Scne porno haute qualit avec une jeune fille qui fait tout

Scne porno haute qualit avec une jeune fille qui fait tout




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Scne porno haute qualit avec une jeune fille qui fait tout
Publié
le 09/02/2015 Ă  12:15 , Mis Ă  jour le 10/02/2015 Ă  10:14
Vous avez choisi de refuser les cookies
Accepter les cookies ou abonnez vous pour 1€
Au festival de Sundance, un documentaire montrant de nombreuses jeunes filles volontaires pour tourner dans des films pornographiques a sidĂ©rĂ© l'AmĂ©rique. Qu’en est-il en France ? Comment dĂ©cident-elles de rentrer dans ce milieu ? TĂ©moignages et Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse.
Il arrive que des documentaires éclatent comme des grenades. Hot Girls Wanted , réalisé par les deux journalistes Jill Bauer et Ronna Gradus et présenté au festival de Sundance, a choqué les spectateurs autant par ses images crues que par son propos : le nombre grandissant de jeunes Américaines désireuses de tourner des scÚnes pornographiques, comme s'il s'agissait d'un petit job presque " banal ". " On se disait que ce n'était pas possible qu'il y en ait autant, on ne pouvait pas y croire. Alors nous avons réalisé ce documentaire ", racontent les deux journalistes à l'AFP.
La situation aux États-Unis, oĂč l'industrie du X est florissante, n'est pas comparable avec celle de la France, oĂč la plupart des studios ont fermĂ© dans les annĂ©es 2000. Mais qu'en est-il vraiment dans l'Hexagone ? Si aucune Ă©tude ne peut apporter de chiffres clairs, de grandes tendances apparaissent, comme l'affaiblissement du porno professionnel au profit des sites " amateurs ", qui n'hĂ©sitent pas Ă  recruter des jeunes filles juste pour une scĂšne.
Dans son livre Le Travail pornographique (1), le sociologue Mathieu Trachman diffĂ©rencie deux types d'industries pornographiques : d'un cĂŽtĂ© " le professionnel avec les derniers gros studios comme celui de Marc Dorcel ", et de l'autre le "pro am (pour professionnel amateur, NDLR) : des mini-productions qui simulent du travail amateur, soit des scĂšnes rapides, sans aucun scĂ©nario, destinĂ©es aux plates-formes vidĂ©o sur Internet ". Deux mondes complĂštement diffĂ©rents. Dans le premier, quelques " stars " et habituĂ©es du milieu mais peu de dĂ©butantes. " Je reçois beaucoup moins de demandes de femmes qui n'ont jamais fait de X aujourd'hui qu'au dĂ©but des annĂ©es 2000 ", explique John B. Root, rĂ©alisateur et producteur de films pornographiques , notamment pour Canal +. Alors que dans le pro am, " le nombre de demandes est en constante Ă©volution, et les trois quarts des filles ont moins de 21 ans ", raconte Yan*, webmaster d'une des plus grandes plates-formes vidĂ©o europĂ©ennes. Une augmentation favorisĂ©e par la facilitĂ© Ă  contacter ces sites : " Il suffit d'envoyer un mail et quelques photos pour ĂȘtre rappelĂ©e ", explique ClĂ©a*, 19 ans, qui a dĂ©jĂ  tournĂ© une scĂšne.
Pour Ovidie, ancienne star et rĂ©alisatrice de films X, cette augmentation du nombre de jeunes femmes voulant tourner dans des pro am s'explique notamment par " l'arrivĂ©e d'Internet, qui a complĂštement tuĂ© le porno de qualitĂ© et banalisĂ© le X. Avant, il fallait payer ou se coucher trĂšs tard pour voir un film. Aujourd'hui, Ă  n'importe quelle heure, on peut accĂ©der gratuitement Ă  des milliers de vidĂ©os de quelques minutes. Le X est devenu quelque chose de presque normal, alors les filles se disent : "Et pourquoi pas moi ?", "Ça doit rapporter beaucoup et puis c'est facile Ă  faire", etc.".
