Retrouvailles pleines d'orgasmes

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Retrouvailles pleines d'orgasmes
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AprĂšs que je me sois effondrĂ©e sur le lit, le sexe bĂ©ant et trempĂ©, l'orgasme rĂ©sonnant encore en moi, mon amie Gaelle ne m'a pas laissĂ© beaucoup de rĂ©pit. Elle m'a tout doucement carressĂ© les cheveux et m'a sussurĂ©: "c'est ton tour, ma petite chatte chĂ©rie" Elle s'est allongĂ©e Ă  cĂŽtĂ© de moi. Je me suis redressĂ©e. je l'ai regardĂ©e. Elle Ă©tait terriblement belle, avec ses seins tout ronds, aux pointes dressĂ©es, sa petite chatte ouverte, sa peau si douce et si parfumĂ©e. Mais je n'osais pas. Je n'avais jamais eu de relation avec une femme. Sa chatte m'attirait tout en m'effrayant. Il faut dire que l'homosexualitĂ© est assez tabou dans ma famille. Mais elle m'a dit avec un sourire encourageant: "Ne t'inquiĂšte pas, je vais te guider." Elle a alors pris une de mes mains dans la sienne. Tout doucement, elle a lĂ©chĂ© chacun de mes doigts, ce qui m'a procurĂ© des sensations incroyables. Mes doigts glissaient dans sa bouche humide, comme dans un sexe de femme. Puis elle a conduit ma main vers sa petite chatte. Elle a posĂ© deux doigts humectĂ©s de salive sur sa vulve. Celle-ci Ă©tait dĂ©jĂ  trempĂ©e. Elle m'a montrĂ© comment masser son petit clito. Elle a gĂ©mi sous mes doigts, s'est tortillĂ©e. Puis elle a laissĂ© ma main la fouillait sans son aide. J'ai Ă©prouver un plaisir immense Ă  lui procurer du plaisir, rien qu'en caressant son clito tout doux et tout humide. Puis mes doigts ont glissĂ© tout seul Ă  l'intĂ©rieur de sa fente. Elle a poussĂ© des petits cris tout en donnant des petits coups de reins pour accompagner mes mouvements. Je l'ai doigtĂ© avec beaucoup de douceur, la laissant au supplice. C'Ă©tait si doux Ă  l'intĂ©rieur, et le miel coulait sur mes doigts. J'ai senti l'orgasme qui montait en elle, aux contractions de son vagin sur mes doigts. Subitement, elle a retirĂ© mes doigts de son sexe et les a essuyĂ© d'un geste sur sa cuisse. Elle a dit qu'elle ne voulait pas jouir tout de suite, qu'il fallait faire durer le plaisir. Elle s'est mise Ă  genou et s'est retournĂ©e, offrant Ă  mes yeux (et ma bouche) sa croupe toute ronde. Elle a levĂ© tant qu'elle pouvait ses fesses vers moi et m'a offert sa vulve trempĂ©e. "Vas-y, ma minouchette, m'a-telle dit, ne sois pas timide, lĂšche-moi." C'Ă©tait la aussi la premiĂšre fois de la vie que je faisais cela. J'Ă©tais intimidĂ©e, mais elle semblait tellement en attente que je n'ai pas hĂ©sitĂ© longtemps. J'ai Ă©cartĂ© ses fesses avec mes mains. Ma langue timide est venue titilller son petit bouton. J'ai sucĂ© son clito, lĂ©chĂ© ses lĂšvres. C'Ă©tait tout sucrĂ©, tout doux, comme le miel. Elle n'en pouvait plus. Son excitation donnait Ă  ma langue plein d'encouragement. La timiditĂ© m'a vite quittĂ©e et je l'ai lĂ©chĂ© avec aviditĂ©, sans pudeur. C'Ă©tait meme indĂ©cent. Pendant que je lĂ©chais Ă  pleine langue toute sa chatte, elle s'est introduit un doigt dans le vagin. Puis dans un rale, elle m'a dit de lui lecher l'anus. Je l'ai fait sans discuter: son petit orifice etait tout mignon, entourĂ© de rose, un vrai petit bonbon. Quand son anus a Ă©tĂ© bien lechĂ©, j'ai compris ce qu'elle attendait de moi. J'ai osĂ© un doigt Ă  l'intĂ©rieur. C'Ă©tait tout serrĂ©. Elle a criĂ©, m'a encouragĂ©e. Tandis