Se faire démonter lui remonte le moral

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Se faire démonter lui remonte le moral
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Envoyer de l'amour : Le Mot d'Amour



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Quand un ami va mal, il n’est pas évident de trouver les bons mots. En effet, quoi dire à une personne triste, qui vit une rupture amoureuse, une situation professionnelle difficile ou la souffrance de la maladie pour lui montrer son soutien ? Comment éviter d’être maladroit ou de le déranger ? Il n’y a pas de solution miracle, il suffit juste d’être présent sans faille ni tabou. En effet, dans tous les cas, le plus blessant reste toujours le silence. Un message est un très bon moyen de remonter le moral d’un ami et d’apporter du réconfort. Un simple « Mais qu’est-ce qui ne va pas ? » ou « Je suis là pour toi » sont des mots réconfortants et apaisants. Alors si vous avez un ami qui ne va pas très bien, qui traverse une épreuve douloureuse, dites-vous que votre réconfort à son égard est important. Grâce à votre message, il saura que vous êtes présent pour lui et qu’il peut se confier. Comment remonter le moral d’un ami par messages ? En voici 10 exemples.
Que puis-je faire pour toi aujourd’hui ? Je vais faire quelques courses, as-tu besoin de quelque chose ? Je peux venir dîner avec toi ce soir si tu as envie d’un peu de compagnie. N’hésite surtout pas à me demander si tu as besoin de quelque chose, ou si tu as juste envie de parler. Je pense bien à toi. Gros bisous.
« La vie mettra des pierres sur ta route. A toi de décider d’en faire des murs ou des ponts. » Ce proverbe me fait penser à toi. Je voulais juste te dire que je suis fière de toi mon ami, tu es le meilleur et tu sortiras de cette épreuve. N’en doute pas. Laisse-toi juste un peu de temps. Je t’embrasse.
C’est une période difficile pour toi, je le sais, mais tu peux compter sur moi pour t’accompagner. Je sais bien que ce ne sont que des mots, et que pour le moment, tout doit te sembler insurmontable. Je suis désolé si je n’ai pas forcément les bons mots pour te le dire mais je suis là pour toi, vraiment à n’importe quel moment, pour n’importe quoi. Alors n’hésite pas. Je pense fort à toi.
Je suis vraiment désolé de ce que tu traverses. J’imagine combien le temps doit te sembler long. Mais, l’important c’est que cela ne durera pas et que tu iras vite mieux. Oui l’important c’est d’avoir conscience que ton état est passager, et que de meilleurs jours arrivent. Joyeux, positifs, heureux. Alors ne lâche rien et si tu as besoin de quoi que ce soit, je suis là.
Le proverbe dit « Quand la vie te donne une centaine de raisons de pleurer, montre-lui que tu en as mille de sourire. » Même si cela te paraît impossible pour le moment, garde cela dans un coin de ta tête. Car tu iras de mieux en mieux, je te le promets et très vite tu iras bien à nouveau. En attendant, passe la meilleure journée possible, je pense à toi.
Je suis là pour t’accompagner dans cette épreuve douloureuse, pour t’aider à surmonter ta tristesse. Tu pourras toujours compter sur mon réconfort, mon soutien, ma présence et mon amitié. Je t’embrasse très fort.
Je sais que c’est facile à dire mais tu connais le fameux adage « il vaut mieux être seul que mal accompagné ». Alors je me doute que pour le moment c’est trop tôt pour oublier mais dis-toi que l’amour ne fait pas tout, il y a aussi l’amitié. Et je suis là pour toi. L’amour, le vrai, reviendra, soigne tes plaies d’abord et laisse le temps au temps. Je pense à toi.
Pour le moment tout te paraît gris et morose. Je comprends, c’est normal. Mais le rôle d’un ami c’est aussi de te dire que les choses vont s’arranger et de te faire réaliser que la vie est belle, malgré tout. Alors ouvre les yeux et regarde autour de toi, et tu verras à nouveau les choses en couleur, tu retrouveras le goût et la saveur des petits riens. Le bonheur est toujours là, il est juste à coté de toi. Comme moi. Tu peux compter sur mon amitié, n’en doute pas.
Juste un petit mot pour te dire que je pense bien fort à toi. Ne te sens pas obligé de répondre à mes messages, juste sache que je suis là pour toi. S’il y a quelque chose que je peux faire pour rendre cette épreuve moins lourde pour toi, je le ferai volontiers. Je t’embrasse.
J’aimerais pouvoir soulager immédiatement ta peine. Effacer les raisons de ta tristesse, de ce chagrin qui te blesse. Hélas, je n’ai pas ce pouvoir, mais le temps si. Même s’il peut te paraître long, je te promets que ça passera, que tu vas aller mieux très vite. Et en attendant tu peux compter sur moi. Je suis là. Gros bisous.
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Wawww j’ai vraiment appréciée ça m’a aidée à trouver les mots juste
J’ai beaucoup apprécier ses suggestions de messages cela m’a permis d’aider une amie dans le besoin, merci.
C’est très bon de consulter cette page bravo..
ces messages réconfortent déjà même la personne qui veut aider. Qu’en serait il de la personne qui a besoin de se faire aider! ils sont justes supers merci
Merci beaucoup je vais remonter le moral de mon ami
Ces messages m’ont vraiment été, j’ai pu trouver les mots qu’il me fallait…merci.
Merci beaucoup
C’est vraiment réconfortant
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Comme lors du premier confinement, les français, qui avaient déjà cette envie de compenser la morosité...
Source Journal officiel de la République Française du 9 octobre 1885 Le 10 juin 1885, 13...

