Sa première scène de sodo

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Ma première fois dans le porno : des acteurs racontent


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


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Publié le 8 août 2015 à 22h51 Mis à jour
le 8 août 2015 à 22h51

Au départ, le porno, c'était "un trip" pour Anna Polina. Deux ans après ses débuts, elle devenait égérie Dorcel. Crédit photo : Dorcel
Pour les acteurs, tourner une scène porno est un job qui s’apprend. Quatre performeurs racontent leur première scène devant la caméra, entre stress, excitation et problème d’érection.
« Aujourd’hui, les nanas cherchent la starification à deux balles. Moi, ça ne m’intéressait pas quand j’ai commencé. » Avec ses 18 films, Anna Polina est devenue une Dorcel girl, une des promotrices de la société de production auprès des médias. Quand elle a commencé, elle y est allée « avec toute l’inconscience de (s)es 19 ans » . Pour elle, faire du porno, c’était « punk » . La Franco-Soviétique n’a jamais été une grande consommatrice de films réservés aux adultes. C’est la lecture de La Voie humide , de Coralie Trinh Ti, une ancienne pornstar également coréalisatrice de Baise-moi avec Virginie Despentes, qui la happe vers le milieu du X.
Elle décide, elle aussi, « d’aller à l’encontre de la société » et prend rendez-vous avec John B. Root , un réalisateur qui voit le porno « comme de l’art » . Dans un grand open space occupé par une dizaine de personnes collées à leur écran d’ordinateur, elle découvre le plateau de tournage au milieu. « C’était très sécurisant malgré tout » , assure-t-elle. Elle rencontre Phil Hollyday, son partenaire d’une heure, choisi quelques jours auparavant avec le réalisateur.
« Je me suis trouvée débile à crier »
Complexée par son corps, la hardeuse vit cette scène comme une libération. « Je gardais mon soutif’ quand je faisais l’amour en privé. Je n’avais plus le même rapport à la nudité sur ce plateau. »
Anna Polina se dit à l’aise. Elle réalise le schéma classique de scène X : fellation, pénétration, position un, deux et trois. Et se laisse tenter par l’anal. « J’en ai eu envie, explique-t-elle, tout comme j’ai eu envie de crier comme je le voulais. »
Anna Polina n’a jamais visionnée la séquence, excepté le teaser. « Je me suis trouvé moche, à crier comme une débile et à me dire que je n’aimais pas ma voix. J’ai appris à prendre de la distance par rapport à mon image. Le porno, c’est une jolie leçon d’humilité. »
Jean Diane n’a jamais envisagé de faire « du porno à la Jacquie et Michel « . Le trentenaire a fait rimer X avec militantisme. « Je ne trouve pas d’intérêt à tourner face à un réalisateur qui n’a pas de message à faire passer » , lâche-t-il. Pour sa première, le trentenaire a joué sous les ordres d’une cinéaste, Ovidie , l’ancienne star du X devenue documentariste et écrivain. La féministe boucle le casting du film Le Baiser début 2014. Manque un acteur ouvert aux scènes entre hommes et avec des femmes. Lors d’un dîner, Jean Diane accepte le rôle, séduit par l’envie de montrer la bisexualité à l’écran. « Un homme avec des hommes et des femmes, c’est assez mal vu dans le milieu du porno. C’est aussi pour ça que j’ai dit oui. »
En juillet 2014, il rejoint la campagne normande pour tourner une scène. Le pitch : un couple gay accueille un duo lesbien dans sa résidence. L’apprenti acteur est en confiance, rassuré par la volonté d’Ovidie de filmer « des moments de complicité à quatre le plus naturellement possible. »
« Un joli porno » face aux blockbusters
Dans la piscine, les deux duos se mélangent sous l’œil d’une équipe réduite : la réalisatrice, un cadreur, un preneur de son, un régisseur et un maquilleur. Le sexe est oral, sans pénétration. Mais tourner en extérieur refroidit Jean Diane. « Je n’ai pas eu d’érection » , se souvient-il.
