitation et retarder l'éjaculation. Les conseils de la sexologue Catherine Solano.
Sexualité Par April Poësy Le 19 avr 2011 Ejaculation prématurée : 3 exos à 2 pour faire durer le plaisir Parce qu'on a toutes envie de faire durer le plaisir, voici quelques exercices qui retarderont l'éjaculation de monsieur. A pratiquer à deux bien-sûr !
Sexualité Par April Poësy Le 16 avr 2011 Confessions intimes d'un sexologue Parfois, on aimerait être une petite souris pour savoir ce qui se passe chez un sexologue. Bienvenue dans le cabinet du Dr Gérard Leleu, sexologue.
Sexualité Par Quitterie Pasquesoone Le 28 mars 2011 Troubles sexuels : testez vos connaissances Les troubles sexuels peuvent parfois bousculer la vie d’un couple. Ils ont souvent pour cause des soucis physiques ou psychologiques… Pour y faire face ensemble, en gardant le sourire, mieux vaut tout savoir sur ce qui peut arriver. Séance de...
Je souhaite aussi recevoir les bons plans des partenaires du site
Un homme sur cinq souffre de la trop grande rapidité de ses éjaculations. Rassurez-vous, ça se soigne ! L'éjaculation est dite prématurée lorsqu'elle survient trop vite, c'est-à-dire trop tôt par rapport à ce que l'homme souhaite. La norme veut que l'on parle d'éjaculation précoce lorsque celle-ci survient moins de 2 minutes après la pénétration.
Dans 90 % des cas, le problème existe depuis le début de la vie sexuelle. Aucune anomalie physique n'est en cause, il s'agit uniquement d'un trouble du comportement éjaculatoire. Aussi, l'éjaculation précoce ne représente pas un problème grave puisqu'il y a érection et éjaculation. Le problème se limite juste à la difficulté de contrôler l'éjaculation. Et le contrôle, ça s'apprend ! Diverses causes entrent en jeux, mais dans la plus grande majorité des cas, l'éjaculation précoce a une origine psychologique : stress, peur de l'échec, premières expériences vécues dans la rapidité par peur d'être surpris, tempérament anxieux, conflits inconscients, difficultés conjugales. Si certains hommes pensent que ce problème est dû à leur trop grande sensibilité, le Dr Jean Jacques Weitzman précise qu'une telle croyance est erronée : "Ces hommes pensent souvent qu'ils sont trop sensibles. En fait, c'est plutôt l'inverse. Leur éjaculation se produit de façon réflexe, incontrôlée, comme s'ils n'étaient pas sensibles aux différentes étapes de la montée du plaisir"
Des médicaments contre l'anxiété, de la crème anesthésiante sur le sexe pour diminuer sa sensibilité... Plusieurs solutions médicamenteuses sont possibles pour ralentir l'éjaculation comme par exemple le Priligy qui contient de la Dapoxetine dosée à 30 ou à 60 mg, une molécule qui augmente le taux de sérotonine entre les neurones, l’hormone responsable de la lenteur de l’éjaculation. Mais les effets ne sont que temporaires. Seul un véritable reconditionnement peut régler le problème. Le sexologue conseille des "exercices" de rééducation qui permettent à l'homme de reconnaître les différents stades de la montée du plaisir, étape indispensable pour parvenir à se contrôler. Deux techniques dominent, les autres en sont des variantes. Il s'agit du "Stop and Go" et du "Squeeze". Dans les deux cas, la première étape de cette rééducation consiste à repérer la sensation d'imminence de l'éjaculation. C'est une impression fugace, qui précède le point de non-retour. Tous les hommes sentent bien ce moment à partir duquel il n'est plus possible de se contenir. En revanche, la sensation d'imminence est plus discrète et il faut un certain entraînement pour ne pas la rater. Une fois que la personne sent ce seuil, elle peut apprendre à bloquer volontairement son éjaculation.
