Sa belle-mère est trop bonne

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Caroline Kruse, conseillère conjugale et familiale, auteure du livre Il faut qu’on parle aux éditions du Rocher, décrypte pour LMDM les relations entre une belle-fille et sa belle-mère à l’arrivée d’un bébé.
Caroline Kruse - Il y a toujours un peu d’ambivalence entre belle-fille et belle-mère. Il y a de la jalousie et de la rivalité. La mère étant le premier objet d’amour du fils. Il y a l’idée que le fils a quitté sa mère pour une autre femme. Il arrive aussi que la belle-fille joue un rôle dans cette rivalité avec une peur de trahir sa propre mère si elle noue des liens trop proches avec sa belle-mère ou encore en reportant sur sa belle-mère une agressivité qu’elle n'ose pas exprimer à l'égard de sa propre mère.
On est plus proche de sa propre mère que de sa belle-mère, sauf cas rare. Mais il faut faire un effort pour lui donner une place, maintenir un équilibre entre les deux grand-mères pour éviter d’éventuelles jalousies entre elles. On peut essayer de la solliciter un peu pour lui montrer qu’elle a une place. La grossesse est un moment très intime et ce n’est pas si facile à partager. Peut-être que ce sera plus facile d’accorder un temps à sa belle-mère quand l’enfant sera né.
Poser des limites, ce n’est pas si facile. Il faut le faire sans avoir l’air agressif. Mieux vaut ne rien dire sur le moment, ne pas rentrer dans le conflit et utiliser le principe du « merci positif » . Face aux remarques désobligeantes, on peut répondre quelque chose comme « tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer », quitte à faire exactement le contraire dès qu’elle sera partie. Pour la belle-mère, c’est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile. D’où l’intérêt de considérer l'intention et de ne pas trop s’agacer du contenu. 
Dans un premier temps, il vaut mieux en parler avec son compagnon, en lui demandant de l’aide. Si on lui demande d’intervenir il risque d’être pris dans un conflit de loyauté. Mieux vaut aussi dire : « J’ai du mal quand ta mère m’aide avec le bébé. » , plutôt que : « Ta mère est pénible ». Car même si lui aussi trouve qu’elle est envahissante, il ne va pas aimer l’entendre de la bouche de sa femme. Donc mieux vaut lui soumettre son propre embarras : « Je ne me sens pas légitime pour m’occuper de notre bébé quand ta mère est là. J’ai l’impression qu’elle trouve que je ne suis pas une assez bonne mère. Comment faire ? Tu la connais mieux que moi. Qu’est-ce que tu ferais à ma place ? » Il faut l’associer à son embarras et lui demander son aide.
Le mari interviendra auprès de sa mère, s’il y a vraiment beaucoup d’agressivité, ouvertement exprimée, il devra mettre des limites, en disant à sa mère que ça lui fait de la peine, qu’en attaquant sa femme, elle l’attaque lui, elle attaque son choix.
Si c’est un sujet de tensions graves dans le couple, c’est que quelque chose dysfonctionne et je pense que cela peut être intéressant d’ aller voir un thérapeute de couple . Il ne s’agit pas d’une longue analyse, ça peut se régler en quelques séances. On va travailler sur les représentations qu’on a de soi, de l’autre, de la mère, de la belle-mère. En parler à un tiers, permet de mieux se comprendre. Le thérapeute, c’est comme un traducteur, il va pouvoir reformuler sans blesser l’autre, sans que ce soit perçu de manière agressive.





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Le 13/10/2016 à 11h00.


Modifié le 24/04/2018 à 17h25.



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Les relations compliquées avec la mère de son conjoint ne seraient pas qu’une affaire de psychologie. De nouveaux travaux l’attestent.
«Quand une belle-mère tombe à l’eau, c’est un accident ; si la belle-mère est repêchée, c’est… Une catastrophe! » Source inépuisable de plaisanteries et de caricatures, la « belle-doche » trône en bonne place sur le podium des victimes de blagues plus ou moins grinçantes, fustigeant sa présence encombrante ou son caractère difficile. Pour expliquer cette mauvaise réputation, on a traditionnellement recours à la psychologie. En cause, un rapport trop fusionnel entre une mère et son enfant, qui rendrait difficile l’instauration d’une relation apaisée entre la mère, sa belle-fille ou son gendre. « La relation mère et fils est une relation comblante pour une mère. L’apparition d’une autre femme, plus jeune, dans la vie de son fils, peut être vécue comme une perte », analyse la psychologue Béatrice Copper- Royer.
Réciproquement, une proximité trop étroite entre une fille et sa mère peut faire obstacle à de bonnes relations entre celle-ci et sa belle-mère. « Une fille trop attachée à sa propre mère peut inconsciemment avoir l’impression de la trahir si elle s’attache à celle de son conjoint », explique-t-elle.
