Se rebellef face aux autorités

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24.11.2005
Thème :
Bible: ce que disent les textes










La Bible nous demande d'etre soumis aux autorités en place .Cela signifie t-il que faire la grève est une rebellion . La question me taraude car je suis prof en France...

C'est difficile, c'est vrai ! Comme chrétiens, il nous faut à la fois nous soumettre à la vie de ce monde, aux autorités de ce monde, tout en vivant d'une autre réalité, d'une autre autorité. Si on regarde de près le texte de Rm 13,1-7, qui parle très clairement de cette idée de soumission aux autorités, il faut remarquer que, au v. 1, Paul dit : "Que tout homme soit soumis aux autorités... , car il n'y a d'autorité que par Dieu et celles qui existent sont établies par lui". Ces autorités auxquelles il s'agit de se soumettre, ce sont celles qui sont voulues par Dieu, qui sont établies par lui. Dans l'idée des Anciens, en effet, les rois et empereurs étaient les représentants de Dieu sur la terre. Dans cet esprit, en se soumettant au roi, on se soumet à Dieu. Mais il arrive aussi, dans la Bible, que les rois eux-mêmes désobéissent à Dieu, et qu'il devienne donc nécessaire de s'y opposer, si l'on veut rester fidèle ! C'est le cas de nombreux prophètes de l'Ancien Testament. Ainsi, ce dont il s'agit ici, c'est de se soumettre à Dieu lui-même, via l'autorité, et non de se soumettre à l'autorité pour elle-même. Et lorsque des chrétiens ont été sommés de se prosterner devant l'Empereur romain comme devant un Dieu, ils ne se sont pas gênés de désobéir, par souci de rester fidèle au Dieu de Jésus- Christ. Ce qui est difficile pour nous, c'est d'une part que nous ne vivons plus dans un monde où nous considérons que nos autorités sont représentantes de Dieu... surtout pas dans un Etat laïc comme la France ! D'autre part, jusqu'où, pour des chrétiens devenus minoritaires, doit aller la soumission aux lois ? Lorsqu'une loi entre en contradiction flagrante avec l'Evangile, devons-nous l'appliquer ou non ? Lorsque les actions d'un gouvernement nous paraissent mépriser les droits des plus petits, ou piétiner la justice, à quel moment devons-nous agir, nous rebeller, entrer en conflit avec l'autorité ? Je pense que c'est absolument nécessaire de le faire à un certain moment, mais la question de savoir quand reste ouverte, lancinante... et ne peut être résolue que par la personne elle-même, qui prend soudain la responsabilité de désobéir, parce qu'elle sait, de manière intime, au fond d'elle-même, qu'elle ne peut plus faire autrement si elle veut rester fidèle à l'Evangile.


