Secrétaire japonaise

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Secrétaire japonaise
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Jeune secrétaire japonais
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Jeune secrétaire japonaise parlant au téléphone et prenant des notes
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1.2 La formation du nouveau PDJ (1998)

1.3 Construire un parti d'alternance (1998-2001)

1.3.1 Premiers succès (juillet-novembre 1998)

1.3.2 Premières difficultés (1998-1999)

1.3.3 La présidence Hatoyama : forger un parti d'opposition (1999-2001)

1.4.1 Hatoyama affaibli (2001-2002)

1.4.2 Le rival de Koizumi : de nouveau Naoto Kan (2002-2004)

1.4.3 Nouvelles têtes et désillusions (2004-2006)

1.5 La présidence Ozawa : premiers pas vers une alternance (2006-2009)

1.6 Seconde présidence Hatoyama : concrétiser la victoire (2009 - 2010)

1.7 Divisions et impopularités (2010-2012)

1.8 Lourde défaite et retour dans l'opposition (2012-2016)

3.1 Économie, système social et administration : « à la fois Thatcher et Blair »

3.2 Un libéralisme politique et sociétal

3.3 Affaires étrangères et sécurité

3.4.2 Factions disparues ou inactives depuis 2012
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Pour les articles homonymes, voir Parti démocrate .

Le Parti démocrate du Japon ( 民主党 , Minshutō ? , PDJ ) , a été l'un des deux principaux partis politiques du Japon de la fin des années 1990 à la première moitié des années 2010 , créé en 1996 et refondé en 1998 , il formait la principale force d'opposition au gouvernement dominé par le Parti libéral-démocrate jusqu'en 2009 , date de sa victoire aux élections législatives , avant de retourner dans l'opposition trois ans plus tard. Généralement placé au centre gauche de l'échiquier politique japonais , ses différentes factions défendaient des idéologies allant du libéralisme économique à la social-démocratie . Il était lié à la Confédération syndicale japonaise ( 日本 労働組合 総連合会 , Nihon Rōdōkumiai Sōrengōkai ? ) , ou RENGO ( 連合 ? ) , premier syndicat du Japon [ 1 ] .

Le parti a remporté sa première réelle victoire aux élections de 2007 à la chambre haute , et détient alors, avec ses alliés du Parti social-démocrate , la majorité à la Chambre des conseillers , ce qui lui permet de rendre la tâche relativement difficile à la majorité de centre droit du PLD - Kōmeitō . L'ancien président du PDJ et chef de l'opposition parlementaire, Ichirō Ozawa , ancien chef du Parti libéral qui a fusionné avec le PDJ en 2003 , a été élu le 7 avril 2006 [ 2 ] mais, à la suite d'un scandale politico-financier touchant l'un de ses principaux collaborateurs, il annonce sa démission le 11 mai 2009 [ 3 ] . Par un vote des représentants et des conseillers du PDJ, Yukio Hatoyama , son secrétaire général, le remplace le 16 mai 2009 [ 4 ] . Le parti remporte une victoire historique après les élections législatives japonaises de 2009 , et Yukio Hatoyama est nommé Premier ministre le 16 septembre 2009 . Il annonce toutefois sa démission le 2 juin 2010 , et Naoto Kan est élu deux jours plus tard pour le remplacer à la tête du parti. Il quitte sa fonction à son tour le 26 août 2011 , et Yoshihiko Noda lui succède trois jours après. Il subit une importante défaite électorale lors des élections législatives du 16 décembre 2012 et retourne alors dans l'opposition, après trois années difficiles au pouvoir.

Le 24 février 2016 , après des mois de négociations, le PDJ accepte de fusionner avec le Parti de la restauration ( 維新の党 , Ishin no tō ? ) pour former la nouvelle force principale de l'opposition parlementaire japonaise, le Parti démocrate progressiste ( 民進党 , Minshintō ? ) . Ce nouveau parti est officiellement créé le 27 mars 2016 [ 5 ] .

