Riley n'a pas de soucis

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Riley n'a pas de soucis
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Accueil > Orthographe > « Pas de souci » ou « pas de soucis » ?

Mis à jour le
16 août 2022
par La langue française -
10 commentaires


« Il n'y a pas de souci, je peux le faire. Pas de soucis aujourd'hui. »
Les expressions commençant par « pas de » posent souvent problème. On peut se demander s'il faut mettre le mot qui suit au singulier ou au pluriel ? Beaucoup de francophones se demandent ainsi s'il faut écrire « pas de souc i » sans -s ou « pas de souc is » avec un -s ? On vous explique dans cet article la règle pour ne plus hésiter. Bonne lecture !
Règle : après « pas de », on peut écrire le nom qui suit au singulier ou au pluriel .
On écrit « pas de souci » sans -s s'il s'agit d'un souci particulier , qui exprime un sentiment d'inquiétude. « Souci » (ou tout autre nom) sera également au singulier après « pas de » s'il décrit une réalité abstraite, non dénombrable .
En revanche, on peut dans certains cas parler de plusieurs soucis à la fois . Dans ce cas, on écrira « pas de soucis » dans le sens « il n'y a pas de problèmes » avec l'idée qu'il pourrait y en avoir plusieurs. D'une façon générale, certaines personnes privilégient « pas de souci » au singulier, considérant que « pas » indique qu'il y a zéro souci , et qu'il n'y a donc aucune raison de l'écrire sous sa forme plurielle.
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Attention toutefois, selon l'Académie française , l'usage de « pas de souci » (au singulier ou au pluriel) est erroné malgré son adoption large dans la société. Ne l'utilisez donc pas dans vos écritures formelles :
On entend trop souvent dire il n’y a pas de souci, ou, simplement, pas de souci, pour marquer l’adhésion, le consentement à ce qui est proposé ou demandé, ou encore pour rassurer, apaiser quelqu’un, Souci étant pris à tort pour « difficulté », « objection ».
Selon les cas, on répondra simplement oui, ou bien l’on dira Cela ne pose pas de difficulté, ne fait aucune difficulté, ou bien Ne vous inquiétez pas, Rassurez-vous.
Par ailleurs, on constate que les occurrences dans les textes publiés depuis 1800 de « pas de souci » au singulier sont plus nombreuses que « pas de soucis » au pluriel :
Ne vous faites pas de souci , Edwin. Le numéro deux de The Running ne se laissera pas piéger par une poignée d'apprentis-ravisseurs.
« Quand on est dans la main de Dieu on n'a pas de souci sur ce qu'on a à faire, on n'a pas de remords de ce que l'on a fait », disait au douzième siècle la secte hérétique des amalriciens.
Entrent de nouveaux clients, des hommes virils dont un noir, et des enfants, encore. Bruns comme leurs papas. Tasses de café, chips, les gens n'ont pas de soucis . Les enfants s'amusent dans l'eau.
En tout cas ne te fais pas de soucis à cause de l'école, car le choix est grand et n'est peut-être même pas tellement important, si l'on veut apprendre, on peut toujours acquérir les choses nécessaires partout...
En conclusion, l'écriture de « pas de souci » peut se faire avec ou sans -s à la fin. Tout dépend du sens que l'on souhaite donner à notre propos. N'hésitez pas à parcourir les autres articles d'orthographe pour pouvoir bien écrire en français.
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Je ne sais qui a inventé ces modes « pas de soucis », tout à fait, absolument, du coup, voilà
Un jour j’écoutais Amélie Moresmo lors d’une interview elle a dit 50 fois « voilà « ctait vraiment agaçant
Et lors de certaines emissions les « tout à fait » pleuvent à verse
On pourrait dire oui, bien sûr, c’est exact, pas de pb, puisque celui-ci se dit depuis longtemps, au lieu des mots à la mode (voir mon message précédent)
Si on changeait cette expression par « no problemo » ou « pa ni pwoblem « ….. ça nous permettrait de ne pas oublier que c’est pas très correct au sens de l’Académie…..
Dans ce cas, on pourrait varier les réponses, et selon le cas utiliser:
Avec plaisir!
Avec joie!
Bien volontiers!
Je m’en occupe tout de suite.
Je ne vois pas de difficulté majeure.
Considérez que c’est fait.
Ou un simple « oui »
Moi j’aime beaucoup le « d’accord » c’est mon voilà à moi!
Voilà!
Oups, je voulais dire …. je voulais juste apporter un peu de mon eau au moulin! 🙂
Merci de m’avoir enlevé ce doute qui trottait dans ma tête depuis assez longtemps. Site bien expliqué et très lisible
Merci à vous pour votre commentaire.
N’hésitez pas à partager l’article 😉
Il me semble utile de rappeler que la « langue de Molière » est parfois compliquée. Il est bon de se souvenir que lorsque on écrit :
– pas de
– aucun et
– sans
en principe il n’y à pas de « s ».-
Bonne soirée
