Se goder l'anus est son passe temps favori

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Se goder l'anus est son passe temps favori
VollstÀndige bibliographischen Angaben :
Titel : Le petit citateur : notes érotiques et pornographiques : recueil de mots et d'expressions anciens et modernes sur les choses de l'amour, etc. pour servir de complément au dictionnaire érotique / par J.-Ch-X
Autor : Choux, Jules (18..-1874). Auteur du texte
Themenschwerpunkt : Français (langue) -- 19e siÚcle
Format : Nombre total de vues : 369
Beschreibung : Glossaires et lexiques
Herkunft : BibliothÚque nationale de France, département Littérature et art, 16-Z-35231
Provenienz : BibliothĂšque nationale de France
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228H PETIT OITATEUR Ile). Notes i5rotûiiicsol por.... Kecueil de mots et d'expressions ancien* et modernes, sur les choses «le l'amour, pour servir de complément an dictionnaire ér.... Paphos, jSSt, iu-8,deini-maroq. cilrouavecC(»ins, non rojr. Hel ex. d.i cet ouv., rare.
200 fr, veifcc, ur. JJMI ey. .mi. j
DE MOTS ET D'EXPRESSIONS ANCIENS ET MODERNES, SLR LES CHOSES DE LAMOl'R, ETC.
COMPLÉMENT AU DICTIONNAIRE EROTIQUE
« Combien il serait important que l'AssemblĂ©e « Nationale qui supprime tout, coupe tout, Ă©lague a tout, et s'approprie tout, en prĂȘchant la libertĂ©, « elle qui a amenĂ© en France une foule de nou. « veaux mots barbares et aussi intelligibles que « les hiĂ©roglyphes Égyptiens, comme motions, « districts, amendements,...,,, etc., etc., etc., etc., « voulĂ»t bien rĂ©diger un Dictionnaire Ă  l'usage « des citoyens de Cytherc ! »
OEuvres ilbres d'un citoyen qui ne l'est pas. 1793.
Le PETIT CITATEUR croit ne rien avoir oublié.
Il rappelle au lecteur, qu'il n'a pas eu lintention de faire un Dictionnaire, mais un recueil dénotes, de mots et d'expressions, concernant les Choses de l'Amour.
Si doue le lecteur cherche en vain tels ou tels mots, qui pourtant sont trÚs ou trop connus, c'est qu'ils existent déjà dans le DICTIONNAIRE EROTIQUE MODERNE, auquel ce petit livre doit servir de co»jplémcnt.
AiuiLAtunsKR. CII ATRKR. Mettre un homme dans la situation oĂč lu chanoine Fulbert mit ramant d'Ile* loĂŻse.
« D'un colonel vous courtisez la femme, S'il vous suinrcnd il vou< almilardiscra. »
AIJASDOS.— ABASt>oMstR..li>rtHrf auquel nous ne devrions jamais noue exposer. — Il Tant i|iiitler, mais ne pas I ĂȘlie. » Mme DL Uittv.
ABATTUE M DOIS. v. a. lĂźaiser frĂ©quemment, pour le plaisir, ou dans le but d'avoir di s cmanlsquiscrout dit bois dont ou fait les ttbatteuis : — Tel pĂšre, tel lils, dit le proverbe. Signilic aussi : l'aire des cocus ; par allusion au bois decerf qui est le symbole des Ă©lus de celle grande confrĂ©rie. « Ma coiguĂ©eaujourd'hui fait d'eslrangcs effets.'quand
clic abat dit bois, elle en fait venir d'autre, u
Aimioi EH. r. a. cl n. Renoncer Ă  l'amour, ou cesser d'ĂȘtre sage, pour commencer Ă  le faire.
» Une coquette qui prend un amour est un souverain qui abdique. » Mme DU Coicsv.
AcLtnu (S'), v. a. Se laver leçon et le cul, avant ou aprÚs la fuutcrie.
« Regarde-la bien, elle va s\ibliur le cou et le cul... »
ÎIÉTIF. « VMn s'abtua, je nie lavai, et nous nous endorminici.»
Atoiriit. v. n. Jouir cl décharger.
«....Maniant comme un canne, le pro.-ctyle se nul en devoir d'obéir au destin... 1/ aboutit.
