Rituelle lesbienne

Rituelle lesbienne




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Rituelle lesbienne








Dessous quotidiens










Lingerie Fine










Maillots de Bain










Bas et Collants










Accessoires










>>> Promos















DĂ©couvrez-nous











Retour




a propos





looks





Journal





events





Contact







DĂ©couvrez-nous




a propos



looks



Journal



events



Contact







Actualités et blog lingerie les rituelles


Free worldwide shipping from 300€ >>> code FREE300
Chaque Ă©poque fait Ă©merger des reprĂ©sentations de "la femme" que nous dĂ©couvrons partiellement Ă  travers ce que nous laissent les diffĂ©rentes expressions artistiques. On en dĂ©duit parfois des idĂ©aux reprĂ©sentatifs des cultures et mĂȘme des normes sociales. Mais notre Ă©poque, avec sa culture de masse Ă  Ă©chelle mondiale, semble bien plus prescriptive.
Alors que l'accÚs à l'information n'a jamais été aussi aisé, l'infinie variété des figures féminines se pose comme un tabou. Les uns et les autres cherchent à s'accaparer et à fixer au formol de toutes les moralités une image intangible de "la femme" qui serve leurs doctrines ou leurs intentions commerciales.
Il n'y a rien de tel que "LA femme". "Les" femmes non plus. Il y a DES femmes et cela détermine ni le sexe ni la sexualité des individus qui tombent sous le concept.
Chez Les Rituelles, nous croyons doux comme cuir qu'il est possible de s'habiller de maniÚre responsable, alternative, agréable et selon ses souhaits. De la lingerie qui vous ressemble, vous raconte, vous rassemble. Un point de départ à l'élaboration d'un personnage à soi, unique. Les Rituelles (dés)habille toutes celles (et ceux) qui se sentent femmes.
Les Ă©tiquettes des vĂȘtements ne devraient pas ĂȘtre lues comme on lit la composition des plats prĂ©parĂ©s.
Nous préférons les produits issus d'atelier, les circuits courts et les matériaux nobles.
Nous faisons attention pour vous à la façon dont les matériaux sont traités.
En jouant sur le caché/dévoilé et le dessus/dessous la lingerie est la premiÚre parure qui permet à chacune d'élaborer les personnages qu'elle désire incarner.
Au contact de la peau, elle prolonge l'intime.
Les Rituelles se veut certes le lieu oĂč ces figures actuelles de la fĂ©minitĂ© se trouvent (ou se cherchent), se rĂ©vĂšlent et s'assument mais aussi celui oĂč elles s'Ă©coutent, se comprennent et s'Ă©laborent comment elles le dĂ©sirent.
Nous vous accueillons de 10h Ă  19h, tous les jours sauf le mardi, au 6 rue Houdon, Paris 18.
Les Rituelles vous propose non seulement une sĂ©lection de lingerie de crĂ©ateur, mais Ă©galement un espace culturel liĂ© Ă  l'Ă©rotisme et au corps dans toutes ses reprĂ©sentations. Vous y trouverez des publications indĂ©pendantes, livres, magazines, fanzines d'artistes, reproductions d'illustrations, cartes postales, Ɠuvres d'art, tirages photographiques... et bien plus.
Nous organisons trĂšs rĂ©guliĂšrement des Ă©vĂšnements au sein mĂȘme de cet espace culturel : exposition et vernissage, lancement de magazines, tatouage, atelier ou encore signature de livre. Restez informĂ© de notre calendrier en vous abonnant Ă  la newsletter ou en consultant notre page dĂ©diĂ©e .
Pour tout savoir sur le pourquoi du comment, le dĂ©but, la fin du dĂ©but et la continuation
 lisez l’interview d’Aline Tran , la fondatrice de la boutique et du concept Les Rituelles :
LIRE L’INTERVIEW D’ALINE TRAN, LA FONDATRICE DE LA BOUTIQUE
66 Minutes a suivi la boutique Les Rituelles au Salon de la Lingerie, une Ă©dition sous le signe de glamour et du retour du sexy.
Les Rituelles - 6 Rue Houdon - 75018 Paris - 0177165729 - contact@lesrituelles.fr
Ouvert du mercredi au samedi de 10h00 à 19h00 / Les dimanches et lundis de 13h à 19h / Fermé le mardi

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes en nous basant sur votre consentement :
stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations sur un terminal , publicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es d’audience et dĂ©veloppement de produit
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Les cookies de diffusion de publicitĂ© ciblĂ©e , PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es d’audience et dĂ©veloppement de produit , Stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations sur un terminal



Français

English

Español

ŰčŰ±ŰšÙŠ





Newsletters

Recevoir France 24

Applications

RSS





Qui sommes-nous ?

