Sa première fois avec une caméra

Sa première fois avec une caméra




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Sa première fois avec une caméra
À la fois journaliste web et réalisatrice de podcasts, Anouk Perry cumule les casquettes toujours dans un même but : démystifier l'intime ! Sa devise ? Il n'y a pas de question stupide.
Sujets de prédilection : intimité et sexualité.

continuer mes achats

voir mon panier

Nouvelle culotte : le tanga menstruel
Les premiers pas dans la sexualité peuvent impressionner, pourtant le but est avant tout de se faire du bien. Voici quelques conseils pour vivre au mieux votre première fois !
Il n’y a pas “un” bon âge pour faire l’amour. À partir du moment où vous vous sentez prêt ou prête, à l’aise avec un ou une partenaire, vous pouvez y aller !
Le bon âge, c’est celui où vous en avez vraiment envie. 
Cependant, il est important de préciser d’un point de vue légal qu’en France, la majorité sexuelle est fixée à 15 ans. On considère ainsi qu’à partir de cet âge, on est apte à donner son consentement éclairé.
Cela ne veut pas dire pour autant que les rapports sont interdits entre mineur·e·s de moins de 15 ans, plutôt que la loi reste floue à ce sujet, ne les interdisant pas directement. L’appréciation des situations est alors faite au cas par cas, s’il y a un signalement. 
Oui et non, dans le sens où les règles sont l’un des signes de la puberté , et qu’un corps non-pubère n’est pas fait pour avoir une sexualité. 
Ceci étant dit, certaines personnes ont des premières règles très tardives (à 16 ans par exemple), et peuvent être prêtes, à la fois physiquement et mentalement, pour débuter une sexualité avant. 
De même, certaines femmes n’ont jamais leurs règles de leur vie, et cela ne les empêche pas d’avoir une sexualité. 
Enfin, si vous vous posez la question, même si ce n’est pas toujours le plus confortable, il est tout à fait possible d’avoir des rapports sexuels et donc de faire sa première fois pendant les règles, comme expliqué dans cet article .
Attention, dans le cas où vous faites l’amour pendant les règles, il est important de continuer à vous protéger contre les MST et IST (le risque de transmission est accru par le sang) ainsi que de penser à une contraception. Car oui, même en ayant un rapport à ce moment du cycle il y a un risque de grossesse !  
Si la première fois n’est pas une question d’âge mais bien d’envie, il faut s’assurer que l’envie vient alors bien de soi et non d’une pression extérieure. 
Si votre copain ou copine vous dit qu’il ou elle veut absolument le faire, mais que vous sentez que ça vous brusque un peu, n’y allez pas. Si votre partenaire vous aime, il ou elle saura attendre le temps qu’il faudra, vous serez alors plus à l’aise, et tout finira mieux. 
Sinon, cela signifie que cette personne ne respecte pas votre consentement. C’est parfois difficile de dire non, mais votre envie doit primer sur la pression que l’on vous met. 
De même, on peut ressentir une pression à faire l’amour quand on a l’impression que c’est une case à cocher pour devenir cool, ou juste pour être comme tout le monde. 
Toutes ces raisons ne sont pas de bonnes raisons pour avoir des rapports. La seule bonne raison, c’est d’en avoir envie avec un ou une partenaire qui partage cette envie !
Au début de la sexualité, il arrive de se sentir mal à l’aise avec l’idée d’annoncer à son ou sa partenaire qu’on est vierge. Ce mensonge n’est pas forcément grave, mais vous avez tout à gagner à être honnête.
Votre chéri·e au courant pourra faire bien plus attention à votre ressenti lors des premiers rapports et aura toutes les clés en main pour mieux comprendre vos réactions si tout ne se passe pas comme prévu. 
Et puis surtout, si c’est une personne de confiance, elle ne devrait pas vous juger à ce sujet, il n’y a pas de honte à être vierge !  
Evidemment, la sexualité tourne beaucoup autour du plaisir, mais il est important de se souvenir que dans un rapport sexuel hétéro, il est possible de tomber enceinte dès la première fois. Il faut donc absolument choisir une contraception . 
Plusieurs sont possibles, comme la pilule, l’implant ou encore le préservatif. Ce dernier a d’intéressant que c’est un contraceptif qui ne nécessite aucune prescription et n’a aucun effet secondaire. 