Le Stop and Go se pratique seul ou à deux. C'est une technique efficace, simple mais contraignante, et parfois longue. Elle consiste à stimuler le pénis en se masturbant soi-même, ou en demandant à sa partenaire de le faire. Juste avant le point de non-retour, on arrête tout. On attend quelques dizaines de secondes, on recommence. Et ainsi de suite, au moins quatre ou cinq fois, avant de s'autoriser à éjaculer. Cette technique doit être utilisée systématiquement à chaque rapport, plusieurs fois par semaine et pendant plusieurs mois. Le Squeeze est basé sur un principe identique et se déroule en plusieurs phases. La première consiste à stimuler le pénis et, au moment de la sensation d'imminence, à presser la racine du gland entre le pouce et l'index, le pouce étant posé sur le frein de la verge. Cette compression, maintenue deux à trois secondes diminue l'excitation et stoppe le réflexe éjaculatoire. Cet exercice doit être répété plusieurs fois. Au bout de quelques jours, on passe à l'étape suivante, qui nécessite la collaboration du partenaire, puisqu'il s'agit d'exercer cette technique de contrôle au cours d'une pénétration. Une seule position est autorisée, celle dite d' Andromaque, l'homme allongé dessous, la femme le chevauchant. Au début, tous deux restent immobiles et, au moment où l'homme signale l'imminence de l'éjaculation, la femme se retire et pratique immédiatement la compression. La pénétration est ainsi répétée jusqu'à obtenir quinze à vingt minutes sans éjaculation. Petit à petit, au fur et à mesure que le partenaire améliore sa maîtrise, les mouvements sont autorisés. Puis, progressivement le couple utilise d'autres positions. Une fois le contrôle acquis, le couple peut recommencer à avoir des rapports intimes. Au début, l'homme se dégagera de la femme dès qu'il sentira son plaisir arriver. Puis, il reprendra confiance, et parviendra à rester plus longtemps. Plusieurs mois sont nécessaires pour installer ce reconditionnement. Le résultat est d'autant plus concluant que la démarche est entreprise en couple, avec une partenaire motivée. Il est conseillé de ne pas attendre trop longtemps pour consulter car la crainte de l'échec risque d'entraîner l'évitement des relations sexuelles, par honte ou manque de confiance en soi. Ce qui est certain, c'est qu'il n'existe pas de médications spécialement conçues pour traiter l'éjaculation précoce. Des anesthésiques locaux, qui diminuent la sensibilité du gland, sont prescrits, mais nullement recommandés car ils émoussent les sensations de la partenaire. Sont généralement administrés des antidépresseurs, utilisés en raison d'un de leurs effets secondaires, car ils retardent l'éjaculation. Mais comme ils ont également tendance à faire baisser la libido, ils doivent être manipulés avec beaucoup de précaution.
Vous êtes bien inscrit(e) à la newsletter avec l'adresse :
Les informations recueillies par ce formulaire font l'objet d'un traitement informatique à destination de Reworld Media Magazines et/ou ses partenaires et prestataires afin de pouvoir envoyer les bons plans et offres promotionnelles.
Conformément à la loi "Informatique et libertés" du 6 janvier 1978 modifiée, vous disposez d'un droit d'accès, de modification et de suppression des données vous concernant.
Pour en savoir plus ou exercer vos droits, vous pouvez consulter nos conditions générales d'utilisation .




Copyright © All rights reserved. Theme Creativ Kids Education by Creativ Themes

message à retenir: – Les femmes ont un organe analogue à la prostate masculine qui est capable de produire un liquide qui peut être éjaculé lors de l’orgasme. Toutes les femmes ne produisent pas d’éjaculat. – l’étude scientifique de l’Éjaculation féminine et de la prostate féminine a été grandement entravée par la mauvaise science, les tabous culturels et le sexisme.,
l’Éjaculation Féminine, ou l’émission d’un liquide clair / blanchâtre des organes génitaux féminins lors de l’orgasme, a été mentionnée pour la première fois dans des poèmes Indiens des 7ème et 11ème siècles dans des détails plutôt étonnants. Hérophilos de Chalkédoine a fait la première description scientifique de ce qui sera plus tard nommé la prostate féminine EN 300 avant JC, et Aristote, Hippocrate, le Kama Sutra, et Galien ont tous fait une description plus approfondie de l’Éjaculation Féminine avant 1700.
en 1642, un chercheur Néerlandais, Regnier de Graaf, a fait une description clinique de la prostate féminine en utilisant des méthodes scientifiques modernes., Dans les années 1800, Alexander Skene caractérisa davantage l’organe et remplaça son nom par le sien, l’appelant les glandes de Skene.
