Revebebe Gay

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Revebebe Gay
Des histoires érotiques ... mais pas toujours
Sexe, délires, fantasmes, rêves, terreur, fureur... et autres histoires à dormir debout


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Dernière mise à jour le 05/09/22 12530 textes publiés 82 de moins d'un mois 60 érotiques 22 diversifiés 7 textes en attente de publication . Tous les récits envoyés avant le 01/09/22 ont été publiés
Copyright © Revebebe, le 05/09/2022
Nous attendons vos idées sur le sujet suivant : Un concours pour l'année 2022
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Publication spéciale pour le 14 juillet
Nous avons à nouveau sollicité des auteurs du site pour qu'ils nous écrivent chacun un texte autour d'un moment calendaire. Après le 1er mai, c'est cette fois le 14 juillet qui est mis à l'honneur. Nous avons le plaisir de vous soumettre leurs 3 textes, dont nous vous conseillons la lecture dans cet ordre :
Mon Arrière-Arrière-Grand-Père y était. Mon père me l’a raconté 100 fois. Juré, craché, ça s’est vraiment passé comme ça… enfin presque… peut-être… enfin j’y crois.
La chanson a tort : je n’étais pas là pour voir le défilé, mais je me suis vraiment pas emmerdé. Oh la belle bleue ! Oh la belle rouge ! Oh mes nuits blanches !
La révolution sera féministe et nationale. Ou ne sera pas.
Bonne lecture et bonne fête nationale !
L'actualisation de la page Les concours a été réalisée :
+ Les résultats des 2 derniers concours 349 "Faites l'humour et pas la guerre" et 350 "C'est la première et la dernière fois" ont été publiés avec le détail des remarques du jury
Retrouvez nos textes valorisés par le Comité Éditorial :

Copyright © 2021 Demandez l'accord des Auteurs avant toute diffusion
David, le meilleur ami de mon épouse Lisa, est gay. C’est un type que j’apprécie beaucoup, il est drôle, attachant, plein d’empathie. Je m’entends aussi très bien avec Marc, son mari à lui. Nous étions à leur mariage, dont Lisa fut d’ailleurs l’une des témoins. Je ne suis guère sociable, mais ce sont des gens que j’ai toujours plaisir à voir. Rares sont les personnes qui peuvent me faire renoncer le temps d’une journée ou même d’une soirée à mes instincts casaniers.
Je n’aurais cependant jamais imaginé que ce dont je m’apprête à vous faire le récit aurait pu se produire.
C’était un samedi, aux alentours de 18 h. Lisa est rentrée à la maison accompagnée de David. Ils revenaient d’un après-midi de shopping. Elle adore enchaîner les essayages et lui demander son avis. J’avoue que cela m’arrange, rien (ou presque) ne m’agace plus que de passer une partie de mon temps libre du week-end dans les magasins. J’étais en train de lire le journal dans la chambre lorsque j’ai entendu la porte d’entrée claquer et leurs rires déchaînés annonçant leur arrivée. Je suis descendu les rejoindre. Lisa a proposé qu’on boive un verre tous les trois avant que David reparte. Nous voici donc assis autour de la table basse du salon, les deux inséparables amis sur le canapé et moi leur faisant face sur le fauteuil. La conversation a commencé par les banalités d’usage, puis j’ai pointé du regard les nombreux sacs qui avaient échoué sur le sol à quelques pas de là et plaisanté sur le fait que ma femme avait l’air d’avoir reconstitué toute sa garde-robe.
Elle s’est jetée sur le premier sac pour m’en présenter le contenu : un pull rouge à grosses mailles. Puis un deuxième sac : un jean brut déchiré (ce qui était fait exprès) au niveau d’un genou. Un troisième : un foulard multicolore et fleuri. Et ainsi de suite. On aurait dit une présentatrice du téléshopping vantant les mérites de chaque pièce et débordant d’inventivité pour leur trouver des qualités insoupçonnées et ainsi justifier le caractère impérieux de l’achat. David me jetait à chaque fois des coups d’œil amusés, que je lui rendais, lui faisant ainsi comprendre que je n’attendais pas un tel argumentaire mais que le zèle de Lisa m’attendrissait.