Le trentenaire revendique ce « joli porno » qu’il compare même à un film d’auteur, face aux blockbusters de l’industrie.
« Sur un tournage, je joue mais je ne triche pas. Je ne vais pas fuir un baiser par exemple, résume l’acteur. Je n’ai pas envie de travestir ma sexualité. J’aime faire du sexe avec des garçons, avec des filles, à plusieurs. Lors du tournage, je n’ai pas mis un masque sur ce que je suis. »
Elle a préféré jouer Alice, celle du pays des merveilles. Devenir Blanche-Fesses, l’héroïne de Blanche, Alice, Sandy et les autres , c’était trop de scènes pour une première. « Je n’étais pas sûre de tout assumer. Le réalisateur m’a parlé d’anal et de double pénétration, j’ai fait ‘houlà, on va y aller doucement’. »
Après quelques apparitions dans des salons érotiques et plusieurs strip-teases en boîte, elle se laisse tenter par la proposition de Christian Lavil : tourner sa première scène.
Ce 8 mai 2008, « le jour de l’anniversaire de (s)on frère » , Angell arrive sur le tournage, dans un château de la région parisienne. Cameramen, preneur de son, maquilleur, photographe et acteurs s’activent sur le tournage du film destiné à Canal+ . « Je m’imaginais trois ou quatre personnes. Là, il y avait du monde. Certaines connaissances venaient me voir en me félicitant. Dans ma tête, je me disais ‘mais laissez-moi tranquille !’ » , s’amuse-t-elle aujourd’hui.
La première scène ne rassure pas la jeune femme de 21 ans : l’attente avant de débuter, l’obscurité naissante qui contrarie le tournage en extérieur et la non-érection de son partenaire.
« Ma première réaction ? ‘Ce n’est pas possible, je suis si nulle que ça ?’ J’ai essayé plusieurs trucs, ça ne voulait pas. Même le viagra n’a pas fonctionné. Je me suis demandée si j’étais faite pour ça. »
« L’angoisse de vomir sur le monsieur »
Le tournage est reporté deux jours plus tard. Dans sa valise, robes, bijoux, paires de talons, lingettes et savon. « Ce sont des choses bêtes mais il faut y penser. Par exemple, certaines filles préfèrent utiliser leur propre lubrifiant. » L’actrice passe au maquillage, enfile la tenue d’Alice puis prend la pose pour les pretty , les photos soft utilisées pour les jaquettes de DVD et les magazines. « Je ne savais pas poser, je me suis fait guider : ‘tends bien les fesses, tourne les épaules’. C’est plus sportif qu’on ne le croit. »
150 clichés plus tard : action. Angell a pris soin de ne pas grignoter avant. Le stress d’avoir « un gros ventre » . L’angoisse de « vomir sur le monsieur » une fois la tête en bas. Dans l’herbe, le couple alterne photos et scènes filmées, fellations et cunnilingus. « Le réal’ a fait attention à moi, m’a demandé si je n’avais pas de douleurs. Je lui ai dit que j’avais mal au bras à force d’être accoudée. Là, il m’a sorti, en se marrant : ‘elle a une bite dans le cul mais elle a mal au bras !’ » Et il faut penser à sa position, l’orientation du visage, la caméra qui vient se coller à 15 cm. « On n’a pas les mêmes gestes dans la vie. »
Le personnage d’Alice s’efface avec la douche et le brossage de dents. « Ç a fait du bien de se démaquiller, d’enlever les talons aiguille et de retrouver son jean » , commente-t-elle. L’angoisse a disparu. « On ne se rend pas compte de l’impact du porno dans sa vie. Ce jour là, je me suis dit : je suis actrice X. »
Effrayée avant de tourner, Angell a plutôt assuré au moment de négocier son cachet. « J’ai réussi à avoir le tarif que je voulais. » Une somme estimée à environ 500 € pour une scène anale, la moyenne pratiquée dans la profession pour les actrices. « C’est l’un des seuls métiers où une femme gagne plus qu’un homme. »
