Secrétaire se sert de ses jambes

Secrétaire se sert de ses jambes




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Secrétaire se sert de ses jambes

Un directeur de CEG surpris entre les jambes d’une élève dans son bureau
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Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
Les relations coupables en milieu scolaire sont un fait bien têtu. Il existe des enseignants et chefs d’établissement bien tenaces qui ne sont pas prêts à se passer de ce vice. Certains chefs d’établissements scolaires sont devenus des casanovas dont la principale mission est de multiplier leurs conquêtes féminines. Une journée sans une nouvelle conquête parmi ce beau monde de jeunes filles élèves devient pour eux un malaise insupportable. D’autres ne se gênent plus d’aller dans les hôtels, ils transforment leur bureau en une chambre de passage.
Cette histoire que vous lirez ici se passe au Togo, dans un Collège d’Enseignement Général (CEG) situé dans une ville de la région maritime. Le directeur qui s’amuse le plus souvent à soulever la jupe de ses élèves dans son bureau est un homme de taille courte et bien trapu à l’image d’une souche d’arbre. Bien qu’il avoisine soixante ans déjà, il présente encore des cheveux noirs mal cirés par un produit appelé Yombo destiné à cacher la couleur grise des cheveux fatigués par l’âge et ravagés par le temps. Mais en réalité, les hommes oublient que le signe de la vieillesse, ce n’est pas seulement la couleur des cheveux gris, mais, c’est aussi les rides du visage, un visage que le temps n’a jamais épargné et qui nous trahit par son air épuisé et plissé.
Permettez-moi de ne pas donner ici le nom complet de ce directeur et de le surnommer Amek signifiant les quatre premières lettres de son nom bien long d’ailleurs.
Déjà dès la rentrée scolaire, M. Amek a sa stratégie pour capturer ses proies dans le lot des jeunes filles. Il a l’habitude de cibler les jeunes filles des classes de 4 ème et troisième. Le plus souvent, celles qui s’occupent du balayage et du nettoyage de son bureau ne lui échappent pas. Il se dit qu’il épargne aux filles qui le soûlent de leur attrait, les frais de scolarité avant même de leur faire d’autres dons beaucoup plus importants. Pour se donner plus de chance afin d’élargir son territoire de conquêtes féminines, il cible également quelques beautés du collège qu’il monopolise pour les commandes de plats en récréation. Lorsque les professeurs le voient souvent rentrer régulièrement dans certaines classes pour des consignes banales accompagnées d’un peu d’humour, c’est qu’il a dans ces salles de classes quelques oiseaux à déplumer.
Un lundi matin autour de 8h10, c’est-à-dire à la deuxième heure, il fait appeler une fille d’à peine 16 ans qui se trouve en classe de 4 ème . M. Amek n’est pas à sa première fois, c’est devenu son habitude. Il en a tellement pris l’habitude qu’il a perdu ses sens de prudence. Son seul maître mot se résume à la témérité. La jeune fille élève était belle et un peu plus grande que son âge. Une grande balafre identitaire a failli déparer son charme angélique. Cette élève avait l’air d’une religieuse et personne ne la croirait capable d’être complice d’un vieux si vicieux et adepte d’un donjuanisme inadmissible. La fille se présenta au secrétariat et entra dans le bureau du directeur.
La meilleure des façons de voler sans laisser de soupçon, c’est de le faire où personne ne pourrait l’imaginer. Vous comprendrez pourquoi le directeur Amek, malgré la présence de sa secrétaire dans la salle qui sert d’antichambre à son bureau, ose en ces lieux coucher avec ses élèves, porte non bloquée à clé. Qui pourra se faire l’idée qu’un directeur, en présence de son employée assise au secrétariat, pourrait se donner le courage de se livrer à une opération haut les jambes dans son bureau ? Personne.
