Sa belle-mère va la guider

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Sa belle-mère va la guider
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par Malorie | Août 4, 2019 | Ma vie de maman
En fait, c’est l’un des sujets les plus populaires!
Puisque nous avons tous une histoire de belle-mère ou deux basée sur nos MIL ou une de nos amis, nous pouvons certainement comprendre ces dames qui ont partagé leur histoire sur Ask SAHM. Ne vous inquiétez pas, mesdames. Nous vous sentons!
Tout en dînant avec mes beaux-parents pour la fête des pères, mon mil a commencé à poser des questions sur notre vie sexuelle. Elle a ensuite commencé à me donner des indications sur le sexe oral et les différentes positions sexuelles. Je me sentais extrêmement mal à l'aise et elle parlait même d'elle et de sa vie sexuelle.
Il y a environ 4 ans, ma belle-mère a acheté une robe pour ma fille. Ce soir, MIL m'a appelé et m'a demandé si elle pouvait le récupérer parce qu'elle veut le donner à quelqu'un d'autre.
Mes beaux-parents nous ont acheté des ornements de personnes âgées pour le salon et mon mari et j’ai dit que nous n’avons malheureusement pas choisi notre décor, et MIL a été énervé et nous a appelés ingrats et est parti
Quatre jours avant Noël, j'ai reçu une lettre de mon avocat qui lui disait de lui payer 50 000 $. Longue histoire courte, elle a fait des rénovations pour transformer une partie de notre maison en grand appartement pour pouvoir vivre avec nous. Granny flat renos a coûté 20 000 euros. Ensuite, elle a apporté à mon mari un véhicule coûtant 30000 euros. Après 6 mois passés avec elle, nous lui avons demandé de partir car elle buvait trop, abusait verbalement et laissait les parties communes de la maison insalubres. Elle a laissé ses animaux de compagnie faire pipi et caca par terre et ne l’a pas nettoyée pendant des jours. Elle a eu des accidents de selle dans le garage et son appartement et l'a laissé pendant des semaines. Mon mari a proposé de le nettoyer et elle lui a crié dessus. Mon mari était en état de dépression mentale quelques jours avant son départ. Depuis, il est en désordre et rencontre un conseiller. Il ne fait que faire face à la situation. Nous avons de jeunes enfants et recevons cette lettre 4 jours avant Noël!
Ma mil est censée vivre à 5 heures de là, mais elle est ici tous les week-ends. Elle tourne le nez chez moi et nourrit mes enfants avec des ordures dans le dos. Sans réagir de manière excessive, elle a mis de la coke dans ma bouteille de bébé de 9 mois! Quoi!
C'était un mariage arrangé et il nous a fallu plus de deux ans pour nous rapprocher en tant que couple. Ma belle-mère interrogeait mon mari au sujet de notre vie quotidienne et l'encourageait à ne pas s'ouvrir à moi et à ne pas partager trop d'informations, ne comptez pas aller trop loin dans votre vie, il ne va nulle part, il aime rester à la maison le week-end. En gros, elle me limitait à elle-même et elle désengageait toutes les amitiés ou les connaissances que je pouvais avoir. Je n'avais aucune idée de ce qu'elle préparait et je n'avais aucun oeil pour me surveiller. Heureusement, nous avons déménagé à 1000 miles. Alors, DH a commencé à se comporter comme un mari et à partager les ordres donnés par mon MIL. Je suis devenu plus conscient de leur tactique et ai commencé à les traiter de manière plus intelligente, ce qui a provoqué une haine de haine contre moi parmi mes beaux-parents.
Maintenant, si nous visitons, ils me font sentir comme la personne la plus indésirable. Je sais que j’étais censé établir des limites dès le premier jour, mais j’étais jeune et dépourvu de toute intelligence, aucune femme de ma famille ne se souciait de me préparer à la possible jalousie et cattie de la loi.
Il y a 6 mois, mon mari a donné à ma MIL une de nos clés de portail (même si j'étais contre) afin qu'elle puisse passer du temps avec notre chien jusqu'à ce qu'elle puisse avoir un chien à elle. C'était le marché. Nous récupérerions la clé quand elle se serait procurée un chien. Elle a maintenant un nouveau chiot et mon mari a demandé la clé. Elle a fait semblant d'oublier et puis hier soir, elle a eu la clé de la porte et a dit «Ceci est pour» et j'étais tellement heureuse! Elle a ensuite ajouté: «Je me suis fait une copie pour que je puisse la prendre pour passer la journée avec mon chiot… j'espère que ça ne vous dérange pas?» Et je voulais lui vomir le cœur et / ou l'étrangler à mort .