Exactement ce qu'imaginait Nathalie, 21 ans, quand elle a contactĂ© une grosse plate-forme : " Le porno est partout, accessible . Tellement de filles font ça que je me suis dit que j'en Ă©tais aussi capable, que ça devait ĂȘtre une façon rapide de gagner de l'argent. J'ai pensĂ© qu'au pire, ce ne serait pas une bonne expĂ©rience, mais rien de grave ou de dangereux. " En sortant de sa seule et unique scĂšne, elle s'est pourtant dit qu'elle ne " reviendrait jamais. Je me suis retrouvĂ©e avec deux hommes entre 40 et 50 ans, sans savoir combien j'allais ĂȘtre payĂ©e. On m'a expliquĂ© ce qu'il fallait que je fasse, on a tournĂ©, ils Ă©taient vulgaires et pas du tout tendres. On a fait une scĂšne Ă  trois ; j'ai eu vraiment mal, mais ils s'en foutaient. Ça a durĂ© une heure, j'ai touchĂ© 250 euros. Maintenant, je suis dans une vidĂ©o qui a Ă©tĂ© vue 200.000 fois, notamment par des membres de ma famille. Depuis, tout mon entourage est au courant et beaucoup ne me parlent plus. Je ne referai jamais ça, je n'avais aucune conscience des consĂ©quences possibles ".
La prolifĂ©ration de " l'amateur " sur Internet au dĂ©triment du professionnel augmente le besoin en actrices jeunes, comme l'explique Ovidie : "Tout est cataloguĂ©, triĂ©, et les sites veulent tout le temps du neuf. Une fille ne peut pas faire carriĂšre dans le pro am ; les actrices n'y font d'ailleurs qu'une ou deux scĂšnes et ne veulent plus en entendre parler. Cela contraste nettement avec le monde pro, oĂč beaucoup se tournaient vers le X par curiositĂ© sexuelle, par envie de connaĂźtre le milieu du porno professionnel et souvent pour faire carriĂšre. " Raoul* a l'habitude de tourner des scĂšnes de cinq Ă  quinze minutes pour des sites X. Quand on lui demande comment se passent ses tournages avec les dĂ©butantes, la rĂ©ponse fait froid dans le dos : "C'est la fille qui nous contacte directement sur notre site. À partir de lĂ , c'est qu'elle sait ce qu'elle veut. Elle est lĂ  pour faire de l'argent, pas pour se faire des copains. On la convie Ă  une rencontre et on tourne tout de suite la scĂšne. Ça va trĂšs vite. " Un dĂ©roulement que confirme ClĂ©a* : " Quand je suis arrivĂ©e, ils m'attendaient pour tourner. Je n'ai quasiment pas eu le temps de discuter. Je n'ai pas eu le choix, c'est comme si j'Ă©tais devant le fait accompli. En plus, on m'a imposĂ© une scĂšne oĂč on me crachait dessus et dans laquelle on m'insultait. C'Ă©tait humiliant, je ne le ferai plus jamais. "
Une prĂ©caritĂ© nouvelle. " Dans le milieu professionnel, on prend toujours le temps d'avoir un Ă©change, de connaĂźtre les motivations de la jeune dĂ©butante. On se voit plusieurs fois pour ĂȘtre sĂ»rs que c'est ce qu'elle veut, car c'est une vraie responsabilitĂ© de faire tourner quelqu'un pour la premiĂšre fois ", explique John B. Root. Une diffĂ©rence que rĂ©sume trĂšs bien Lara*, ancienne actrice pro ayant tournĂ© ensuite dans deux scĂšnes pro am : " Quand j'Ă©tais pro, on me considĂ©rait comme la piĂšce maĂźtresse du film et je gagnais bien ma vie. Dans le pro am, j'ai Ă©tĂ© sous-payĂ©e et on ne m'a pas respectĂ©e. "
(1) Le Travail pornographique. EnquĂȘte sur la production des fantasmes , de Mathieu Trachman. Éditions La DĂ©couverte, 2013.
"je n'avais aucune conscience des conséquences possibles" La bonne blague
Un job presque banal c'est un job presque (b)anal !
L hypocrisie mene le monde. Je suis volontaire pour aller tourner un porno, et je viens me plaindre de manque de respect !!!!!! Ahurissant
Pendant les vacances d'été, collÚgues et réveils matinaux vous paraissent bien loin. Votre conjoint(e), en revanche, peut se révéler un peu trop... présent. Attention, querelles en vue.
Pour dire stop à l'injonction de la minceur sur la plage, le gouvernement Pedro Sånchez a lancé une campagne mettant en vedette des corps de femmes loin des standards de beauté.
EnquĂȘte - En ville comme en milieu rural, obtenir un rendez-vous avec un gynĂ©cologue relĂšve du parcours de la combattante. Alors que les Ă©tudiants se dĂ©tournent de cette spĂ©cialitĂ©, les patientes comme le corps mĂ©dical en paient le prix. Alerte rouge sur la santĂ© des femmes !
À tout moment, vous pouvez modifier vos choix via le bouton “paramĂ©trer les cookies” en bas de page.
Pourquoi des jeunes filles se laissent prendre au piĂšge du X
Les articles et recettes en illimitĂ© 0,99€ le premier mois sans engagement

