Sa vulve mérite mieux que ses doigts

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Sa vulve mérite mieux que ses doigts

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Accueil » Santé et Remise en forme » Nouveaux plaisirs : 6 idées magiques pour stimuler sa vulve

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Qu’est-ce qu’une vulve ? Jolie question et mot qui peut rapporter gros au Scrabble s’il est bien placé. Mais réellement, répondons, parce que cet « ensemble d’organes génitaux externes » (indice) n’est pas toujours bien cerné. Déjà, la vulve n’est pas le vagin, et le vagin n’est pas la vulve. La vulve « se voit », c’est la partie extérieure du sexe féminin, tandis que le vagin ne soit pas (c’est un conduit, et non pas un trou, parce que non, le vagin n’est pas constamment « ouvert »).
La vulve comprend les grandes lèvres et les petites lèvres, le capuchon du clitoris et le gland du clitoris (et non pas tout le complexe clitoridien, car le « reste » du clitoris s’étend à l’intérieur du corps), le méat urinaire (et non pas l’urètre, mais bien son extrémité, sa porte de sortie disons), l’orifice vaginal (et non pas le vagin, mais l’entrée du vagin), le vestibule (terrain sur lequel se situe le méat urinaire et l’orifice vaginal), l’hymen et les glandes de Bartholin (qui produisent la cyprine, utile à la lubrification). 
Maintenant que les choses sont plus claires, on remarquera (en passant), que la vulve n’est qu’une succession de portes d’entrées, une sorte de hall d’accueil. « Vous cherchez ? Le gland du clitoris, le clitoris intérieur ? Ah, le vagin ? C’est par là. » Et voilà, les doigts s’affairent et bien souvent se dirigent vers le salon, pièce fort agréable, dans laquelle on a toujours entendu qu’on y passait de « bonnes soirées ». Seulement voilà, ce petit hall d’entrée qu’est la vulve vaut mieux que cette image de vulgaire paillasson sur lequel on s’essuie les pieds avant de passer aux choses sérieuses. La vulve, on peut la caresser, la stimuler, la considérer dans son entièreté. Alors pour de nouveaux plaisirs en veux-tu en voilà, nos conseils pour profiter de toutes les pièces de la maison.
Dans un souci de slow sex, et parce que la vulve mérite que l’on prenne le temps, débarquons tranquillement et caressons « le jardin », soit les alentours (aucune métaphore avec le poil ici, bien que ça fonctionne). L’idée : remonter depuis les cuisses et approcher son sexe en douceur. Une bonne dose de frissons fera monter la tension recherchée.
Pour continuer sur cette lancée, et parce que personne n’est pressé, rencontrons la vulve en gardant, pourquoi pas, notre culotte, voire même notre pantalon (mais pas notre anorak). Le contact de tissu, qui agit comme un tampon, peut s’avérer très agréable. On se caresse « par-dessus », ce qui a le don de générer un maximum de douceur, d’éviter toute douleur (parfois due à une certaine précipitation) et de nous frustrer positivement (l’envie devient de plus en plus forte, et plus il y a de désir, plus on appelle le plaisir).
La vulve est une sensible : flanquer ses doigts « à sec » (ou même un sextoy) sur les lèvres, les petites lèvres, le capuchon ou le gland du clitoris, c’est prendre de le risque de transformer une partie de plaisir en sensations désagréables (du genre ongle sur le tableau de la maîtresse). Pour éviter tout désagrément, on utilisera donc un lubrifiant à base d’eau, qui adoucit les caresses (et n’est pas seulement réservé à celles qui souffrent de sécheresse, puisque rappelons que la lubrification féminine n’est ni constante, ni automatique).
Le gland du clitoris est visible à l’œil nu. Seulement, en phase préliminaire, quand l’excitation cherche ses prises et grimpe, grimpe, grimpe, le gland du clitoris est généralement caché (cela dépend des vulves). C’est avec le plaisir que celui-ci se dévoile ; il grossit et sort de sa planque. En attendant, et pour ne pas le déranger (sortie de sieste, etc.), on caresse donc le capuchon, ce pli de peau qui recouvre et protège le gland du clitoris. On peut lui tourner autour, le « remuer », ou poser ses doigts à plat sur la zone pour convoquer son bonheur.
Les lèvres ont bien des choses à nous dire. Malheureusement, nous avons tendance à les zapper, si ce n’est qu’elles sont parfois admirées pendant le cunnilingus. Mais lorsqu’on se masturbe ? Une fois que le clitoris gonfle sous nos doigts (ou s’apprête à le faire), on descend faire un tour dans le couloir. Humidifiées, les grandes lèvres et les petites lèvres sont très agréables à caresser. On peut aussi les tapoter, les frotter, les chatouiller, ou les stimuler avec son canard vibrant.
L’orifice vaginal, qui n’est autre que l’entrée du vagin, est considéré comme un passage. Or, pour prendre du plaisir, imaginons qu’il est indispensable de trouver la clé du vagin et que celle-ci se situe justement (comme par hasard, dis donc) à l’entrée du vagin. Pour cela, on la stimule, on s’attarde un instant, car cette partie du corps est sensible et réceptive aux caresses. Dommage, donc, de s’en passer et de foncer d’emblée vers une pratique de va-et-vient. Les parois vaginales, ne l’oublions pas, sont riches en surprises. Et si on s’aventure un peu, à quelques centimètres et sur la paroi antérieure, on pourra flirter avec le fameux point G, point de croisement du vagin et du clitoris (interne). Et là, il n’y a pas à dire : on se sentira comme chez soi, merci la vulve.





