Sa première à monter un homme noir

Sa première à monter un homme noir




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Sa première à monter un homme noir
Sidney Poitier dans l'émission « Cinépanorama », en 1961. (DANIEL FALLOT / Ina via AFP)
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Renard59 a posté le 08 janvier 2022 à 09h10
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Ludwig Van a posté le 08 janvier 2022 à 08h45
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Renard59 a posté le 08 janvier 2022 à 00h16
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AGATHE a posté le 07 janvier 2022 à 19h38
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Suzon a posté le 10 janvier 2022 à 14h23
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plinder a posté le 07 janvier 2022 à 19h30
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Sa performance dans « le Lys des champs » lui avait valu d’être le premier comédien afro-américain à recevoir l’Oscar du meilleur acteur, en 1964.
Sidney Poitier, acteur de légende et première star noire d’Hollywood, est mort à 94 ans, a annoncé ce vendredi 7 janvier le vice-Premier ministre des Bahamas, où l’acteur a grandi.
« Nous avons perdu une icône, un héros, un mentor, un combattant, et un trésor national » , écrit le vice-Premier ministre Chester Cooper sur sa page Facebook à propos de l’acteur de « la Chaîne » ou encore de « Dans la chaleur de la nuit », sans mentionner la cause de son décès.
Né prématuré à Miami, en Floride, le 20 février 1927, à l’occasion d’un déplacement de ses parents venus des Bahamas voisines, Sidney Poitier obtient ainsi la double nationalité américaine et bahaméenne.
En 1964, il est le premier Afro-Américain à remporter l’Oscar du meilleur acteur pour « le Lys des champs ». « Le voyage a été long pour en arriver là » , lançait-il très ému, en recevant la statuette dorée.
Grâce à ses rôles, le public a pu concevoir que des Afro-Américains pouvaient être médecin ( « La porte s’ouvre », 1950) , ingénieur, professeur (« les Anges aux poings serrés », 1967), ou encore policier (« Dans la chaleur de la nuit », 1967).
Mais à 37 ans, lorsque l’acteur au sourire incandescent reçoit son Oscar, il est la seule star de couleur à Hollywood. « L’industrie cinématographique n’était pas encore prête à élever plus d’une personnalité issue des minorités au rang de vedette » , décryptait-il dans son autobiographie « This Life ».
Dans « Devine qui vient dîner ? », en 1967, il campe le fiancé d’une jeune bourgeoise blanche le présentant à ses parents, un couple d’intellectuels qui se croient ouverts d’esprit. La rencontre est un choc, et donne un film majeur sur le racisme de l’époque.
Les militants de la cause noire critiquent cependant âprement Sidney Poitier pour avoir accepté ce rôle de médecin de renommée internationale, aux antipodes des discriminations dont souffrent ses pairs. Il est désigné comme le « Nègre de service » , « fantasme de blanc » . Ses qualités irréelles de gendre idéal masquent sa négritude et les problèmes racistes, estiment-ils.
En 2002 Sidney Poitier recevait un Oscar d’honneur pour « ses performances extraordinaires, sa dignité, son style et son intelligence » .
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Formidable dans "Dans la chaleur de la nuit".
A l'époque, être noir pour un acteur, cela avait un sens. Aujourd'hui, cela n'en a plus.
Grand acteur, j'ai toujours Ben mémoire son rôle dans le film "Dans la chaleur de la nuit" ou il campait le rôle d'un inspecteur de police et son acolyte raciste.
Paix à son âme et qu'elle monte au ciel.
Mort....Donc il n'était pas vacciné .....
J'étais vaccinée, j'ai attrapé le Omicron ça va foutez nous la paix nous allons tous mourir à un moment où un autre. Sidney une belle vie, la classe! Hossein est mort je l'appréciais.
A sa suite, de nombreux acteurs de couleur qui le trouvaient trop "propre sur lui" l'ont pris comme anti-modèle. Un pionnier quoi qu'il en soit.


Yvane Jacob, édité par Alexis Patri
10h00, le 26 février 2022
Nous sommes à Nashville, en 1956. Comme chaque samedi soir, le Grand Ole Opry, mythique émission de radio en direct et en public, réunit les talents de la country music et du rock'n'roll naissant. Deux ans plus tôt, Elvis Presley en personne s'y est produit. Dans le public, les garçons en blue jeans se déhanchent et les filles font tourner leurs jupes, tandis qu'en coulisses un jeune homme attend nerveusement son tour. Il porte une chemise, un pantalon et une ceinture noire. Il s'appelle Johnny Cash.
