Samantha va se faire plaisir toute seule

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Samantha va se faire plaisir toute seule











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Pas de soirĂ©es, pas de week-ends, pas de vacances, pas d'amoureux : Samantha, la trentaine, ne vit que pour son boulot d'avocate d'affaires, et pour l'importante promotion dont elle devrait bientĂŽt bĂ©nĂ©ficier. HĂ©las ! elle commet une grosse boulette. En une journĂ©e, elle fait perdre Ă  son meilleur client plus de cinquante millions de livres. DĂ©sespĂ©rĂ©e, elle prend le premier train pour la campagne et, sur un malentendu, se fait embaucher comme gouvernante chez un couple de charmants excentriques. Micro-ondes, fer Ă  repasser, aspirateur, Samantha va dĂ©couvrir un monde inconnu peuplĂ© d'objets Ă©tranges. Et comprendre qu'on peut avoir 168 de Q.I. et ne pas savoir mettre en route une machine Ă  laver. Mais, surtout, Samantha va rĂ©aliser, entre deux tournĂ©es de lessive, que le bonheur est peut-ĂȘtre dans le prĂ©...
S amantha est une avocate brillante, elle est douĂ©e et s'apprĂȘte Ă  devenir associĂ©e de son cabinet lorsque patatra, une catastrophe arrive. Suite Ă  une erreur, elle se rend compte qu'elle vient de faire perdre Ă  l'un des clients du cabinet une Ă©norme somme d'argent. C'est la panique pour elle qui ne fait jamais d'erreurs et la voilĂ  qui prend la fuite. Elle se retrouve Ă  la campagne complĂštement perdue. Et en voulant se reposer, la maison ou elle se rend la prend pour une candidate pour un poste de bonne Ă  tout faire et elle va ĂȘtre embaucher sur un malentendu.
L 'histoire est vraiment sympathique. Samantha se retrouve dans un situation délicate ou elle va s'enfoncer de plus en plus. Son expérience dans le monde du travail, son gout de faire les choses bien vont lui servir. Car elle ne sait ni cuisiner, ni s'occuper d'un intérieur, c'est une vraie catastrophe ambulante. L'occasion de faire sourire le lecteur et ça fonctionne assez bien. Elle a une vrai envie de s'améliorer et va recevoir l'aide du jardinier, du charmant Nathaniel qui va lui apporter un sacré coup de main.
Le point qui m'a le moins plus c'est que la romance qui pointe son nez et que j'ai pris plaisir à suivre n'est pas assez prĂ©sent Ă  mon goĂ»t. Nos deux tourteaux sont tellement mignon que j'en aurais voulu plus. L'histoire tend plus sur le travail de Samantha, sur sa bourde et sur la façon dont elle reprends du poil de la bĂȘte ce qui n'est pas du tout inintĂ©ressant c'est mĂȘme tout le contraire. Mais une petite dose de romantisme en plus n'aurai pas Ă©tĂ© de trop.
L es personnages sont tout aussi sympathiques que l'histoire. Samantha qui est bosseuse, cherche à faire du mieux possible, m'a beaucoup plu. Elle a un caractÚre équilibré, elle a ses défauts comme tout le monde, elle est intelligente et gentille. Vers la fin son hésitation sur son métier m'a un peu hérissé par contre.
Nathaniel Ă  un cƓur tendre, il est comprĂ©hensif et gentil. Un mec en or quoi. Sa mĂšre est tout aussi adorable et on aimerait en avoir une comme elle.
Le couple qui engage Samantha sont criant de bĂȘtise mais trĂšs gentil aussi. 
Dommage qu'on ne voit pas plus la meilleur amie de Samantha qui lors de ces rares apparitions m'a fait trĂšs bonne impression.
Q ui dit chick lit, dit lecture facile est c'est exactement ça. En plus j'ai tellement passé un bon moment que je n'ai pas vu les pages défilées.
U n livre qui se lit tout seul. Si vous cherchez un livre pour passer un moment léger et agréable, n'hésitez pas. Sophie Kinsella signe encore une fois un livre pour un moment détente.
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Publié le