Nos verres se vidaient et les liqueurs faisaient leur effet, gentiment désinhibant. Ma femme semblait avoir gardé le meilleur pour la fin.
Et de dégainer une robe verte à fleurs blanches arrivant au-dessus du genou, en tissu léger que j’imaginais confortable rien qu’en le voyant. Je lui confirme que je la trouve très jolie.
Je n’ai pas eu le temps de répliquer quoi que ce soit que Lisa était en train d’enlever son t-shirt en plein milieu du salon, puis d’ôter sa jupe pour ne plus apparaître qu’en soutien-gorge de dentelle carmin avec son string assorti. Heureusement que David est gay, pensais-je, sinon, j’aurais été jaloux qu’elle apparaisse ainsi, désirable, devant un autre homme. Mon trouble fut vite dissipé lorsque ma femme a enfilé avec sa grâce énergique son nouvel achat. Elle s’amusait à défiler devant nous comme un top model, surjouant les moues et les poses. Son ami et moi avons ri de son jeu excentrique, sans nous moquer pour autant.
Son petit spectacle fini, elle s’est de nouveau retrouvée devant nous en sous-vêtements sexys. David s’est alors fait entendre :
Elle ne s’est pas rhabillée et s’est rassise à côté de lui. Je ne savais pas quoi dire, j’étais interloqué par la situation, ne sachant pas comment réagir.
Il avait placé sa main gauche au-dessus du pubis de ma femme puis, quand elle lui a donné l’autorisation d’un signe de la tête, avait posé ses doigts sur son entrejambe, caressant la dentelle. Elle avait l’air d’apprécier. La main de David se faisait de plus en plus insistante et commençait à s’affoler.
Il n’a alors plus hésité à passer sa main sous le tissu. La transparence de la dentelle était superflue, je ne pouvais pas ne pas voir qu’il la masturbait. Maladroitement. Mais il la branlait. Et ça lui plaisait, à elle et à lui. J’étais stupéfait, incapable de prononcer un mot, n’arrivant pas à assimiler ce qui était en train de se passer sous mes yeux. Ma femme qui se faisait faire du bien par son pote gay devant moi. Je me sentais profondément humilié mais j’étais surtout troublé par le fait qu’alors que j’aurais dû éprouver une forme de colère, je ressentais bien plus une excitation. Le spectacle qui s’offrait à moi me plaisait et si je n’osais pas me l’avouer, mon érection me trahissait.
David m’a regardé. Je n’osais pas intervenir, je craignais qu’un seul mot mette un terme à ce qui s’était engagé devant moi et dont je voulais connaître l’issue. Je me suis donc contenté de me caler dans le fauteuil, comme un spectateur au cinéma lorsque le film commence. Le meilleur ami de ma femme s’est ainsi vite retrouvé en slip bleu sur mon canapé. La longue bosse indiquait qu’il était bien pourvu par la nature. Lisa a joué avec le slibard de son pote, tâtant, pelotant, caressant son sexe à travers le tissu, son homosexualité semblant endormie. Puis elle s’est mise à genoux face à lui, dos à moi, et a fait glisser son sous-vêtement sur ses chevilles, dévoilant complètement la bite de David, ses grosses couilles rasées. Elle s’est jetée sur ce chibre comme une morfale, comme si elle pouvait enfin passer à table après un trop long jeûne. La fellation a duré de longues minutes, seuls les bruits de succion résonnaient dans le salon. Le gars que je savais marié à un autre mec se mordait les lèvres de plaisir.
Ils ont inversé leurs places, David a d’abord dégrafé le soutien-gorge de ma femme, lui a empoigné les seins pour jouer avec, lui pinçant les tétons – ce qu’elle adore – puis l’a débarrassée de son string pour se lancer dans un cunnilingus. Sans doute le premier de sa vie, car s’il activait sa langue avec énergie, il lapait avec une certaine gaucherie qui ne me faisait que plus bander : un gay était en train de donner du plaisir à mon épouse.