AiinKivi:n(elS'). v.«. ctpr. S'inonder mtiluellemeiil, en foutaul, décolle liqueur prolifique qui termine le combat amoureux.
a Voici ce que maman disiii ‱‱ « Abnuic-moi, mon cher abbĂ©, rcmpli-niui de i elle manne cclc.-lc, donne-moi un de ce? hai-cr.-brĂ»lant-, sivuiilcux, cit.'., elc. «
AnstM:i;. s. f. lU'faut de prĂ©sence de l'objet aimĂ©. — « Les absent* util loti. »
« L'amant qu'on lie voit plu- c-t bicnlûl oublié. »
■ lievenc/, Ă©crit ait une femme peu chrĂ©tienne Ă  -on amant; - -i J'axai-pu aimer un absent, j'aiiiai- aimĂ© Dieu. » lliv.u-oi.
Attst;R. v. a. Abuser une femme, la tromper: —lui faire accroire qu'on l'aime, la sĂ©duire, la... etc., etc. Vu abitsu; c'est: En user outremesure; c'est-Ă -dire,
lui faire violence pour la baiser, Trucider, l'emboucher.
etc., clc , bref, — pour en jouir à sa fantaisie.
ACADÉMIE H'IMOIR..*. f. Ilordel, oĂč l'on fait i\apauses... et des poses plus ou moins acadĂ©miques. Le mol se trouve dans le Fretncion de V. Soivl cl daules
ACCESSOIRE. Leseouilies qui sont les parties accessoires du vit, ou, pris dans un autre sens, petits services rendus avant ou aprĂšs la consommation de l'oflice de VĂ©nus.
‱< Je ne vousdemaiule pa* M vous vous enlcn lez Ă  (oui l'accessoire. » {Aphrodite*.)
ACCIDENT FÉMININ. 5. m. Avoirses rĂšgles. EvĂ©nement prĂ©vu qui arrive juste quand un femme ayant un ou plusieurs bons counsĂ  tirer,donnerait tout pour qu'il y cul du relard.
«... Nul notre que l'itiange ne m'avait enfilée; peu de jours avant de le rendre heureux, j'avais eu mon accident féminin ; il élait donc bien avéré «pie ce qui allait se développer dans nus lianes était son paternel ouvrage. »
ACCOMMODER Ai SAFRA*'.!/. a. l'aire une inlidéliléconjugale. Allusion à la couleur jaune, qui, de tradition, est celle du coctiage.
ACTE cnnxATir (faire I'). l'.aiser ou foutre. — Y. ces deux mots.
ACTE XATI nt;i, (faire I'). e.«. t'outre on con,—- iiitlurellemenl.
« Il faillit, pour peu que je m'y furent prÚlée, se désister de ses piéleulions sur l'ilalien, me donner la préférence... moitié pour Vuclc n l). DU RADIER.
AGENT, S. m. Celui qui agit : L; doigt, te vil ou le fotitciir. Ce mol s'emploie aussi pour les sodomites; le nom d'agent appartient à celui qui encule par opposition au mol patient donné à celui qui se fait enculer.
« Mais, en un mot, si Monrose agent de plein itré, ne devint pas patient avec autant de résigiiati >n que lé pÚre, c'est que.... de ' (Fitiau.)
AGRÉMENTS NATURELS, S. m. }>!. Ceux de l'homme sonl : sa pii.e, circonstances et dĂ©pendances.
Ceux de la femme sont : sa ligure, ses cheveux, se* Ă©paules, sa gorge, sa taille, sa jambe, etc., i te, du haut eu bas.
« Il ai rive de province ce malin, cl la fatigue du voyage fit \m peu de tort à ses agréments nniur,ls. »
An! li'tfij. Tendre soupir ou plainte nnuuireiisi'; gamme ascendante en tous les tons. Unis la [inia des p'alsirs, celle Interjection qui se pronom''' comme une simple lettre, Ă©quivaut Ă  plus d'un gros mot : Bougre!... Foutre!... etc., etc. — V. HĂ©las !
AIDE MARI. .*. m. Ami de la maison, lieutenant du mari : l'amanl de la femme, qui aille ni ciTci smi
mari dans sa besogne conjugale, — ;'‱ son Insu.
