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Un crabe attaqué par un poulpe sur une plage australienne

On est pas dans "Vingt mille lieues sous les mers" mais presque! Une Australienne a assisté à l'attaque d'un crabe par un poulpe. Impressionnant de vitesse, le prédateur ne laisse littéralement aucune chance au crustacé.

Le poulpe n'a laissé aucune chance au crustacé.


© ArcInfo 2021 • Développement
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Alors qu'elle se baladait tranquillement sur la plage à Yallingup, une ville située à l'ouest de l'Australie, une femme a assisté à une scène des plus surprenantes: une attaque de poulpe.
La victime? Un crabe à la carapace orangée qui se promenait là. Face à la vélocité et à la puissance des tantacules du céphalopode, les pinces du crabe n'ont pas fait le poids. Sur la vidéo, on voit le poulpe capturer sa proie, l'entraîner sous l'eau et se réfugier sous un rocher. Sûrement pour la dévorer.



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Par Delphine Russeil
Publié le 5 Fév 16 à 14:44 



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Le sélectionneur du XV de France a contacté le Collectif JOB suite à la polémique sur la rebaptisation de l'Espace JOB et de sa place à son nom. Détails.
La partie de ping-pong entre la mairie de Toulouse et le Collectif JOB est loin d’être finie concernant le projet de changement de nom de la place et de l’Espace culturel JOB pour celui de l’actuel sélectionneur du XV de France et ancien entraîneur du Stade Toulousain, Guy Novès.
Alors que, dans un courrier en date du 27 janvier, le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc expliquait au Collectif JOB que sa démarche était de « maintenir et élargir l’appellation Espace JOB avec la référence Guy Noves » et proposait la création d’un « espace mémoriel et historique pour combler la lacune [de notoriété, ndlr] actuelle », le Collectif a répondu vendredi 5 février lors d’une conférence de presse.
« Nous trouvons intéressante l’idée d’un mémorial à l’intérieur du bâtiment — même si le terme est mal choisi car le nom JOB n’est pas mort, et tout l’objet du projet culturel développé actuellement est justement de continuer à le faire vivre », annonce Anne Père, la présidente du Collectif JOB.
En revanche, la position du Collectif sur le changement de nom reste intacte. « Débaptiser un endroit déjà inauguré officiellement en 2011 par la mairie n’est pas logique. Le nom de la place et de l’Espace JOB est d’ailleurs entré dans les usages des habitants et il y a une plaque tout ce qu’il y a de plus officiel accrochée au mur ! », poursuivent d’autres membres du Collectif.
De plus, il n’y a rien de logique non plus à donner le nom d’un sportif à un lieu culturel, et symbole d’une lutte syndicale. Vous imaginez le Stade Ernest Wallon rebaptisé Prévert, vous ? », relève un membre du Collectif.
La semaine dernière, lors d’un Comité Consultatif de la Dénomination des Voies, l’adjoint au maire Jean-Michel Lattes a retenu l’avis réservé du Collectif JOB sur ce changement de nom, ainsi que sa proposition de donner celui de Guy Novès à un autre site plus adapté.
En réponse à un courrier du Collectif à son attention, le principal intéressé a d’ailleurs décroché son téléphone. « Guy Novès nous a contacté pour dire qu’il était sensible à l’histoire du bâtiment, qu’en raison de son père ouvrier et en tant que descendant de réfugié espagnol, il comprend l’émoi que ce débat suscite. Bien qu’honoré dans le principe qu’un lieu porte son nom, il nous a indiqué qu’il avait appelé la mairie pour dire qu’il ne voulait pas de polémique et qu’il n’accordait pas d’importance au fait que son nom soit donné à cet endroit en particulier ou à un autre », a précisé Anne Père, avant d’ajouter que Guy Novès n’était en revanche « pas allé jusqu’à stipuler à la mairie qu’il ne voulait pas que son nom soit donné à la place et l’Espace JOB ».
De son côté, le Collectif n’a pas eu pour l’heure de nouveau retour de la mairie de Toulouse, et prévoit d’en discuter face à face avec le maire du quartier, Olivier Arsac, et l’adjoint aux affaires socioculturelles, Maxime Boyer, lors de la prochaine réunion du comité de quartier des Sept-Deniers, le jeudi 11 février.
D’ici-là, une pétition est en cours sur internet. Elle a recueilli 1 850 signataires sur les 2 000 visés. Par ailleurs, le Collectif prépare « une série de petites actions symboliques », selon Anne Père, pour attirer l’attention des Toulousains sur la nécessité de conserver à l’Espace JOB et à son esplanade indissociable son nom historique.
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