Samantha une baleine qui aime les bonnes prises

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littledolly76 32 ans Rouen (76) France

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Création : 14/08/2005 à 15:39
Mise Ă  jour : 03/11/2005 Ă  22:03
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‱ Samantha

ChoyĂ©e, Samantha pleure. ChoyĂ©e, Samantha meurt. Sonne & assomme encore Samantha. Elle n'y croit plus. Ecoute ton coeur s'encrasser comme leurs machines. Ton corps ne servira plus. Samantha couche-toi, mĂȘme s'ils sont aux pieds de ton lit, mĂȘme s'ils te prennent. Samantha pleure. Cette douce chaleur te tient en laisse. Par la corde saigne. Toute petite, petite bouche aime l'ingestion : ça mousse au fond. Ta chair est nue. Bois, tu l'emplis. Enfant caresse le. Un, deux genoux rentrent dedans, le sol est mou. Tout devient lent. Martyr attire les mouches, suit les cris sous la terre, l'ame saoule. Martyr attire les mouches, fuit les cris sous la terre, l' ame seule. A nos pĂšres qui ĂȘtes absents... DĂ©livrez-nous du mal... Je vous salue Marie, pleine de grĂące. A ceux qui nous ont offensĂ©s : nous vous soumettons Ă  la tentation. A ceux qui nous ont dĂ©vastĂ©s, dites leur la vĂ©ritĂ© : la bĂȘte et l'agneau ne font qu'un. Craque sa tĂȘte. Un bĂ©bĂ© dort sous la terre, la bouche pleine. Coule ! Sperme et poussiĂšre. Il Crache ses plaies. PoupĂ©e chiffon... La nuit est sourde. Samantha s'en va. J'attends mon tour. Dorment les cris. J'ai empruntĂ© ton corps, je te le rendrais un peu cassĂ©.


‱ Des cendres

Ton coeur pend au-dessus de ma tĂȘte. Toi l'amant, il ne reste qu'une miette de ta peau douce presque adolescente. La mouche tournoie, elle n'est plus patiente. PoussiĂšre chaude veut me faire tousser. Mes mains ne cessent plus de penser. Mes yeux ne veulent plus baver. Juste que c'est pas moi qui l'ait tuĂ©. TĂȘte fait mal, gouffre avale, c'est un sol sale. La sens-tu brĂ»ler? Corps bancal, toi qui tombe. Te noyer gorge violĂ©e. Essaie parle! Viens te perdre dans le creux de mes reins. J'aime ton sang sur mon corps. Mange ton coeur dans mes mains. Je n'ai rien pu cacher dedans. Je ne fait que te regarder. De mes mains... Te noyer! Laisse-toi boire par les grands secrets des anges! Laisse-toi croire que tu m'as rendue sale. Laisse-moi te voir faible dans un corps qui penche. Laisse-moi avoir le choix que tu n' aies plus jamais mal. Laisse-moi croire que tu n'as plus mal... Un pantin ivre, pour un maĂźtre avide. Toujours sourire pour moins dormir. Et te tuer juste pour rire. Laisse-moi croire que tu n'as plus mal.


‱ Encore

Encore, encore un autre gĂ©nocide. Encore un blackos shootĂ© dans le bide. Encore un mec qui n'a pas suivi le guide. Encore et encore. Un autre lendemain glisse vers chaque fin de soleil. Les coeurs palissent, un oeil se plisse comme pour ne plus jamais s'ouvrir. Soupir d'indiffĂ©rence, cette fille, par chance, prend donc naissance. A tout heure fait sa loi, l'humain se noit, se croit, encore une fois, l'ĂȘtre unique, langue plastique, l'immortel qui n'aura jamais plus mal au corps. Encore un autre lendemain... Les images frappent, claquent ma caboche. D'une croix je coche quand je croise la mort et sa foche. Sur la toile succombe ma planĂšte. Bon de jambes tombent. RĂ©sonnent les trompettes, mort se fĂȘte. Maisons de passes pullule, cassent des vierges prises pour des garces sans pillule. Des races s'effacent. Le dĂ©lit de sale ganache marche encore : laisse des traces sur des gosses morts. Encore un autre lendemain... Un bastos dans le bide, une femme qu'on assassine, un peuple qu'on extermine, un gosse couvert d'acide. Encore, encore, non! Encore!