De plus, la « capote » ne protège pas que de la grossesse, mais aussi des MST/IST. Même vierge, il est possible d’en avoir sans le savoir ! 
C’est pourquoi, quelle que soit votre orientation sexuelle, vous devez absolument vous protéger ou vous faire dépister afin de vous assurer de ne rien transmettre entre vous.
S’épiler le pubis ou toute autre partie du corps n’est pas nécessaire avant de faire l’amour pour la première fois. Si vous aimez vos poils, votre partenaire doit vous accepter comme ça. Il ou elle peut avoir des préférences, mais ne doit pas vous les imposer.
Cependant, si vous vous sentez plus à l’aise avec votre corps sans poil, il n’y a pas grand mal à vous en débarrasser. 
Anaïs raconte à ce sujet avoir fait sa première fois il y a 10 ans, quand elle avait 16 ans. À l’époque, elle a décidé de « tout enlever », persuadée que c’était ce qu’il fallait faire pour plaire à son copain. Elle rigole en y repensant. 
« Cette première fois, c’était un grand pas dans l’inconnu pour moi alors je me rattachais à cette épilation pour mieux vivre ma nudité face à mon copain. Ce n’est quand même pas banal à 16 ans de se retrouver à poil devant quelqu’un ! »
Pour vous aider, vous pouvez aussi lire notre article “ Choisit-on vraiment de s’épiler ? ” en gardant en tête que le plus important est de se sentir bien dans sa peau ! 
Dans la sexualité, il y a plein de premières fois et aucune ne devrait être plus importante qu’une autre. 
Ainsi, faire l’amour ne signifie pas forcément pratiquer la pénétration d’un pénis dans un vagin. Cette pratique est certes très commune, mais on peut aussi avoir une sexualité sans. Des caresses et rapports oraux peuvent être tout aussi intimes et apporter tout autant de plaisir.
Cette question de la première fois par la pénétration soulève de nombreux problèmes : 
Elle ne marche que dans le cadre de couples hétérosexuels (ce qui supposerait que les homosexuel·le·s resteraient alors vierge toute leur vie)
Elle met donc au second plan le reste des pratiques sexuelles comme si elles “valaient” moins… 
Nelli, interrogée pour cette article, est souvent énervée quand on aborde ce sujet : 
« Je souffre de vaginisme depuis toujours et la pénétration est longtemps restée impossible pour moi. Pourtant, j’ai une vie sexuelle, ponctuée de nombreuses premières fois tout aussi importantes ! »
Si beaucoup de personnes rapportent avoir ressenti une petite douleur lors de leurs premières expériences de pénétrations, cela ne doit pas vous faire souffrir, et surtout la gêne ne doit pas durer plus de quelques rapports ! 
La clé du bonheur se trouve souvent dans le fait de prendre son temps et d’être détendu·e. L’envie permet la lubrification naturelle, et le vagin est un muscle qui peut se contracter quand on a peur. Si on a envie, qu’on est à l’aise et surtout qu’on prend son temps, tout devrait bien se passer. 
Danielle Hassoun, gynécologue, explique alors que même si des rares cas anatomiques rendent la pénétration inconfortable voire impossible, chez la plupart des patient·e·s qu’elle voit pour ce genre de question, le problème se situe ailleurs :
« Beaucoup de jeunes femmes, ne sont pas à l’aise avec la sexualité, avec l’idée même d’avoir des rapports sexuels, et de fait cela contracte le vagin et ça fait mal. Mon conseil est de se demander sincèrement si on a vraiment envie de cette sexualité. »
Le sexe peut avoir des côtés performatifs, mais le vrai truc pour aimer faire l’amour, c’est d’en avoir envie et de communiquer avec son ou sa partenaire sur SES envies. 
Demandez-lui alors comment il ou elle aime être carressé·e. Il est possible que votre chéri·e ne le sache pas (surtout si c’est le début de votre sexualité), alors essayez différentes manières de faire, encouragez aussi l’autre à tester sur vous des caresses plus ou moins appuyées. 
Surtout, laissez vous le droit d’être ignorant·e ou de ne pas avoir envie parfois. Ce n’est pas grave et se mettre la pression ne sert à rien. Amusez-vous, et votre sexualité s’épanouira naturellement ! 
Et si vous vous posez encore des questions sur la sexualité, nous vous conseillons le site On s’exprime , créé sous l’égide de Santé publique France, qui répond à de très nombreuses questions sur le sujet !

