Sara Jay fait partie dans un gangbang devant son fils

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"Quelqu’un aurait envie de se rendre tout nu à une pièce de théâtre dimanche ?" Si la proposition, faite en conférence de rédaction, a déclenché l’hilarité générale, elle n’en était pas moins sérieuse. Depuis plusieurs jours, l’annonce de cette pièce circulait : "Nu et approuvé, la toute première représentation naturiste dans un théâtre parisien", jouée au Palais des Glaces. De quoi intriguer les spectateurs, et la presse. Alors après tout, pourquoi pas ? Peu (voire pas du tout, soyons honnête) adepte du naturisme, je me mets en tête de relever le défi. 
Dimanche 20 janvier, 19h30, nous voilà donc devant le dit théâtre, situé dans le Xe arrondissement de Paris. La foule se presse déjà dans l’obscurité glacée : "Il fait froid, j’espère qu’ils ont mis le chauffage à fond", entends-je derrière moi. Si la représentation ne commence que dans une heure, il faut d’abord passer par les vestiaires… collectifs. Première découverte. "Vous pouvez sinon rester habillée et aller dans le carré presse", me prévient un organisateur. Tentant, mais non : je me suis promise de tester l’expérience jusqu’au bout. Direction donc le vestiaire. Si certains se retrouvent rapidement dans le plus simple appareil, d’autres, comme moi, mettent un peu plus de temps à passer le cap notamment des sous-vêtements. Mais bon, puisqu’il faut y aller…
Heureusement, à l’intérieur, il fait chaud, à tel point que l’on transpire rapidement. Entièrement nue, voilà qu’un ouvreur – qui lui est habillé – m’indique le siège où je dois m’asseoir. La solitude me gagne : si au cinéma, on n’hésite pas à faire lever toute une rangée quand on doit s’asseoir au milieu, là, ce n'est plus le fait d'écraser des pieds qui m'inquiète. Autour de moi, le public est divers : peu de jeunes à proprement parler, plutôt des gens entre trente et soixante-dix ans. Beaucoup d’hommes. 
Le spectacle a du retard. L’occasion, pour certains spectateurs, de discuter. Plusieurs personnes sont debout, se font la bise, échangent avec un aplomb déconcertant. La pièce étant soutenue par la Fédération française de naturisme et l'Association des naturistes de Paris, elle attire une communauté d'habitués. Moi, je n'ai aucune envie de me lever et honnêtement, j'ai plutôt hâte qu'on se retrouve dans le noir, n'étant pas accoutumée à voir autant de corps découverts. Je reste sagement assise sur ma serviette (qu’on nous a demandé de rapporter), posée sur le siège. Les bras et les jambes croisés. Mes voisins, eux, dissimulent leurs sexes comme ils peuvent : l’un avec son billet d’entrée, l’autre avec sa main. 
Ouf, les rideaux s'ouvrent, c’est parti pour 1h15 de représentation, sans entracte. Les acteurs rentrent habillés devant un public lui, complètement nu. Le pitch ? Cette pièce écrite par Généstia Giachino et mise en scène par Pascale Levyn, raconte l'histoire d'un frère et une sœur aux caractères très opposés, qui reçoivent en héritage un bungalow, situé dans ce qui semble être le Sud de la France. Arrivés sur place en pleine nuit, ils découvrent au matin que personne n'est habillé. Il s'agit en fait d'une sorte de village naturiste comme il peut y en avoir notamment au Cap-d'Agde. 
Vont-ils s'habituer à cette nouvelle pratique bien différente de leur convenance habituelle ou tout simplement vendre cette parcelle qu'ont affectionnée leurs parents durant des années ? C'est tout l'objet de ce vaudeville qui voit les comédiens se mettre à nu, au sens propre comme au figuré. Quant aux spectateurs, finalement dans une salle devenue obscure, le fait d'être désaffublé s'oublierait presque. 
Surprise, de retour sur scène pour saluer à la fin, les acteurs sont en peignoirs. On serait à deux doigts de les maudire. Mais le succès est au rendez-vous : si, personnellement, je n’ai pas été emballée par la pièce, le reste de la salle, lui, applaudit à tout rompre, criant des "bravo" à gorges déployées. Avant de se lever pour une "standing ovation". Devant moi, donc, une ribambelle de postérieurs alignés. Les spectateurs applaudissent-ils l'audace d'une telle tentative ou cette comédie qui n'a rien de pittoresque ? Un peu gênée et étant l'une des dernières, je finis tout de même par me mettre debout. Les acclamations finissent par s'évanouir (n’y voyez là aucun rapport avec le fait que je sois debout).