« Qu’est-ce que je fais là ? » Nu au bord de la piscine d’une villa, entouré de deux cameramen, d’une maquilleuse et d’autres acteurs curieux, Anthony Cruz comprend rapidement la différence entre ce plateau professionnel et ses scènes amateur filmées à l’iPhone. « Là, il y a les lumières partout qui donnent un côté moins spontané. »
La barbe et les poils taillés, le torse et les fesses maquillés, l’acteur, alors âgé de 27 ans, tente de se motiver : « Faut y aller, faut bander, est-ce que je ne vais pas le regretter ? » A ses côtés, Théo Ford semble prêt. « Il était plus grand et plus baraqué que moi, avec un physique de mannequin, et je devais le prendre » , se souvient Anthony. Mais le stress l’envahit. Pas d’érection. « C’était un désastre » , s’amuse-t-il aujourd’hui. Pendant deux heures, il tente de redresser la barre, sans succès. « C’est lui qui a fini par me prendre. »
Anthony Cruz s’exhibait sur Internet depuis six ans avant sa première scène. Sur XTube , le jeune homme possède une chaîne « qui fonctionne bien » et avec laquelle « il fait de l’argent ». Une scène, tournée dans un ascenseur avec son ex, atteint trois millions de vues et le jeune homme est contacté par Antoine Lebel, fondateur de French Twinks . « J’ai toujours été exhib’, et toujours aimé le sexe. Quand j’ai vu combien on me proposait, j’ai dit oui » , raconte-t-il.
« J’avais un beau cul mais je devais travailler le reste »
Rémunéré entre 100 et 300 € la scène (somme moyenne pour un débutant), Anthony Cruz entame le tournage d’Apprentis pornstars , l’aventure de dix jeunes garçons français à leurs débuts. « Le porno gay reste très amateur et avec French Twinks, c’était vraiment professionnel. » Pointilleux, le réalisateur le guide, lui demande de crier, d’accentuer une expression du visage ou de claquer les fesses de son partenaire. Le tout pendant près de trois heures trente. « Normalement, c’est plutôt une heure » , explique-t-il.
Et après ? « On prend un verre de rosé et une clope » , rigole Anthony Cruz. Puis, Antoine Lebel, le producteur, débriefe avec ses jeunes adultes la scène qu’ils viennent de tourner. « J’étais très bon en passif et j’avais un très beau cul qu’il fallait que je garde mais j’avais à travailler tout le reste » , sourit Anthony, qui a créé sa boîte de production, Airmaxsex .
L’acteur s’apprête à boucler la boucle. Deux ans pile après sa première scène, il tournera dans quelques jours sa 100 e , avec Théo Ford. Cette fois, il ne se demandera pas pourquoi il est là.
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Home 2012 décembre 1 Les 10 scènes de cul qu’il faut avoir vues
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Si avec un titre pareil on dépasse pas les 5 000 000 de vues, je ne comprends plus rien. Parce qu’en plus, des scènes de cul, vous allez en avoir, ici. Des vraies, en plus. Et pas n’importe lesquelles, les plus belles. En bons investigateurs, à deux, un gars une fille, on s’est tapé toutes les scènes de cul possibles et imaginables, pour en tirer 10. Et Dieu sait si on a vu des trucs atroces. Si, si, je vous jure. On les a enlevées pour vous, mais peut-être qu’un jour on fera un article sur les 10 scènes de cul qu’il ne faut pas voir. Là, pour le moment, focalisons-nous sur le must. Évidemment, éloignez vos gamins de l’ordi, c’est un truc pour les papas et les mamans qui s’aiment très fort .