M. Amek n’est pas seulement téméraire, il fait aussi bien ses calculs. A cette deuxième heure où il a fait appeler la fille, il sait qu’aucun professeur présent dans l’établissement n’était libre et donc, personne ne pourrait le déranger dans son bureau. Il n’avait que cinq minutes au plus pour satisfaire son désir bestial et se libérer à l’insu de tous, y compris sa secrétaire à côté.
Dans son bureau, il y avait une grande table et des étagères où sont classés les documents. Comme il est de taille bien courte, il a placé sous sa table un petit escalier qui lui sert de repose-pieds ; en réalité, cet escalier en bois avait un rôle plus important à jouer que de servir de repose-pieds.
M. Amek n’a pas de temps à perdre. Il faut tout vite finir pour ne pas se faire attraper la main dans le sac. Il a bien vérifié si les fenêtres étaient bien fermées de même que la porte du bureau. Mais il ne fallait pas bloquer la porte à clé, ce serait trop suspect et pourrait attirer l’attention de la secrétaire dans l’autre salle.
Le chef de l’établissement tira l’élève face à lui dans son bureau par le bras, il lui passa un tour de main à la hanche et l’obligea avec adresse à se coucher sur sa grande table qu’il avait déjà débarrassée de documents qui l’occupaient. Ce vieux directeur était encore plus viril qu’un écureuil adulte. Il monte sur son escalier pour avoir la bonne position puisque la hauteur de la table ne lui sied pas. Bien debout, il se place entre les jambes de son élève et lui soulève la jupe.
En ce moment, le professeur de français cherchait activement le directeur, M. Amek lui-même. Ce dernier avait confié un travail à son adjoint ; un travail qu’il devait finir avant la récréation. Le prof de français avait besoin d’un papier rame supplémentaire pour finir le travail. Il court au secrétariat, la secrétaire n’avait pas de papier ce jour-là. L’enseignant demanda si le directeur était dans son bureau : « Oui, il est là, tu peux taper et entrer pour le lui demander », répondit-elle. L’adjoint au directeur se dirigea vers la porte non fermée à clé.
Pendant tout le temps que le prof de français travaillait et se décarcassait partout à la recherche du papier rame, la jeune élève était restée étendue sur la table du directeur du CEG telle une femme sur la table d’examen d’un gynécologue obstétricien ; monsieur Amek souleva la jupe de la fille, fit descendre son slip jusqu’aux genoux et se tint debout entre les cuisses de sa proie dont la stature se trouva allongée sur le bureau. Avant que notre élève ne puisse se réajuster et bien poser ses deux coudes sur la table, le vieil homme la pénétra sans préalables. Cet homme de près d’une soixantaine d’années s’employait à déployer toute une énergie d’un athlète sur sa tourterelle. Pendant ses va-et-vient au rythme des cris étouffés de la jeune élève, on pouvait voir les jolis seins de cette petite sauter en l’air puisque le directeur vicieux les avait sortis de son petit corsage auparavant. La table grinçait suivant les mouvements réguliers de nos deux tourtereaux. Malgré le ventilateur toujours allumé, notre Amek était trempé de sueur. La folie sexuelle leur monta à la tête. A un moment donné, le directeur mit la fille complètement nue et lui fit changer de position avant de l’obliger plus tard à remettre son corsage et sa jupe sans le slip. Ce ne fut pas encore la fin de la partie.
Le directeur du CEG revint sur sa table avec sa conquête et redoubla d’effort entre les jambes de son élève au moment où le prof de français présent au secrétariat souleva la main pour taper à la porte, mais son téléphone portable commença par vibrer suite à un appel urgent. Il sort du secrétariat pour prendre l’appel qui a duré pendant deux minutes environ. Pendant tout ce temps, le directeur qui ne pouvait s’apercevoir de rien depuis l’intérieur de son bureau continuait de faire de l’exploit sur la belle créature. Il la retourna et la lui tint par derrière. Sûrement qu’il avait pris un médicament fortifiant. Tout donnait l’impression qu’il voulait en finir avec cette jeune élève qu’il torturait sans répit. Cette dernière ne faisait que secouer la tête dans tous les sens tout en exprimant sa souffrance mêlée de plaisir à travers des geignements sourds et très bas pour ne pas se faire entendre dehors.