« Il est assez égal que les enfants qu'elle pourra donner à sou époux, soient de lui ou du plus fécond dis aides-maris qu'elle favorise. »
AIGRETTE CONJUGALE, S. f. — Au ligure : — Ornement de tĂšte de MM. les cocus; les cornes que leur font porter mesdames leurs Ă©pouses. « X... a couchĂ© avec madame7... ? F.ncorc un lleoron
A ajouter a l'aigrette conjugale de son mari... »
AIGUILLONNER, V. a. Travailler du bout de la langue
n.... Des lors, il aie nez sur la céleste mappemonde, cl sa langue amoureuse aiguillonne le bridant bijou. »
AIGUILLONS DE LA CHAIR, S. m. pi. — DĂ©sirs inapaisĂ©s, Ă©rections frĂ©quentes, tentations, rage de baiser, etc...; ce que le poĂšte Baudelaire appelle « le vent furibond de la concupiscence. »
AIGUISER SES OUTILS stn LES MEUBLES.—C'est frotter son vit sur les fesses ou tĂ©tons de la femme.
AIMAULE. — « Marquait autrefois une personne dont la beautĂ© et le mĂ©rite asservissaient les coeurs. Aujourd'hui, la qualitĂ© d'aimable se donne Ă  toutes celles que nous prenons pour ĂȘtre l'objet de noire vanitĂ© et de nos fadaises. »
l'.x AIMIIUE, sorte de petit maille qui se croit nĂ© sous une Ă©toile assez malheureuse pour clic couru de toutes les femmes, qui depuis le matin jusqu'au soir se fait l'amour Ă  lui-mĂȘme, qui passe le temps Ă  s'ajuster cl Ă  se faire les yeux doux dans nu miroir. » "'.
AIMANT. .«. m. — Ce qui attire, l'homme a la femme, et vice versa.
«... Quand mes baisers passionnés lui coupent la parole, quand mes téméraires mains et le reste uni mis le feu partout... nos aimants se joignent, s'altiienl. s'tinilient... L'univers isl oublié!... » (Moxr.ost.)
AIMANTÉE. (Lire.)«'//./'.—Cttv portĂ©e Ă  aimer;—avoir des appas et tout ce, qu'il faut pour allirer les hommes... fussent-ils de fer.
« l'aimant attire te fer à soi, » et non le ver à soie, fcomme dirait un allemand p'ii feue sue la langue française.)
AIMER (S'), sous entendu. soi-mCme. v. pr. Acte d'égoïsine commis jadis avec excÚs par le beau Narcisse : se branler.... ce qui s'appelle : semer sans récoller, a dit un sapeur, pour qui rien n'est sacré.
‱■ Tu meurs, tu veux mou ir, loi si jeune et si beau f Tl'i-le cl dĂ©-t'spcrĂ©, tu /‱* cherches lui-mĂȘme; D'Ă©tranges voluptĂ©s creusent ta tempe MĂȘme, Kl (es honteuses maint te mĂšnent au (oiiihcau. ‱
AIMER ET JOUIR DECOUT. V. a. Se branlera l'intention de celle que l'on désire.
«... Je hravv le fantĂŽme menaçant de la poulie, qui promet sa sociĂ©lĂ© Ă  ceux qui osent ainsi rĂȘver seuls, aimer et jouir d< bon', et nia lauuue des-Ă©ehĂ©e balbutie ! Ali 1 .Manon, c'est pour oll'eir un bol eau-le Ă  les charmes que celle liqueur prĂ©cieuse, dont I... et mainte nuire louve n'ont jamais assez, sVehaiit'C Ă  grands (lots de ses rĂ©servoirs... » (Veillas du tonvrtil.)
" Lu dépit du servage, (Mi dit qu'à Saiul-Achciil Chai un fait son ouvrage
AIMER LE en ANGEME>r.i'.'?.\ voir l'aniourde la variéié:
Voltiger de caprice eu caprice, tout < llb ‱nivr, sans
s'altacher Ăč rien.... Bref, changer souvent d'annul,
— ou de maĂźtresse, — de goĂ»t et de plaisir...