Mais à partir d’ici sur l’histoire de l’éjaculation féminine devient malpropre. Les idées sociétales de la féminité, de la masculinité, du genre et de la sexualité semblaient influencer l’étude scientifique de l’Éjaculation féminine. Beaucoup de bonnes études sur le sujet ont été négligées, et une mauvaise science a été surutilisée.,
l’histoire de l’Éjaculation féminine et de la prostate féminine est importante à raconter non seulement parce que beaucoup de femmes luttent encore avec des orgasmes, des fluides sexuels et leur vie sexuelle, mais aussi parce qu’elle sert d’exemple brillant de la façon dont la culture peut influencer la science.
alors, sans plus tarder, passons à l’essentiel.
Au début du 20ème siècle, une renaissance des études sur l’Éjaculation féminine a eu lieu., Les premiers articles traitant du phénomène manquaient d’une opinion unifiée sur la question de savoir si un liquide peut sortir des organes génitaux d’une femme lors de l’orgasme, et si c’était le cas, d’où il venait ou de quoi il était fait.
Ernst Grafenberg (maintenant célèbre pour avoir décrit pour la première fois le point G) a introduit une idée controversée dans les années 1950 lorsqu’il a postulé que la stimulation du point G était responsable de l’éjaculation du liquide à travers les glandes de Skene. Malgré son statut de chercheur respecté, ses descriptions approfondies de l’Éjaculation féminine ont été considérées par le milieu universitaire comme anecdotiques au mieux et falsifiées au pire.,
Si le travail des experts n’était pas reconnu, il semblait peu probable que d’autres auraient de la chance de publier des recherches Pro-Éjaculation féminine. Et en effet, après Grafenberg est venu un peu d’écriture rejetant carrément la notion d’Éjaculation féminine. Notamment, même Alfred Kinsey, célèbre pour avoir inventé l « échelle de Kinsey, et à bien des égards le père de la sexologie moderne, pesé sur le sujet de l » éjaculation féminine, affirmant que c « était vraiment des contractions du vagin poussant le liquide des parois vaginales, et donc pas une » éjaculation réelle.,”
Les quelques documents à l’appui de l’éjaculation féminine qui ont été publiés postulé que l’éjaculation féminine pourrait provenir de petites glandes situées juste en dessous de l’urètre. En même temps, une autre théorie a commencé à faire des vagues:que l’Éjaculation féminine était juste l’incontinence urinaire.
Mais, pour tous les articles publiés, aucune étude réelle n’a été réalisée. Ce n’est que dans les années 80 que les études sur l’Éjaculation féminine ont commencé à se produire et à fournir des preuves de l’Éjaculation féminine., Quelques revues de littérature sur ce sujet au milieu des années 80 considèrent l’étude D’Addiego et al. en 1981 pour être la première recherche « dure” faite sur ce sujet. Il s’agissait d’une étude de cas et « a fourni des preuves objectives à l’appui de l’hypothèse selon laquelle l’Éjaculation Féminine, un homologue partiel et infertile de l’éjaculation masculine, existe”, et qu’elle était au moins en partie chimiquement distincte de l’urine.
le paysage de la recherche a légèrement changé après cette étude de cas, car l’objectif n’était plus de prouver ou de réfuter l’existence de l’Éjaculation féminine, mais maintenant de classer sa composition et sa source.
pour ce faire, plusieurs autres études ont été menées dans les années 1980 qui classaient définitivement l’urine et l’éjaculat comme deux fluides distincts ou n’arrivaient à aucune conclusion. Les seules études s’opposant à cette conclusion ont été réalisées par Goldberg et al. en 1983, et Alzate en 1985. Goldberg a testé six femmes, Alzate une seule., Alors que Goldberg a conclu que « l’éjaculat et l’urine semblent être une seule et même chose”, Alzate a seulement écrit que l’éjaculat et l’urine étaient chimiquement indiscernables. Néanmoins, C’est L’étude D’Alzate qui a été citée encore et encore comme preuve que l’éjaculat féminin était de l’urine.