Déjà victime de sa réputation sur une tablette mésopotamienne
Si ces analyses sont exactes, de récents travaux apportent une nouvelle grille de lecture pour comprendre les relations parfois antagonistes entre belles-mères, gendres et brus. La sociologue Clotilde Lemarchant, qui a fait une thèse de doctorat sur le sujet, met en avant le « non-choix » des protagonistes. « Dans notre société qui valorise l’individu et son libre choix, cette relation par alliance, c’est-à-dire non consanguine et à caractère obligé, est mal vécue. Gendres ou belles-filles ou beaux-parents sont d’abord des inconnus qui vont devoir partager leur intimité », décrypte-t-elle. Cette explication, fondée sur une analyse des structures familiales, rejoint celle de Yannick Ripa, une historienne spécialiste de la famille qui vient de publier L ‘Etonnante Histoire des belles-mères. Impressionnée par la violence des propos concernant cette figure dans l’imagerie populaire, elle en a cherché les racines. Premier constat, il est fait très peu mention de ce personnage avant le XIXe siècle. Mais quand il est présent, c’est de manière négative. Ainsi, un adage retrouvé gravé sur une tablette de Mésopotamie du 11e millénaire av. J.-C avertit: « Comme tu traites ta belle -mère, tes belles-filles te traiteront. » Et qu’on ne s’y trompe pas, même le qualificatif de « belle » utilisé dans la langue française n’a rien de positif. Cette appellation est simplement l’héritage d’un usage médiéval où le mot « beau » servait à exprimer la politesse à l’égard d’une personne qu’on estimait en raison de sa position sociale.
Selon Yannick Ripa, l’apparition de la figure de la « belle-mère » est intimement liée à l’évolution de la structure de la famille. Jusqu’au XIXe siècle, le modèle dominant est celui de famille élargie, où cohabitent une parentèle large et plusieurs générations. Dans ce cadre, l’épouse vient la plupart du temps habiter chez sa belle -famille. Si le fils est absent, c’est sa mère qui est la dépositaire du pouvoir. Dès lors, les problèmes entre la mère de l’époux et les autres membres de la famille sont liés à l’affirmation de ce pouvoir de chef de famille.
Tout change avec l’évolution vers une famille plus nucléaire après la Révolution, qui, de facto, fait perdre son statut à la belle-mère.
C’est alors qu’apparaît la figure caricaturale de la belle-mère, mère de la fille, faisant ménage à trois avec le jeune couple, empêchant celui-ci de se constituer. A l’origine se joue l’investissement de cette dernière pour bien marier sa fille. Une fois sa fille casée, la belle-mère, souvent veuve et qui n’a plus d’existence sociale, va chercher à se mêler de tout. « On passe d’enjeux de pouvoir à des querelles de ménage », souligne Yannick Ripa. Et comme l’homme se doit d’affirmer son autorité sous peine d’être ridicule, la belle -mère devient une figure récurrente de moqueries, et le terrain de jeu préféré de l’expression de la misogynie. La loi sur la liberté de la presse et l’explosion des journaux satiriques avec ses milliers de dessins mettant en scène la fâcheuse présence d’une belle-maman surgissant à tout moment de la vie conjugale sont publiés… A grand renfort de répétitions se construit l’archétype de la belle-mère pourvue de tous les défauts.
Le rétablissement du divorce par la loi Naquet, en 1884, vient renforcer le trait en crispant les antagonismes, cette fois autour de l’opposition belle-mère/bru. Dans les actes de justice, quand un homme veut divorcer, il fait appel à sa mère pour témoigner de ce que sa femme est une mauvaise épouse. Réciproquement, au tournant du XXe siècle, les archives montrent que les femmes supportent de moins en moins d’être jugées, jaugées et conseillées par leur belle-mère.
La ménopause serait une conséquence de l’évolution liée à l’existence de la belle-fille
Un siècle plus tard, la société a changé et, sur le terrain, les relations se sont apaisées. « Dans la plupart des familles, chacun fait en sorte que les rapports se passent bien », souligne Clotilde Lemarchant, et seules un quart des familles décrivent des relations vraiment conflictuelles ou une absence totale de relation. Quant à la compétition qui s’exerçait sur la bonne tenue du ménage, elle est en voie de disparition. « La cohabitation intergénérationnelle est rare, et l’indépendance entre les générations s’est accrue avec l’intervention d’autres institutions (école, médecine…) dans les affaires du couple, et les aides publiques. Du coup, certaines causes de friction ont disparu », remarque Clotilde Lemarchant.
Malgré cette entente cordiale, les stéréotypes demeurent. « Dans l’imaginaire collectif, on s’attend à ce que la belle-fille n’aime pas sa belle-mère et qu’elle la trouve envahissante », explique Sylvia Mikucki-Enyart, une chercheuse de l’Université du Wisconsin-Stevens Point, qui a mené en 2013 une étude sur les rapports des brus avec leurs belles-mères. Du coup, les deux femmes se regardent dès le départ avec circonspection, et réagissent de manière agressive à la première occasion. « C’est une prophétie autoréalisatrice en quelque sorte », souligne-t-elle.