que j'introduisais mon index entier dans son anus, elle, folle de plaisir, s'est enfilĂ© trois doigts d'un coup dans la chatte. Elle s'est retrouvĂ© prise par les deux trous en mĂȘme temps. Sa petite chatte ruisselait (Ă©t la mienne aussi, je dois dire). Elle a poussĂ© un long cri d'orgasme, qui n'en finissait pas. Ses doigts et le mien se faisaient avaler par son con et son cul. L'orgamse, tout doucement, est retombĂ©. Je l'ai encore lĂ©chĂ©e un peu, et nous nous sommes Ă©croulĂ©es toutes les deux sur le lit, enlacĂ©es, seins contre seins, sexe contre sexe, mĂ©lant nos deux mouilles. Nous avons ri de plaisir, heureuses de ce partage dĂ©licieux, de cette dĂ©couverte grandiose. Elle m'a embrassĂ©, melant sa langue Ă  la mienne, encore imprĂ©gnĂ©e de son jus. Lorsque nous avons entendu ses parents rentrer des courses, nous nous sommes ruĂ©es sur nos vĂȘtements. Et quand, quelques minutes plus tard, sa mĂšre est entrĂ©e dans la chambre, nous Ă©tions toutes les deux assies sur le lit, toutes droites, comme si nous discutions gaiement.Elle nous a demandĂ© si nous voulions manger quelque chose. J'ai rĂ©primĂ© un fou rire. Je venais de bouffer la chatte de sa fille et j'avais trĂšs envie de garder ce gout dĂ©licieux dans la bouche. Sa mĂšre est repartie en disant que nous devrions aĂ©rer la piĂšce, il y avait une drole d'odeur. Oui, l'odeur de petites femelles en chaleur qui venaient de se donner un plaisir fou
Mmmmmmh comme c excitant Bravo pour ta super récit à quand le prochain????
Mmmmmmh comme c excitant Bravo pour ta super récit à quand le prochain????
Laisse-moi un peu de temps pour t'en raconter d'autres. J'aime caresser les femmes mais j'aime aussi me faire prendre par un homme ou les deux à la fois Ou bien seule, dans ma petite chambre. La suite une prochaine fois. Et ravie que ça t'exite, c'est fait pour!
La suite mérite de remonter aussi. Lhanna5 chaude à la lecture (je pense aller de suite me soulager, je n'en peux plus)
Vous ne trouvez pas votre réponse ?
La suite mérite de remonter aussi. Lhanna5 chaude à la lecture (je pense aller de suite me soulager, je n'en peux plus)
Je me suis bien donner du plaisir aprĂšs la lecture de ton teste hier soir.C'Ă©tait bon. Et la simple relecture ce matin, m'enflamme encore... Quand ecris-tu une suite? Lhanna qui en veut encore....
Je rédécouvre cette histoire : une belle premiÚre fois entre filles. Lhanna5


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Pauline revient pour une nouvelle histoire de sexe BDSM ! Elle va retrouver son maitre en train pour de chaudes retrouvailles

Me revoici pour une nouvelle histoire de sexe ! Pauline ! J’avais dĂ©jĂ  couchĂ© (sic !) noir sur blanc une premiĂšre aventure avec mon maĂźtre que je nommerais pour l’occasion RR. Rien Ă  voir avec Rolls Royce quoi que mon dominant soit racĂ©, bien Ă©quipĂ© sous le capot et porte haut une certaine Ă©lĂ©gance anglosaxonne !
Le confinement Ă©tant ce qu’il est et habitant aux alentours de Nantes, autant vous dire qu’il n’est pas simple de se retrouver avec RR qui, lui, habite Paris.
Mais Ă  cƓurs vaillants rien d’impossible ! Des documents administratifs Ă  rĂ©gler pour moi, une soi-disant urgence Ă  rĂ©gler au sein de sa filiale lyonnaise pour lui et nous avons pu nous libĂ©rer trois jours et deux nuits ! Largement de quoi rattraper le temps perdu et se retrouver pour soixante-douze heures 
 marquantes !