‱ VolĂ©e

Quelle puissance ! Corps sur moi, je m'Ă©loigne. IndĂ©cence, sales ses mots m'ont dĂ©chirĂ©es ; ma langue saigne. Quelle dĂ©fense ? J'oublie mes sens, mes conforte dans mes maux. Et mes yeux se souviennent. Il a ouvert les portes. Le roi dĂ©shonore sa reine. Les cris de nos deux corps... Les jambes sont Ă©tendues. Une absence... Ma vie s'Ă©tait suspendue. Sa violence lentement m'efface, me saccage et me pose. L'animal se dĂ©chaĂźne. Mes souvenirs s'en moquent. Je subis l'hĂŽte et sa haine. Les plis de nos deux corps, morts. J'essaie d'en sortir, de m'aimer, de sourir. Sa joyeuse tendance acide m'offre des minutes placides. Je me tourne une fois, deux fois : je prend le rythme qu'il m'octroie. Il enfonce de ses mains ; il permet la chaleur Ă  l'abĂźme encore abimĂ©e. Il invoque. Je chuchote sa mort autant que la mienne Ă  l'instant. Oui... Il me vole. L'amant s'adonne Ă  ses rĂȘves et plus aucune trĂšve jusqu'au bonheur ultime de son odeur humide sur ma peau. Puis l'Ă©cume de son effort est bue par ma bouche qu'il entrouvre et qu'il force. Mais l'Ă©phĂ©mĂšre te possĂšde. Tu me rend froide, neutre... morte.


‱ Le projet humain

L'arbre s'affaisse au murmure de l'oeil qui chuchote Ă  la bouche, offense, faute, simple secret. Ça avance comme un flot de mĂ©thane. Empourprant ma gangrĂšne des pieds jusqu'Ă  la tĂȘte, je suinte, je saigne, pour vous ma race humaine qui s'est endormie au coin du monde. Immonde est le reflet du pĂ©chĂ© trop lourd Ă  porter, donc je le porte. Je suis l'enfant choisi, conquit, nĂ© sur sa terre promise soumise Ă  mon fouet qui lacĂšre les chairs perdues s'Ă©tant dĂ©tournĂ©es du droit chemin qui est le mien. Veux-tu encore m'entendre geindre & me plaindre... Non. Toi, mĂ©lasse, prĂ©lasse-toi, traĂźne-toi encore dans l'air putrĂ©fiĂ© et chaud. Car bientĂŽt je viendrais vous sauver. Ma couronne d'Ă©pines insĂ©rĂ©e dans la tĂȘte, moi, assidue, j'obĂ©is au grand maĂźtre et je lĂšche Ă  en perdre mon haleine presque morte, je suffoque, je m'Ă©touffe en Ă©tant Ă  sa droite, mais soit. Je visionne comme un film chaque vie qui dĂ©file, trie et parfois imagine. Toi, mĂ©lasse, prĂ©lasse-toi, traĂźne-toi encore, attend-ta mort. Ton corps s'endort dans ma venue indolore. Et je me saigne aux quatre veines, aux quatre sangs, pour que mon aurĂ©ole devienne diadĂšme et qu'un jour, scintillant, il devienne bien brillant. Dormez tranquilles, impassibles, car du haut de mon trĂŽne, moi, je vous conditionne. Moi, je vous conditionne! Toi, mĂ©lasse, prĂ©lasse-toi, traĂźne-toi encore, attend ta mort, implore. Ceux que tu adores, te tendent la main et te laisse Ă  ton sort. L'ironie du sort? Le sort! Enfant, assieds-toi contre moi, en moi. Je suis partout, j'ai soif. Viens dans mon viol. Ton ame prend feu. Je suis celui qui pompera ta vie.