2 septembre 2012




Publié dans
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Laura, prostituĂ©e confinĂ©e : « J’ai jamais vu autant de mecs mariĂ©s »
Entretien & Photos Benjamin Badache
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« En plein confinement, je ne vais pas faire l’escort le soir et aller bosser dans le mĂ©dical aprĂšs. Je prends des risques pour moi, c’est pas grave, mais pour les autres c’est hors de question. » Responsable, Laura a mis de cĂŽtĂ© son activitĂ© d’aide-soignante pour faire face Ă  l’épidĂ©mie Ă  sa maniĂšre. Escort depuis cinq ans prĂšs de Cannes, la jeune femme de 25 ans est passĂ©e de deux clients par jour Ă  cinq. A l’origine, elle se prostituait occasionnellement pour arrondir ses fins de mois : « Premier appartement, travail de caissiĂšre, c’était pas simple pour se faire plaisir , se souvient-elle. J’ai vu un reportage Ă  la tĂ©lĂ© sur l’escorting, ils en faisaient presque de la pub ! J’ai tentĂ© et adhĂ©rĂ©. Faut ĂȘtre forte mentalement mais tu te fais de l’argent facilement .»
Aujourd’hui, si elle a choisi de concentrer son activitĂ© sur la prostitution, ce n’est pas par choix. Elle loge dans un hĂŽtel qui ne propose plus de tarif Ă  la nuit pour limiter les va-et-vient. RĂ©sultat, elle doit payer 900 euros par mois pour une chambre, sa seule solution de logement : « Tant que le confinement dure, je ne peux pas m’arrĂȘter. J’ai appelĂ© la prĂ©fecture, la mairie et des assistantes sociales mais rien Ă  faire. J’ai dĂ» sortir deux loyers en quelques jours. » Un confinement qui bouleverse son quotidien mais aussi son activitĂ©. La situation inĂ©dite du pays se ressent particuliĂšrement dans la chambre Ă  coucher. Encore plus sur l’oreiller d’une escort, oĂč les hommes se confessent librement.
La France est confinĂ©e – tu arrives malgrĂ© tout Ă  avoir des clients ? Laura : Quand Macron a annoncĂ© le confinement, j’ai totalement paniquĂ©. J’en rigolais avec un pote en lui demandant si Macron allait faire quelque-chose pour les escort-girl. Pour moi, c’était fini, plus personne n’allait venir.
Mais
 Mais dĂšs le lendemain, j’étais rassurĂ©e. Les hommes viennent quand mĂȘme, c’est pas ça qui les bloque. Il y a peut-ĂȘtre un peu moins de demande mais j’ai encore suffisamment de clients. Ce matin, un ouvrier d’un chantier du coin a passĂ© sa pose dĂ©jeuner avec moi. La seule diffĂ©rence depuis le dĂ©but du confinement, c’est le couvre-feu ( interdiction de sortir entre 22h et 5h depuis le 22 mars pour certaines communes d’Alpes-Maritimes, ndlr ). Plus de personne ont peut de sortir, j’ai des clients qui me demandent de passer la nuit chez moi et d’autres qui restent debout jusqu’à 5 heures du mat’ pour vite s’échapper et venir me rejoindre. Ils ont plus peur de l’amende que du virus.
Ce sont surtout des habituĂ©s ? Ah non au contraire ! Je vois beaucoup plus de personnes qui viennent pour la premiĂšre fois. On sent qu’ils sont dĂ©butants : ils dĂ©barquent, gĂȘnĂ©s, et rapidement, ils me disent que c’est leur premiĂšre fois avec une escort, ils ne savent pas trop comment faire. Avec le confinement, ils ne trouvent pas d’autres moyens pour coucher. La plupart sont jeunes d’ailleurs, beaucoup ont moins de 30 ans. Tu sens qu’ils s’ennuient et qu’ils ne savent pas quoi faire. Ils zonent sur internet, vont sur les sites et se dĂ©cident Ă  rencontrer leur premiĂšre escort.
A part les jeunes, tu vois d’autres profils ? Les jeunes ça me frappe parce que j’ai l’habitude d’avoir des hommes plus ĂągĂ©s. Mais depuis le dĂ©but du confinement, ce qui saute aux yeux c’est les hommes mariĂ©s. J’ai jamais vu autant de mecs mariĂ©s, j’en ai Ă©normĂ©ment. Tout Ă  l’heure, sur le site, un type m’a contactĂ© pour venir me voir, son pseudo : « Je la supporte plus, envie de baiser ». Il m’expliquait ĂȘtre enfermĂ© avec sa femme depuis une semaine, il n’en pouvait plus. Le type Ă©tait Ă  bout !
Donc pour toi, ils ne seraient pas venus si nous n’étions pas dans une pĂ©riode si exceptionnelle
 Non clairement pas. Je ressens vraiment le cĂŽtĂ© exceptionnel de la situation, les gens reconsidĂšrent leur quotidien. Un homme mariĂ© ne peut plus aller voir sa maitresse et n’a plus le bureau pour s’aĂ©rer l’esprit. Il se retrouve enfermĂ© avec une femme qu’il ne dĂ©sire plus et des enfants qu’il supporte difficilement. La rĂ©ciproque peut-ĂȘtre vraie. Chacun prend le temps de se questionner sur sa vie, son job, son quotidien et ses dĂ©sirs.