D'ici ou d'ailleurs Notre histoire 
Article paru sur comment-economiser.fr – Lire l’article sur le site de l’auteur Envie de faire pousser...

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La modernité de la pensée de Spinoza, à l’exception de son point de vue sur les femmes et les animaux, malheureusement très représentative de son époque (encore que à notre époque il ya encore à redire), est étonnante. De fait, on pourrait dire qu’il est l’inventeur du « New Age ». Voyez plutôt…
Pour Spinoza, élevé dans la tradition juive puis rejeté par sa communauté pour ses idées subversives, il n’y a pas de séparation entre Dieu et le monde. Dieu n’a pas créé le monde. Dieu est en tout, Il est le monde.
Spinoza revendique la liberté de « pensée » et dénonce la superstition dont jouent toutes les religions pour prospérer, manipuler et asseoir leur pouvoir sur les hommes. Cependant, il ne rejette pas les Saintes écritures qui ont le mérite de poser un cadre social, politique, permettant d’organiser la vie en collectivité. C’est du reste à partir de ce cadre que « l’homme sage », qui aura appris à exercer sa raison pour analyser toute chose, cessera d’obéir aveuglement et saura déterminer par lui-même ce qui est bon pour lui tout en respectant spontanément le bien commun, ses semblables et son environnement. ( Ce n’est pas gagné !)
La raison est la clé de la sagesse spinozienne.
Il nous dit de : « ne pas se moquer, ne pas se lamenter, ne pas détester, mais (de) comprendre ».
Comprendre permet de dominer ses émotions, de se détacher de la peur, de la haine, de la colère, (ce que Spinoza nomme les passions tristes), et d’accéder à la joie qui nous permet de grandir en puissance.
Spinoza a compris trois siècles avant Gandhi que la véritable révolution est intérieure et que c’est en se transformant soi-même qu’on changera le monde.
A l’opposé des religions traditionnelles qui promettent le bonheur comme récompense d’une conduite bonne et juste, Spinoza pense que c’est parce que nous serons heureux que nous aurons envie de bien nous conduire. Aussi nous propose-t-il de chercher ce qui nous met en joie et nous donne de la force, pour nous aider à nous engager sur le chemin de la sagesse qui conduit à la béatitude. Autant dire que les avalanches de mauvaises nouvelles que nous assènent les médias et sur lesquelles nous n’avons pas de prise seraient aujourd’hui dans le collimateur de Spinoza qui ne manquerait pas de nous conseiller de déconnecter avec l’extérieur et ce virtuel polluant pour nous rechercher en nous ce qui est le meilleur à notre portée.
Voilà finalement un programme que je ne demande qu’à suivre ! Pas vous ?
J’espère en tout cas vous avoir donné envie de lire « Le miracle Spinoza », vous ne le regretterez pas mais si cette perspective ne vous met pas en joie, goûtez donc à cette conférence de Frédéric Lenoir accessible via le lien ci-dessous, vous ne le regretterez pas !
https://www.youtube.com/watch?v=mbDxvS5UWmU
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La Fille de 1973


