Se retrouver pour une intrusion

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Se retrouver pour une intrusion
Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures décisions.
Les astronautes de la station spatiale chinoise ont accueilli un nouveau module nommé « Wentian ». C'est le deuxième engin envoyé par l’agence spatiale chinoise. Il doit permettre à l’Empire du Milieu de mener des expériences en sciences de la vie et en biotechnologie. Un troisième module sera lancé en octobre. La station spatiale chinoise devrait être opérationnelle d’ici la fin de l’année.
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•Aucune société ne peut se prémunir à 100 % d'une cyberattaque. Les entreprises•se préparent à cette éventualité et inscrivent les risques informatiques dans leurs plans de continuité.
On distingue trois types d'attaque : l'opportuniste, la militante et la ciblée », lance Alexandre Fernandez-Toro, responsable sécurité des systèmes d'information (RSSI) d'un grand groupe industriel français et auteur de « Sécurité opérationnelle » (Eyrolles). La première est le fait d'individus qui balaient le réseau à la recherche de systèmes vulnérables. Les entreprises y sont en général préparées. La deuxième est l'oeuvre de pirates ou de militants qui défigurent la vitrine publique d'une entreprise ou rendent son système informatique inopérant. « C'est désagréable, parfois préjudiciable, mais on la remarque facilement. Son pouvoir de nuisance est souvent limité » , reprend Alexandre Fernandez-Toro. La troisième, la plus redoutable, est l'attaque ciblée : les pirates s'installent dans le système informatique de l'entreprise, exfiltrent petit à petit des informations ou mettent en place des dispositifs pour désorganiser les opérations de l'entreprise et mettre à mal sa compétitivité. Bien souvent, la victime ne se rend compte de l'intrusion que plusieurs mois plus tard, lorsque le mal est déjà fait : rançon, extorsion, vol de données critiques, etc.
Mais que faire lorsque l'on soupçonne une cyberattaque ? « Ne pas piétiner la scène du crime ! » exhorte Alexandre Fernandez-Toro. Pas question de déconnecter son système et de le réinstaller. Il s'agit de conserver des preuves de l'agression mais aussi de se laisser le temps de qualifier l'attaque, puis d'espionner l'intrus, comme pour un flagrant délit policier. « Si l'on se contente de rétablir le système, le pirate alerté utilisera son plan B ou son plan C, effacera ses traces, cessera d'agir pour un temps. Mais le mal continuera et le scénario utilisé ne sera pas identifié en totalité » , décrit Cyrille Badeau, RSSI pour l'Europe du Sud chez Cisco. Cette patience est plus facile à prôner qu'à conserver. « Il est indispensable de discuter avec la direction générale pour trouver un compromis entre la nécessité de retrouver rapidement un système sûr et opérationnel et celle de l'investigation numérique », insiste Stanislas de Maupeou, directeur du secteur conseil en sécurité chez Thales.
Deuxième impératif : ne mettre au courant qu'un minimum de personnes, à savoir la direction générale et la sécurité informatique. Et, bien entendu, interdiction de communiquer par mail ! Il faut ensuite adjoindre aux équipes internes des experts spécialisés. Les administrations et les opérateurs d'importance vitale (OIV) ont pour interlocuteur l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi). Les autres feront appel à des sociétés extérieures. Un référentiel de qualification expérimental est actuellement testé pour les prestataires de détection des incidents de sécurité (PDIS) et les prestataires de réaction aux incidents de sécurité (PRIS).
Ces équipes analyseront l'ampleur de la cyberattaque, chercheront et suivront ses traces sur les systèmes. C'est l'analyse forensique. Plus le système d'information comportera d'outils prévus en amont pour faciliter cette démarche, comme l'enregistrement automatique de certains types d'événements, et plus elle sera rapide. Disques durs et traces seront copiés pour conserver des preuves et des éléments de travail pour la suite de l'analyse. Ce travail peut prendre quelques jours à quelques mois, selon le cas. « Pendant toute cette période, il faut tenter d'arrêter le pillage de données sans que l'attaquant ne s'en rende compte. Par exemple, en isolant une partie du système, en modifiant des paramètres de firewall, en changeant des mots de passe ou encore en chiffrant certaines données sensibles » , conseille Stanislas de Maupeou.
Puis viendra « le moment où l'on déconnecte tout le système, où l'on change tous les login, où l'on nettoie tout », détaille Fabien Lecoq, directeur stratégie et innovation dans la division cybersécurité de Sopra Steria. Il s'agit aussi de scruter, d'étudier les journaux de login pour voir si les pirates continuent leurs activités. Enfin, si cela n'a pas encore été fait, il faudra porter plainte et avertir le CERT (Computer emergency response team) auquel on est éventuellement abonné pour qu'il analyse l'attaque et approfondisse ses recherches. Enfin, et c'est sans doute par là qu'il fallait commencer, « les entreprises doivent définir de façon proactive comment réagir, recommande Agnieszka Buyère, directrice sécurité services IBM France. Il faut inscrire les scénarios de cybersécurité dans les plans de continuité ».