La plupart des études d’analyse d’urine ont comparé l’éjaculat féminin à l’urine selon certaines variations de paramètres chimiques: créatinine (un déchet musculaire), urée (le principal composant de l’urine), pH, antigène spécifique, Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les concentrations de ces composants dans l’urine peuvent changer. Nous ne devons pas ignorer le fait que, juste parce que deux liquides sont similaires à travers ces paramètres, cela ne signifie pas qu’ils sont les mêmes.
L’étude D’Alzate n’a pas examiné principalement la composition chimique du liquide, n’a analysé qu’un seul échantillon et, même dans cet échantillon, a trouvé de grandes différences chimiques entre l’urine et l’éjaculat (comme 14 mg de glucose dans l’éjaculat vs 1,9 mg dans l’urine)., Il y a un espace entre être certain que l’éjaculat n’est pas de l’urine et être certain que c’est le cas, et c’est là que se trouve cette étude.
Les années 80 et 90 ont vu plusieurs autres études qui ont prouvé la nature non urinaire de l’éjaculat féminin, donc avec l’existence et la nature de l’éjaculat apparemment triés, la recherche s’est déplacée pour trouver sa source.
De Graaf avait initialement inventé le terme prostate féminine pour l’organe éjaculateur féminin, mais cette terminologie avait été rejetée et retravaillée dans les glandes de Skene, car on ne pensait pas que la prostate féminine (si elle existait même) était analogue à la prostate masculine. Eh bien, la fin des années 80 a vu la résurgence du nom « prostate féminine » pour cet organe, comme la preuve montée pour la nature analogue de la prostate masculine et les glandes de Skene.,
Les preuves indiquaient une prostate féminine qui était la source de l’éjaculat féminin, ainsi qu’un organe produisant des hormones très fonctionnel, avec une fonction très similaire à la prostate masculine. Le Dr Zaviacic, qui a effectué des centaines d’autopsies, d’expériences chimiques et cliniques, a rapporté que « la prostate féminine a été observée à l’autopsie chez les deux tiers des femmes en âge de procréer”. Il a également écrit qu’il y avait une variation massive de la taille de la prostate, de la fonction et du rapport des composants d’une femme à l’autre., Ces variations pourraient expliquer pourquoi seules certaines femmes éjaculent, et pourquoi le volume et la couleur de cet éjaculat semblent si variables.
avec le nom « prostate féminine” sur le point de retomber dans l’usage, les arguments sémantiques semblaient dominer la conversation. Les scientifiques se sont disputés sur des points anatomiques infimes, et si les prostates trouvées chez les femmes pouvaient être considérées comme « bien développées. »Ils ont fait valoir que puisque l’éjaculat féminin ne remplissait aucune fonction de reproduction, il ne devrait pas être appelé éjaculat. Et ils se sont disputés sur la définition même de l’éjaculat., Une éjaculation provient-elle, par définition, exclusivement d’un pénis? Une éjaculation devait-elle contenir du sperme?
heureusement, en 2001, le Comité fédératif de terminologie anatomique a officiellement renommé les glandes de Skene en prostate féminine’ et a mis fin à cet argument terminologique fastidieux une fois pour toutes.
indépendamment de ce qu’il a été appelé cependant, il semblait que le monde avait finalement atteint un consensus que les femmes ont des prostates et peuvent expulser un liquide sur l’orgasme qui n’est pas de l’urine., Des recherches à l’appui de l’Éjaculation féminine ont continué à apparaître, et des revues systématiques, comme celle-ci par Pastor, ont en outre souligné que l’Éjaculation féminine n’était pas due à l’incontinence urinaire.
Ahmed Shafik a entrepris une étude électrophysiologique de l’orgasme féminin en 2009, étudiant l’hypothèse selon laquelle « l’orgasm
Sexe anal de première classe
Nerd vraiment chanceux
Cette fille devient folle

Report Page