1973 est une très mauvaise année pour les vins de Bordeaux mais un grand cru classé pour le genre humain




8 janvier 2010




Marie




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Se dire que ça y est, vous avez tout classé, tout trié, vous allez aller vous inscrire au chômage !!!
Bon, prenons une individue lambda pas au top de sa forme ni physique, ni morale. Moi, par exemple. Oui, c’est ça, c’est un bon exemple.
Blindée de bonne volonté et de papiers en tous genres. Debout à 6h30. Oui, oui, si vous avez envie de grasse matinée, vaut mieux rester employé. Le chômage, c’est pas pour les lève-tard !
En route à 7h45. Déposage du petit de l’Homme à son école (« Mais tu travailles plus ! Pourquoi je dois aller à la garderie, alors ??? » « Tu comprendras quand tu seras grand »). Tout roule.
Vérification faite la veille: l’adresse où je dois m’inscrire au chômedu est encore la même que celle que je connaissais il y a 6 ans. Parfait. Bus arrive, nickel. Tram suit, super.
Arrivée sur place, stupeur. Y’a pu. Quoi y’a pu ? Ben y’a pu. Fermé. Transformé. A pu. Partie la permanence de chômage de la FGTB ! Sans donner sa nouvelle adresse, d’ailleurs. C’est écrit nulle part, j’ai bien tout détaillé.
Résistant vaillamment à un pointe de découragement totalement injustifiée (allez, quoi, c’est pas ça qui va arrêter une femme crevée, morte de froid et pas en forme quand même !), je me planque dans un arrêt de bus et sors mon iPhone. Par moins 2 degrés, on se dit que l’iPhone et le chômage doivent être des choses bien plus agréables à vivre sous des latitudes plus clémentes que la Belgique au mois de janvier. Et puis, je me rappelle que l’iPhone n’est PAS une option logique quand on est chômeur. Et me demande comment font les autres chômeurs pour trouver la permanence chômage quand elle déménage en ne laissant pas d’adresse… Passons. Je cherche donc l’adresse de ma permanence. Ma recherche sous Safari me délivre trois sites. Avec trois adresses différentes, youplààààà. Outre la première que je connais déjà (et c’est pas lààààà, lalalèreuh !), j’hésite entre les deux suivantes. Je lance Google Maps. Qui veut pas se lancer. Je relance, chuis têtue. Lui aussi, malheureusement. Je trépigne (ça tombe bien, ça réchauffe, il fait froid). J’essaye de lancer le site de la STIB (société des transports bruxellois pour les étrangers à Bruxelles qui passeraient par ici), histoire de voir comment me rendre à l’une de ces deux adresses (vu que je ne vois pas où c’est), mais ce site-là aussi refuse catégoriquement de me donner une réponse. Tout le monde me lâche.
Je résiste vaillamment à une inutile envie de pleurer, c’est moche, ça sert à rien et puis, quand il fait froid, c’est mauvais pour la peau. Il est déjà 9h20. Je me demande si je vais opter pour l’option « appeler un ami ». Je m’entends déjà supplier au téléphone « diiiiis, tu peux me dire où se trouve la rue machin-truc-chose ??? Et comment qu’on y va ??? » « Et la rue brol-bazard, tu peux aussi ??? » « On y va comment idem ??? ». Je me ravise. L’Homme a oublié son iPhone à la maison (et il est à Paris, en plus) et mes autres potes ont autre chose à faire de leur vie que de m’aider à m’inscrire au chômage. Ils bossent, eux.
Je me résigne à redescendre dans la station de tram pour rentrer chez moi et aller voir, courageusement, quel est le chemin pour ma nouvelle permanence chômage sur mon Mac, au chaud, avec un café. Oh oui, un café.