Les images pourraient être tout droit sorties d’un épisode des Feux de l’Amour qui aurait mal tourné, où John et Ashley se seraient finalement envoyés en l’air malgré les réticences de Jenifer, l’autre héritière de feu Victor ; le caméraman aurait pris des champis – et la ménagère de voir sa libido repartir comme en 14. Ils sont beaux, même si certainement en plastique (et je parle pas seulement des seins, plutôt des acteurs). Cette scène fascine par son puritanisme masqué à l’américaine. Ce sont les seins de Denise Richards, coutumière du fait, que l’on voit, et jamais ceux de Neve Campbell, la vraie star. Et évidemment, on ne descend pas sous la ceinture, parce que faut pas déconner non plus. On vous l’a mise en espagnol, je crois, mais je ne suis même pas sûr, parce qu’on ne la trouve pas, sinon. Mais en tout cas, les dialogues, vous vous en doutez sûrement, ne sont pas bien importants.
L’érotisme version tupperware, c’est Ghost . Demande à ta tante qui regarde Chabada le dimanche après-midi, elle a pour sûr succombé à la beauté de ces deux amants devant l’éternel, et surtout devant un truc de poterie qui, il faut bien l’avouer, fera certainement un vase assez dégueu et de forme phallique, juste bon peut-être à offrir pour la fête des mères, ou à finir au centre Pompidou, labellisé œuvre d’art moderne (je déconne, pas taper). C’est donc les mains pleines de glaise que nos deux chéris s’énamourent ensuite dans ce que l’on peut appeler une putain de scène de cul sans cul, très à la mode au début des 1990, avant que Peter Verhoeven prenne réellement les choses en main.
Court-métrage placé comme un cheveu sur la soupe au coeur du magnifique Parle avec Elle , le chef-d’oeuvre d’Almodovar, cette histoire d’homme minuscule qui pécho une humaine géante est d’un érotisme rarement égalé. Ici, rien de vulgaire, que du sexe, du beau sexe. Et la magie poétique de ce petit pervers d’Almodovar, ensuite. Jugez plutôt.
Quiconque n’a pas dans sa DVDthèque Shortbus a partiellement raté sa vie. Totalement, s’il n’a pas non plus de Rolex. Hymne au sexe, à l’homophilie, à l’hétérophilie, au libertinage, à l’amour fou, à la musique et surtout à New York, le film décoincera la plus tendax de tes grand-tantes fan de Ghost et de 9 Semaines et demi . Ici, la célèbre scène patriote du film, un beau plan à trois entre mecs, où il est question d’hymne américain dans ton cul. Homophobes s’abstenir.
De l’avis général du comité de sélection composé de deux membres, on a ici le plus beau couple de la sélection. Lui a une gueule de libertin du XVIIIème, elle aussi, donc ça tombe plutôt pas mal. Asia, il faut dire que c’est la fille la plus sexe du cinéma français, avec son accent et ses beaux seins, son visage malicieux et les personnages avenants qu’elle campe. La scène montre comment se servir du sexe pour faire s’intéresser le spectateur à des dialogues qui, sinon, paraîtraient hors contexte, totalement pompeux. Avale donc le cinéma d’auteur par ton cul !
Dérangeante dans le film, la scène n’en est pas moins sur-kifante sortie de son contexte. Et pour la gent masculine, même contextualisée, ben faut avouer que voir cette scène où Naomi Watts et Laura Elena Harring font des bisous sur le sofa du salon (qui, entre parenthèses, pourrait très bien être le mien) émoustille plutôt. Merci à vous, donc, monsieur Lynch, en matière de scènes de cul, vous êtes un grand. Et le film est chouette, aussi. Même si j’ai rien compris.