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Emmenée par les combattants du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF), une coalition de neuf groupes rebelles, dont les capacités d'action restent difficiles à cerner, s'oppose au gouvernement du Premier ministre Abiy Ahmed.
Neuf groupes rebelles éthiopiens ont annoncé, vendredi 5 novembre, la création d'une alliance contre le gouvernement du Premier ministre Abiy Ahmed , dans un "front uni" emmené par les combattants nordistes du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF) qui menacent de marcher sur Addis Abeba .
Face à l'escalade dans ce conflit qui ravage le nord du pays, les États-Unis, la Suède et la Norvège ont appelé vendredi leurs ressortissants à quitter l'Éthiopie et le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé à un cessez-le-feu.
Dans une déclaration commune, les quinze pays membres de cette instance "appellent à mettre fin aux hostilités et à négocier un cessez-le-feu durable", avant un dialogue "inclusif" pour "résoudre la crise".
Sous pression alors qu'ils n'avaient pas été capables depuis un an d'apporter une réponse unifiée au conflit éthiopien, ils ont "exprimé leur profonde inquiétude au sujet de l'extension et de l'intensification des affrontements militaires".
Le gouvernement fédéral est en guerre depuis un an contre les combattants du TPLF, qui ont progressé ces derniers mois au-delà de leurs bastions, notamment dans la région de l'Amhara. Ceux-ci ont affirmé mercredi avoir atteint Kemissie, à 325 kilomètres au nord de la capitale, où ils ont rejoint l'Armée de libération oromo (OLA), groupe armé de l'ethnie oromo avec lequel ils sont alliés depuis août.
Les deux groupes n'ont pas exclu de marcher sur la capitale pour faire chuter Abiy Ahmed. Le gouvernement dément, lui, toute menace sur Addis Abeba.
Le TPLF et l'OLA ont annoncé vendredi s'unir avec sept autres organisations moins connues et à l'envergure incertaine, issues de diverses régions (Gambella, Afar, Somali, Benishangul) ou ethnies (Agew, Qemant, Sidama) qui constituent l'Éthiopie.
"Notre intention est de renverser le régime", a déclaré Berhane Gebre-Christos, représentant du TPLF lors de la signature à Washington de cette alliance, baptisée Front uni des forces fédéralistes et confédéralistes éthiopiennes.
Le procureur général éthiopien, Gedion Timothewos, a qualifié cette coalition de "coup de pub", estimant que certaines de ces organisations n'avaient "pas vraiment de base populaire".
La porte-parole du Premier ministre a de son côté fustigé la "désinformation" du TPLF destinée à créer "un faux sentiment d'insécurité", assurant qu'un "sentiment de normalité" prévalait au contraire à Addis Abeba.
L'impact sur le conflit de ce "front" reste incertain. "S'ils sont vraiment sérieux dans leur détermination à prendre les armes contre le gouvernement, c'est potentiellement un vrai problème" pour Abiy Ahmed, a déclaré à l'AFP un diplomate au fait des questions de sécurité, tout en concédant ne pas connaître la plupart de ces groupes, leurs effectifs et leurs ressources.
Cette alliance semble manifester une volonté du TPLF de montrer qu'il dispose d'un soutien au-delà du Tigré.
Le TPLF avait déjà mis en place une coalition avec d'autres groupes ethniques et géographiques à la fin des années 1980, avant de renverser l'autocrate Mengistu Haïlémariam en 1991.
Ce Front démocratique révolutionnaire du peuple éthiopien, dominé par le TPLF, avait ensuite dirigé le pays pendant près de 30 ans, avant un mouvement de contestation qui a mené Abiy Ahmed au pouvoir en 2018. Devenu Premier ministre, ce dernier a progressivement écarté le TPLF du pouvoir fédéral.
Après des mois de tensions, le Prix Nobel de la paix 2019 a envoyé l'armée au Tigré en novembre 2020 pour destituer les autorités régionales, issues du TPLF, qu'il accusait d'avoir attaqué des bases militaires.
Abiy Ahmed a proclamé la victoire dès le 28 novembre. Mais en juin, les combattants tigréens ont repris l'essentiel de la région et poursuivi leur offensive dans les régions voisines de l'Afar et de l'Amhara.
Le gouvernement a promis ces derniers jours de gagner cette "guerre existentielle".
Les deux camps restent sourds aux appels internationaux à un cessez-le-feu et à des négociations, relayés jeudi et vendredi dans la capitale éthiopienne par l'émissaire américain pour la Corne de l'Afrique, Jeffrey Feltman.
Vendredi, le ministère éthiopien de la Défense a appelé les retraités de l'armée à se réengager "pour protéger le pays du complot visant à le désintégrer".
L'état d'urgence a été déclaré mardi dans tout le pays, permettant aux autorités de détenir sans mandat toute personne soupçonnée de soutenir des "groupes terroristes" ou de suspendre les médias qui "apportent un soutien moral directement ou indirectement" au TPLF.
Des avocats ont indiqué à l'AFP que des milliers de Tigréens avaient été arrêtés depuis l'annonce de l'état d'urgence.
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NOTRE CONSCIENCE FACE AUX AUTORITÉS
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NOTRE CONSCIENCE FACE AUX AUTORITÉS 
Indiscutablement, se soumettre aux autorités sans discussion n’est pas toujours chose aisée. Sans doute, cette déclaration ne surprend-elle personne. Nous ne l’ignorons pas, le cœur humain est rebelle et orgueilleux. L’homme revendique son indépendance et se plait à faire tout ce qu’il lui semble bon, sans n’en rendre compte à personne. C’est mon droit se disent-elles. Et c’est légitime pour ceux du monde entier.
 Néanmoins, pour ce qui concerne les disciples du Christ, tout est différent. Le chrétien a renoncé à sa propre vie, à sa propre volonté, et à ses propres intérêts. Désormais, il vit pour Celui qui est mort et ressuscité pour lui. Il recherche les intérêts de son Sauveur au mépris des siens. Par conséquent, sans ménagement, le disciple de Jésus-Christ s’emploie à rendre admirable la doctrine de son Dieu aux yeux de tous. Il ne peut souffrir que celle-ci soit blasphémée à cause de lui.
Incontestablement, ceci ne va pas sans peine et sans souffrance. À n’en pas douter, renoncer à soi, à ses prétentions et à ses désirs est un exercice fort délicat. Assurément, mortifier les actions de la chair est un exercice fort difficile ! Se soumettre aux autorités en place et, notamment, obéir à nos supérieurs avec simplicité de cœur demande de l’humilité, d’autant plus lorsqu’ils sont difficiles ! Même si cela nous parait incohérent, la soumission est de mise sauf si on nous demande de renier notre Dieu. Parce que rien ni jamais nous ne le renierons. Toutefois, n’oublions pas pourquoi nous le faisons.
Nous serons heureux si nos vies parlent de l’Amour du Christ et qu’elles contribuent au progrès de l’Évangile, n’est-ce pas vrai ? Aussi, par-dessus tout, n’oublions pas qui nous servons ! Nous servons Christ le Seigneur. Voici, notre Maître est doux et humble de cœur. Rappelons-nous, lorsque nous sommes accablés et éprouvés. Alors, nous reprendrons courage ! Nous nous emploierons pour plaire au Seigneur, et non aux hommes ! Armés de cette pensée, non seulement nous pourrons nous soumettre, mais en plus, nous pourrons le faire de bon cœur ! Quelle grande différence ! Les interdictions présentes ne nous empêchent pas de nous rassembler virtuellement afin de glorifier Dieu pour toute sa grâce.
Serviteurs, obéissez en toutes choses à vos maîtres selon la chair, ne servant pas seulement sous leurs yeux, comme pour plaire aux hommes ; mais avec simplicité de cœur dans la crainte de Dieu. Et quoi que vous fassiez, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur, et non pour les hommes ; Sachant que vous recevrez du Seigneur la récompense de l’héritage, car vous servez Christ le Seigneur.

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