serviette hygiénique lavable en coton bio


serviette hygiénique lavable en coton bio


serviette hygiénique lavable en coton bio


serviette hygiénique lavable en coton bio


serviette hygiénique lavable en coton bio

En m’inscrivant à la newsletter de Dans Ma Culotte, je reconnais avoir pris connaissance de la charte relative aux données à caractère personnel .

pour bénéficier de la livraison gratuite en France Métropolitaine.

Dans Ma Culotte a besoin de ton consentement pour déposer sur ton appareil des cookies permettant de te proposer des publicités personnalisées, partager des contenus sur les réseaux sociaux et recueillir des statistiques.
Axeptio est LE tiers de confiance au service de la confidentialité des internautes.
Vous avez un site et vous voulez prendre soin de la vie
privée de vos utilisateurs ? 👉 Découvrez Axeptio

Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Analyser activement les caractéristiques du terminal pour l’identification , Créer un profil personnalisé de publicités , Créer un profil pour afficher un contenu personnalisé , Développer et améliorer les produits , Exploiter des études de marché afin de générer des données d’audience , Mesurer la performance des publicités , Mesurer la performance du contenu , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal , Sélectionner des publicités personnalisées , Sélectionner des publicités standard , Sélectionner du contenu personnalisé , Utiliser des données de géolocalisation précises
En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer

Ma première fois dans le porno : des acteurs racontent


Abonné
Cinéma


Abonné
Séries

Accédez à l’intégralité des Inrockuptibles
Publié le 8 août 2015 à 22h51 Mis à jour
le 8 août 2015 à 22h51

