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Par Vincent MIGNOT Publié le jeudi 11 février 2021 à 07h00 8 commentaires
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Publié le 16 février 2021 à 11h26 - #1 J2L
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Publié le 19 février 2021 à 06h42 - #2 ma220
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Publié le 23 février 2021 à 07h03 - #3 illy
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Publié le 4 avril 2021 à 19h51 - #4 VIC
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Publié le 17 mai 2021 à 22h58 - #5 djib
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Publié le 18 mai 2021 à 06h47 - #6 Ezerian
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Publié le 18 mai 2021 à 22h31 - #7 djib
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Publié le 23 mai 2021 à 12h35 - #8 nono625
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Si vous aviez l’habitude de faire des virements entre vos différents comptes épargne ou de verser de l’argent sur les livrets de vos proches, vous avez sans doute dû changer récemment vos habitudes. Ces derniers mois en effet, les banques de détail opérant en France ont durci les règles encadrant les opérations réalisées au débit et au crédit des comptes épargne . Des changements dont elles ont généralement averti leurs clients, mais pas toujours de façon très claire. Voici les clés pour comprendre ces changements.
Le nouveau cadre mis en œuvre par les banques tient en une phrase : toute somme d’argent entrant et sortant d’un compte épargne doit désormais transiter par un compte à vue - autrement dit un compte courant ou compte chèques - détenu par le même titulaire .
La conséquence de ce nouvel impératif, c’est qu’il devient en principe impossible de détenir un livret d’épargne dans une banque sans que lui soit associé un compte courant support .
Dans les faits, voici un florilège des opérations qui ne peuvent plus aboutir.
Les virements entre deux de vos comptes épargne - Vous détenez plusieurs comptes épargne - un Livret A , un LDDS, un livret fiscalisé , etc - dans la même banque ou non ? Vous ne pouvez plus transférer directement de l’argent de l’un à l’autre, que ce soit de manière ponctuelle ou permanente : il vous faut le faire transiter par un compte chèques à votre nom.
Les virements depuis votre compte chèques vers le compte épargne d’un autre titulaire - C’est sans doute une des nouvelles limitations les plus pénalisantes. Vous aviez l’habitude de faire un virement mensuel vers le livret d’un de vos proches ? En principe, ce n’est plus possible, même au sein de la même banque. Il existe parfois une tolérance pour les virements effectués par les parents, en tant que représentants légaux, vers les comptes épargne de leur enfants mineurs , à condition qu’ils soient détenus dans la même banque.
Les virements depuis votre compte épargne vers le compte courant d’un autre titulaire - Vous souhaitez prélever directement votre compte épargne pour rembourser un proche, ou régler une facture ? Ce n’est pas possible : il vous faut faire transiter la somme par votre compte chèques.
Attention ! Il peut exister des nuances d’une banque à l’autre. Voici toutefois les opérations qui, en principe, restent autorisées.
Les virements ponctuels de votre compte courant vers un compte épargne à votre nom, même détenu dans une autre banque . Les virements permanents, en revanche, ne sont autorisés qu’entre comptes détenus dans la même banque.
Les virements ponctuels de votre compte épargne vers un compte courant à votre nom, même détenu dans une autre banque . Les virements permanents, en revanche, sont généralement prohibés.
Le Livret A constitue toutefois un cas particulier . Le code monétaire et financier (1) autorise les banques à accepter certains virements entrants interdits pour les autres comptes épargne . C’est le cas notamment des virements de prestations sociales (Assedic, CAF) et des salaires des fonctionnaires. Attention toutefois : toutes les banques ne tolèrent pas ces exceptions.
Elles n’ont pas eu le choix. C’est en effet à la demande des pouvoirs publics , et plus précisément de leur autorité de tutelle, le ministère de l’Economie et des Finances, qu’elles ont durci leurs règles. Pourquoi ce tour de vis, et pourquoi maintenant ? Pour le comprendre, il faut remonter en 2018.
À l’époque, le Parlement examine un projet de loi (2) destiné à transposer dans le droit français une directive européenne sur les services de paiement . Ce texte, mieux connu sous le nom de DSP2, donne notamment un cadre juridique à deux nouveaux services financiers : l’agrégation de comptes et l’initiation de virement . Point commun entre les deux : pour y accéder, vous devez autoriser l’acteur qui vous fournit le service à récupérer les transactions de vos comptes, via votre espace bancaire en ligne, en lui confiant vos identifiants bancaires .
Appelée à donner son avis sur ce texte, la commission des finances du Sénat a estimé, dans un rapport publié en juillet 2018 (3) , que ces nouveaux services comportaient un « risque d’opération non-autorisée » et que concernant les livrets d’épargne, ce risque n’était pas couvert par la directive. Un vide juridique qui expose les titulaires à un refus d’indemnisation de leur banque en cas de fraude. C’est donc dans un souci de protection des usagers que les pouvoirs publics ont demandé aux banques de serrer la vis sur les virements.