Je n’osais admettre que je désirais désormais ardemment qu’il la prenne, qu’il fasse son dépucelage hétéro avec ma chérie. Je voulais voir sa grosse bite en elle. J’ai dû le souhaiter bien fort car je n’ai pas tardé à être exaucé. Le retour en arrière étant désormais impossible, notre excitation à nous trois étant trop forte, je me suis levé pour voir ce moment de plus près. En me voyant arriver, Lisa et David m’ont souri et ont accompagné leurs sourires de leurs regards baignés de stupre. J’étais aux premières loges pour voir Lisa accueillir en elle le sexe de son ami le plus proche. Le gland bien gonflé de David est entré de la plus belle des manières, sans forcer, sans effort. Les va-et-vient étaient timides au début, il devait être lui-même assez bouleversé de réaliser ce qui était en train de se passer : il baisait sa confidente, sa témoin de mariage, me faisait vivre en direct mon cocuage et me rendait complice du sien envers son époux. Il s’est progressivement senti en confiance, assuré, il finissait par la pilonner en râlant de plaisir. Elle semblait lui répondre dans un langage qui n’exprime que la jouissance. C’est alors que j’ai compris qu’il éjaculait en elle.
N’en pouvant plus, j’ai extirpé mon sexe de ma braguette et j’ai commencé à me masturber alors que David se retirait. Il m’a fait signe d’approcher et m’a désigné le sexe de ma femme.
J’ai obéi. Mes jets ont visé juste, mon sperme ruisselait sur sa chatte. Mais ce n’était pas fini. Le meilleur ami a entrepris un cunni. Il léchait ma femme tout en dégustant mon sperme. Lisa prenait son pied. Elle ne pouvait plus retenir ses cris de bonheur. C’était le point d’orgue : David voulait conclure sur son orgasme à elle. Si les voisins étaient rentrés à cette heure-là, ils ont sans doute entendu ma femme jouir.
Nous avons pris quelques minutes pour reprendre nos esprits en silence. Il a fini par briser la glace :
Lisa et moi avons répondu chacun d’un rire qui voulait dire oui. David est parti. Il a laissé son slip chez nous. Je l’ai gardé en souvenir. Je le porte sur moi au moment où j’écris ces mots. Avec ma femme, cette soirée n’est pas devenue un sujet tabou. On aime l’évoquer lorsque nous sommes d’humeur coquine. On fantasme aussi à l’idée de convier David et son époux, pour que ce dernier puisse voir son mec prendre ma femme. Qui sait comment les choses tourneraient ?
J’ai un imaginaire débordant et des fantasmes multiples
Cocufié sous mes yeux par ma femme et son pote gay
Critères:  fh fhh extracon candaul copains hépilé cérébral voir exhib hmast intermast cunnilingu pénétratio init confession
10101 caractères
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Copyright © 2019 Demandez l'accord des Auteurs avant toute diffusion
Après avoir passé de longues heures à lire vos récits, vous m’avez donné envie de publier le mien. Les vôtres ont accompagné mes plaisirs solitaires, j’ai pris beaucoup de plaisir à lire vos histoires, sans tabou de ma part, tous les styles, toutes les expériences, toutes les circonstances sont pour moi des sources inépuisables pour mes fréquentes masturbations.
Avant de rentrer dans mon histoire, je vais me présenter sommairement. Je suis un homme marié de soixante ans, assez bien conservé, pas de calvitie, ni de bedaine, j‘essaie de m’entretenir en ayant une bonne hygiène de vie, pas de cigarettes, un peu d’alcool, mais avec modération, et du sport.
Bien qu’étant en couple avec une charmante femme dont je suis très amoureux, il m’arrive d’assouvir mes envies et rencontrer des hommes avec lesquels je prends beaucoup de plaisir. J’ai toujours eu ce besoin, et ce depuis mon adolescence. Ma première fellation je l’ai pratiquée sur un de mes amis lors de ma quinzième année. Ce fut pour moi ma première occasion de recevoir son sperme dans la gorge et le déguster jusqu’à la dernière goutte. Depuis cette expérience, je ne conçois plus un rapport homosexuel sans finition buccale. J’aime le sperme et l’avale avec gourmandise. Depuis je fais régulièrement des rencontres avec des hommes ou j’aime me donner complètement à un ou plusieurs partenaires. Vous l’aurez compris, je suis passif !