Tout être humain normalement constitué ayant vu Matrix a déployé une énergie considérable pour ne pas s’avouer, à l’aube de sa sortie, que Matrix 2 serait une daube intersidérale. Il s’en est convaincu, et a regardé les premières minutes in the mood for chef-d’oeuvre. Mais là, c’en fut trop : Néo qui pécho Trinity sur fond de musique à la Stomp et de scène orgiaque dans une grotte à Matrixland, c’est juste risible au possible. Cette scène, c’est certainement la scène de cul la plus nase de tous les temps. Il faut donc absolument l’avoir vue. Mention spéciale au dernier plan sur les regards des deux protagonistes. Avis de la demoiselle, à ajouter : « En plus, Néo est bof endurant, quand même, pour un élu… »
Evidemment… On ne pouvait pas ne pas la mettre. Beaucoup d’entre vous l’ont vue, et s’en sont même déjà délectés (oui, c’est imagé et poli), mais pour ne serait-ce que le pour-cent de nos lecteurs qui ne connaissent pas ce grand moment de dépucelage ecclésiastique (qui donne un peu plus envie de rentrer dans les ordres que Des Hommes et des Dieux et ses repas sur fond de Lac des Cygnes ), séance de rattrapage.
A noter que le titre est de Dzibz, et que Marie le lui refuse.
Sur la banquette arrière du taxi, Angie Dickinson prend son pied. Et nous aussi. Enfin surtout Marie, en fait, en phase pré-orgasmique durant l’extrait : « C’est une scène purement cinématographique, l’exaltation du fantasme permise par la caméra. Le rêve en vivant. Et c’est là, devant toi, t’es avec eux, t’as envie de baiser avec le mec, avec Dickinson aussi, avec les deux en fait.
T’es ouf t’es ouf. Et en plus, c’est ouf, t’es QUE au début du film, c’est dingue, juste après elle se fait ASSASSINER, c’est dingue c’est dingue. T’en peux plus. Rha ça me fatigue, ça, même. »
Et Dzibz de répliquer : « vazy, viens on commande un taxi ! »  (Le tout se passe en fin d’extrait)
Il nous paraissait impossible de conclure ce passage en revue (non exhaustif, vos commentaires étant bien sûr les bienvenus) sans une scène de Basic Instinct . Parce qu’avec ce grand film, Paul Verhoeven a fait rêver des millions d’adolescents, aux goûts assez disparates : ceux qui kifaient Michael Douglas, ceux qui kifaient Sharon Stone et ceux qui kifaient les pics à glace. Il n’y a plus grand chose à dire sur cette scène qui n’ait encore été dit, sinon que c’est la plus torride scène de cul qu’il nous ait été donné de voir. De loin.
On pourra être en accord le jour où Béla Tarr fera tourner Bruce Willis dans un film où il tuerait GENTIMENT des terroristes hongrois. En noir et blanc. Mais en marcel. Avec de la musique folklorique hongroise. Et des bonnes meufs.
ce message au presentement pour perpetuer cette chaine de messages espoir
Ce message au persentement pour faire perdurer ou perpetuer la chaine de message espoir.
Stunning quest there. What happened after? Good luck!
And I was just woninrdeg about that too!
Aussi le viol finalement consenti dans « Les chiens de paille »…
That’s really thinking at an imrvsesipe level
J’adore c’est très sexuelles!!!!!!!!!!!!!!!!!
Rétrospective « so shocking », mais les commentaires sont excellents. Rien à ajouter. Mention spéciale à vous.
La scène dans le film d’Almodovar ne serait pas tirée d’une nouvelle de Bukowski par hasard ? Bon, voilà, je lance seulement l’idée hein.
En passant, manière de lever le doute, la première vidéo est en italien et pas en espagnol. Sur ce, merci pour votre excellent blog !
ce message au presentement pour perpetuer cette chaine de messages espoir
Conclusion MAGNIFIQUE … Je ne vais pas rajouter de scène ou quoi que ce soit mais… ça donne chaud au coeur … ou autre ! D’ailleurs par prévention vous auriez du préciser: « A ne pas regarder en l’absence de son amoureu(se) au cas où une soudaine envie vous prenne ! » Ca pourrait être pratique dans certains cas ! 😀
Bonjour,
Cette liste me parait cohérente mais souffre d’un oubli important:
http://www.dailymoti
Trio De Lesbiennes À L'école De Sexe D'ava Addams
Petite fille taille une pipe
Une blonde tatouée se fait gangbanger

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