Espace Presse

Contacter France 24

Publicité

Nous rejoindre

Mentions légales

Confidentialité

Cookies

Centre de préférences

Gestion des notifications





Les Observateurs

RFI

RFI Savoirs

RFI Musique

RFI Instrumental

Mondoblog

MCD

InfoMigrants

CFI

Académie

France MĂ©dias Monde




Par :


ClĂ©lia BÉNARD



|
Sophie WAHL







Malawi

Droits des femmes

Viol

Sida


Ajouter France 24 Ă  votre Ă©cran d'accueil
© 2022 Copyright France 24 - Tous droits réservés. France 24 n'est pas responsable des contenus provenant de sites Internet externes. Fréquentation certifiée par l'ACPM/OJD.

Dans le sud du Malawi existe un rituel initiatique violent : les jeunes filles qui atteignent la puberté doivent avoir des relations sexuelles forcées avec une "hyÚne", un homme désigné par leur famille. Ce viol est encadré par des rÚgles strictes, et il est organisé dans le plus grand secret. Une pratique qui perdure malgré son interdiction.
Ce reportage a reçu le Prix du jeune reporter d'images de tĂ©lĂ©vision du magazine leRotarien – Édition 2017
C’est un passage obligĂ© dans certaines communautĂ©s du sud du Malawi . DĂšs leurs premiĂšres rĂšgles, les jeunes filles doivent passer la nuit avec un homme choisi par la famille, appelĂ© une "hyĂšne", pour marquer leur passage Ă  l’ñge adulte. Il s’agit d’un "apprentissage de la sexualitĂ©" et, dans la croyance locale, d’une nĂ©cessitĂ© pour se "purifier" et se prĂ©munir contre de graves maladies. Mais pour ces jeunes filles, c’est surtout un Ă©vĂ©nement traumatisant : un viol, qui peut Ă©galement donner lieu Ă  une grossesse non dĂ©sirĂ©e.
Les "hyĂšnes" sont des hommes choisis par la communautĂ© et recrutĂ©s secrĂštement par les parents des jeunes filles. Ils sont payĂ©s pour avoir ces rapports sexuels de force. Et toujours sans protection. Une vĂ©ritable catastrophe dans un pays oĂč 10 % de la population est sĂ©ropositive, et encore plus dans cette rĂ©gion pauvre, oĂč 16 % des habitants sont infectĂ©s par le virus .
La pratique est dĂ©sormais interdite, en thĂ©orie, mais dans les zones rurales du Malawi, c’est le droit local qui prime. Difficile alors de faire appliquer la loi. Pourtant, les mentalitĂ©s changent et des voix s’élĂšvent contre cette coutume. Des cheffes de district et des ONG ont dĂ©jĂ  entamĂ© le long combat pour que les jeunes filles du Malawi ne soient plus les victimes de cette tradition.
Le résumé de la semaine France 24 vous propose de revenir sur les actualités qui ont marqué la semaine
Emportez l'actualité internationale partout avec vous ! Téléchargez l'application France 24

Du Sahel Ă  DubaĂŻ : les routes de l'or sale

Reportage exclusif : Séoul, le prix de la liberté pour les Nord-Coréens en fuite

Vidéo : Benghazi, vitrine de l'Est libyen

"Never again" : le mouvement contre les armes qui bouscule l'Amérique

Chine : sur la trace des disparus du pouvoir

Vidéo : avec des migrants guinéens, à l'épreuve des Alpes

Vidéo : Saint-Laurent-du-Maroni, porte d'entrée clandestine vers la Guyane française

Cîte d’Ivoire : "Jeunes patriotes", les hommes de Laurent Gbagbo
Le contenu auquel vous tentez d'accéder n'existe pas ou n'est plus disponible.