Le jeu a commencĂ© dĂšs mon dĂ©part de la gare de Nantes. RR m’avait imposĂ© ma tenue, suivez le guide messieurs dames !
Bottes hautes vernies Ă  zip, collant noir ouvert au niveau du sexe, pas de culotte, jupe en cuir, moulante et courte, un chemisier en dentelle, noir Ă©galement, sans soutien-gorge mais, pour ne pas tomber sous le coup de la loi, j’avais le droit de recouvrir mes seins d’un blouson type « perfecto », juste assez couvrant pour dissimuler mon opulente poitrine.
Autant vous dire que je n’en menais pas large en montant dans le TGV , les marches hautes faisant remonter ma jupe et offrant Ă  celui ou celle qui me suivait, une vue quasi-totale sur ma fĂ©minitĂ© offerte !
Deux heures de roulis ferroviaire m’attendaient, suivi du trajet en taxi entre la gare Montparnasse et l’hĂŽtel, nichĂ© dans le Marais. Et les sms ont commencĂ© Ă  tomber. RR a commencĂ© Ă  me lancer plusieurs dĂ©fis et, en bonne soumise amoureuse, je me suis mise en quatre pour tous les relever.
RR y est allĂ© crescendo. Les premiers gages ont Ă©tĂ© lĂ©gers, coquins et faciles. D’abord, et aprĂšs avoir checkĂ© qu’il n’y avait pas d’enfant dans ma voiture, enlever mon blouson de cuir.
InstallĂ©e en premiĂšre (mon maĂźtre me gĂąte toujours) les places occupĂ©es n’étaient pas plĂ©thore. D’un cĂŽtĂ© cela allait faciliter mon exhibition , de l’autre, s’exhiber sans personne autour 
 ça n’est pas s’exhiber.
MalgrĂ© tout j’étais assise dans un « duo face Ă  face », ces places oĂč l’on est en vis-Ă -vis avec les grandes doubles tablettes sĂ©parant les voyageurs et la place en diagonale de la mienne Ă©tait occupĂ©e par un homme d’une cinquantaine d’annĂ©e, une belle chevelure poivre et sel, de grands yeux bleus et un bouc Ă©galement entre neige et encre de Chine. Ce coquin me lançait des Ɠillades gourmandes et respectueuses par-dessus son livre, je vous jure que ça ne s’invente pas ! « Justine ou les malheurs de la vertu » d’un certain Marquis de Sade ! Lecture trĂšs studieuse en l’espĂšce puisque mon voyeur prenait des notes serrĂ©es sur un beau calepin reliĂ©, notes qui s’espaçaient dans le temps au fur et Ă  mesure qu’il eut enfin remarquĂ© la transparence de mon chemisier ! LĂ , deux larges pastilles roses au tĂ©ton gonflĂ© tranchaient sous la noire dentelle. Mes seins ont toujours Ă©tĂ© trĂšs rĂ©actifs mais, dans le cas prĂ©sent, ils se surpassaient. J’étais excitĂ©e comme RR aime, je devais bien Ă©videmment lui dĂ©crire par le menu ce qui se passait autour de moi, ce qui se passait Ă  l’intĂ©rieur de moi et plus prĂ©cisĂ©ment mes Ă©motions humides comme il aime nommer parfois ma mouille abondante.
Justine s’est retrouvĂ©e posĂ©e sur la table, le carnet de note, lui, n’a pas quittĂ© les mains de mon admirateur.
« Pardon mademoiselle mais je ne peux croire que vous m’offriez vos appĂąts sans qu’un dessein prĂ©cis vous anime, me permettriez-vous de vous croquer ? »
J’ai rougi, me mĂ©prenant un instant sur ses intentions avant qu’il ne reprenne : « au crayon de bois. »
Vite, mes doigts ont pianoté sur le téléphone, RR me donnait son accord.
« Oui, je vous en prie, avec plaisir » lui ai-je répondu tout en sentant une nouvelle vibration au creux de ma main, un autre message de mon maßtre.