Bonjour, merci pour cette explication, pourrions nous avoir les sources plus précisément de l’académie française ? Non pas que je doute de votre explication, mais j’aimerai avoir plus de détails et lire l’article de l’académie en entier, merci d’avance.
D’une manière générale, attentif à l’énergie des mots, je n’utilise pas ces formules faussement rassurantes qui comportent un double élément négatif : elles ont à mes yeux et aux oreilles des autres, un effet inverse de celui attendu : utiliser une négation et un mot stimulant des émotions d’inquiétude pour dire en fait « oui », « tout est clair », « nous nous sommes bien compris »… c’est un peu pervers. C’est quelque chose comme « Je te rassure en te montrant que tu pourrais être inquiet ».
Une méta communication du « oui mais » bien trop habituelle dans nos échanges actuels !
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« Il n'y a pas de souci, je peux le faire. Pas de soucis aujourd'hui. »
Les expressions commençant par « pas de » posent souvent problème. On peut se demander s'il faut mettre le mot qui suit au singulier ou au pluriel ? Beaucoup de francophones se demandent ainsi s'il faut écrire « pas de souc i » sans -s ou « pas de souc is » avec un -s ? On vous explique dans cet article la règle pour ne plus hésiter. Bonne lecture !
Règle : après « pas de », on peut écrire le nom qui suit au singulier ou au pluriel .
On écrit « pas de souci » sans -s s'il s'agit d'un souci particulier , qui exprime un sentiment d'inquiétude. « Souci » (ou tout autre nom) sera également au singulier après « pas de » s'il décrit une réalité abstraite, non dénombrable .
En revanche, on peut dans certains cas parler de plusieurs soucis à la fois . Dans ce cas, on écrira « pas de soucis » dans le sens « il n'y a pas de problèmes » avec l'idée qu'il pourrait y en avoir plusieurs. D'une façon générale, certaines personnes privilégient « pas de souci » au singulier, considérant que « pas » indique qu'il y a zéro souci , et qu'il n'y a donc aucune raison de l'écrire sous sa forme plurielle.
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On entend trop souvent dire il n’y a pas de souci, ou, simplement, pas de souci, pour marquer l’adhésion, le consentement à ce qui est proposé ou demandé, ou encore pour rassurer, apaiser quelqu’un, Souci étant pris à tort pour « difficulté », « objection ».
Selon les cas, on répondra simplement oui, ou bien l’on dira Cela ne pose pas de difficulté, ne fait aucune difficulté, ou bien Ne vous inquiétez pas, Rassurez-vous.
Par ailleurs, on constate que les occurrences dans les textes publiés depuis 1800 de « pas de souci » au singulier sont plus nombreuses que « pas de soucis » au pluriel :
Ne vous faites pas de souci , Edwin. Le numéro deux de The Running ne se laissera pas piéger par une poignée d'apprentis-ravisseurs.
« Quand on est dans la main de Dieu on n'a pas de souci sur ce qu'on a à faire, on n'a pas de remords de ce que l'on a fait », disait au douzième siècle la secte hérétique des amalriciens.
Entrent de nouveaux clients, des hommes virils dont un noir, et des enfants, encore. Bruns comme leurs papas. Tasses de café, chips, les gens n'ont pas de soucis . Les enfants s'amusent dans l'eau.
En tout cas ne te fais pas de soucis à cause de l'école, car le choix est grand et n'est peut-être même pas tellement important, si l'on veut apprendre, on peut toujours acquérir les choses nécessaires partout...
En conclusion, l'écriture de « pas de souci » peut se faire avec ou sans -s à la fin. Tout dépend du sens que l'on souhaite donner à notre propos. N'hésitez pas à parcourir les autres articles d'orthographe pour pouvoir bien écrire en français.
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Et lors de certaines emissions les « tout à fait » pleuvent à verse
On pourrait dire oui, bien sûr, c’est exact, pas de pb, puisque celui-ci se dit depuis longtemps, au lieu des mots à la mode (voir mon message précédent)
Si on changeait cette expression par « no problemo » ou « pa ni pwoblem « ….. ça nous permettrait de ne pas oublier que c’est pas très correct au sens de l’Académie…..
Dans ce cas, on pourrait varier les réponses, et selon le cas utiliser:
Avec plaisir!
Avec joie!
Bien volontiers!
Je m’en occupe tout de suite.
Je ne vois pas de difficulté majeure.
Considérez que c’est fait.
Ou un simple « oui »
Moi j’aime beaucoup le « d’accord » c’est mon voilà à moi!
Voilà!
Oups, je voulais dire …. je voulais juste apporter un peu de mon eau au moulin! 🙂
Merci de m’avoir enlevé ce doute qui trottait dans ma tête depuis assez longtemps. Site bien expliqué et très lisible
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– pas de
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Publié le 30 avril 2018 à 20:49