Vos données personnelles sur Orange
Tout accepter Personnaliser vos choix
Orange, Sosh et leurs partenaires avec votre consentement peuvent utiliser des cookies ou Ă©quivalent pour stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations sur votre terminal afin notamment de collecter ou traiter des donnĂ©es personnelles telles que : donnĂ©es de navigation (comme les pages et applications consultĂ©es), identifiants (comme l’adresse IP, identifiants de contrats, identifiants mobiles publicitaires ou l’IMEI)... Les traitements de certains partenaires reposent sur leurs intĂ©rĂȘts lĂ©gitimes, vous pouvez vous y opposer en cliquant sur le lien « Personnaliser vos choix ».
Ces donnĂ©es sont traitĂ©es par Orange et/ou ses partenaires aux fins suivantes : - Contenus et publicitĂ©s personnalisĂ©s sur supports digitaux (services, offres et publicitĂ©s adaptĂ©es Ă  vos centres d’intĂ©rĂȘt sur internet, application mobile ou interface TV) ou par communication directe (e-mail, SMS, tĂ©lĂ©phone, point de vente
), mesure de performance du contenu et des publicitĂ©s, donnĂ©es d’audience et dĂ©veloppement de produit. - Mesure d’audience des publicitĂ©s et des contenus, y compris pour les emails et SMS qui vous sont adressĂ©s.
Si vous ĂȘtes connectĂ© avec un compte Orange ou Sosh et sous rĂ©serve des choix exprimĂ©s par ailleurs, les informations traitĂ©es pourront ĂȘtre associĂ©es avec celles collectĂ©es sur vos autres appareils et enrichies des donnĂ©es client de vos contrats et de ceux de votre foyer. Vos donnĂ©es pourront Ă©galement enrichir ou ĂȘtre enrichies avec des donnĂ©es collectĂ©es par nos partenaires.
Vos choix seront appliqués sur le portail Orange et sur certaines de nos applications ( consulter la liste ) ainsi que pour les emails et SMS qui vous sont adressés. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique « cookie ». Vous pouvez modifier votre consentement à tout moment en cliquant sur le lien « Gestion cookies » en bas de page.

Lorsqu'il s'agit de sexe, certaines personnes sont prĂȘtes Ă  tout pour assouvir leurs fantasmes. La preuve avec ce couple qui Ă©tait en pleine action dans la piscine d'un hĂŽtel. Une vidĂ©o que nous proposons de retrouver sur notre site Non Stop Zapping.http://www.non-stop-zapping.com/actu/divers/un-couple-en-pleins-ebats-sexuels-se-fait-surprendre-video-50943


Vos réactions doivent respecter nos CGU .