Je suis enceinte de notre deuxième enfant. Nous avons découvert lors de notre échographie de 20 semaines que je devrais peut-être avoir une césarienne parce que j'ai un placenta previa marginal. Hier soir, nous étions chez mes beaux-parents et ils ont demandé comment se passait l'analyse. Nous leur avons donc parlé de la possibilité de recourir à une section C. MIL a fait demi-tour et était comme "Oh, alors tu ne peux même pas donner naissance du tout!"
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Caroline Kruse, conseillère conjugale et familiale, auteure du livre Il faut qu’on parle aux éditions du Rocher, décrypte pour LMDM les relations entre une belle-fille et sa belle-mère à l’arrivée d’un bébé.
Caroline Kruse - Il y a toujours un peu d’ambivalence entre belle-fille et belle-mère. Il y a de la jalousie et de la rivalité. La mère étant le premier objet d’amour du fils. Il y a l’idée que le fils a quitté sa mère pour une autre femme. Il arrive aussi que la belle-fille joue un rôle dans cette rivalité avec une peur de trahir sa propre mère si elle noue des liens trop proches avec sa belle-mère ou encore en reportant sur sa belle-mère une agressivité qu’elle n'ose pas exprimer à l'égard de sa propre mère.
On est plus proche de sa propre mère que de sa belle-mère, sauf cas rare. Mais il faut faire un effort pour lui donner une place, maintenir un équilibre entre les deux grand-mères pour éviter d’éventuelles jalousies entre elles. On peut essayer de la solliciter un peu pour lui montrer qu’elle a une place. La grossesse est un moment très intime et ce n’est pas si facile à partager. Peut-être que ce sera plus facile d’accorder un temps à sa belle-mère quand l’enfant sera né.
Poser des limites, ce n’est pas si facile. Il faut le faire sans avoir l’air agressif. Mieux vaut ne rien dire sur le moment, ne pas rentrer dans le conflit et utiliser le principe du « merci positif » . Face aux remarques désobligeantes, on peut répondre quelque chose comme « tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer », quitte à faire exactement le contraire dès qu’elle sera partie. Pour la belle-mère, c’est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile. D’où l’intérêt de considérer l'intention et de ne pas trop s’agacer du contenu. 
Dans un premier temps, il vaut mieux en parler avec son compagnon, en lui demandant de l’aide. Si on lui demande d’intervenir il risque d’être pris dans un conflit de loyauté. Mieux vaut aussi dire : « J’ai du mal quand ta mère m’aide avec le bébé. » , plutôt que : « Ta mère est pénible ». Car même si lui aussi trouve qu’elle est envahissante, il ne va pas aimer l’entendre de la bouche de sa femme. Donc mieux vaut lui soumettre son propre embarras : « Je ne me sens pas légitime pour m’occuper de notre bébé quand ta mère est là. J’ai l’impression qu’elle trouve que je ne suis pas une assez bonne mère. Comment faire ? Tu la connais mieux que moi. Qu’est-ce que tu ferais à ma place ? » Il faut l’associer à son embarras et lui demander son aide.
Le mari interviendra auprès de sa mère, s’il y a vraiment beaucoup d’agressivité, ouvertement exprimée, il devra mettre des limites, en disant à sa mère que ça lui fait de la peine, qu’en attaquant sa femme, elle l’attaque lui, elle attaque son choix.
Si c’est un sujet de tensions graves dans le couple, c’est que quelque chose dysfonctionne et je pense que cela peut être intéressant d’ aller voir un thérapeute de couple . Il ne s’agit pas d’une longue analyse, ça peut se régler en quelques séances. On va travailler sur les représentations qu’on a de soi, de l’autre, de la mère, de la belle-mère. En parler à un tiers, permet de mieux se comprendre. Le thérapeute, c’est comme un traducteur, il va pouvoir reformuler sans blesser l’autre, sans que ce soit perçu de manière agressive.