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Présences magazine est un magazine collaboratif d'auteurs triés sur le volet qui proposent des articles sur le développement personnel, la psychologie, la spiritualité, le bien-être et la santé, le lien à la nature et aux plantes, l'amour, le couple et la sexualité, le yoga et autres disciplines.
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Le sujet peut paraître glissant au premier abord (sans mauvais jeux de mots) voire brûlant, il nous semble pourtant central dans les comportements inconscients qui nous régissent depuis des millénaires. Dans cet article, nous allons donc essayer de vous proposer un éclairage, à la lumière de notre propre expérience et de notre conscience actuelle, de ce que nous croyons être un des éléments cruciaux de la déviance et de l'enfermement d'une grande partie de notre Humanité.
Le sexe de la femme représente naturellement la vie, le passage de la naissance mais aussi le lieu de la jouissance. Pourtant, qu'avons-nous fait de ce sexe ?
Pour les accouchées occidentales, il est devenu un simple lieu obstétrique et trop souvent sous les mains de la science où les périnées se voient coupés à outrance.
Dans certains pays d'Afrique, on en vient même à priver la femme de la jouissance en lui enlevant le clitoris. Nous semblons avoir beaucoup de difficulté à laisser vivre cette vulve pour ce qu'elle est : Une des expressions de la puissance du féminin dans la matière.
Soit diabolisée, soit propice au culte pornographique, nous ne semblons pas pouvoir trouver une voie intermédiaire faite d’émerveillement joyeux comme nous pouvons l'être devant le spectacle d'un lever de Lune, de soleil ou d'un ruisseau qui coule.
Notre inconscient reste donc peuplé de tabous, de croyances, d'histoires en tous genres autour de cette chair qui garde, il est vrai, encore de nombreuses parts de mystère.
Comment les femmes peuvent-elles se sentir bien dans leur corps et dans leur sexualité face à toute une montagne de préjugés, de jugements, de conditionnement autour de leur propre sexe ?
Viennent trop souvent s'inviter au sein de l'acte charnel, la honte, la culpabilité voire la peur.
Une femme qui assume pleinement sa vulve peut encore aisément être prise pour une catin. Sans oublier qu'une prostitution menée de main de fer par des proxénètes reste toujours d'actualité, maintenant le «pouvoir» de l'homme en place... Et quelle odieuse place !
Comment l'homme pourrait-il ainsi se positionner de façon saine à son propre féminin intérieur et dans sa relation d'avec la femme de manière équilibrée ? Comment pourrions-nous tenter de sortir de ce cul-de-sac ?
En constante évolution individuelle et à deux, nous vous offrons nos découvertes et expériences.
Adélaïde et Yan SERRE, sont deux êtres qui ont eu plusieurs vies (au sens propre comme figuré) avant de se rencontrer en février 2018.
Dans leurs vies parallèles, ils ont rêvé un peu, aimé plusieurs fois, échoué parfois, souffert pas mal, réessayé toujours, espéré souvent, avancé et grandi surtout.
D'expériences en expériences, ils ont finalement pris ce chemin de la connaissance de soi qui leur a depuis ouvert les portes du bonheur simple en couple.
Avant cela, ils ont pu expérimenter ce qu'est l'Amour divin au creux de leurs cellules et ce chacun de leur côté.
Adélaïde suite à une énième rupture amoureuse, comme un r-éveil brutal d'un trop long sommeil. La belle au bois dormant ne s'est pas réveillée du baiser du prince charmant mais de la rude claque d'un simple humain.
Et puis, l'évidence qu'elle méritait mieux lui a sauté aux yeux (reflet de l'âme), le chemin du pardon entamé sera alors le coup de baguette magique à une vie qui devient extraordinaire, faite de messages, de signes, de vibrations... Bref d'Amour.
Vous pouvez retrouver son cheminement au travers de ses carnets intimes publiés depuis le premier numéro de Présences Magazine.
Yan n'a pas été épargné non plus d'épreuves sur son parcours. Elles ont été également de formidables apprentissages à la reconquête de Soi débuté dès son plus jeune âge.
Dans ses livres -tous autobiographiques- il conte ses découvertes spirituelles au grès de sa vie quotidienne et des événements qui la jalonnent.
Au travers de ses articles de Présences magazine, il vous dévoilent ses inspirations et pépites d’éveil.
Ils se sont donc logiquement "retrouvés" à la croisée de leurs chemins, avec cette envie commune de rencontrer celui et celle avec qui partager cette conscience que la vie n'est rien d'autre qu'une aventure merveilleuse. Mais surtout que nous sommes des êtres lumineux à la capacité d'Amour infini, ce que la plupart d'entre nous avons temporairement oublié.
De leur côté, main dans la main, ils arpentent les paysages épurés de cette réalité à la saveur d'un conte de fées.
À présent, ce bonheur pour être complet demande à être partagé avec celles et ceux qui sentent ce même appel à la re-connexion du Soi.
Ils ne gardent donc rien des secrets de leurs différentes découvertes et des dons qui leur ont été faits pour vous les partager lors d'un bout de votre propre chemin. En fait, leurs meilleures clés à la réalisation de votre propre conte de fées.
Rendez-vous sur leur site lesfeesdeserre.com si vous souhaitez en savoir plus.
En toute logique, participer à l'expérience «Présences magazine» nous a semblé couler de source et c'est avec joie que nous vous proposons chaque mois un nouvel article.