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« La rupture entre lui et Spo, ça sera une discussion entre eux mais il faudra bien réfléchir à ce qu’ils vont dire. Comment Hassan va-t-il transformer son état d’esprit à 99% pour réaliser les progrès attendus par Spo ? Et de l’autre côté, comment Spo peut transformer son avis par rapport à l’attaque et à la défense, ou aux minutes ? On a ça quasiment chaque année avec les joueurs, il y a toujours des désaccords. »

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Tous droits réservés © 1998-2019 Eureka Presse Crédits photos : Chris Elise , USA Today  |  Design & code juxy.fr

A 5 points et 6 rebonds de moyenne, Hassan Whiteside est complètement passé à côté de ses playoffs. Dominé de la tête et des épaules par Joel Embiid et carrément remisé sur le banc par Erik Spoelstra, le pivot du Heat a très mal fini sa saison.
Dans son bilan de fin de saison, Pat Riley a affirmé qu’il n’allait pas laisser passer ça aussi facilement. Il faut remettre quelques pendules à l’heure avant les grandes vacances…
« Il doit y avoir une intervention et je vais être celui qui intervient », envoie Riley dans le Sun Sentinel . « C’est bien réel. On a un gars qui est 2e ou 3e au +/- parmi les pivots titulaires. Il ne fait aucun doute qu’il était en mauvais état en playoffs. Je n’ai pas encore eu le temps d’en discuter avec Spo’ mais Hassan a clairement été décevant en playoffs. Je ne vais pas lui trouver d’excuse mais il a commencé la saison avec une blessure. Et il y a eu un souci physique avec lui toute la saison. Ça arrive parfois pour les joueurs. »
Les blessures font certes partie de la carrière d’un joueur professionnel mais, selon Riley, ce n’est pas une raison pour ne pas être prêt en playoffs.
« Quand on est arrivé en playoffs, je n’ai pas trouvé qu’il était prêt. Il n’était pas en bonne forme, il n’était pas en condition mentale pour la bataille des playoffs. Lui, et nous, avons reçu une fessée. »
Battu en cinq manches, le Heat n’a effectivement pas fait le poids face à l’enthousiasme contagieux des Sixers, et dans son duel direct, Whiteside a tout simplement été mis à l’amende par Joel Embiid (19 points, 10 rebonds).
De moins en moins utilisé au fur et à mesure de la saison, Whiteside a boudé et son niveau de performance a fini par être bien en-deçà des attentes. Et de son contrat juteux… Malgré des rumeurs de plus en plus fortes de transfert, Whiteside a encore l’appui de son coach .
« J’ai toujours le même problème avec Hassan et c’est qu’il doit faire quelque chose pour changer, car c’est un super joueur », ajoute Spoelstra. « Il y a Adams, Capela, Valanciunas, DeAndre Jordan, Drummond, et Hassan. Ces pivots sont forcés de changer pour s’adapter au jeu actuel. La question est de savoir comment on peut le rendre efficace à nouveau, pour faire ce qu’il sait faire : défendre, prendre les rebonds, les contres… Il a connu une mauvaise année et il doit revenir plus fort l’an prochain. Je vais l’aider le plus possible et faire en sorte qu’on puisse le mettre sur le terrain 30 minutes par match. Mais il doit s’aider lui-même. »
En l’occurrence, Whiteside doit arrêter de broyer du noir et se remettre en question une bonne fois pour toutes. Après quatre saisons en double double avec Miami, Whiteside a baissé de pied cette année, en tombant notamment sous les 2 contres par match, contre quasiment 4 en 2015-16.
« Je ne prends pas parti avec Erik pour ses rotations », conclut Riley. « On a des discussions générales. Mais je n’ai pas de désaccord avec lui sur l’utilisation d’Hassan. Je l’aurais fait sortir aussi, vu son niveau de performance dans ces matchs. »
Maintenant, la balle est dans le camp du pivot contreur. Soit il parvient à trouver un terrain d’entente avec son coaching staff et se relance en Floride. Soit la rupture est déjà consommée et il se pourrait bien que ça tourne au vinaigre…


Reference #18.3efd733e.1660935735.6b9f91a8




Femme bien roulée crie quand elle baise
Doublement céleste
Femme enceinte surexcitée