Au départ, le porno, c'était "un trip" pour Anna Polina. Deux ans après ses débuts, elle devenait égérie Dorcel. Crédit photo : Dorcel
Pour les acteurs, tourner une scène porno est un job qui s’apprend. Quatre performeurs racontent leur première scène devant la caméra, entre stress, excitation et problème d’érection.
« Aujourd’hui, les nanas cherchent la starification à deux balles. Moi, ça ne m’intéressait pas quand j’ai commencé. » Avec ses 18 films, Anna Polina est devenue une Dorcel girl, une des promotrices de la société de production auprès des médias. Quand elle a commencé, elle y est allée « avec toute l’inconscience de (s)es 19 ans » . Pour elle, faire du porno, c’était « punk » . La Franco-Soviétique n’a jamais été une grande consommatrice de films réservés aux adultes. C’est la lecture de La Voie humide , de Coralie Trinh Ti, une ancienne pornstar également coréalisatrice de Baise-moi avec Virginie Despentes, qui la happe vers le milieu du X.
Elle décide, elle aussi, « d’aller à l’encontre de la société » et prend rendez-vous avec John B. Root , un réalisateur qui voit le porno « comme de l’art » . Dans un grand open space occupé par une dizaine de personnes collées à leur écran d’ordinateur, elle découvre le plateau de tournage au milieu. « C’était très sécurisant malgré tout » , assure-t-elle. Elle rencontre Phil Hollyday, son partenaire d’une heure, choisi quelques jours auparavant avec le réalisateur.
« Je me suis trouvée débile à crier »
Complexée par son corps, la hardeuse vit cette scène comme une libération. « Je gardais mon soutif’ quand je faisais l’amour en privé. Je n’avais plus le même rapport à la nudité sur ce plateau. »
Anna Polina se dit à l’aise. Elle réalise le schéma classique de scène X : fellation, pénétration, position un, deux et trois. Et se laisse tenter par l’anal. « J’en ai eu envie, explique-t-elle, tout comme j’ai eu envie de crier comme je le voulais. »
Anna Polina n’a jamais visionnée la séquence, excepté le teaser. « Je me suis trouvé moche, à crier comme une débile et à me dire que je n’aimais pas ma voix. J’ai appris à prendre de la distance par rapport à mon image. Le porno, c’est une jolie leçon d’humilité. »
Jean Diane n’a jamais envisagé de faire « du porno à la Jacquie et Michel « . Le trentenaire a fait rimer X avec militantisme. « Je ne trouve pas d’intérêt à tourner face à un réalisateur qui n’a pas de message à faire passer » , lâche-t-il. Pour sa première, le trentenaire a joué sous les ordres d’une cinéaste, Ovidie , l’ancienne star du X devenue documentariste et écrivain. La féministe boucle le casting du film Le Baiser début 2014. Manque un acteur ouvert aux scènes entre hommes et avec des femmes. Lors d’un dîner, Jean Diane accepte le rôle, séduit par l’envie de montrer la bisexualité à l’écran. « Un homme avec des hommes et des femmes, c’est assez mal vu dans le milieu du porno. C’est aussi pour ça que j’ai dit oui. »
En juillet 2014, il rejoint la campagne normande pour tourner une scène. Le pitch : un couple gay accueille un duo lesbien dans sa résidence. L’apprenti acteur est en confiance, rassuré par la volonté d’Ovidie de filmer « des moments de complicité à quatre le plus naturellement possible. »
« Un joli porno » face aux blockbusters
Dans la piscine, les deux duos se mélangent sous l’œil d’une équipe réduite : la réalisatrice, un cadreur, un preneur de son, un régisseur et un maquilleur. Le sexe est oral, sans pénétration. Mais tourner en extérieur refroidit Jean Diane. « Je n’ai pas eu d’érection » , se souvient-il.
Le trentenaire revendique ce « joli porno » qu’il compare même à un film d’auteur, face aux blockbusters de l’industrie.
« Sur un tournage, je joue mais je ne triche pas. Je ne vais pas fuir un baiser par exemple, résume l’acteur. Je n’ai pas envie de travestir ma sexualité. J’aime faire du sexe avec des garçons, avec des filles, à plusieurs. Lors du tournage, je n’ai pas mis un masque sur ce que je suis. »
Elle a préféré jouer Alice, celle du pays des merveilles. Devenir Blanche-Fesses, l’héroïne de Blanche, Alice, Sandy et les autres , c’était trop de scènes pour une première. « Je n’étais pas sûre de tout assumer. Le réalisateur m’a parlé d’anal et de double pénétration, j’ai fait ‘houlà, on va y aller doucement’. »
Après quelques apparitions dans des salons érotiques et plusieurs strip-teases en boîte, elle se laisse tenter par la proposition de Christian Lavil : tourner sa première scène.