Coprésidents du Mouvement Impact France
Ancien chef du département de médecine interne, hÎpital LariboisiÚre (Paris), professeur émérite de thérapeutique, Université Paris Cité
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts ScÚnes
Pour ajouter l’article Ă  vos sĂ©lections identifiez-vous
Vous possédez déjà un compte ? Se connecter
Sommaire de notre série Les hyÚnes du Malawi ou le terrible « apprentissage » du sexe
L’espace des contributions est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s.
Abonnez-vous pour accĂ©der Ă  cet espace d’échange et contribuer Ă  la discussion.
Pour ajouter l’article Ă  vos sĂ©lections identifiez-vous
Vous possédez déjà un compte ? Se connecter
Pourquoi le marché immobilier ralentit partout en Europe
Bill Gates investit dans la climatisation moins Ă©nergivore
Peut-on se faire indemniser aprÚs un cambriolage avec des volets restés ouverts ?
« La question de la sobriĂ©tĂ© salariale devrait ĂȘtre Ă©tendue Ă  l’ensemble des entreprises »
« Je savais que je risquais ma vie » : quand l’avortement tuait les femmes en France
Des rideaux de pluie et des vents à 100 km/h : Paris les pieds dans l’eau pendant l’orage
Les individus peuvent-ils sauver le climat grùce à la sobriété ?
Pourquoi la France s’accroche Ă  des ilots inhabitĂ©s ?
Nucléaire : un souhaitable pragmatisme allemand
Le pluriversel, pour un « monde fait d’une multitude de mondes »
Le monde selon Poutine : la croix et la banniÚre
« Sur la crise de l’hĂŽpital, on a parlĂ© de tout, sauf d’amour »
La mort de Wolfgang Petersen, rĂ©alisateur allemand devenu valeur sĂ»re d’Hollywood
La collection « Alexandre Dumas ». « Le Comte de Monte-Cristo II »
« Fort Worth, Texas », sur France 5 : visite au cƓur d’une ville qui vit dans le passĂ© mythifiĂ© des cow-boys
Sharon Horgan, actrice et scénariste qui explore la féminité décomplexée
Dans les marais de la Lea, affluent de la Tamise, une oasis en sursis
Les métamorphoses de Victoria Beckham
S’aimer comme on se quitte : « Il mettait des paillettes dans ma vie, c’était ma seule perspective positive »
Carte postale culinaire du mont Athos : les pñtes d’orge aux crevettes de Dina Nikolaou
Les hyĂšnes du Malawi ou le terrible « apprentissage » du sexe (1/4). Les familles envoient leurs filles Ă  peine pubĂšres dans des camps de « vacances » pour qu’elles apprennent « les choses de la vie ».
L’innocence d’Awa Kandaya n’est qu’une façade. La virginitĂ© de cette jeune femme de 20 ans, sac Ă  dos d’écoliĂšre sur les Ă©paules et sourire charmant, lui a Ă©tĂ© arrachĂ©e quand elle avait 9 ans dans un camp d’« initiation sexuelle », dans le sud du Malawi. Selon la tradition locale, un homme, payĂ© par ses parents pour lui apprendre « les choses de la vi e », l’a violĂ©e. Onze ans plus tard, les parents parlent volontiers du camp. Le viol, lui, reste un tabou.
Assise sur les marches d’un bĂątiment de Nampugo, village du district de Mulanje, Ă  des kilomĂštres de la premiĂšre route bitumĂ©e, Awa explique le rite. Si elle est commune Ă  certains pays d’Afrique de l’Est qui l’abrogent peu Ă  peu, cette tradition d’« initiation sexuelle » des petites filles reste trĂšs implantĂ©e au Malawi. Ici, comme dans la majoritĂ© des zones rurales, elles doivent toutes se rendre, dĂšs leurs premiĂšres menstruations, dans un camp. Elles en ressortent sinon dĂ©florĂ©es, du moins profondĂ©ment changĂ©es.
« Les parents inscrivent leurs filles au camp, c’est une affaire familiale, explique Esitele Paulo, l’une des deux organisatrices du camp oĂč a Ă©tĂ© envoyĂ©e Awa Kandaya. Elles se prĂ©sentent durant les vacances de septembre et sont Ă  nous pour deux semaines. » Deux semaines pour faire de ces fillettes des « femmes » avant l’heure censĂ©es ĂȘtre aptes Ă  prendre en main un foyer.
VĂ©ritable outil d’asservissement aux hommes, le camp d’initiation est dirigĂ© par deux femmes. « On part Ă  l’écart du village, dans un bĂątiment loin des hommes oĂč nous sommes seules avec les organisatrices du camp » , se souvient la jeune Awa. « Une fois que les premiers rituels commencent, on comprend qu’on est lĂ  pour apprendre Ă  plaire Ă  un homme, comment lui faire plaisir sexuellement », continue-t-elle. Devenue anxieuse Ă  l’évocation de ses souvenirs, la jeune fille perd son sourire.
Rien ne transparaĂźt sur les pratiques du camp : l’omerta est entiĂšre. Aux gamines qui refusent de se plier au rite, la loi des ancĂȘtres promet maladies de peau et malheurs familiaux. Certaines, naĂŻves, sont heureuses de se rendre dans ce qu’elles croient ĂȘtre un camp de vacances, d’autres ont dĂ©jĂ  entendu des rumeurs, ou les messages de dĂ©nonciation des ONG. Mais, bon grĂ© mal grĂ©, l’immense majoritĂ© des filles s’y rĂ©signent, encouragĂ©es par des mĂšres qui perpĂ©tuent ce qu’elles ont elles-mĂȘmes subi sans rien dire Ă  leurs enfants de ce qui les attend.
« On les emmĂšne Ă  la riviĂšre, les filles se dĂ©shabillent, elles doivent ĂȘtre nues , explique sans gĂȘne la tenanciĂšre du lieu, pieds nus et vĂȘtue de son chitenje traditionnel bleu roi. Elles s’essaient Ă  la danse chisamba, Ă  remuer leurs fesses pour exciter les hommes. » Toujours nues, les enfants se frottent les unes contre les autres, puis s’allongent et doivent simuler chacune l’acte sexuel. Sur une vieille chaise en plastique de l’école catholique Namulenga, Esitele Paulo raconte sans sourciller ce qu’elle fait depuis « des dizaines d’annĂ©es ».
Au bord de la riviĂšre, dans la forĂȘt, les fillettes doivent s’entraĂźner Ă  la fellation sur un morceau de bois alors qu’elles n’ont mĂȘme pas encore passĂ© leur pubertĂ©. Mais Esitele Paulo et de nombreuses mĂšres de famille n’en dĂ©mordent pas : il faut enseigner « la vie » Ă  la jeunesse grandissante. « Pourquoi j’ai envoyĂ© ma fille dans ce camp ? Pour la tradition et pour lui apprendre les bonnes maniĂšres », rĂ©pond du tac au tac Lima Kandaya, la mĂšre d’Awa, balayant d’un revers de la main les rĂ©actions « des gens de la ville » qui osent poser des questions sur le traumatisme psychique et physique engendrĂ© par ces pratiques.
Ici, la tradition prend le dessus sur le consentement individuel, les rĂšgles d’hygiĂšne Ă©lĂ©mentaires et la planification familiale. Entre autres lois enseignĂ©es au camp : tout ce qui a trait aux menstruations − l’utilisation de serviettes hygi
De la baise classique dans un porno
Dans les fesses d'une petite teen
Un noir prend possession d'une blonde

Report Page