Pour y parvenir, Bercy n’a même pas eu besoin de modifier la réglementation. Virer de l’argent depuis ou vers un compte sur livret dont on n’est pas le titulaire n’a en effet jamais été autorisé ! En tout cas pas depuis… mai 1969, et la publication d’un texte du Conseil national du Crédit, ancêtre de l’actuel Comité consultatif du secteur financier (CCSF)
Cette « décision à caractère général », révisée au fil des années, fixe les règles en vigueur pour les livrets : le minimum de 10 euros par opération, l’interdiction de mettre le compte dans le rouge, l’absence de carnets de chèques, le calcul des intérêts par quinzaine… Sur les virements externes, elle est relativement claire : « Les opérations enregistrées sur des comptes sur livret sont limitées à des versements ou des retraits au profit du titulaire ou à des virements de ou à son compte à vue ». Au fil du temps, toutefois, les banques ont pris des libertés avec cette règle. Jusqu’à 2018 où, alerté par le Sénat de nouveaux risques liés à la DSP2, Bercy leur a demandé de faire preuve de plus de rigueur.
(1) Plus précisément son article R221-5. (2) Projet de loi n° 644 (2017-2018) ratifiant l’ordonnance n° 2017-1252 du 9 août 2017 portant transposition de la directive 2015/2366 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2015 concernant les services de paiement dans le marché intérieur. (3) Rapport du sénateur Albéric de Montgolfier, fait au nom de la commission des finances sur le projet de loi ci-avant, enregistré par la Présidence du Sénat le 18 juillet 2018.
Après une maîtrise d’Histoire puis une maîtrise en Sciences de l’information et de la communication, Vincent MIGNOT devient journaliste en... Lire la suite
Merci à MV pour les explications et rappel des règles sur les opérations depuis un compte ou livret d'épargne.
pourquoi pas ! néanmoins, lors d'un virement passant d'un cpte d'épargne à un autre, en transitant par un compte courant il y a une perte pour l'épargnant de 2 fois 15 j. (principe des valeurs quinzaine), CAD un bénéfice pour la banque, c'est peu à 0.5% ... mais tout de même inadmissible !
En multipliant les comptes courant, on multiplie également les frais de tenue de compte....Tout Bénéf pour nos très chères banques... CQFD
NOTRE ARGENT EST PRIS EN OTAGE PAR LES BANQUES .ILS VONT S 4EN METTRE UN PEU PLUS DANS LES POCHES" comme d'habitude". LE MIEUX POUR NOUS PAUVRES PETITS EPARGNANTS c'est de faire comme faisaient les anciens . Retirer notre petit pécule .On trouvera toujours un bon coin pour le planquer . la on verra ce beau personnel bancaire diminuer . Ils seront obligés de poser le costume pour "à leur tour aller au charbon !!!!!!!!!!!!! croyez moi ça vient ............
Je constate qu'il y a plusieurs incohérences dans ce qui est écrit dans cet article. Ce n'est évidemment pas la faute du rédacteur, je crois que les autorités brandissent des textes pour interdire des choses que ces mêmes textes n'interdisent pas. Pourquoi ? Mystère ... première incohérence: "ces nouveaux services comportaient un risque d’opération non-autorisée ... C’est donc dans un souci de protection des usagers que les pouvoirs publics ont demandé aux banques de serrer la vis". Si l'opération non-autorisée en question est une fraude par un pirate, je crois pouvoir dire que jamais un pirate n'a fait de dépôt sur les comptes de ses "victimes". Ce qui l'intéresse, ce sont des retraits et, dans ce cas, où est le risque de fraude quand on fait un dépôt ? deuxième incohérence: "Virer de l’argent depuis ou vers un compte sur livret dont on n’est pas le titulaire n’a en effet jamais été autorisé". Dont on n'est pas le titulaire ... Même quand on est le titulaire d'un compte sur livret dans une autre banque, aujourd'hui on n'a pas le droit de faire un virement direct sur ce compte, il faut passer par le compte courant. Le texte de la décision à caractère général auquel cette phrase fait référence n'a jamais interdit les virements directs vers un compte externe dont on est le titulaire. De plus, j'aurais tendance à dire que cette phrase est une interprétation parmi d'autres possibles du texte exact qui n'est pas clair: "Les mouvements de ces comptes sont limités à des opérations de versement ou de retrait au profit du titulaire ..." Interprétation 1: des opérations de versement (au profit de n'importe qui) ou de retrait au profit du titulaire. Interprétation 2: des opérations de versement (au profit du titulaire) ou de retrait au profit du titulaire. Hé oui, le français laisse malheureusement place à des interprétations différentes d'un texte, lesquelles peuvent tout changer ! Tout ceux qui veulent pouvoir gérer des comptes épargne dans une banque sont obligés d'y avoir un compte courant, avec les frais de tenue de compte qui vont avec. A qui profite le "crime", aux usagers ou aux banques ?
Heu non, J'ai un Livret A (avec le carnet jaune) à la Banque Postale et je n'ai pas de compte courant. Je peux déposer et retirer du cash au guichet ou avec la carte Livret A au distributeur. J'ai également un IBAN pour recevoir le RSA ou salaire et payer le gaz, l'électricité et les impôts avec et recevoir des virements occasionnels. Je n'ai pas de compte courant ou de compte postal, il me semble qu'il y a des frais de compte et je n'ai pas l'utilité d'avoir deux comptes. Voilà.
Le livret A est l'exception dont parle l'article, notamment quand il s'agit de recevoir des virements de prestations sociales. Dans ma banque, la possibilité de faire un virement externe à partir du livret A a été retirée, même si le compte externe m'appartient.
Bonjour. Cela va favoriser encore plus le cash et tout ce qui implique d’argent non déclaré... C’est un coup tordu aux vrais épargnants mais nul pour les trafics d’argent.