Paramétrer mes choix Continuer sans accepter Continuer et accepter





Grille


Podcasts


Actu



Astro






Astro



Horoscope quotidien


Horoscope annuel


Voyance













































Actu
















Grille
















Podcasts



































Accueil









Actu









Société








4 films à voir sur l'adolescence et l'homosexualité cet été











"La Belle saison", avec CĂ©cile de France et IzĂŻa Higelin


Alanté Kavaïté, réalisatrice de "Summer"



Cinéma
News
people


Je créé mon compte
Se connecter


Se connecter
Créer un compte



Atteinte à la vie privée
Violence
Diffamation
Pornographie
Incitation Ă  la haine raciale
CaractÚre révisionniste
Autres


















Grille
















Podcasts
















Actu
















Culture
















Sports






















Assister aux Ă©missions
















RĂ©agir Ă  une Ă©mission
















Quel est ce titre ?
















Direct
















Fréquences
















Archives






















Contactez-nous & FAQ
















Mentions légales















Charte de confidentialité

















Configuration des cookies















Annonceurs
















Nous rejoindre










Croq'Kilos


CuisineAZ


PasseportSanté


M6météo


DĂ©co


Turbo


Groupe M6


6Play


Fun Radio


RTL2


RTL Astro



En cliquant sur le bouton « Continuer et accepter », vous acceptez que le Groupe M6 et ses partenaires utilisent des traceurs (comme des cookies ou l’identifiant unique de votre appareil) et traitent des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel (comme vos donnĂ©es de navigation et votre adresse IP) dans le but :
Votre choix s’applique sur RTL uniquement. Vous pouvez refuser tout ou partie de ces exploitations en cliquant sur le bouton « ParamĂ©trer mes choix » et modifier vos prĂ©fĂ©rences Ă  tout moment en cliquant sur le lien « PrĂ©fĂ©rences Cookies » figurant sur notre service. Notez que des traceurs nĂ©cessaires Ă  la fourniture de notre service pourront toujours ĂȘtre exploitĂ©s, comme ceux gĂ©nĂ©rant des statistiques de frĂ©quentation qui ne sont pas soumis Ă  votre consentement.
Certains de nos partenaires publicitaires utilisent Ă©galement des traceurs et traitent vos donnĂ©es personnelles, sur la base de votre consentement ou de leur intĂ©rĂȘt lĂ©gitime dans les buts suivants :
DonnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises et identification par analyse du terminal, PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es d’audience et dĂ©veloppement de produit, Stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations stockĂ©es sur un terminal.
AprÚs le magnifique Naissance des pieuvres de Céline Sciamma , sorti durant l'été 2007 ou le sulfureux La Vie d'AdÚle d'Abdellatif Kechiche (2013), le cinéma revient avec des films parlant d'homosexualité et d'adolescence. Un sujet brûlant et passionnant, encore trop peu traité sur le grand et le petit écran.
Un manque que quatre rĂ©alisatrices et un rĂ©alisateur ont comblĂ© cette annĂ©e, avec des films mettant en scĂšne le dĂ©couverte du dĂ©sir et de la passion entre des personnages du mĂȘme sexe. Pour une nouvelle vision de l’adolescence au cinĂ©ma.
L'histoire : Sieger (Gijs Blom) a 17 ans, fait du sport et s'entraßne dur pour des championnats. Lors des vacances d'été, il fait la connaissance de Marc (Ko Zandvliet), un jeune homme qui attire son attention et qui l'intrigue. Les deux adolescents deviennent rapidement amis. Une complicité qui va alors laisser place à des sentiments bien plus forts.