‱ AnimadVersion

Tu aurais du ressentir en toi, une nouvelle perception, un nouveau regard, avide de savoir, grandissant & cherchant en toi c'que jamais il ne trouvera. Tu refusas d'y croire, retenant physiquement, c'qui n'avait pas sa place en toi, c'que tu n'voulais pas voir, qui n'aurait jamais dĂ» ĂȘtre lĂ . Être lĂ . Nous ne verrons plus jamais Ă  deux, dĂ©barrassĂ©s d'une incision Ă  la lame. L'extraction aura quand mĂȘme lieu, des hurlements stridents emplissant ton Ăąme, laissant tes yeux secs, pas une larme. Lui, sorti de cet antre imprĂ©gnĂ©e d'alcool, de fumĂ©e, dĂ©jĂ  maculĂ© de ton sang impur, sa premiĂšre sensation se pesant comme une vision, une impression, la folie derriĂšre les murs. Tu ne lui donneras jamais le sein, tout ce qui pouvait te raccrocher Ă  lui n'Ă©tait rien, laissant cette graine jetĂ©e Ă  terre inconsciemment, se dĂ©velopper comme la gangrĂšne ne pensant pas que par l'enfance, la vie d'un ĂȘtre est dĂ©terminĂ©e. Tu devais pourtant incarner le lien viscĂ©ral entre ce ventre cĂ©leste & son contenu maudit. Sais-tu c'que peut ĂȘtre une vie Ă  subir, nourrit aux racines d'un amour lĂ©tal, croire que tu vas venir? Cris, violence & non-respect de l'ĂȘtre ne peuvent amener qu'au mal de vivre, Ă  une rancoeur amĂšre, toujours aussi prĂ©sente. Le pardon ne pouvant s'envisager, seule une vengeance violente, une dĂ©charge de tout ce qu'il y a de mauvais, malsain, au plus profond du subconscient, pourrait permettre de ne plus penser aux noirs souvenirs qui gangrĂšnent ma chair me rendant chaque jours un peu plus malade. Mes pieds s'enlisent, mon esprit les suit. Je me perds. Plonge tes mains dans mes larmes blanches, nage au sein d'une volute d'abominations, de laideur, de carnage. GoĂ»te dans ma bouche, l'arĂŽme amer de l'ennui. Toutes ces tortures qui hantent mes nuits. Entends de mon ouĂŻe, ces notes mĂ©lancoliques, mes grincements de dents, cette musique symbolique. Regarde dans mes yeux, une vision troublĂ©e du vrai visage de l'homme angoissant, torturĂ©, touche, de mes mains, tes joues humides. Une douce peau parfumĂ©e qui finira putride. Ressent ce liquide qui frappe tes tempes, rougit mes yeux, mais pourtant, alimente le coeur du nourrisson comme celui du vieux t'Ă©pousant dans la chair, les bosses, les creux. Tu peux le percevoir, le sentir ruisseler, c'n'est plus la peine de croire. Non, je ne peux pas oublier! Non, je ne veux plus oublier! Un dĂ©sĂ©quilibre profond flotte en moi, Ă©carquillĂ©, vitreux. Je dois ĂȘtre dĂ©chirĂ©, je ne sais plus vraiment c'que j'fais. Ta gueule est tumĂ©fiĂ©e. Que dire, pas grand chose, tout ça devait arriver. L'important, au fond, c'est de crever l'abcĂšs, hurler, extĂ©rioriser, en morceaux t'enterrer. Le sang Ă©pais & chaud galvanise mes mains. Mon coeur, par terre, emprunte le chemin qui mĂšne Ă  l'horreur d'une excitation morbide, les yeux brillants, le regard matricide. Ce soir, tu m'as mentit encore une fois... Tu avais dit que tu rentrerais tĂŽt. Mais la terre dans ta gorge me laisse croire que, maintenant, tu ne rentreras plus. Je construits des abysses, c'est si beau, quand c'est au fond de la peau. Que je l'aime ton doux regard qui plisse... C'est si beau quand je dĂ©fonce ton cerveau.