Belle-mère en souffrance : la vérité sur la vie de famille recomposée


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Si l’on se préoccupe le plus souvent du bien-être de l’enfant dans le cadre d’une famille recomposée, le sentiment et la valeur d’une belle-mère au sein de cette cohabitation semblent tabou. Incomprise ou jugée, elle se résigne à s’effacer devant l’alliance parent-enfant. 
À temps plein ou non, cohabiter avec la progéniture de votre nouveau conjoint est vécu comme une épreuve pour nombre d’entre-elles. Pas toutes mamans, ces femmes subissent les aléas de la vie familiale en silence. Véritable sacrifice amoureux, dévoilons la réalité de ces sentiments mis en jeu par amour.
On ne souhaite jamais devenir belle-mère . Contrairement à une grossesse où l’on dispose de temps pour se préparer à l’arrivée du nouveau colocataire, voir débarquer un enfant au caractère et à l’éducation étrangers aux vôtres est une autre paire de manches. Les défis, qui surgissent à chaque moment, demandent une gestion qui n’est pas innée pour la plupart de ces nouveaux beaux-parents . En effet, chaque garde est perçue comme une intrusion dans la vie privée, un bouleversement routinier dans l’intimité du couple. 
Pourtant, il ne faut pas se leurrer, la cohabitation forcée est aussi mal vécue par l’enfant que le beau-parent. Si certaines relations réussissent à être saines et aimantes, la réalité sur les aveux des protagonistes est tout de même révélatrice. Il est difficile pour la société d’imaginer qu’une femme ne puisse pas aimer les enfants et pourtant. Derrière l’image de la parfaite tribu recomposée , une majorité d’enfants et de beaux-parents avouent, selon une étude, préférer moins se voir, ne pas considérer l’autre comme faisant partie de sa vraie famille et ne garderaient pas contact si le couple adviendrait à se séparer.
Dans le lot des pénibilités, l’éducation de l’enfant constitue le cœur d’une vie de famille. Une fois encore, difficile de s’immiscer sur ce terrain glissant. Car si l’entente du ménage traditionnel sur le schéma éducatif relève de l’exploit, basculer le gamin entre deux systèmes d’autorité selon qu’il loge chez sa mère ou son père tourne au chaos. Peu importe le mode de garde, les premiers jours commencent par de constants rappels à l’ordre, qui perturbent le calme et la sérénité de votre foyer donc. 
Plus frustrant encore, supporter un système éducatif à l’opposé de celui reçu de ses propres parents. Les valeurs inculquées ne sont pas en adéquation avec les vôtres. Et vous n’avez parfois rien à dire. La rébellion familiale ne vient cependant pas uniquement du chérubin. Certaines belles-mères sont très vulnérables à l’hostilité de leurs beaux-enfants. Irrespect, ingratitude et ignorance, deviennent les disgrâces qui transforment la gentille copine de papa en marâtre . Résister aux chocs des cultures est un défi permanent au sein de cette alliance.
On n’accepte pas cette vie de famille recomposée pour le plaisir de se faire du mal, de se mettre dans l’inconfort et de se pousser dans ces retranchements. Non. C’est bel et bien un sacrifice amoureux envers son conjoint . Si être parent est une épreuve dans la vie, devenir beau-parent rend le travail psychologique encore plus ardu. Des larmes versées en silence, des erreurs de comportement à essuyer, des opinions impossibles d’exprimer. Le niveau d’ingratitude et d’inattention se dirige en majorité vers le beau-parent, surtout lorsqu’il ne reçoit pas le soutien du père. Peu supporteraient ces résignations du quotidien . L’art de garder le silence alors que l’on désire hurler.
Peu importe l’attitude et le comportement de l’enfant, cette figure d’amour éternel restera prioritaire dans les choix familiaux. En devenant la rivale, dites adieu à l’exclusivité et à la première marche sur le podium des priorités affectives. Dans le cœur de l’amoureux, la progéniture prend beaucoup de place.
Lorsque vous acceptez de vivre avec la ou les progénitures de votre ami , vous acceptez indirectement l’intrusion de son ex dans votre cocon familial . Inévitablement, le deuxième parent se manifeste à chaque décision en rapport avec le minot, à la prise de garde, des vacances, les fêtes d’anniversaire et de fin d’année, sortie et vie scolaire. Sans parler du mioche qui ramène sa mère au centre de toute conversation.