■‱ Il me faisait regretter de n'ĂȘtre pas u-sez .scn-ilde...
pour n'exi-ter que pou' un seul olqei, lui vnu i toutes
le* facultĂ©s «le mon ĂȘtre.. .l'avais Ă©ie pari s me du changiinenl.
changiinenl. et je souhaitais mainleuaut m>' liv r... »
AIMER LE SOLIDE, v.a. Préfércrun bon gros \ità une plue médiocre et a toutes les galanteries possibles: << Le meilleur madrigal e-t un vit hieii baud >ut. »
L. Pnonr. « Va doue ! et s'il y a p;ir là-ba- quelqu'un de couve-
nabte, envoie-le moi tout de suite. Point de marmots, du
AIMEUSE. S. f. Petite dame — galante ; — qui fuit profession d'aimer.
Synonymes : Putain, lorette, cocotte, gru.;, cĂąlin, vache, etc., etc.
« Les juifs avaient leurs Madeleines ; Les (ils d'HomĂšre, leurs PhrvnĂ©s. DĂ©laçons pour tous les baleines lĂźc nos corsets capitonnĂ©s. Rousses, Mondes, brunes ou noires. Sous ions les poils, sous tous les teints..., Qu'il pourrait raconter d'histoires, Le cercle de r.os yeux Ă©teints ! folĂątres ou rĂȘveuses,
Nous charmons ; Nous sommes les aimeusrs .-
AINE. Ce mot se trouve dans tous les dictionnaires; on l'eaiploie au ligure en foulerie pour signifier les parties sexuelles, comme on se sert en lalm du mot inpucit inijuinn. Le libertin s'en fait quelquefois un (aux co;i. AIR CANCAN (Avoir l ). C'est avoir I' AIR TOLISSON. Ces deux expressions jumelles s'appliquent aux caiicaueuses des bals publics de Paris, qui ont un pelii air dĂ©cidĂ©..... Ă  accepter toutes les danses; — totdes !
« On sonne; parbleu i c'est madame, Avec -on p'tit cu> polisson... VA je comprend* qu'elle réclame Une façon de ma laçon. «
AIRS DE ROSIÈRE (Se donner Us). Faire l'Ă©troite on la sainte nilouclie : Ce qui n'empĂȘche pas une tille d'avoir des roses — un peu partout, o Pins de ces airs de rosiĂšre l Allons ! dĂ©pose eu cnlranl Tu pudeur au usliairc. Pour l'oublier en forlanl. »
AISSELLE. Parties :sous les bras dont quelques Individus se servent eu guise de cou, par crainte du mal vénérien et d'autres pour varier les plaisirs de l'amour.
ALCOA E. S. f. Enfoncement dans une chambre pour y placer le 11. — C'est lĂ  que se jouent tous les draines de l'amour conjugal. « Il ne faut jamais divulguer les secrets de l'alcĂŽve. »
Tel m ni qui vanie Ă  un ami les petits talents de sa
femme, donne Ă  ici ami l'envie de la mettre A l'Ă©preuve.
— Telle femme qui, - à une amie vante.... etc., etc.,
ALENTOURS (Les petits). On appelle ainsi, lotit ce qui, dans le duel amoureux, se fait en dehors de l'acte principal ‱. —les pelotagcs, langues fourrĂ©es,mordilĂźemenlsiles tĂ©tons, pattes d'araignĂ©es, etc.,etc., qui sont, en effet, les prĂ©liminaires de la foitterie et l'assaisonnement du plaisir.
ALIPSIAIRE. Kpilalcur dans les bains romains.
ALLÉE DES VEUVES, S. f. Avenue qui se trouve dans les Champs-ElysĂ©es?. Ancien lieu de rendez-vous de Messieurs cl de Mesdames les pĂ©dĂ©rastes. Aujourd'hui ils et elles se rencontrent partout.
ALLER A L-OIIINO. V. n. Obtenir des entrĂ©es ou petit thĂ©Ăątre de la nature, en le gamahuchaiil; — descendre, avant de monter.
ALLER A LA CAMPAGNE, v.n. Ftrc enfermĂ©e Ă  la prison de Saint-Lazare. — Ternie usitĂ© parmi les filles publiques.
Pour les cocottes, les étudiantes, etc., aller à la campagne, signifie attire chose : « LUes nul di-parii depuis qurilre on six. mois. On les .«avilit inilheureu-es. Kilos noami-Miit Unit à coup plus lii'res et plus fringantes que Jamais ; elles oui été pass
Deux salopes s'amusent dans la cuisine
Prof et son Ă©tudiante
Aletta Ocean se fait sodomisée

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