Mais dans le village oĂč vit Sieger, tout se sait. L'homosexualitĂ© est un sujet tabou , et les hommes ne sont pas censĂ©s parler de leurs Ă©motions. Ils doivent aimer la biĂšre, la moto et les filles. Sieger va alors se retrouver seul face Ă  lui-mĂȘme et Ă  ses Ă©motions.
Pourquoi on a envie de le voir : DerriĂšre ce film, on retrouve la rĂ©alisatrice nĂ©erlandaise Mischa Kamp . Elle a imaginé l'histoire de Boys dans un but Ă©ducatif , visant Ă  la fois un public adolescent et adulte. "L’homosexualitĂ© est prĂ©sente partout dans notre sociĂ©tĂ©. C’est un sujet important qu’il est essentiel d’aborder", a-t-elle dĂ©clarĂ©.
Une histoire simple et touchante que la réalisatrice de 45 ans a voulu raconter avec esthétisme et poésie. Le film sortira le 15 juillet 2015 dans les salles de cinéma françaises. 
L'histoire : C'est aussi les vacances d'été pour Sangaïlé (Julija Steponaïtyté). La jeune fille de 17 ans les passe avec ses parents dans leur villa au bord d'un lac de Lituanie. Sangaïlé est fascinée par les avions et comme chaque année, elle se rend au show aérien de la ville.
Elle y rencontre Austé (Aïsté Dirziuté), 17 ans, extravertie et épanouie. Tout le contraire de Sangaïlé, un peu garçon manqué, timide et mal dans sa peau. Les deux adolescentes vont alors se retrouver dans la sensualité de l'été.
J’ai surtout voulu tourner le film qui m’aurait fait du bien à 17 ans
Pourquoi on a envie de le voir : Summer traite du sujet de l'homosexualitĂ© avec contraste et Ă©motion, comme l'explique AlantĂ© KavaĂŻtĂ©, la rĂ©alisatrice. "Il y a peu de films lumineux sur l’adolescence et j’ai voulu, tout en abordant certains traits assez durs (...) faire quelque chose de lĂ©ger et de pop . J’ai surtout voulu tourner le film qui m’aurait fait du bien Ă  17 ans." Le film parle aussi d'auto-mutilation et se concentre sur le rĂ©cit pour montrer des ĂȘtre-humains en construction. DerriĂšre la bande-originale de ce film trĂšs musical, on retrouve JB Dunckel du groupe versaillais AIR . Le musicien s'est dĂ©jĂ  illustrĂ© dans l'art de la musique pour film avec Virgin Suicide de Sofia Coppola . En salles le 29 juillet 2015 .
L'histoire : La Belle saison est une histoire d'amour entre deux femmes avec, en toile de fond, les dĂ©buts du fĂ©minisme. Le film se dĂ©roule au dĂ©but des annĂ©es 70, Delphine (IzĂŻa Higelin) est une jeune fille de la campagne. Elle dĂ©cide de monter Ă  Paris pour changer de vie et gagner son indĂ©pendance financiĂšre. Carole (CĂ©cile de France) est parisienne, en couple et vit activement les dĂ©buts du fĂ©minisme. Les deux femmes se rencontrent et leurs histoires d'amour fait basculer leurs vies. Pourquoi on a envie d'aller le voir : Le film donne Ă  voir les fĂ©ministes des annĂ©es 70, victimes de beaucoup de prĂ©jugĂ©s Ă  cette Ă©poque - et encore aujourd'hui. Un choix d'Ă©poque qui n'est pas anodin pour Catherine Corsini , la rĂ©alisatrice de La Belle saison : "Il y avait une vitalitĂ©, une insolence dans le mouvement fĂ©ministe qui m’a sĂ©duite. Je ne vois rien aujourd’hui de comparable. J’ai compris que le fĂ©minisme mettait l’humain au centre , et ça a Ă©tĂ© le grand principe de l’écriture du film." La Belle saison dresse le portrait d'un Paris bouillonnant et d'une campagne intemporelle avec dans la bande-son des classiques de l'Ă©poque (Janis Joplin, Colette Magny, Joe Dassin); des musiques plus modernes (The Rapture) et une bande-originale de GrĂ©goire Hetzel ( La Chambre bleue de Mathieu Amalric ou Chante ton bac d'abord de David AndrĂ©). La Belle saison sera projetĂ©e dans les salles obscures Ă  partir du 19 aoĂ»t 2015 .
L'histoir
Musulmane bien coquine
Une pute roumaine se prend une bonne sodomie
Trio en HD avec deux beaux transex passifs

Report Page