Créé le 11 septembre 1996 , le congrès fondateur de ce nouveau parti a lieu le 29 du même mois, en vue des élections législatives du 20 octobre . Les origines politiques de ses membres sont alors [ 6 ] , [ 7 ] :

Au moment de sa création, le PDJ compte donc déjà 50 membres de la Chambre des représentants (les 31 socialistes , les 14 NPS et les 5 de la Ligue des Citoyens , nombre rapidement porté à 52 avec le ralliement ultérieur de Kunio Hatoyama et Kenichirō Satō ) sur 511 et 5 conseillers (4 socialistes et 1 NPS ) sur 252. Lors du congrès fondateur du 29 septembre 1996 , deux coprésidents sont désignés à la tête du PDJ : Naoto Kan (chargé des « affaires politiques ») et Yukio Hatoyama (chargé des « affaires internes au parti »). Politiquement, il met l'accent sur la limitation du rôle de l'État et de la bureaucratie, et donc sur une réforme administrative, une décentralisation, déconcentration et dérégulation, et sur la défense des libertés individuelles. Toutefois, les deux leaders ne semblent pas totalement d'accord sur la manière d'organiser le mouvement : si Naoto Kan milite pour s'appuyer sur de petites formations politiques locales de défense des droits des citoyens et pour une « opposition constructive » ( 建設的 野党 , Kensetsu-teki Yatō ? ) au PLD (n'excluant pas de former avec celui-ci une coalition gouvernementale si la situation l'exige), Yukio Hatoyama veut avant tout en faire un grand rassemblement populaire directement basé sur l'opinion publique, le plus éloigné possible de l'organisation traditionnelle des grands partis japonais et inscrit dans une « opposition complète » ( 健全 野党 , Kenzen Yatō ? ) [ 8 ] . Un compromis est bientôt trouvé, en mars 1997 , entre les deux visions et surtout sur l'attitude à adopter vis-à-vis du parti au pouvoir, en s'approchant toutefois plus du Kensetsu-teki Yatō de Kan : tout en refusant de participer au Cabinet , le PDJ adopte une stratégie de négociation permanente avec le gouvernement en lui fournissant des projets ou contre-projets de loi. Cette attitude, jugée incohérente par les observateurs mais rassure l'électorat attaché à la stabilité et au statu quo politique, vaut au PDJ le surnom de Yutō (ゆ党), ce qui ne signifie rien en japonais mais souligne le caractère indéfinissable de sa position entre un parti au pouvoir ( 与党 , Yotō ? ) et un parti d'opposition ( 野党 , Yatō ? ) traditionnels (le hiragana ゆ yu étant situé dans le syllabaire japonais entre le や ya et le よ yo ) [ 9 ] .

Aux élections législatives du 20 octobre 1996 , ce tout jeune parti remporte un relatif succès puisqu'il devient la troisième force politique du pays et la deuxième de l'opposition, derrière le PLD et le Shinshintō . Il maintient son nombre de représentants (52 élus sur 500, dont 17 dans des circonscriptions au scrutin majoritaire uninominal , et 35 à la proportionnelle régionale ), et surtout s'impose à l'ancien électorat des deux principaux partis dont il est issu (le PSD tombe alors à seulement 15 sièges et le NPS n'a plus que deux députés). Il s'implante particulièrement bien :

Le 18 septembre 1997 , le système de la double présidence est abolie : Naoto Kan reste le seul dirigeant quand Yukio Hatoyama devient secrétaire général et n o 2 du parti. La dissolution, le 31 décembre de cette même année, du Shinshintō et son explosion en six partis ouvrent la porte à l'élargissement du PDJ.

Le 8 janvier 1998 , un groupe commun réunissant six partis d'opposition est formé dans les deux chambres de la Diète sous le nom de Fédération Démocrate - Fraternité - Soleil - Peuple ( 民主 友愛 太陽 国民 連合 , Minshu-Yuai-Taiyō-Kokumin-Rengō ? ) , raccourci en Minyuren (民友連). Cette coalition comprend alors 97 représentants et 41 conseillers [ 6 ] , [ 7 ] :