Le professeur de français revient au secrétariat après sa communication téléphonique. Il frappe à la porte une seule fois et entre dans le bureau du directeur. L’abomination fut horrible. A l’image de deux chiens qui s’accouplent, le directeur Amek fut surpris collé par derrière, entre les cuisses de cette élève, les yeux égarés et extrêmement affolés. Le professeur de français resta figé et ébahi fixant son directeur d’un regard stupéfait. M. Amek, les yeux grandement ouverts et les lèvres pendantes comme un chasseur égaré et épuisé après une longue course de vitesse ne savait que faire. Après quelques gestes insensés sous l’effet de la panique, il monte rapidement son vieux slip et son pantalon. La fille avait vite fait de faire descendre sa jupe kaki avant de remonter timidement son slip sous le regard dédaigneux du visiteur inattendu. Tous les deux adeptes de cet amour interdit et caché avaient la tête baissée. Un long silence pourtant éloquent a régné dans le bureau pour quelque temps. Personne ne prononça un seul mot mais chacun se disait plein de choses dans la tête. Après quelques trois minutes de silence, le professeur de français s’adressa à son chef : « M. le directeur, je voulais juste un papier rame pour terminer le travail que vous m’aviez demandé ». A ces mots, le directeur, comme un enfant qu’on envoie, court dans tous les sens dans le bureau et sort rapidement une dizaine de papiers rame qu’il remet à son adjoint. « Prends, c’est ça. », dit-il. Le professeur, papiers rame à la main, sort du bureau en secouant la tête. Cinq minutes plus tard, la fille sort du bureau de son pointeur avec un seau vide à la main. Elle va à un point d’eau à côté pour en puiser une quantité au directeur tout en regardant d’un coin d’œil son professeur de français. Elle était criblée d’un sentiment de honte et de peur.
Le professeur témoin de cette débauche sexuelle abominable est resté discret, il n’a rien dit à personne dans l’établissement, mais il devint à la fois un ami et un épouvantail pour son chef jusqu’au jour où ce dernier fut admis à la retraite car il en était déjà proche avant ce scandale. La fille, quant à elle a décidé de quitter l’établissement avant même la fin de l’année.


Un directeur de CEG surpris entre les jambes d’une élève dans son bureau
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Les relations coupables en milieu scolaire sont un fait bien têtu. Il existe des enseignants et chefs d’établissement bien tenaces qui ne sont pas prêts à se passer de ce vice. Certains chefs d’établissements scolaires sont devenus des casanovas dont la principale mission est de multiplier leurs conquêtes féminines. Une journée sans une nouvelle conquête parmi ce beau monde de jeunes filles élèves devient pour eux un malaise insupportable. D’autres ne se gênent plus d’aller dans les hôtels, ils transforment leur bureau en une chambre de passage.
Cette histoire que vous lirez ici se passe au Togo, dans un Collège d’Enseignement Général (CEG) situé dans une ville de la région maritime. Le directeur qui s’amuse le plus souvent à soulever la jupe de ses élèves dans son bureau est un homme de taille courte et bien trapu à l’image d’une souche d’arbre. Bien qu’il avoisine soixante ans déjà, il présente encore des cheveux noirs mal cirés par un produit appelé Yombo destiné à cacher la couleur grise des cheveux fatigués par l’âge et ravagés par le temps. Mais en réalité, les hommes oublient que le signe de la vieillesse, ce n’est pas seulement la couleur des cheveux gris, mais, c’est aussi les rides du visage, un visage que le temps n’a jamais épargné et qui nous trahit par son air épuisé et plissé.
Permettez-moi de ne pas donner ici le nom complet de ce directeur et de le surnommer Amek signifiant les quatre premières lettres de son nom bien long d’ailleurs.