Bien-être Mantra Comment se masturber en étant une femme ? Tous mes conseils pour...


Source : Valeria Boltneva on Pexels


https://www.youtube.com/watch?v=P4RNP0j2EJY
Ah, le grand tabou de la masturbation féminine ! Si tout le monde voit ce que c’est que de se branler en étant un homme – ou en ayant des organes génitaux masculins -, beaucoup de femmes restent mystérieuses, voire gênées, par la pratique de la masturbation. Si vous êtes déjà à l’aise avec cette pratique, continuez ! Pour les autres, pourquoi ne parlerait-on pas de sexe, et surtout de ce fameux plaisir solitaire que l’on voit parfois à tort comme coupable ou interdit ? Se toucher est une pratique normale, et même très bénéfique pour le corps comme pour l’esprit : aimer son corps et être bien dans sa peau, ça passe aussi par le fait d’ être à l’aise avec la masturbation en sachant se faire plaisir , et ce qui nous fait plaisir. Et puis, l’orgasme féminin, qui délivre dans le cerveau une grande quantité d’hormones qui augmentent la sensation de plaisir, est bien plus puissant que celui des hommes… Ce serait dommage de ne pas en profiter, non ? Allez les filles, je vous donne plein d’idées pour vous apprivoiser et ressentir, le cœur battant et les membres tremblants, un formidable orgasme ! 
Si vous n’êtes pas à l’aise avec la masturbation, sachez que vous n’êtes pas la seule. Pour les femmes, ou les personnes possédant des organes génitaux féminins (pensons à tout le monde !), l’appareil sexuel est interne, on le voit moins, on le connait moins, et surtout, on en parle moins. La première chose à faire est d’apprivoiser votre corps , en prenant le temps de le découvrir. Pourquoi ne pas commencer par regarder comment sont faits les organes génitaux féminins ? Savez-vous ce qu’est le clitoris, la vulve, les grandes lèvres, les petites lèvres, le vagin, l’utérus (et il y en a d’autres !) ? Êtes-vous certaine de savoir ce qui vous excite, quelles sont vos zones érogènes ? Pour prendre du plaisir, seule, à deux (ou à plus !) il est vraiment important d’être bien dans ses baskets, et cela passe par la connaissance de notre propre fonctionnement. 
Commencez par vous renseigner sur le fonctionnement de votre corps avant de découvrir, ou de redécouvrir la masturbation féminine. Vous pouvez par exemple vous procurer le livre Connais-toi toi-même de Clarence Edgard-Rosa qui vous incitera à vous explorer – mais il en existe beaucoup d’autres ! Si vous êtes un peu plus jeune et que vous vous posez encore plein de questions sur la sexualité (notamment à la préadolescence ou à l’adolescence), je ne peux que vous conseiller d’aller lire le très bon Guide du zizi sexuel de Zep et Hélène Bruller (qui est sorti dans une nouvelle version en 2020, qui intègre les questions que se posent les filles !). Mais tous les moyens sont bons : explorez des comptes Instagram un peu féministes qui parlent du corps féminin et de sexualité comme gangduclito, tasjoui, jouissance.club (avec des dessins et des explications sur la manière de se toucher !) ou encore mercibeaucul_. Si vous préférez les supports vidéo, pouvez aussi trouver un tas de vidéos sur YouTube, qui vous expliquerons comment fonctionne votre corps de femme, quelles sont les zones érogènes, comment vous apprivoiser. 