Différents travaux menés entre 2008 et 2015, et publiés dans Evolutionary Psychology, suggèrent que le passé n’est pas la seule explication à ces préjugés. Ce vieux fonds de mésentente serait tout simplement lié à l’évolution. L’explication? Deux chercheurs de l’université de Groningue, aux Pays-Bas, démontrent que le conjoint choisi par un individu est rarement celui que ses parents auraient voulu pour lui: il est d’abord sélectionné pour ses qualités génétiques supposées (c’est-à-dire sur des critères physiques), quand les parents privilégient plutôt des critères liés à son niveau socio-économique ou à sa culture, des éléments garantissant la bonne transmission de leur patrimoine (biologique mais aussi culturel ou économique). D’où un terrain miné dès le départ…
Deux scientifiques anglais, Michael Cant, de l’université d’Exeter, et Rufus Johnstone, de l’université de Cambridge, vont plus loin: ils font l’hypothèse que la ménopause (une exception qui ne touche que trois espèces, les humains, les orques et les globicéphales) est une conséquence de l’évolution liée à l’existence de la belle-fille. En cause, la relation qui existe entre une mère de famille et une femme non apparentée selon les critères de la génétique, sa belle-fille. Cette dernière ayant pour fonction de prendre le relais de la transmission du patrimoine génétique de la famille, sa présence provoquerait la ménopause de la femme la plus âgée pour éviter toute compétition. En 2012, des chercheurs finlandais sont venus étayer cette théorie. En examinant les données sur les naissances, les morts et les mariages recueillies par l’église luthérienne de Finlande de 1702 à 1908, ils ont mis en évidence que lorsqu’une femme donnait naissance à un enfant dans la même période que sa belle-fille, les chances de survie des deux nourrissons étaient fortement réduites. Cette étude suggère donc qu’il est plus avantageux pour le groupe que la femme plus âgée ne soit plus fertile quand sa bru l’est! S’il ne s’agit là que d’une hypothèse, voilà de quoi en vouloir à sa belle-fille de générations en générations!
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Bonjour à tous, J'ai 17 ans, je suis avec ma copine depuis bientôt 2ans, et depuis quelque mois, je ressent du désir pour ma belle mère, au début je me suis dit que c'était une pulsions, mais non apres plusieur mois, toujours les mêmes envies et impossible de ne pas y penser, j'aurais aimez avoir vos conseil. Merci
va te la mettre sous l'eau froide..
Et bah tente un truck, si tu as envie de ta belle mère tu dois tenter un truck. Mais peux-tu donner plus de détail, si ce n'est pas trop indiscret. La situation dans ton couple ou encore celle de ta belle mère.
Citation : Bonjour oui alors avec ma copine ça se passe bien, on se prend souvent la tête pour peu, mais on sentent généralement très bien, en ce qui concerné ma belle mère, je m'entend aussi très bien avec elle.
Pour approcher discrètement ta belle-mère, demande-lui de te faire faire des dictées.. tout proche de toi, elle regardera par dessus ton épaule ce que tu écris en te parlant doucement, ça devrait être délicieux.. Si elle choisit un texte un peu érotique, tu comprendras que c'est gagné.
Edité le 13/10/2017 à 10:18 AM par *yog*
J'ai envie de te dire JUST DO IT ! Le fruit défendu c'est délicieux, mais il faut que tu attendes de recevoir des signaux de sa part : foncer tête baissée dans ce cas-là n'est pas recommandable.
Quelle genre de signaux ? Existe t il un moyen pour lui donner envie ?
Très bonne idée malheureusement je ne suis plus à l'école j'ai eu mon cap fin juin et pour le moment je suis chez moi, une autre idée que la dictée ?
C'est une chose toute à a fait banale quand nos hormone sexuelles nous pètent la tête : l'odeur infime d'une autre femelle que l'on côtoie souvent augmente plus nos désirs d'aller lui trouer la foufoune et en plus si elle est jolie ce qui ne gâche pas tout..en pensant qu'elle doit connaitre un peu mieux le sexe que ta copine? la chair d'adulte hum ! ça excite plus d'un jeunot . cela m'est aussi arrivé quand j'avais 18 ans ,je voulais sauter la 3° soeur de ma copine (ce qui a été fait en douce car elle le voulait aussi) sa deuxième soeur (pas arrivé dommage) et aussi leur mère que je voulais la sauter !!oui oui ça pétait raide dans mon bas du ventre . 😭 mon père qui avait remarqué mes manœuvres de prédations m'a averti du bordel que cela aurait crée puisse que lui était ami avec le père de ma copine!! je me suis calmé ...mais ô que j'aurai voulu toutes les baiser !!!!ou mettre même un doigt dans leur chatte!!cela aurait compenser ma non b
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