Ce 8 mai 2008, « le jour de l’anniversaire de (s)on frère » , Angell arrive sur le tournage, dans un château de la région parisienne. Cameramen, preneur de son, maquilleur, photographe et acteurs s’activent sur le tournage du film destiné à Canal+ . « Je m’imaginais trois ou quatre personnes. Là, il y avait du monde. Certaines connaissances venaient me voir en me félicitant. Dans ma tête, je me disais ‘mais laissez-moi tranquille !’ » , s’amuse-t-elle aujourd’hui.
La première scène ne rassure pas la jeune femme de 21 ans : l’attente avant de débuter, l’obscurité naissante qui contrarie le tournage en extérieur et la non-érection de son partenaire.
« Ma première réaction ? ‘Ce n’est pas possible, je suis si nulle que ça ?’ J’ai essayé plusieurs trucs, ça ne voulait pas. Même le viagra n’a pas fonctionné. Je me suis demandée si j’étais faite pour ça. »
« L’angoisse de vomir sur le monsieur »
Le tournage est reporté deux jours plus tard. Dans sa valise, robes, bijoux, paires de talons, lingettes et savon. « Ce sont des choses bêtes mais il faut y penser. Par exemple, certaines filles préfèrent utiliser leur propre lubrifiant. » L’actrice passe au maquillage, enfile la tenue d’Alice puis prend la pose pour les pretty , les photos soft utilisées pour les jaquettes de DVD et les magazines. « Je ne savais pas poser, je me suis fait guider : ‘tends bien les fesses, tourne les épaules’. C’est plus sportif qu’on ne le croit. »
150 clichés plus tard : action. Angell a pris soin de ne pas grignoter avant. Le stress d’avoir « un gros ventre » . L’angoisse de « vomir sur le monsieur » une fois la tête en bas. Dans l’herbe, le couple alterne photos et scènes filmées, fellations et cunnilingus. « Le réal’ a fait attention à moi, m’a demandé si je n’avais pas de douleurs. Je lui ai dit que j’avais mal au bras à force d’être accoudée. Là, il m’a sorti, en se marrant : ‘elle a une bite dans le cul mais elle a mal au bras !’ » Et il faut penser à sa position, l’orientation du visage, la caméra qui vient se coller à 15 cm. « On n’a pas les mêmes gestes dans la vie. »
Le personnage d’Alice s’efface avec la douche et le brossage de dents. « Ç a fait du bien de se démaquiller, d’enlever les talons aiguille et de retrouver son jean » , commente-t-elle. L’angoisse a disparu. « On ne se rend pas compte de l’impact du porno dans sa vie. Ce jour là, je me suis dit : je suis actrice X. »
Effrayée avant de tourner, Angell a plutôt assuré au moment de négocier son cachet. « J’ai réussi à avoir le tarif que je voulais. » Une somme estimée à environ 500 € pour une scène anale, la moyenne pratiquée dans la profession pour les actrices. « C’est l’un des seuls métiers où une femme gagne plus qu’un homme. »
« Qu’est-ce que je fais là ? » Nu au bord de la piscine d’une villa, entouré de deux cameramen, d’une maquilleuse et d’autres acteurs curieux, Anthony Cruz comprend rapidement la différence entre ce plateau professionnel et ses scènes amateur filmées à l’iPhone. « Là, il y a les lumières partout qui donnent un côté moins spontané. »
La barbe et les poils taillés, le torse et les fesses maquillés, l’acteur, alors âgé de 27 ans, tente de se motiver : « Faut y aller, faut bander, est-ce que je ne vais pas le regretter ? » A ses côtés, Théo Ford semble prêt. « Il était plus grand et plus baraqué que moi, avec un physique de mannequin, et je devais le prendre » , se souvient Anthony. Mais le stress l’envahit. Pas d’érection. « C’était un désastre » , s’amuse-t-il aujourd’hui. Pendant deux heures, il tente de redresser la barre, sans succès. « C’est lui qui a fini par me prendre. »
Anthony Cruz s’exhibait sur Internet depuis six ans avant sa première scène. Sur XTube , le jeune homme possède une chaîne « qui fonctionne bien » et avec laquelle « il fait de l’argent ». Une scène, tournée dans un ascenseur avec son ex, atteint trois millions de vues et le jeune homme est contacté par Antoine Lebel, fondateur de French Twinks . « J’ai toujours été exhib’, et toujours aimé le sexe. Quand j’ai vu combien on me proposait, j’ai dit oui » , raconte-t-il.
« J’avais un beau cul mais je devais travailler le reste »
Rémunéré entre 100 et 300 € la scène (somme moyenne pour un débutant), Anthony Cruz entame le tournage d’Apprentis pornstars , l’aventure de dix jeunes garçons français à leurs débuts. « Le porno gay reste très amateur et avec French Twinks, c’était vraiment professionnel. » Pointilleux, le réalisateur le guide, lui demande de crier, d’accentuer une expr
Une écolière se fait défoncer le cul par une grosse queue noire
Jeux lesbiens anaux
Fille au gros cul aime le sexe sauvage

Report Page