Il a 24 ans, et il vient tout juste de sortir son premier disque chez Sun Records. Le même label que le King. Des débuts fantastiques pour ce petit gars de l'Arkansas. Johnny Cash est né en 1932 à Kingsland, et a grandi à Dyess. Dès l'âge de 8 ans, il travaille dans les champs de coton. La Grande Dépression rend les conditions de vie particulièrement difficiles dans cette région rurale. Enfant, Cash est appelé J.R, car ses parents ne s'entendent pas sur le prénom à lui donner. À 18 ans, alors qu'il entre dans l'armée de l'air, il adopte le nom de John Ray.
En Allemagne, où il est en poste, Cash commence à tâter de la guitare et compose des mélodies, marquées par les chants de son enfance. Il n'a pas de formation musicale, mais il a un don : sa voix. Sa mère le lui a répété toute son enfance : "la main de Dieu s'est posée sur toi". Dès son service fini, John Ray rentre au pays et, sans l'aide de Dieu, se fait passer la bague au doigt.
En 1954, sa femme et lui s'installent à Memphis, alors "the place to be". Le jour, Cash travaille comme vendeur. La nuit, il répète avec ses deux complices, le guitariste Luther Perkins et le bassiste Marshall Grant.
Le trio se produit pour la première fois dans une église, au nord de la ville. Aucun des musiciens n'a de quoi se payer une vraie tenue de gala. Mais ils ont tous au moins une chemise noire. Alors, avant de monter en scène, ils l'enfilent. Le concert est un succès, et Cash décide par superstition de garder ce look. C'est aussi à cette époque qu'il choisit son nom de scène, Johnny. 
Peu de temps après, le chanteur ose aborder Sam Phillips, le "père du rock'n'roll" comme beaucoup l'ont adoubé. Johnny lui chante ses reprises habituelles, des titres gospel et country. Mais ce sont ses propres chansons, celles qu'il a écrites lui-même, qui séduisent le producteur. Le premier disque se vend correctement. Les titres Hey Porter et Cry cry cry tournent à la radio et prennent la tête des classements… La carrière de Johnny Cash est lancée.
En 1956, sort I walk the line . Un nouveau tube. Chez Sun Records, Johnny enregistre par hasard une session improvisée autour du piano avec Elvis Presley, Jerry Lee Lewis et Carl Perkins. La séance est baptisée dès le lendemain "million dollar quartet" par un journaliste, en référence aux succès commerciaux des quatre musiciens. Johnny Cash entre déjà dans la légende. Il enchaîne ensuite les succès, et les tournées. Son bus devient sa maison. June Carter, chanteuse née d'une grande famille de musiciens country, l'accompagne. Ils se connaissent depuis ce soir de 1956 au Grand Ole Opry, ce soir où June a plongé son regard dans les yeux noirs de Johnny.
Ils sont tous les deux mariés, chacun de leur côté, ils ont des enfants, quatre petites filles pour Johnny. Mais au fil des jours, sa complicité artistique avec la chanteuse se mue en une attirance amoureuse. Il lui fait la cour. Cette fois, pourtant, sa voix profonde de baryton ne suffit pas. June ne cède pas. Elle est trop témoin des excès en tous genres auxquels s'adonne le chanteur : drogues, alcools et femmes. Pourtant, elle n'est pas insensible à son charme et se sent prise dans un anneau de feu. Un "ring of fire" qui inspire à Johnny Cash une chanson, en 1963. 
À mesure que son mariage périclite, Johnny se noie toujours davantage dans la drogue. En 1965, il est arrêté à Juarez au Mexique. On trouve 1.000 tablettes d'amphétamines dans son étui de guitare. Il divorce l'année suivante, a quelques démêlées avec la police et se voit contraint d'annuler des concerts. Mais il peut compter sur June, qui l'aide à se désintoxiquer. Trois ans plus tard, Johnny est clean. Il peut remonter sur scène et, en février 1968, il demande la main de sa bien-aimée, en plein concert.