En vous renseignant, gardez toujours à l’esprit que tous les sexes féminins sont différents : c’est vraiment important, j’insiste. Nous autres avons tendance à complexer facilement sur notre apparence, et il est fréquent d’avoir l’impression que son sexe est bizarre, difforme, trop grand, trop petit. De même qu’il n’y a pas deux pénis similaires, il y autant de forme de vulve, de clitoris ou de lèvres qu’il y a de femmes. Et c’est très bien comme ça ! Ne laissez jamais aucun.e partenaire critiquer votre sexe et installer en vous un manque de confiance : aimez votre propre corps tel qu’il est. 
On ne s’arrête pas en si bon chemin : vous savez comment fonctionne le corps d’une femme, mais le vôtre, en particulier, mérite toute votre attention. Il va falloir découvrir votre féminité, et vos propres organes génitaux – qui sont plus faciles à voir par quelqu’un d’autre que par vous-même, ces coquins. Utilisez une petite astuce très classique pour vous familiariser avec votre entre-jambe : prenez un miroir de poche et regardez votre sexe , assise en le tenant d’une main, ou debout en le mettant par terre.
Explorez : touchez les différentes parties de votre sexe, trouvez votre clitoris (il n’est pas toujours facilement accessible, mais il est bien là, sentez-le). Si votre petit miroir ne vous satisfait pas complètement, vous pouvez aussi prendre des photos (que je vous conseille très vivement de supprimer juste après, il faut faire très attention aux photos de vous-mêmes, encore plus quand vous envoyez des sexto sous forme de nudes). Vous pourrez ainsi zoomer sur les parties de cet inconnu qui va vous devenir familier, et que vous allez sans doute aimer. 
Découvrir sa féminité ne se limite pas seulement à l’exploration de vos organes génitaux : nous avons toutes d’autres zones érogènes, plus ou moins sensibles selon ce que l’on aime. Apprenez à découvrir vos seins, vos fesses, l’intérieur de vos cuisses, votre nuque, vos oreilles… et à aimer toute partie de votre organisme autant que vous aimez désormais vos organes génitaux. Si vous ressentez un peu d’excitation au cours de cette exploration, c’est normal. Si ce n’est pas le cas, c’est normal aussi. Encore une fois, on est toutes différentes, et mes conseils sur la masturbation proprement dite arrivent tout de suite ! Je ne vous l’ai pas encore dit, mais c’est important aussi : si vous ne ressentez pas d’excitation sexuelle, que vous ne ressentez pas l’envie de masturber, c’est aussi ok.
Chacune son rythme, avec ses envies et son parcours sexuel personnel . Cependant, si cela vous pèse de ne jamais être excitée, parlez-en avec un médecin ou un professionnel de la santé – je sais, on n’ose pas parler de sexe, mais mieux vaut un petit moment de gêne, devant quelqu’un qui ne vous jugera pas et qui est tenu au secret médical, qu’une grosse charge mentale qui pèse sur votre esprit, non ? 
Gauchère ou droitière, n’hésitez pas à utiliser vos deux mains pour mieux vous connaître. C’est aussi valable pour la pratique de la masturbation : si vous êtes droitière, vous serez sans doute plus à l’aise en vous touchant avec la main droite. Mais en réalité, ce qui fait jouir certaines, c’est de différer l’orgasme , en sentant le plaisir monter et en s’arrêtant juste avant la décharge d’hormones : utiliser sa main la plus « faible » peut donc faire monter le plaisir plus lentement. Encore une fois : explore
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