Je vais vous narrer une de mes dernières expériences vécues dans un sauna gay de la région parisienne où je suis un habitué. Ce sauna est assez bien fréquenté en journée, une clientèle variée, pas trop jeune, ce qui me convient totalement. Toujours du monde, ce qui permet de ne pas en repartir frustré.
Après avoir payé mon entrée, récupéré une serviette et une clé, je file au vestiaire pour me déshabiller. Il y a quelques hommes présents et j’aime me mettre nu devant ces derniers, il faut dire que je suis assez exhib. J’aime qu’ils me matent lorsque je fais tomber mon boxer, j’ai déjà une demi-érection. J’en profite pour mater ceux susceptibles de m’intéresser, ce qui accroît un peu plus mon érection.
Je file à la douche, nu comme un ver, la serviette à la main. Une fois bien lavé, je prépare mon anus avec du gel. Il y a quelques semaines que je ne me suis pas fait sodomiser je veux donc être prêt.
Direction le sauna, il n’y a personne. J’en profite pour m’allonger sur ma serviette et me caresser lentement attendant un éventuel partenaire. La porte ne tarde pas à s’ouvrir. Un homme s’assoit sur le gradin supérieur, juste au-dessus de moi. Je commence à regarder son sexe qui est au repos. Il aperçoit mon manège, me sourit et écarte les jambes m’autorisant à accéder à l’objet de ma convoitise. Je pose une main sur son sexe et commence à la caresser, il ne tarde pas à s’éveiller. J’ai maintenant dans la main une belle queue bien dure, assez longue, mais pas trop épaisse avec un beau gland décalotté. Il se lève, prend ma main et nous sortons du sauna pour nous diriger vers une cabine. Je m’y installe sur le dos et il présente sa queue au bord de me lèvres et je l’avale avec gourmandise. Ma langue passe sur son gland titille son méat puis je réengloutis complètement le bel engin et l’encourage à baiser ma bouche tout en lui malaxant les couilles. Son sexe fait des va-et-vient de plus en plus rapides jusqu’au fond de ma gorge, à ce rythme il ne tiendra pas longtemps, je l’encourage à accélérer, je n’ai qu’une envie qu’il se vide dans ma gorge. J’aime le sperme, mais il en décide autrement. Au moment de jouir, il se retire et me gicle sur le visage dans le cou et sur mon torse velu. J’aime aussi recevoir sur moi et là je ne suis pas déçu par la quantité reçue. Je dégouline de foutre et j’aime ça. Mon partenaire me donne un baiser et quitte la cabine. Je n’ai pas entendu une seule fois le son de sa voix.
Couvert de sperme je pars vers les douches sous les regards de quelques-uns et je sens que je les excite.
Après cette petite entrée en matière rapide, mais pas désagréable, mon excitation est montée de plusieurs crans et j’en veux plus, beaucoup plus.
Dans ce sauna il y a une grande salle dédiée au sexe de groupe et je m’y dirige avec envie. La salle est bien occupée quatre hommes baisent sur un matelas, d’autres se branlent en les matant. Je m’allonge sur un matelas côté ventre et cabre mon cul. Je sens aussitôt une main s’y poser et des doigts s’insinuer dans ma raie. Cette caresse m’électrise et j’encourage les doigts à venir explorer mon fondement. Un autre homme s’allonge à mes côtés tête-bêche et me présente sa queue. Là c’est du sérieux, un gros gland bien violacé et un sexe d’une taille plus que respectable. Je gobe cette offrande avec plaisir et entame une fellation gourmande.
Les doigts de l’autre ont enfin trouvé le chemin, je sens un, puis deux s’enfoncer dans mon cul. Après un long moment de masturbation anale, je le vois mettre un préservatif. Je me mets sur le dos, j’aime être pris dans cette position et là je vois un petit attroupement autour de nous, j’encourage les plus près à venir et très vite trois queues entourent mon visage, l’autre homme relève mes fesses et présente son dard. Il me pénètre lentement et je le sens au plus profond de moi. Il donne des petits coups qui me font un bien fou.
