Rousse et plan à trois
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La première édition du Tour de France Femmes s’élancera ce dimanche 24 juillet, depuis Paris. À cette occasion, Prolongation a longuement rencontré Marion Rousse, directrice de l’épreuve, pour un témoignage en trois parties. Avant d’aborder sa relation avec Julian Alaphilippe et la maternité, l’ancienne coureuse, 30 ans, évoque sa reconversion réussie en tant que consultante, à la fin de sa carrière.
Voilà trois semaines maintenant que Marion Rousse s’invite chaque jour chez les Français amoureux de la Petite Reine, trois semaines qu’elle commente le Tour de France, parti cette année de Copenhague (Danemark), avec Alexandre Pasteur et Laurent Jalabert sur France Télévisions. Elle a trouvé sa place dans ce triumvirat, son ton, distille sa connaissance de la course et des coureurs.
Pour Prolongation , l’ancienne coureuse, qui occupera le rôle de directrice du Tour de France Femmes à partir de ce dimanche, a accepté de livrer un témoignage en trois temps, de raconter la sportive, la compagne, la femme, la maman, la patronne. Avec authenticité. Première partie ce vendredi, où elle aborde sa reconversion en tant que consultante, après sa carrière cycliste.
« J’ai arrêté ma carrière cycliste en 2015, à l’âge de 25 ans. Je pense que j’aurais pu encore progresser, mais j’ai choisi d’arrêter très jeune. S’il y a bien un truc que je n’aime pas, c’est faire les choses à moitié et il se trouve que j’avais l’impression de ne faire du vélo qu’à moitié. J’avais commencé à faire de la télévision en même temps. C’était en 2013 à Eurosport . J’y travaillais la journée puis, le soir, j’allais m’entraîner. J’avais finalement l’impression de faire deux choses mais de les faire mal. Je déteste tellement ça. Je me suis alors posé les bonnes questions.
Je vous l’ai dit, 25 ans, c’est jeune pour arrêter. Sauf que j’avais commencé la compétition à l’âge de 6 ans, ce qui donne au bout du compte une carrière longue et beaucoup de kilomètres parcourus. Il n’y avait que moi qui pouvais prendre cette décision. Je me répétais : « Qu’est-ce que tu veux aujourd’hui ? »
Je pense que lorsque l’on décide de mettre un terme à sa carrière de sportif ou de sportive de haut niveau, il faut rebondir tout de suite sur autre chose. Nos vies défilent à 100 à l’heure. Si du jour au lendemain tu ne sais pas quoi faire, tu deviens fou. Je peux comprendre que certains, peut-être, ressentent le besoin de plus profiter ou de se calmer mais moi, j’ai toujours besoin de rebondir sur des projets, des objectifs, et de me fixer un but.
Il se trouve que la télévision me permettait de continuer à vivre vraiment de ma passion, tout en en profitant. En commentant une course de vélo, je n’ai pas l’impression d’être au boulot. Par exemple, chaque mois de mai, je ne commentais pas le Giro mais je le regardais tous les jours, comme si j’étais dans mon salon et qu’on parlait de vélo. Je me suis donc décidée à me lancer à fond dans ce rôle de consultante. Et je n’ai pas regretté.
L’après-carrière a été une somme d’opportunités pour moi. Je les ai saisies, sans toujours les maîtriser. Je suis une fille de la campagne (elle vient de Saint-Saulve, dans le Nord) , j’avais fait du vélo toute ma vie. Pour être totalement honnête, le monde des médias et de la télé ne m’attirait pas du tout. J’étais plutôt réservée, j’avais même un peu peur, une question de nature. Jeune, j’adorais faire du vélo. Quand je gagnais, dès l’école de cyclisme, le moment que je redoutais le plus était quand on m’appelait devant tout le monde sur le podium pour que j’aille chercher ma coupe. Vous comprenez sans doute pourquoi faire de la télévision était un peu contre-nature au début de l’aventure.
Mais j’ai bossé, j’étais motivée. Ces choix de carrière sont assez étranges quand on connaît ma personnalité, mais j’ai fini par progresser et m’épanouir....
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cyclisme tour de france François Kulawik
23/05/2022 05h52 | MIS À JOUR LE 23/05/2022 À 08h19
Marion Rousse répond à la polémique !