Au meilleur des cas, cela s’arrête là. Cependant, les séparations étant rarement amicales, il est plus courant que des querelles et règlements de comptes sur leur vie passée viennent animer vos moments à deux. Ce qui influent sur les humeurs de votre compagnon… Échanges de messages, appels virulents et mails insultants qui finissent en règlement de compte devant le juge… Tant de stress, d’angoisse et d’ambiance pesante dans la famille qui se mêle indirectement à votre vie. Une chose est sûre, vous pourriez clairement vous en passer. 
La casquette du paternel endossé par le chéri à l’arrivée de l’enfant peut en perturber plus d’une. Selon votre image du ‘père idéal’, votre amoureux peut vous décevoir. Vous lui découvrez alors un autre visage… Tout de suite moins séduisant. Autoritaire ou laxiste, le comportement de monsieur face à son rejeton n’a plus rien d’attirant. On rentre ainsi de suite dans le cadre ennuyeux de la vie de famille. Celui de l’éternel jeu des caprices, des négociations infinies et des rappels à l’ordre plus ou moins fructueux donc. Et vous, toujours spectatrice de ce sempiternel rituel. 
Et pour compenser l’instabilité familiale, les parents instaurent une relation de séduction avec le gosse. Ne pas le frustrer, le couvrir de cadeaux, assouvir le moindre de ses désirs… Et ne pas vous soutenir lors de vos interventions , fait aussi partie du deal.
Contrairement aux débats sur les conflits marâtre/beaux-enfants , celui-ci expose la vérité sur les non-dits du quotidien de la partenaire . Par amour pour leur conjoint elles acceptent également une vie remplie de compromis , au sein d’une famille qui lui sera toujours étrangère. Pour ainsi palier à ce bonheur imparfait, une communication régulière sur les besoins et respect de chacun s’avère primordiale. De plus, remettre les désirs de la belle-mère au même niveau que celui de l’enfant est la clé d’une attente réussie et sereine.
J’ai 74 ans. Fuyez cette vie. Ne vous engagez jamais avec un homme avec un ou des enfants. Tout celà n’est que malheur avec quelques moments de joie vite oublié. On a toujours au fond de soi quelque chose qui ne va pas ! On ne trouve jamais le bonheur dans une famille recomposée.
Bonjour, j’ai beaucoup souffert, perdu mon travail, fait une dépression avec tentative de suicide grâce à ces 3 chers enfants à qui j’ai tout donné et qui m’ont tout pris… Alors vraiment si c’était à refaire, je ne me lancerais pas dans une telle mésaventure…Je les déteste cordialement de m’avoir fait perdre mon temps, ma santé, mon appétit de vivre, mon travail, me suis même éloignée de leur père mon époux. Leur mère m’a maltraitée, insultée… Elle qui pourtant les a abandonnés pendant 10 ans (en prison). Ils ont tous abusé (père compris) de ma gentillesse.. Alors aujourd’hui je n’aspire qu’à une chose…. Du balai !
Je vie depuis 3 ans en famille recomposée avec les 3 enfants de mon compagnon, la mienne et le tout petit dernier arrivé il y a peu. Souvent je me sens maratre de demander le respect et même reduite a réclamé la politesse et le ton correct qui est dû a un adulte. J’aime mes beaux-enfants mais pas sans peine et larmes souvent. En 3 ans le petit dernier de mon compagnon m’a taper x fois a arreter cette été (il m’a pousser enceinte dans les escaliers, son père l’a giflé et c’était terminé ) . La mère l’a blâmer et aurait préféré juste une punition, je temporise mes mots, la réaction été plus virulante, jamais je n’ai pu répondre, je me fâché et don père justifier le mal etre de la séparation d’avec leurs mere 4 ans auparavant. Il ne m’amait pas et commence que depuis quelques mois a m’accepter. Les ados 13 et 16 c’est maintenant qu’ils se dévoilent et me malmene. Je prends soin d’eux au quotidien, le médecin, les courses pour leur fringues, des sorties, des moments chouette…. et ils ne me salut pas lorsque je les croisent dans la rue lors des semaines de leurs mère, ils saluent à peine leurs père et l’ignorance en présence
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