Des spectateurs sont déjà en train de se rhabiller sur leurs sièges quand d'autres se baladent dans la salle, voulant encore profiter de ces derniers instants en costume d'Adam. Je rejoins rapidement les vestiaires pour me revêtir, étrangement, c’est beaucoup plus rapide dans ce sens -là-...Si l'expérience s'est avérée plutôt distrayante, ce plongeon dans l'incon(nu) ne m'a pas convaincue d'embrasser la cause naturiste. Si je n'ai rien contre, je ne pense pas qu'une assistance dans le plus simple appareil ait réellement servi la pièce. Par ailleurs, pour un mode de vie qui se caractérise par son respect de l’environnement, la facture de chauffage a dû être salée...

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Jacquie et Michel : la baise est dans le près


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Publié le 31 août 2014 à 12h00 Mis à jour
le 31 août 2014 à 12h00

Une jeune femme a fait valoir son droit à l'oubi pour faire retirer des vidéos d'elle du site Jacquie et Michel. (Jacquie et Michel)
Entre porno amateur et téléréalité, les productions Jacquie et Michel ont réussi une percée sur le marché du X en ligne. Analyse du phénomène.
Ils avaient fière allure les supporters lyonnais qui, à Gerland cet hiver, ont déployé une banderole sur laquelle était crânement inscrit « Merci qui ? Merci Jacquie et Michel ». Mais plus tard, quand Maître Dorian (sosie du DJ allemand Superpitcher) du staff Jacquie et Michel est venu leur offrir de tourner une scène avec deux filles, seul l’un des trois lascars a assuré, les deux autres ont un peu perdu le ballon. L’anecdote suffit à résumer l’esprit Jacquie et Michel : un réseau de proximité basé sur la puissance marketing d’un slogan répété à l’infini. Un mantra efficace qui, ces trois dernières années, a impacté la France entière, pénétrant les esprits, le langage, les réseaux, les afterworks, les vestiaires.
On ne sait qui on doit remercier : dans les films Jacquie et Michel, l’intervieweur est toujours en caméra subjective. Il ne participe pas, ou très rarement, aux ébats. Sa voix est là pour faire le liant. Pour nous tenir la main. Et tout, dans le système Jacquie et Michel, se veut rassurant. Ainsi, les films se ressemblent. Tous commencent systématiquement dans une rue de France, banale, où le caméraman et son hardeur se les gèlent en attendant la fille qui, ils insistent, les a contactés « sur le site ».
« J’ai pas baisé depuis avant-hier, tu le crois ??? »
Quand elle arrive, elle aussi est banale, et c’est un premier coup de génie, ce look girl next door. Bon, qu’il vente ou qu’il neige, elle portera un manteau avec un rien en dessous, se dira excitée (« J’ai pas baisé depuis avant-hier, tu le crois ??? »), entamera un petit strip sauvage (un nichon, une culotte, pas vu pas pris) et là-dessus, la fine équipe prendra la voiture, cap sur un appart « prêté par un fan du site Jacquie et Michel », très content de transformer sa garçonnière en studio de cinéma et plus si affinités. Les marches seront gravies une par une (avec un début de pipe sur le palier) et, chemin faisant, la voix cuisinera la fille en question : « Tu es libertine ? Tu pratiques la sodo ? Ton compagnon et toi vous êtes candaulistes ? »
Puis, la voix, soucieuse de ne pas nous mettre sur la touche, s’empressera de faire part à la fille des réactions enthousiastes des « internautes de Jacquie et Michel » qui ont vu sa première vidéo – et tant pis si cette première vidéo a été tournée le matin même et n’a pas encore été postée. A la fin, ils baisent et le tout dure 42 minutes. Les « internautes de Jacquie et Michel » sont la colonne vertébrale du succès de l’entreprise Jacquie et Michel. C’est pour eux que le label quadrille la France, c’est à eux que l’on s’adresse, même lorsqu’on a la bouche pleine. Ils sont le ventre de ce site de cul trempé de mythologie interactive. Dans une vidéo d’autopromo, où sont interviewés l’actrice/réalisatrice Margaux et son compagnon Juan, vieux compagnons de route de l’aventure J&M, la Marseillaise grande gueule a un peu tout dit : « On aime Jacquie et Michèl(e) pour le concept(e), ici c’est cool(e), on se prend pas la têt(e), c’est du tac(e) au tac(e). » Elle le répétera même deux fois : « C’est du tac(e) au tac(e). » C’est dire s’il existe un lien palpable entre eux et nous.
Un tiers des vidéos seulement naissent d’un message laissé sur le site
Même si au fond tout n’est pas si spontané, ni tout à fait différent du reste de la production semi-amateur : un tiers seulement des vidéos J&M naissent d’un message laissé sur le site. Le reste, ce sont des filles qui veulent percer dans le cul, des filles croisées ailleurs, chez LFAP (La France à poil), MSTX, Pornovrai.com (des anciens de J&M en mode dissidence), ou bien chez les lascars de Vince Banderos (le « Nuit et Brouillard du porno de cave »), et qui pour 450 euros les deux scènes (selon Libération) ont choisi de commencer là où tout le monde se dirige. Aujourd’hui, Jacquie et Michel est le site français le plus visité : les vidéos atteignent en moyenne deux millions de vues.