Déjà dès la rentrée scolaire, M. Amek a sa stratégie pour capturer ses proies dans le lot des jeunes filles. Il a l’habitude de cibler les jeunes filles des classes de 4 ème et troisième. Le plus souvent, celles qui s’occupent du balayage et du nettoyage de son bureau ne lui échappent pas. Il se dit qu’il épargne aux filles qui le soûlent de leur attrait, les frais de scolarité avant même de leur faire d’autres dons beaucoup plus importants. Pour se donner plus de chance afin d’élargir son territoire de conquêtes féminines, il cible également quelques beautés du collège qu’il monopolise pour les commandes de plats en récréation. Lorsque les professeurs le voient souvent rentrer régulièrement dans certaines classes pour des consignes banales accompagnées d’un peu d’humour, c’est qu’il a dans ces salles de classes quelques oiseaux à déplumer.
Un lundi matin autour de 8h10, c’est-à-dire à la deuxième heure, il fait appeler une fille d’à peine 16 ans qui se trouve en classe de 4 ème . M. Amek n’est pas à sa première fois, c’est devenu son habitude. Il en a tellement pris l’habitude qu’il a perdu ses sens de prudence. Son seul maître mot se résume à la témérité. La jeune fille élève était belle et un peu plus grande que son âge. Une grande balafre identitaire a failli déparer son charme angélique. Cette élève avait l’air d’une religieuse et personne ne la croirait capable d’être complice d’un vieux si vicieux et adepte d’un donjuanisme inadmissible. La fille se présenta au secrétariat et entra dans le bureau du directeur.
La meilleure des façons de voler sans laisser de soupçon, c’est de le faire où personne ne pourrait l’imaginer. Vous comprendrez pourquoi le directeur Amek, malgré la présence de sa secrétaire dans la salle qui sert d’antichambre à son bureau, ose en ces lieux coucher avec ses élèves, porte non bloquée à clé. Qui pourra se faire l’idée qu’un directeur, en présence de son employée assise au secrétariat, pourrait se donner le courage de se livrer à une opération haut les jambes dans son bureau ? Personne.
M. Amek n’est pas seulement téméraire, il fait aussi bien ses calculs. A cette deuxième heure où il a fait appeler la fille, il sait qu’aucun professeur présent dans l’établissement n’était libre et donc, personne ne pourrait le déranger dans son bureau. Il n’avait que cinq minutes au plus pour satisfaire son désir bestial et se libérer à l’insu de tous, y compris sa secrétaire à côté.
Dans son bureau, il y avait une grande table et des étagères où sont classés les documents. Comme il est de taille bien courte, il a placé sous sa table un petit escalier qui lui sert de repose-pieds ; en réalité, cet escalier en bois avait un rôle plus important à jouer que de servir de repose-pieds.
M. Amek n’a pas de temps à perdre. Il faut tout vite finir pour ne pas se faire attraper la main dans le sac. Il a bien vérifié si les fenêtres étaient bien fermées de même que la porte du bureau. Mais il ne fallait pas bloquer la porte à clé, ce serait trop suspect et pourrait attirer l’attention de la secrétaire dans l’autre salle.
Le chef de l’établissement tira l’élève face à lui dans son bureau par le bras, il lui passa un tour de main à la hanche et l’obligea avec adresse à se coucher sur sa grande table qu’il avait déjà débarrassée de documents qui l’occupaient. Ce vieux directeur était encore plus viril qu’un écureuil adulte. Il monte sur son escalier pour avoir la bonne position puisque la hauteur de la table ne lui sied pas. Bien debout, il se place entre les jambes de son élève et lui soulève la jupe.