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Téléassistance pour personnes âgées
A Bordeaux, Téléassistance 7j/7 et 24h/24
Assistance Personnes Agées E.S. Service d'aide et d'assistance à domicile pour personnes agées ou handicapées en Gironde.
Une intrusion, une agression, que faire ?
Une personne âgée seule à son domicile est une personne vulnérable qui peut malheureusement être confrontée à certaines réalités de la vie qui peuvent être difficiles à gérer.
En effet, et de plus en plus de nos jours, il n’est pas impossible qu’une personne vivant seule soit victime d’une tentative d’ intrusion ou d’agression à son domicile .
Ces situations sont très complexes et la personne âgée peut perdre ses moyens et se retrouver en grande difficulté sans savoir quoi faire et comment réagir. Par exemple, si une personne insiste lourdement pour rentrer à votre domicile ou si une personne se montre agressive envers vous, vous pouvez être pris de panique et ne savoir que faire. Grâce à la téléassistance, il vous suffira d’appuyer sur votre médaillon ou bracelet pour prévenir du danger. L’intrus sera alors informé d’une surveillance à votre égard et prendra très certainement la fuite mais la centrale de sécurité vous prendra en charge en envoyant la police à votre domicile pour vérifier que vous êtes à nouveau en sécurité.
La téléassistance sert donc à prévenir des cambriolages, des intrusions et des agressions au domicile.
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Depuis plus d’une dizaine d’année, le nombre de cambriolage est en net progression. Cette augmentation est significative et a fait propager un sentiment d’insécurité profond.
Les 250 000 victimes de cambriolages sont pour la plupart toutes très marquées psychologiquement et mettent de nombreux mois à se remettre.
En fonction de la typologie du cambriolage, on observe deux méthodes. La première méthode de cambriolage survient lorsque les personnes ne sont pas à la maison. La seconde, intervient lorsque les personnes sont à l’intérieur.
Ces derniers sont souvent traumatisés par cette intrusion et pensent aux conséquences qui aurait pu avoir lieu si ils s’étaient retrouvés face à leurs voleurs.
Pour retrouver ce précieux sentiment de sécurité, une implantation d’alarme périmétrique peut vous aider à le retrouver.
Une alarme dite périmétrique consiste à protéger chacune des ouvertures par un moyen de détection.
Chaque fenêtre ainsi que chaque porte sera protégée par le biais d’un accessoire que l’on appelle contact d’ouverture magnétique. Filaire ou radio, il a pour mission de déclencher les sirènes au moment même de l’intrusion. En procédant au déclenchement de l’alarme dès la tentative d’intrusion, l’intrus est dissuadé avant même d’être entré.
Ce mode de détection d’intrus permet aux utilisateurs de mettre leur système de sécurité alors qu’ils sont dans la maison. Ils pourront alors retrouver une qualité de sommeil incomparable. A chaque fois qu’ils se retrouvent seul à la maison, la mise en fonction de l’alarme leur permettra de profiter pleinement de leur moment de détente.
Les fonctionnalités domotiques présentes dans les nouveaux systèmes d’alarme permettent d’allier le confort à la sécurité.
Le pilotage des différents appareils électriques avec son smartphone assure un statut nouveau aux utilisateurs. Le confort s’améliore, la simplicité de la vie de tous les jours s’étend.
Des solutions existent pour retrouver une profonde sérénité après une intrusion ou une tentative d’intrusion.
Mettez la technologie au service de votre confort et laissez vous porter par votre détente.

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Le chauffeur de taxi a manifestement transporté un client peu ordinaire samedi soir. Et a alerté la police que l'homme qu'il venait de conduire à Versailles portait « un drap » et « se prenait pour un roi ».
L'intéressé, un homme de 31 ans, a été interpellé alors qu'il s'était introduit dans le château.
A leur arrivée sur place, les forces de l'ordre ont constaté une vitre de porte-fenêtre brisée avant de retrouver l'intrus. Le parquet de Versailles a de son côté confirmé l'intrusion d'un homme qui a escaladé le mur d'enceinte avant d'entrer dans le château, sans donner plus de précisions.
Contactée par l'AFP, la porte-parole du château de Versailles a assuré qu'aucun dégât matériel du mobilier ou des collections n'était à déplorer.
« Il s'agit d'un homme qui est parti de Paris en direction de Versailles et qui aurait dit au chauffeur de taxi qu'il avait l'intention de s'introduire dans le château », a-t-elle dit. « Il a été intercepté après avoir brisé une vitre au niveau d'une porte d'entrée qui permet d'accéder à la galerie basse ».
Au mois d'avril, en plein confinement, deux adolescents avaient tenté de s'introduire en passant par les canalisations, sans succès.
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