Et tant pis si ça écorche l’idée diffuse d’une communauté partouzarde, d’un club échangiste interactif né il y a quinze ans environ. On parle au conditionnel car personne ne se souvient avoir parlé ni à Jacquie, ni à Michel. On dit qu’ils étaient enseignants ou fonctionnaires. Michel aurait saisi l’opportunité d’une formation CIF webmaster pour lancer un site pédagogique avant de bifurquer tranquillou vers un site de petites annonces caliente. Vers 2006, l’ADSL aidant, le site échangiste s’est mis à balancer des sextapes puis a décidé de les réaliser à sa façon, jusqu’à devenir en 2014 les manitous du marché français.
Malgré le succès, personne ne les a jamais vus en photo, ni ne sait vraiment s’ils existent. Ce sont des yeux sans visage. Peut-être sont-ils juste un nom de marque, une adresse IP, une idée rassurante que l’on se fait d’un couple coquin, toujours accueillant, bien que nous ne connaissions d’eux que leurs intermédiaires, toujours gentils, toujours rigolards, toujours dans le respect, même si finalement une fois la scène lancée, c’est du hard sans aucune espèce de gentillesse – « chienne » y est l’adjectif le plus souvent balancé, par les garçons mais aussi par les filles, qui se l’approprient, l’émulation voulant qu’elles soient désormais prêtes à exploser leurs limites (« La triple vaginale ? Non j’ai pas ENCORE essayé… »). Laquelle fille, en partant, n’oubliera pas de remercier Jacquie et Michel qu’elle ne connaît ni d’Eve ni d’Adam – comme on remercie le serveur du bar, même quand on a bu au point de se mettre minable.
Dans ce système qui partout suinte le storytelling, aucun historien du langage n’a encore eu le courage de remonter leurs milliers d’archives pour dater au film près l’apparition du fameux « Merci qui ? » et peu importe : comme dans toute opération de com réussie, c’est sa banalisation qui atteste de son existence. Alors, force est de constater que là où autrefois il y avait de la honte, il n’y a plus que de la connivence. « Merci qui ? » atteste qu’on est du même club, on est quelques-uns – des millions en fait – à consommer du cul sur internet, parce qu’il n’y a rien à la télé, rien ou sinon des trucs qui finalement ressemblent comme des soeurs à des pornos J&M : Tellement vrai sur NRJ 12, Confessions intimes sur W9, des modules qui, comme chez Jacquie, comme chez Michel, sonnent tellement réalistes qu’ils auraient pu être vrais. Ils sont fabriqués pareils, fouillent les mêmes chambres à coucher et deviennent bien quand ils trahissent un peu de leur falsification.
La mission mystique d’entretenir nos fantasmes de base
Débusquer la part de fake d’un J&M est aussi passionnant/excitant que de s’imaginer la charge de honte dont s’affranchissent celles qui ont décidé de tourner une vidéo pour eux. La pionne du lycée Mireille-Grenet à Compiègne qui a buzzé l’an dernier, n’est ni pionne, ni du lycée, ni de Compiègne, mais via elle et les autres, Jacquie et Michel se sont donné pour mission mystique d’entretenir nos fantasmes de base, nous refaire bander pour la vendeuse d’en face qui tourne une vidéo pour se venger de son mec qui dort à côté, ou détourner notre regard vers cette représentante en voitures d’occasion de Marignane à qui le patron concessionnaire a voulu faire la surprise d’un petit tournage « à l’arrache ».
Tellement vraie donc, cette interminable et passionnante enquête socio-cul sauvage, où les actrices sont soumises non-stop à la question. Chez J&M, jamais l’interview ne s’arrête, elle a même encore lieu pendant l’acte. Au début, on trouvait ça assez peine-à-jouir comme concept mais on est désormais accro à ces filles qui se donnent comme des folles mais qui dès que la voix leur demande « Merci qui ? » se redressent prestement et se transforment en speakerines, en femmes-sandwichs.
« Merci Jacquie et Michel. » A la place de dire : « J’ai joui. » Et, sans doute, les gens derrière ce site de rêver qu’un jour leur slogan prenne place dans notre pieu et que nous laissions la jouissance de notre extase à la force marketing de ce faux couple anonyme. Résultat : selon une enquête de notre confrère Snatch , le site J&M génèrerait entre 5 et 10 millions d’euros de bénef annuel. Du tac au tac. Merci qui ? Merci mon cul.
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