En ce moment, le professeur de français cherchait activement le directeur, M. Amek lui-même. Ce dernier avait confié un travail à son adjoint ; un travail qu’il devait finir avant la récréation. Le prof de français avait besoin d’un papier rame supplémentaire pour finir le travail. Il court au secrétariat, la secrétaire n’avait pas de papier ce jour-là. L’enseignant demanda si le directeur était dans son bureau : « Oui, il est là, tu peux taper et entrer pour le lui demander », répondit-elle. L’adjoint au directeur se dirigea vers la porte non fermée à clé.
Pendant tout le temps que le prof de français travaillait et se décarcassait partout à la recherche du papier rame, la jeune élève était restée étendue sur la table du directeur du CEG telle une femme sur la table d’examen d’un gynécologue obstétricien ; monsieur Amek souleva la jupe de la fille, fit descendre son slip jusqu’aux genoux et se tint debout entre les cuisses de sa proie dont la stature se trouva allongée sur le bureau. Avant que notre élève ne puisse se réajuster et bien poser ses deux coudes sur la table, le vieil homme la pénétra sans préalables. Cet homme de près d’une soixantaine d’années s’employait à déployer toute une énergie d’un athlète sur sa tourterelle. Pendant ses va-et-vient au rythme des cris étouffés de la jeune élève, on pouvait voir les jolis seins de cette petite sauter en l’air puisque le directeur vicieux les avait sortis de son petit corsage auparavant. La table grinçait suivant les mouvements réguliers de nos deux tourtereaux. Malgré le ventilateur toujours allumé, notre Amek était trempé de sueur. La folie sexuelle leur monta à la tête. A un moment donné, le directeur mit la fille complètement nue et lui fit changer de position avant de l’obliger plus tard à remettre son corsage et sa jupe sans le slip. Ce ne fut pas encore la fin de la partie.
Le directeur du CEG revint sur sa table avec sa conquête et redoubla d’effort entre les jambes de son élève au moment où le prof de français présent au secrétariat souleva la main pour taper à la porte, mais son téléphone portable commença par vibrer suite à un appel urgent. Il sort du secrétariat pour prendre l’appel qui a duré pendant deux minutes environ. Pendant tout ce temps, le directeur qui ne pouvait s’apercevoir de rien depuis l’intérieur de son bureau continuait de faire de l’exploit sur la belle créature. Il la retourna et la lui tint par derrière. Sûrement qu’il avait pris un médicament fortifiant. Tout donnait l’impression qu’il voulait en finir avec cette jeune élève qu’il torturait sans répit. Cette dernière ne faisait que secouer la tête dans tous les sens tout en exprimant sa souffrance mêlée de plaisir à travers des geignements sourds et très bas pour ne pas se faire entendre dehors.
Le professeur de français revient au secrétariat après sa communication téléphonique. Il frappe à la porte une seule fois et entre dans le bureau du directeur. L’abomination fut horrible. A l’image de deux chiens qui s’accouplent, le directeur Amek fut surpris collé par derrière, entre les cuisses de cette élève, les yeux égarés et extrêmement affolés. Le professeur de français resta figé et ébahi fixant son directeur d’un regard stupéfait. M. Amek, les yeux grandement ouverts et les lèvres pendantes comme un chasseur égaré et épuisé après une longue course de vitesse ne savait que faire. Après quelques gestes insensés sous l’effet de la panique, il monte rapidement son vieux slip et son pantalon. La fille avait vite fait de faire descendre sa jupe kaki avant de remonter timidement son slip sous le regard dédaigneux du visiteur inattendu. Tous les deux adeptes de cet amour interdit et caché avaient la tête baissée. Un long silence pourtant éloquent a régné dans le bureau pour quelque temps. Personne ne prononça un seul mot mais chacun se disait plein de choses dans la tête. Après quelques trois minutes de silence, le professeur de français s’adressa à son chef : « M. le directeur, je voulais juste un papier rame pour terminer le travail que vous m’aviez demandé ». A ces mots, le directeur, comme un enfant qu’on envoie, court dans tous les sens dans le bureau et sort rapidement une dizaine de papiers rame qu’il remet à son adjoint. « Prends, c’est ça. », dit-il. Le prof
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