Je ne reste pas inactif, je saisis une première queue et la prends en bouche, mes deux mains s’activent sur les deux autres. Là je suis comblé, les coups de mon enculeur se font de plus en plus rapides, l’homme que je suce commence à râler annonçant un plaisir proche et les deux que je branle sont aux anges. Le sucé râle de plus en plus vite et fort et sans prévenir gicle dans ma bouche. Je reçois une petite dose et continue de le sucer pour ne rien perdre. Il finit par se retirer puis quitte la pièce. Voyant la place libérée, un que je branlais prend possession de ma bouche et me la baise violemment. J’aime ça.
Mon enculeur est sur le point de jouir, je le ressens, et après quelques nouveaux va-et-vient il se vide dans la capote. J’ai un plaisir immense en sentant les contractions de sa queue qui irradie tout mon corps. Il est aussitôt remplacé par le deuxième que je branlais. Ce dernier me demande de me mettre à quatre pattes, je m’exécute aussitôt et je le sens glisser en moi sans difficulté. Je reprends la fellation momentanément interrompue par ce changement de position. L’homme est debout devant moi et me tient par les cheveux pour bien baiser ma bouche. D’un coup, je sens une giclée dans ma nuque et sur mon dos, un homme se branlait et s’est vidé sur moi, j’encourage d’autres mateurs à en faire autant.
Pendant ce temps mon enculeur accélère la cadence, je sens ses bourses cogner contre les miennes. Je suis baisé à fond par mes deux étalons, et ils ont l’air d’être très endurants. Je reçois d’autres éjacs sur le dos. D’un coup tout s’accélère, celui que je suçais arrive au final et je sens dans mon palais plusieurs jets puissants, ma bouche est remplie, j’avale lentement. Il se retire et je lui nettoie la queue en récupérant les gouttes qui continuent de sortir.
Je sens mon enculeur se retirer et après avoir retiré sa capote se présente devant mon visage et se vide sur mon visage. J’ai du sperme qui me dégouline du dos, du visage. Je repars à la douche pour nettoyer tout ça.
J’ai pris un immense plaisir, mais je ne suis pas complètement rassasié, aussi je continue à me promener dans les couloirs à la recherche d’une saillie rapide.
Petit passage au hammam où il y a un peu de monde, j’y vois un homme assis sur le sol et un attroupement autour de sa bouche. Il s’active sur trois queues à tour de rôle et y met beaucoup d’entrain. Je reste un peu à mater attendant la délivrance finale, ce qui ne tarde pas. Un premier gicle violemment sur le visage du suceur, et les deux autres l’imitent dans la foulée. Le suceur dégouline de sperme et je l’envie un peu.
Je repars en chasse dans les labyrinthes du sauna, coin assez sombre où les corps se frôlent, se touchent, se tâtent. Je sens des mains sur mes fesses, je m’arrête pour encourager mon toucheur à continuer. Je me colle contre lui passe me mains sur son corps, puis sur son sexe. Et là, surprise, je sens un sexe qui me semble énorme, dur comme du bois. Mes lèvres se posent sur les siennes et nous nous roulons une pelle des plus sensuelles.
Nous nous dirigeons vers une cabine et nous enfermons. Je vois enfin mon nouveau partenaire, la soixantaine, un corps bien dessiné, bien entretenu, et un sexe d’une belle taille et bien épais. Je me réjouis déjà de ce qui m’attend. Nous reprenons nos baisers en nous caressant mutuellement. Soudain je sens une pression sur mes épaules pour m’inviter à descendre au plus près de ce sexe de rêve. Je m’exécute bien volontiers, et je l’entends me demander de m’occuper de lui. Je ne me fais pas prier, et après quelques va-et-vient manuels sur cette hampe, histoire de bien le décalotter, ma bouche s’ouvre naturellement et je sens son sexe emplir ma bouche. Il est très épais et ma bouche est distendue pour pouvoir le gober. J’entreprends un mouvement de succion en aspirant son gland jouant avec ma langue sur sa queue. Il semble apprécier la caresse et me dit :
Ces paroles m’excitent encore plus et je m’active avec ardeur sur ce membre démesuré. Une de mes mains malaxe ses boules, j’ai envie de recevoir son sperme, de le déguster, de l’avaler avec gourmandise. Il me dit.
Je retire un instant sa queue pour lui r
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