Elle a présenté le parcours du Tour de France Femmes 2022.
Le champion du monde était présent au Palais des Congrès pour la présentation du parcours du Tour de France.
Le Tour de France Femmes passera par Epernay, là où le puncheur français avait conquis son premier maillot jaune en 2019.
L'ascension vosgienne sera le théâtre du grand final du Tour de France Femmes.
Attentifs, lors de la présentation du Tour.
La consultante a pris du galon à l'échelle du Tour de France.
Marion Rousse a annoncé le montant des primes que percevront les coureuses du prochain Tour de France.
Et ce quinze jours seulement après la polémique qui avait secoué Paris-Roubaix
La directrice du Tour de France féminin est montée au créneau pour défendre la dotation offerte aux coureuses à l’occasion du grand retour de l’épreuve en juillet prochain.
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L’été s’annonce historique pour le cyclisme féminin. Douze ans après sa dernière édition, le Tour de France femmes s’apprête en effet à faire sa réapparition. Une Grande Boucle qui s’élancera de Paris le jour de l’arrivée des hommes sur les Champs-Élysées et mènera les coureuses jusqu’au sommet de la Planche des Belles-Filles, huit jours plus tard. Un retour particulièrement attendue qui devrait permettre au cyclisme féminin d’entrer dans une nouvelle ère selon Marion Rousse, nommée directrice du Tour féminin à l’automne dernier.
« On espère justement avec ce Tour de France donner des idées aux femmes et faire que le cyclisme féminin à la télé ne soit pas une curiosité mais la normalité » , a-t-elle ainsi confié dans un entretien accordé à l’AFP, bien décidée à combler l’immense fossé entre le cyclisme masculin et son pendant féminin. Notamment sur le plan financier. Alors que les coureurs se partageront quelque 2,3 millions d’euros lors du prochain Tour de France, les femmes devront se contenter de 250 000 euros. Un écart à relativiser selon la Nordiste.
« Si on compare avec une course masculine de huit jours comme le Dauphiné ou Paris-Nice, on est au-dessus de la grille des hommes, a-t-elle confié. Les primes sont presque un faux débat. On en parle beaucoup mais ce n’est pas de ça que les filles veulent vivre. Il est plus important de voir ce que le Tour de France femmes va apporter: l’impact médiatique qu’on va créer et l’argent venant avec pour avoir une stabilité financière et permettre aux salaires d’augmenter. »
L’ancienne championne de France a d’ailleurs souligné le bond en avant qui a été observé ces dernières années. « En six ans, ça n’a plus rien à voir. Dans les équipes WorldTeams, un salaire minimum a été instauré. Avant, à part trois ou quatre filles rémunérées qui se battaient entre elles, les autres, comme moi, nous devions bosser à côté. Il y avait un grand écart de niveau, a-t-elle expliqué. Je n’ai jamais connu les cars qu’elles ont maintenant comme les hommes: on se changeait dans le coffre des voitures. On avait le statut de professionnel, mais il n’y avait rien de professionnel. Je me suis retrouvé sur des courses avec des voitures à contresens. »
Et la compagne de Julian Alaphilippe de poursuivre: « L’évolution s’est ressentie à la télé. Il y a des stratégies de course mises en place. Ce n’est plus la même fille qui gagne à chaque fois. Une homogénéité est apparue. Il fallait commencer par là avant d’avoir un Tour de France femmes. » Ce qui est désormais chose faite.
1ere étape : Paris Tour Eiffel – Champs-Elysées (82 km)
2eme étape : Meaux – Provins (135 km)
3eme étape : Reims – Epernay (133 km)
4eme étape : Troyes – Bar-sur-Aube (126 km)
5eme étape : Bar-le-Duc – Saint-Dié-des-Vosges (175 km)
6eme étape : Saint-Dié-des-Vosges – Rosheim (128 km)
7eme étape : Sélestat – Le Markstein (127 km)
8eme étape : Lure – La super Planche des Belles Filles (123 km)
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cyclisme tour de france François Kulawik
23/05/2022 05h52 | MIS À JOUR LE 23/05/2022 À 08h19
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Elle a présenté le parcours du Tour de France Femmes 2022.
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