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par Marion Dos Santos Clara
Créé le 05/05/2020 à 19:07 , modifié le 11/08/2021 à 14:30


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Journaliste lifestyle, Marion écrit sur les sujets liés à la psychologie, à l'amour et à la sexualité, sous un angle sociétal. Des sexualités aux nouveaux codes amoureux, elle décrypte les …

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Plus de nouvelles, rien. Pour mettre fin à une relation de quelques semaines, mois ou années, certain.e.s ne donnent plus de signe de vie du jour au lendemain. Le ghosting, ce comportement amoureux des plus cruels, est de plus en plus fréquent. Comment gérer cette absence de rupture ?
Quitter quelqu'un en ne lui donnant plus aucun signe de vie, voilà une pratique qui ne date pas d'hier. Sauf que cette rupture pas très classe semble gagner du terrain au point qu'il existe désormais un mot qui désigne ce procédé : le ghosting (de l'anglais «ghost» soit fantôme). D'après une étude américaine menée en 2018 sur 1300 participant·es et publiée dans le Journal of Social and Personal Relationships , nous serions ainsi 25% à déjà avoir ghosté quelqu'un et 20% à avoir été ghosté·e.
Et cela n'est pas forcément exclusif aux relations amoureuses . On peut aussi être victime de ghosting de la part d'un·e ami·e ou dans le cadre du travail. Mais peu importe qui nous ghoste, la sensation d'incompréhension qui en résulte s'avère compliquée à gérer.
Alors que les moyens de communication se multiplient et qu'il n'a jamais été aussi simple d'échanger, pourquoi en vient-on à interrompre ses relations amoureuses de cette manière ? Selon la psychopraticienne Cécile Guéret, "le ghosting est un phénomène qui témoigne d’un rapport consumériste, utilitariste à l’autre, dans une société où « tout est marché »" . Et d'ajouter : "C’est le fait de ne pas considérer l’autre dans sa différence, son altérité, son humanité nécessairement singulière ; mais comme un objet dont le seul but est notre contentement, notre satisfaction, la réponse à nos attentes, quitte à lui mettre une pression inouïe pour qu’il ne nous déçoive pas."

Si le phénomène n’est pas nouveau, nos nouvelles habitudes de communication ont-elles participé à son accentuation ? C'est ce qu'estime Marie, 26 ans, ghostée par un crush sur Tinder . " Après des semaines d'échanges et un premier date qui s'était bien passé, je n'ai plus eu de nouvelles. Ce n'est pas la première fois que ça m'arrive sur des applis de rencontre ". Désormais, en un clic, on est amis et on ne l'est plus et en quelques swipes , on se retrouve avec de potentielles âmes sœurs (ou âmes d'une nuit). Pour Cécile Guéret, "Internet a radicalisé la notion d’un moi sélecteur selon les normes libérales et marchandes. Parce que les sites et les applis nous «vendent» l’instantanéité des contacts, la profusion des rencontres, la jouissance d’une consommation sexuelle «open bar», l’interchangeabilité des partenaires possibles."

Elle poursuit : "Le risque c’est que non seulement nous mettons les individus en compétition les uns avec les autres, mais nous n’arrivons pas à arrêter notre choix. Se décider pour quelqu’un de « suffisamment bien » devient de plus en plus difficile" .
L'experte souligne que les raisons d'un ghosting sont multiples et dépendent essentiellement de la personne : "La première, qui est saine, qui relève de la survie : quand la relation violente (psychologiquement et/ou physiquement) nécessite un éloignement immédiat. Dans le cas des violences conjugales , partir sans laisser de traces est souvent la seule solution" .

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