‱ Entends-tu les pas

Entends-tu les pas de celui qui vient te prendre Ă  terre te jeter, en toi s'Ă©pandre. Ses paroles douces et chaudes Ă  l'instar de ces mains. Glissent sur tes hanches, subliment tes reins. Son regard perce, le soir, les miroirs de ton Ăąme. Tes plus honteuses pensĂ©es, tes dĂ©sirs, ta flamme. Sa langue, choquante, ne peut point dĂ©cevoir. RafraĂźchissant ta peau, la pointe de tes seins. Androgyne sexuel aimerait,une fois au moins,entrer dans ce corps.... qui peut recevoir une plĂ©thore de caresses, aussi brĂ»lantes, que glacĂ©es. Le goĂ»t du miel, a celui du sang mĂ©langĂ©. Ses yeux prennent soudain, l'expression d'une catin jamais rassasiĂ©e, dĂ©vorĂ©e par la faim. DĂ©poses dans tes fines mains le pouvoir phallique. Les gestes se font divins, les regards diaboliques. BrutalitĂ©s et onctions, Ă  outrance, mĂȘlĂ©s, autant d'invitations Ă  un viol partagĂ©. Exhibitionniste et voyeur Ă  la fois, avant de caresser par tes formes excitĂ©. D'une raideur caudale fait lĂ©viter ces draps qui se jouent des cambrures, aimant ton corps dĂ©guiser, dĂ©lice, le gourmand orifice. Ce jardin mystique, oĂč il aime Ă  s'enliser; il glisse sur le chemin de tes cuisses puis pose ses lĂšvres sur les tiennes... trempĂ©es. Sent tes cuisses, autour de sa nuque tressaillir. VoluptĂ©s occultes, offrandes outrageuses, hurlement implicites entre effroi et plaisir. Dominer, se soumettre dans une scĂšne scandaleuse. Le remugle utĂ©rin devient alors le plus doux des parfums. Bien plus froid que la mort. Ce mal en toi, n'est pas lĂ  pour saillir, obscĂšne, veut palper ton esprit, tes plaisirs. Puis sentir d'une exquis spasme vaginal, le funeste sentiment d'une jouissance fatale...



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# Posté le samedi 17 septembre 2005 22:14
Modifié le vendredi 01 juin 2007 00:02


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« Love your lies » est un rock enlevĂ© qui s’appuie sur des progressions musicales qui nous rappellent « le bon vieux temps du rock’n’roll ». L’ambiance est rĂ©chauffĂ©e par la prĂ©sence discrĂšte des cuivres.
Cette chanson de co-écrite par Samantha Fish et Jim McCormick est extraite du sixiÚme album studio de la chanteuse publié en 2019 : « Kill or be Kind ».
I looked up and saw my
My darkest days before me
I don’t need it, I don’t want it,
Just fucking say you’re sorry
Maybe you’re gonna just get by,
Maybe you’re gonna someday come alive
Maybe I’m gonna learn this time,
Maybe I’ll be living another lie
You know I love your lies
My best friend, my lover,
I think you’re tied to another
You held me so closely,
I was so hollow when you chose me
Maybe you’re gonna just get by,
Maybe you’re gonna someday come alive
Maybe I’m gonna learn this time,
Maybe I’ll be living another lie
You know I love your lies
Maybe you’re gonna just get by,
Maybe you’re gonna someday come alive
Maybe I’m gonna learn this time,
Maybe I’ll be living another lie
You know I love your lies
J’ai levĂ© les yeux et j’ai vu mes
Mes jours les plus sombres devant moi
Je n’en ai pas besoin, je n’en veux pas,
Dis juste que tu es désolé.
Peut-ĂȘtre que tu vas juste t’en sortir,
Peut-ĂȘtre qu’un jour tu vas survivre.
Je vais peut-ĂȘtre apprendre cette fois,
Peut-ĂȘtre que je vivrai un autre mensonge
Tu sais que j’aime tes mensonges
Mon meilleur ami, mon amant,
Je pense que tu es lié à une autre.
Tu m’as tenu de tellement prùs,
J’étais si faible quand tu m’as choisie
Peut-ĂȘtre que tu vas juste t’en sortir,
Peut-ĂȘtre qu’un jour tu vas survivre.
Je vais peut-ĂȘtre apprendre cette fois,
Peut-ĂȘtre que je vivrai un autre mensonge
Tu sais que j’aime tes mensonges
Peut-ĂȘtre que tu vas juste t’en sortir,
Peut-ĂȘtre qu’un jour tu vas survivre.
Je vais peut-ĂȘtre apprendre cette fois,
Peut-ĂȘtre que je vivrai un autre mensonge
Tu sais que j’aime tes mensonges
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