Sur ses dĂ©sirs ? L’ennui permet de faire le point, d’explorer. DĂšs la premiĂšre semaine de confinement, j’ai reçu une femme, chose qui ne m’arrive jamais. Je ne suis pas lesbienne mais pour moi c’est plus tranquille donc tout bĂ©nef’. Elle Ă©tait mariĂ©e, 48 ans, sans aucune expĂ©rience avec les femmes. Elle a profitĂ© de cette pĂ©riode pour assouvir un dĂ©sir de longue date.  
Le climat en France est assez anxiogĂšne. Est-ce que ça crĂ©Ă© d’autres envies, des demandes particuliĂšres chez tes clients ? Les plus ĂągĂ©es me demandent parfois de faire un strip tease pendant qu’ils se caressent pour Ă©viter les contacts. Hier, j’en ai reçu un en porte-jarretelles et pareil, il s’est touchĂ© en me regardant mais il portait un masque. C’est un peu Ă©trange mais bon
 A part ça, aucune nouvelle pratique. Pas d’exutoire ni de rapports plus passionnĂ©s, ça reste trĂšs routinier.
En terme d’hygiĂšne, tu remarques une attention particuliĂšre chez tes clients ? Pas du tout dans l’ensemble, les mecs arrivent, ne se lavent pas forcĂ©ment les mains. Ils s’en foutent ! Je propose toujours ma salle de bain, s’ils veulent se rafraichir et prendre une douche. TrĂšs peu le font, la plupart repartent sans se poser de question.
Et toi, tu adaptes tes prestations pour limiter les risques ? De base, l’hygiĂšne est ultra importante dans mon mĂ©tier. Je me lavais dĂ©jĂ  avant et aprĂšs chaque rapport, donc ça change pas grand chose pour moi. Au lit, mĂȘme avant l’épidĂ©mie je n’embrassais pas, sauf en cas de bon feeling. LĂ , j’embrasse pas du tout mais pour le reste
 tout est permis. Je ne pense pas limiter les dĂ©gĂąts en arrĂȘtant certaines positions. Je sais que je prends des risques mais faut bien que je gagne ma vie donc je le fais Ă  fond.
T’es du genre Ă  discuter avec tes clients ? CarrĂ©ment ! Je suis pas dans l’abatage, Ă  enchainer les clients toute la journĂ©e en regardant ma montre. Pour certains, une heure c’est une heure. Mais quand ça se passe bien, je ne suis pas Ă  la minute, ça m’arrive mĂȘme de prendre des verres aprĂšs.
Vous parlez du Coronavirus ? Ah oui ils m’en parlent. Je les entends se plaindre : les flics sont partout, c’est impossible de sortir, les rues sont vides, ils s’ennuient Ă  mourir chez eux. Mais les mecs sont chez moi, une escorte ! Et aprĂšs, ils rentrent Ă  la maison retrouver leur femme, leurs enfants alors qu’ils savent bien que je vois du monde
 DĂ©jĂ  de base, sans le virus, les mecs mariĂ©s qui viennent ça me dĂ©goute
 Mais lĂ , c’est carrĂ©ment dangereux pour leur famille. Parce qu’en rentrant Ă  la maison, je ne les imagine pas dire Ă  leur femme qu’ils reviennent de chez leur escort adorĂ©e.
Tu les aides Ă  s’échapper de chez eux ? Je leur donne des idĂ©es. Par exemple, il y a un gros supermarchĂ© Ă  cĂŽtĂ© de chez moi donc je leur conseille de dire qu’ils vont chercher des cartouches d’encre ou des trucs qu’on ne trouve pas partout. Au final, j’en vois pas mal se dĂ©placer sans attestation. En journĂ©e, j’ai des clients de toutes les villes du coin, jusqu’à 15-20 kilomĂštres. En revanche le soir, c’est quasiment que des locaux.
J’imagine que d’autres clients respectent le confinement tout de mĂȘme
 Oui quelques-uns m’ont prĂ©venu de leur absence le temps du confinement. J’ai notamment un client, et il n’est pas le seul, qui veut juste ma compagnie. Pas de sexe, on ne se voit jamais dans ma chambre. On va plutĂŽt boire des verres, dĂ©jeuner ensemble, faire des balades. Lui je sais que je ne le reverrai pas avant la fin de cette histoire.
Ton boulot parait relativement bouleversĂ©. Tu retiens quoi de tout ça ? À part le fait que les mecs mariĂ©s me dĂ©goutent encore plus ? Je reste une femme avant tout, voir ces pĂšres de famille se prĂ©cipiter dans mes bras parce qu’ils sont enfermĂ©s avec leur femme, ça ne donne pas envie de croire en l’amour. Au-delĂ  de ça, je suis convaincu de vouloir arrĂȘter. La pĂ©riode me montre qu’on est totalement seules pour s’assumer. J’ai quand mĂȘme failli me retrouver Ă  la rue en quelques jours
 En plus, impossible d’aller voir des amies qui sont confinĂ©es ensemble, je dois satisfaire ces messieurs pour payer mon loyer. Ma famille, c’est pareil. Ils ne savent pas ce que je fais mais mon pĂšre est malade, je ne peux pas prendre le risque d’aller leur rendre visite. Je me dis que ce confinement aura eu du positif pour moi. Entre tous ces comportements et la prĂ©caritĂ© du taffe qui saute aux yeux, j’ai envie de reprendre une vie normale.
Technikart magazine
9, rue Mandar 75002 Paris

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