Finalement, ces différentes formations se mettent d'accord sur la création d'un parti commun et, dès le 12 mars 1998 , les dirigeants du PDJ, du NPF, du Mikairen et du Parti de la bonne gouvernance ( 民政党 , Minseitō ? , abrégé en Minsei 民政, fondé le 23 janvier 1998 par la fédération des trois petites formations issues du Shinshintō de tendances libérales et réformistes et héritières de dissidences du PLD , à savoir la Voix du Peuple, le Parti du Soleil et From Five ainsi qu'un député jusqu'ici non-inscrit, Tatsuya Itō , sous la présidence de Tsutomu Hata ) signent le protocole d'unification. La fusion a lieu officiellement lors du congrès tenu à l'hôtel Kitashirakawa Palace à Chiyoda ( Tōkyō ) le 27 avril . Gardant le nom de sa plus importante composante, le Parti démocrate du Japon (PDJ) ou Minseitō devient le nouveau grand parti d'opposition, et, parmi les groupes des deux chambres sur lesquels il s'appuie, 92 représentants sur 97 (des anciens indépendants, seul Hirofumi Hirano adhère au PDJ, tandis que Tatsuya Itō , pourtant membre du Parti de la bonne gouvernance , décide de rejoindre le PLD à l'instar de deux autres députés venant du même parti et auparavant du parti du Soleil pour l'un et de la Voie du peuple pour l'autre ; un quatrième, Toshinobu Ayawa , lui aussi issu du Parti du Soleil et de celui de la Bonne gouvernance, participe à la fondation d'un petit mouvement de divers-droite baptisé « Les Indépendants » ; enfin, Koichirō Aino , membre fondateur de la Voie du peuple puis du parti de la bonne gouvernance, décède le 20 mars , un mois avant la naissance officielle du nouveau PDJ, et, élu initialement à la proportionnelle, c'est donc son suivant de liste de 1996 , désormais Kōmeitō , Junji Higashi , qui lui succède) et 38 conseillers sur 41 (là aussi tous sauf les trois anciens non-inscrits, qui continuent toutefois à faire partie du groupe commun) le rejoignent. Naoto Kan en est élu une nouvelle fois président, Kansei Nakano (ex- PDS ) est président délégué (jusqu'en 1999 , cette fonction est ensuite momentanément supprimée) et Tsutomu Hata devient le secrétaire général du parti.

Bénéficiant en partie à son lancement de la popularité de son leader ( Naoto Kan arrive en tête d'une série de sondages comme personnalité politique préférée des Japonais en 1997 et 1998 ) et de l'impopularité croissante du gouvernement, le PDJ remporte un réel succès lors du renouvellement de la moitié de la Chambre des conseillers le 12 juillet 1998 : alors que 18 des 38 conseillers du parti remettent en jeu leur siège, les démocrates sortent du scrutin avec 27 élus (dont 15 au vote unique non transférable préfectoral et 12 à la proportionnelle nationale où le PDJ s'approche du score du PLD avec 21,75 % des suffrages contre 25,2 %). Le PDJ, avec 47 conseillers sur 252, a ainsi augmenté son nombre de parlementaires de 9 personnes, et le groupe commun qu'il forme toujours avec quelques indépendants atteint les 54 membres contre 41 auparavant, quand celui des libéraux-démocrates passe de 119 à 105 élus. Surtout, l'opposition, désormais fédérée derrière le PDJ de Naoto Kan (y compris le PCJ ), détient le contrôle de la chambre haute de la Diète , poussant le Premier ministre Ryūtarō Hashimoto à démissionner le 30 juillet et son successeur, Keizō Obuchi , à négocier avec Naoto Kan (qui a été élu chef de gouvernement par la Chambre des conseillers alors que Obuchi a été choisi par la Chambre des représentants qui a le dernier mot). Celui-ci joue notamment le rôle principal dans le sauvetage de la Banque de crédit de longue durée du Japon en obtenant du gouvernement sa nationalisation ou obtient l'adoption par le Parlement en septembre d'une législation de contrôle du secteur bancaire, démontrant sa capacité à gérer la crise qui touche alors le pays et renforçant sa popularité et son image de « premier-ministrable » [ 10 ] .