« Je veux que tu lui montre ta chatte également et demande-lui de te donner un de ses croquis en souvenir »
Doucement j’ouvrais donc mes cuisses, timidement au dĂ©part puis avec plus d’assurance, poussĂ©e par la fiertĂ© qu’aurait RR lorsque je lui raconterai par le menu ma folie, cet homme me donne toutes les audaces.
Michel, c’est le prĂ©nom qu’a fini par me donner mon dessinateur-mateur, s’est Ă©videmment rendu compte rapidement de mon petit manĂšge.
« TrĂšs chĂšre, Ă  en croire votre Ă©tat, vous mĂ©ritez plus qu’un coup de crayon ! »
Je me suis alors résolue à expliquer mon « statut «, chose que je ne fais jamais avec un inconnu mais la situation imposait une mise au point.
Michel Ă©tant partant pour ĂȘtre une victime collatĂ©rale et consentante dans ce long prĂ©liminaire ferroviaire, nous avons rabattu les tablettes, j’ai carrĂ©ment posĂ© un de mes pieds nus sur le siĂšge libre Ă  cĂŽtĂ© de moi ce qui a eu pour effet d’ouvrir un peu plus les pĂ©tales de mon sexe.
Mes tĂ©tons sortaient quasiment par les orifices de la dentelle, j’ai pris deux selfies, un de mon visage empourprĂ© et de mes seins, l’autre de ma chatte brillante de cyprine enfin un dernier de la main de Michel esquissant un ombrĂ© autour des mes seins lourds fort bien rĂ©alisé !
La sĂ©ance de pose a Ă©tĂ© interrompue Ă  quelques reprises, deux ou trois allers-retours au wagon restaurant, j’ai dissimulĂ© ma nuditĂ© Ă  ces occasions par contre pour le contrĂŽleur, j’avais ordre de RR de ne rien changer Ă  ma pose. Quand j’ai entendu le soufflet pneumatique de la porte en bout de voiture et que j’ai devinĂ© la couleur de l’uniforme mon sang n’a fait qu’un tour. Michel Ă©tait concentrĂ© sur le dĂ©licat tracĂ© de mes petites lĂšvres, le tout en luttant contre les chaos intermittents du train, il ne s’est pas rendu compte de l’approche de la silhouette Ă  casquette.
La tĂȘte baissĂ©e, le geste rĂ©pĂ©titif, la longue silhouette n’était plus qu’à quelques mĂštres et voilĂ  que c’était notre tour. J’affichais le QR code correspondant Ă  mon titre de transport, la casquette s’est relevĂ©e d’un coup, une femme ! J’ai encore plus rougi que tout ce que je pouvais imaginer ! Je ne sais pas pourquoi cette rĂ©action. Le fait de s’exhiber devrait ĂȘtre dĂ©connectĂ©e du sexe de la personne qui vous regarde et bien il n’en est rien, pour moi en tout cas. J’étais bouleversĂ©e d’avoir ainsi la chatte Ă  l’air, tableau iconoclaste et provocateur ici, dans ce train Ă  grande vitesse. Loin de penser Ă  une quelconque remontrance, voire pire, une amende pour exhibition ou incitation Ă  la dĂ©bauche quelconque, j’ai eu le bas ventre tordu comme une serviette qu’on essore. J’ai senti un filet de mouille s’échapper de mon con, la contrĂŽleuse s’est penchĂ©e, d’une main elle a bipĂ© mon code avec son lecteur et de l’autre elle a pris un kleenex dans sa sacoche et me l’a tendue avec un grand sourire.
« Attention, vous allez prendre froid ! Vous avez la goutte 
 au nez   » puis elle s’est relevĂ©e, a jetĂ© un coup d’Ɠil au croquis sur la table ainsi qu’à celui qu’était en train de peaufiner Michel et nous a quittĂ© sur un « TrĂšs joli   ».
Je me suis jeté sur mon écran, racontant avec avidité à RR ce qui venait de se passer.