Dans les années 1970, Johnny Cash collabore avec Bob Dylan, Louis Armstrong, Ray Charles et Eric Clapton, ouvrant son univers musical à d'autres horizons. Son style aussi, toujours intégralement noir, le distingue des chemises à frange et chapeaux de cow-boys des groupes de country de l'époque. Le noir, Johnny le chante aussi, avec Man in black , l'homme en noir.
Et si, aux journalistes qui lui demandent encore pourquoi il porte toujours du noir, le guitariste ne répond pas toujours, il livre dans ce texte une nouvelle explication de son look. Il y explique qu'il porte du noir "pour le prisonnier qui a depuis longtemps payé pour son crime, mais reste la victime de son époque", "pour ces pauvres et ces vaincus, ceux des rues de la faim et du désespoir", "pour les vieux malades et solitaires" et aussi "en signe de deuil pour ceux qui auraient dû vivre". Un hommage à tous les jeunes soldats morts dans la guerre du Vietnam.
"Loin du public, je mets ce qui me chante", confie le guitariste dans son autobiographie. Mais, quand il est en représentation et dans ses chansons, Cash a besoin de rappeler que le monde va mal : "Bon, il y a des choses qui n'iront jamais bien, je sais/ Et partout, elles ont besoin d'être changées/ Mais jusqu'à ce qu'on commence à agir pour en redresser deux ou trois/ Vous ne me verrez jamais porter de costume blanc", chante-t-il.
Et les mots de Johnny Cash continuent ainsi : "Oh, j'adorerais m'habiller chaque jour d'un arc-en-ciel/ Et annoncer au monde que tout est parfait/ Mais je vais essayer d'emporter un peu de ténèbres au loin sur mon dos/ Jusqu'à ce que ce soit plus brillant, je suis l'homme en noir".
En 1992, Johnny Cash intègre le "Rock and Roll Hall of Fame", douze ans après avoir été élu au "Country Hall of Fame". Il est, avec Elvis, le seul à figurer dans ces deux panthéons de la musique américaine. En juillet 2003, deux mois avant sa mort, la star de 71 ans était encore sur scène, guitare à la main, tout de noir vêtu, éloignant pour ses fans, les ténèbres.

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Métis, l'auteur du "Comte de Monte-Cristo" a pourtant longtemps été représenté sous les traits d'une personne blanche.
LIVRES - Il y a 176 ans, jour pour jour, paraissait dans Le Journal des débats, la première partie du célèbre roman d’Alexandre Dumas , Le Comte de Monte-Cristo . À cette occasion, Google dédie au romancier une série d’illustrations sur la page d’accueil du moteur de recherches, ce vendredi 28 août.
La première d’entre elles est un portrait de l’écrivain. Assis à son bureau, il tient dans sa main une plume. Il est reconnaissable par sa coiffure et le costume qu’il porte, avec lequel il a souvent été dessiné. Comme le souligne l’internaute ci-dessous, l’auteur de ce Doodle, Matt Cruickshank, a pensé à le représenter sous les traits d’un homme noir.
Alexandre Dumas est né le 24 juillet 1802, à Villers-Cotterêts, d’une mère blanche et d’un père métis, Thomas Alexandre Davy-Dymas de la Pailleterie, fils d’une esclave et d’un propriétaire de Saint-Domingue. Métis, l’écrivain se décrit dans ses Mémoires comme un “nègre” avec des “chèvres crépus” et un “accent légèrement créole”.
Pourtant, la plupart des représentations qui ont été faites de lui en attestent peu. Il est principalement dépeint comme n’importe quel homme blanc. Un coup d’oeil aux images proposées par Google peut en témoigner. Son interprétation par Gérard Depardieu dans le film “L’autre Dumas”, aussi.
Sorti en salles en 2010, le long-métrage de Safy Nebbou n’avait suscité la colère que de quelques personnes à l’époque. D’après l’actrice Sonia Rolland, interrogée par Le Parisien , une telle pratique “occulte son histoire. [Alexandre Dumas] est grimé. On lui met des bouclettes sur une tête de Gaulois.”
Elle ajoutait: “En plein débat sur l’identité nationale, ça semble ne choquer personne, à part quelques Noirs ou métis. On préfère fermer les yeux sur toute une partie de notre histoire parce qu’il est trop risqué de monter un film avec un acteur noir ou métis?”