Mais cet « état de grâce » est de courte durée, puisqu'une succession d'évènement affaiblit le poids ascendant du PDJ au sein de l'électorat à partir de décembre 1998 . Tout d'abord, le Parti libéral d' Ichirō Ozawa , l'un des principaux alliés du PDJ jusqu'alors, mais dont l'attachement à un fort libéralisme économique lui fait voir d'un mauvais œil le fort appareil législatif déployé pour encadrer le monde financier sous la pression de Naoto Kan , commence à négocier en vue d'une éventuelle coalition avec le PLD en décembre 1998 et entre finalement au Cabinet de Keizō Obuchi le 14 janvier 1999 . Le Nouveau Kōmeitō fait de même le 5 octobre suivant, faisant perdre au PDJ le contrôle de la Chambre des conseillers et tout espoir réel de pouvoir former une majorité à la suite des élections législatives devant se tenir au plus tard en octobre 2000 . À l'intérieur même du parti, certains poids lourds estiment que celui-ci s'est orienté trop à gauche : Yukio Hatoyama estime que les démocrates « sont allés trop loin alors que les élections venaient juste d'avoir lieu » [ 11 ] tandis que son frère, Kunio Hatoyama , après s'être présenté sans succès à l'élection du gouverneur de Tōkyō comme indépendant (tout en étant officiellement soutenu par la fédération locale du PDJ, il est battu par l'écrivain nationaliste Shintarō Ishihara ) retourne finalement au PLD le 23 mai 2000 (trois jours seulement avant les élections législatives ) [ 12 ] .

De plus, la popularité de Naoto Kan , et donc avec lui celle du PDJ, est mise à mal en novembre 1998 par deux scandales qui le touchent pratiquement simultanément, l'un sexuel et l'autre financier. Ainsi, un hebdomadaire conservateur japonais affirme que le chef de l'opposition a passé la nuit dans une chambre d'hôtel avec une ancienne présentatrice de télévision de vingt ans sa cadette employée comme consultante par le parti. Dans le même temps, une rumeur relayée dans la presse fait état d'un pot-de-vin de 4,2 millions de dollars américains qu'auraient reçus Kan du Secrétaire général du Cabinet Hiromu Nonaka en échange du soutien du PDJ au gouvernement dans la gestion de la crise bancaire. Si l'intéressé dément ces deux accusations et est soutenu par l'appareil de son parti, il en ressort affaibli auprès de l'opinion publique, notamment auprès des femmes (qui formaient une grande partie de son électorat depuis qu'il fut, au début de sa carrière, le directeur de campagne d'une des principales figures du féminisme au Japon , Fusae Ichikawa , en 1974 ) pour ce qui est du premier scandale. Un sondage réalisé pour le mois de novembre par Kyodo News Service auprès de 1 911 personnes montrent que 16,8 % d'entre eux soutiennent le PDJ, soit 6 points de moins que lors de la dernière enquête de septembre [ 11 ] . Bien que réélu président du parti le 18 janvier 1999 (par 180 voix de parlementaires et d'élus préfectoraux contre 51 à son unique adversaire, Shigefumi Matsuzawa , et 8 abstentions), Naoto Kan est finalement battu le 25 septembre de la même année par Yukio Hatoyama (au second tour par 182 voix contre 130, au premier tour Yukio Hatoyama avait obtenu 154 voix, Naoto Kan 109 et un troisième homme, Takahiro Yokomichi , 57). Il conserve Tsutomu Hata comme secrétaire général tandis que Naoto Kan devient président des Affaires politiques et donc n o 3 du parti.

Les premières mesures de Yukio Hatoyama en tant que président du PDJ sont de changer les modalités de l'élection présidentielle du parti afin d'en faire une force plus populaire (le vote est étendu à tous les élus d'assemblées locales, avec toutefois un poids électoral différent puisque chaque parlementaire représente 2 voix, les candidats déjà officiellement investis par le PDJ aux futures élections législatives 1 voix chacun tandis que la totalité des élus locaux envoient un nombre limité de délégués ayant chacune une voix, mais le corps électoral est également étendu à tout militant de plus de 18 ans payant une cotisation supérieure à 1 000 yens qui élisent à leur tour des délégués pour l'élection du président dont le mandat est de plus étendu de un à deux ans) le 16 janvier 2000 et de faire adopter un « Code d'éthique » par les m
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