« Cela t’a excitĂ©e petite putain que tu es ? »
« Oui maĂźtre, beaucoup je dois vous l’avouer. Je coule littĂ©ralement, ma jupe est trempĂ©e. »
« TrĂšs bien, alors branle-toi devant Michel et sers-toi d’un des dessins de ta chatte pour t’essuyer, c’est celui-lĂ  que tu me rapporteras, imbibĂ© de ton dĂ©sir de belle Salope. En remerciement de son travail, laisse Michel le faire, il a le droit de te toucher le sexe, juste les doigts, c’est bien compris ? »
Je proposais donc Ă  Michel ce nouveau deal, qu’il acceptait sans broncher. Son carnet posĂ© sur la table je pu voir les autres pages qui dĂ©filaient, elles Ă©taient remplies de dessins de femmes ligotĂ©es en shibari, le sexe Ă©cartelĂ© par des godes monstrueux, certaines avaient des pinces Ă  linge tout autour des seins, une, mĂȘme, accroupie et de dos urinait, ses lĂšvres intimes distendues par la puissance du jet. Je compris dĂ©finitivement que j’étais bien tombĂ©e !
Je ne fus obligĂ©e de me caresser que quelques instants, mon plaisir fut immĂ©diat, facile, mon orgasme n’attendait que mes doigts pour se trouver libĂ©rĂ©. Étonnement je n’ai eu aucune difficultĂ© Ă  me masturber dans ce lieu public, sous les yeux de Michel, inconnu quelques heures plus tĂŽt et que ma route ne me ferait certainement plus jamais croiser de ma vie. Au contraire, son regard Ă  la fois excitĂ© et bienveillant m’a donnĂ© des ailes. Il m’a suppliĂ© du regard en touchant Ă  son tour son entrejambe dĂ©formĂ© par une grosse bosse.
J’ai acquiescĂ©, je lui devais bien ça. De son menton il m’a fait signe. J’ai tout de suite compris, j’ai allongĂ© ma jambe droite et de mon pied gainĂ© de nylon j’ai caressĂ© ses couilles gonflĂ©es ainsi que la base de sa hampe. Monsieur Ă©tait montĂ© fort avantageusement, il se branlait en insistant sur le haut de son membre tandis que j’activais la base de la hampe de mes orteils recroquevillĂ©s. Le mouvement de son prĂ©puce sur son gland Ă©tait langoureux, il tenait sa queue avec trois doigts comme j’aime, me laissant bien voir son gros fruit pourpre lorsqu’il se dĂ©calottait entiĂšrement. Son mĂ©at s’est mis Ă  couler puis il a tirĂ© fortement en arriĂšre et n’a plus bougĂ©. Deux grands traits blancs ont fusĂ©, maculant mon collant jusqu’à la cheville. C’était chaud et onctueux, il s’est confondu en excuse mais je l’ai tout de suite rassurĂ©, je porterais avec fiertĂ© son foutre sur moi jusqu’à ce que je rejoigne mon maĂźtre. J’étais sĂ»re que ce dernier se gonflerait d’orgueil Ă  l’idĂ©e que j’avais fait jouir un inconnu ainsi.
Michel dĂ©tacha une des pages et vint humecter tout le pourtour de la feuille Ă  la source de ma chatte liquĂ©fiĂ©e, prenant bien garde de ne pas imbiber la partie centrale oĂč ma chatte ouverte trĂŽnait avec une impĂ©rieuse prĂ©sence. Il me tendit le feuillet que je finis de souiller de son sperme avant de le glisser dans mon sac. Tant pis si quelques fluides venaient au contact de mes affaires, les stigmates de cette folie mĂ©ritaient d’ĂȘtre conservĂ©s ad vitam.
Une gare Ă©tape vit notre voiture se remplir, mon sexe disparu sous ma jupe, mes seins sous mon perfecto. Nous nous quittĂąmes sans un mot mais avec des regards pleins de sous-entendus. Mon maĂźtre m’attendait, je m’engouffrais dans un taxi en sentant ma vulve trempĂ©e d’un dĂ©sir sourd.
RR m’a envoyĂ© des photos pendant la dizaine de minutes qu’a durĂ© le trajet. La chambre qui allait accueillir nos sĂ©ances, les « jouets » qu’il avait prĂ©parĂ©s, ustensiles de plaisir et /ou de souffrance puis enfin son pieu dressĂ©, sa queue sublime que je vĂ©nĂšre tant. Je sortais de la voiture arrivĂ©e Ă  destination comme sonnĂ©e, j’en avais l’eau Ă  la bouche tant j’avais envie de le sucer et de m’offr
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