Mais avec le risque, couru d’avance, de ne plus ressortir après. Qui plus est, là, l’horaire est formel, quelle que soit l’adresse, la seule chose avec laquelle les trois sites soient d’accord, c’est l’heure de fermeture de la permanence: midi. Il est 9h40, le temps de rentrer, de trouver où aller et comment y aller, d’y retourner, pas sûre d’y être à l’heure. C’est un défi. Et la STIB fait passer Le Dakar 2010 comme une promenade de santé à côté de ce défi-là.
Quoiqu’il en soit, je me sens l’âme d’une femme prête à relever tous les défis, je descends dans la station de tram. Et, là, pile au dessus de ma tête, apparaît en grand, en très grand, en énooooooooorme… le nom de la rue de la deuxième adresse. Mon instinct de citadine me dit deux choses:
1) le hasard n’existe pas, si cette adresse est au firmament de ma station de tram, c’est un appel. Pour finir, les Rois Mages ont un peu fait pareil mercredi, ils ont suivi l’Etoile et ont trouvé Jésus. Je n’en demande pas tant mais si suivre cette flèche pouvait déjà me mener à ma permanence chômage, j’en serais très heureuse. Qui plus est, dans l’état actuel des choses, cette permanence me sera plus utile que Jésus himself. Je doute qu’il puisse me délivrer une carte de chômage.
2) si cette adresse est fort proche de l’ancienne adresse (à deux pas), il y a de réelles chances que ce soit la bonne. La permanence aurait déménagé dans le quartier, c’est logique, ça se tient. Et j’aime les choses logiques, moi.
Je suivrai donc la flèche. Qui s’arrête une fois en dehors de la station. On peut pas tout avoir. Je me résous, en fille méga têtue, à rouvrir Google Maps. Qui marche, allélouïa ! On reste dans le mystique.
La rue est à deux pas. Deux pas pas franchement glamour, l’endroit est certainement un des quartiers les plus glauques de Bruxelles. Mais même pas peur, je suis remontée à bloc. Et j’ai froid. Mon air de bourgeoise décidé doit en étonner plus d’un. Ceci dit, j’ai rangé mon iPhone. Au loin pointent les drapeaux rouges flamboyants de la permanence chômage du syndicat socialiste. Un cri de victoire que n’aurait pas renié Léon Blum (s’il avait été Belge) m’échappe.
Je m’engouffre dans un bâtiment neuf, chaud et beau. De toute évidence, le déménagement s’est fait pour un mieux. C’est tout joli ! Je me place dans la file. Et découvre avec ravissement qu’elle n’est pas longue et que, en plus, trois guichets sont ouverts. L’ancienne permanence n’avait qu’un guichet et une file longue comme un jour sans pain. Je souris d’aise. Mais pas longtemps.
10h30, j’arrive au guichet. Je demande donc à me réinscrire au chômage (vu que je l’ai déjà été dans une vie antérieure, toute inscription future est un réinscription, à l’avenir) et m’attends à recevoir un ticket pour refaire la file pour le bureau des inscriptions au chômage. Jusque là, je suis drillée mentalement, je m’y attends. Le côté kafkaïen de faire la file pour avoir le droit de refaire la file, je m’y suis préparée. J’ai intégré l’absurde de la donnée à l’époque, je suis blindée maintenant. Une vieille routière du truc.
La dame du guichet, adorable, me demande mon C4.
« Je n’ai pas de C4, mon employeur ne m’en a pas donné »
« Mais j’ai mon contrat, il est fini, c’est une fin de contrat, la date est sur le contrat »
« Ca ne suffit pas, madame, le C4 est le document officiel. Il y sera effectivement stipulé que la
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