Comme le souligne l’ancienne Miss France, le film fait ici l’impasse sur un aspect de la vie du romancier, le racisme dont il aurait été victime. En 2002, raconte cet article de Rue89 , lors du transfert des cendres de Dumas au Panthéon, Jacques Chirac avait rappelé qu’il avait dû “affronter les regards d’une société française” qui “lui fera grief de tout: son teint bistre, ses cheveux crépus, à quoi trop de caricaturistes de l’époque voudront le réduire”.
Ce phénomène dont souffre Alexandre Dumas, c’est ce qu’on appelle le “whitewashing”. Il consiste à représenter une personne non-blanche sous les traits d’une personne caucasienne. La littérature et ses personnages en pâtissent souvent à l’écran.
Mickaël Youn dans “Iznogoud”, Mickey Rooney et son interprétation de M. Yunioshi dans “Diamants sur canapé”, ou encore Carey Mulligan dans “Drive”. La pratique ne date pas d’hier. Il y a une vingtaine d’années, on a proposé à l’actrice américaine Julia Roberts de jouer le rôle d’Harriet Tubman, célèbre militante noire américaine en faveur de l’abolition de l’esclavage. “L’histoire est ancienne, personne ne le remarquera”, avait alors estimé le président des studios Focus Features.
Ceci pose problème. Comme le renseigne la journaliste Naya Ali dans une vidéo sur sa chaîne YouTube , cette pratique participe à une réécriture biaisée de l’histoire par l’industrie du cinéma. Elle prend l’exemple d’Elizabeth Taylor dans le rôle de Cléopâtre, alors que des chercheurs ont confirmé en 2009 le métissage de l’ancienne reine d’Égypte.
Dans le sens inverse, c’est beaucoup plus rare. Pire, quand ça arrive, les actrices et acteurs de couleur font souvent face à un déferlement de haine raciste à leur encontre. Quand la chanteuse Halle Bailey annonce avoir été choisie pour incarner Ariel dans la version en prises de vues réelles de “La Petite Sirène”, le hashtag #NotMyAriel [en français, “Pas ma Ariel”] est créé dans la foulée sur les réseaux sociaux.
En 2015, la violence à l’encontre de la comédienne britannique Noma Dumezweni , qui joue Hermione dans la pièce de théâtre “Harry Potter and the Cursed Child”, est telle qu’elle pousse J.K. Rowling à intervenir. La couleur de peau de la sorcière n’a jamais été abordée dans le livre. Ses yeux marrons, ses cheveux frisés et son intelligence, si.
Au sein même du milieu de l’édition, le whitewashing sévit, notamment en littérature jeunesse. Comme le souligne cet article de la Young Adult Library Services Association, trois cas de figure se présentent quand un livre narre le récit d’un protagoniste de couleur. Soit la couverture est illustrée avec un personnage caucasien. Soit, il est difficile de discerner son identité raciale. Si ce n’est pas une de ces deux possibilités, seule la silhouette du personnage est dessinée.
Des initiatives voient le jour pour tenter de limiter les conséquences du whitewashing. Grâce au hashtag #ColorMyShelf, des écrivains et des lecteurs du monde entier partagent par exemple des recommandations de lectures dans lesquelles des protagonistes noirs ne sont pas invisibilisés.
Sur le petit écran, l’actrice afro-américaine Kerry Washington interprète dans la série “ Little Fires Everywhere ” Mia Warren, une mère au foyer dont la description dans le livre dont Amazon s’inspire n’indique à aucun moment qu’elle est noire, ou blanche.
Alors que des travaux de recherches visant à réexaminer le rapport d’Alexandre Dumas à la colonisation française sous son prisme d’ancien descendant d’esclave ont été publiés en 2011 à l’étranger, la BBC mettait en scène trois ans plus tard un acteur métis pour jouer l’un des rôles phares de son adaptation des “Trois Mousquetaires”.
Le casting de Porthos n’est pas seulement un hommage à la généalogie d’Alexandre Dumas. Il remet aussi en question le mythe selon lequel l’Europe était entièrement blanche avant l’immigration massive au XXe siècle, d’après le Guardian . Un point auquel contribue aussi le Doodle de ce jour.
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