Reprise sexuelle avec la masseuse

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Désir et plaisir sexuel








Catherine Maillard




Journaliste, éditrice et auteure





Publié le 18/05/2020 à 14h49
, mis à jour le 18/04/2022 à 00h00



Sommaire


Abstinence sexuelle : des causes diverses


Après un long break sexuel, faut-il en parler ou pas ?


Après une période "no sex", le corps va-t-il bien réagir ?


Des réponses au féminin


Des réponses au masculin


Reprise des premiers pas "sexuels"




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L'abstinence est devenue un sujet brûlant à une époque où la sexualité est prédominante pour s'épanouir. Les causes de ce "temps mort" sexuel sont diverses, et la durée peut varier de quelques mois à plusieurs années. Quand le "no sex" s'est prolongé trop longtemps, le retour aux ébats peut s'accompagner de doutes, ou même de honte et aussi de difficultés physiques. Le point avec le Dr Ghislaine Paris, médecin sexologue.

" Ca fait plus de 4 ans que je n'ai pas fait l'amour " avoue Martin, 24 ans. Une rebuffade suite à des ébats avec éjaculation précoce , a été déterminante pour lui. " Je n'ai plus de relation sexuelle depuis la naissance de ma fille, 3 ans " confie Alexandra, mère célibataire, qui bataille entre fatigue, organisation et peur de se tromper. L'abstinence est le souvent mal vécue : elle est assimilée à une situation d'échec, et presque honteuse. Dans certains cas, cette inactivité érotique peut même signaler un manque de valeur personnelle. La reprise ne va pas toujours de soi…

" Statistiquement, elle est consécutive à une rupture douloureuse ou une expérience sexuelle malheureuse " nous informe le Dr Ghislaine Paris, sexologue. La personne peut rester "bloquée" sur la mémoire d'un échec d'ordre relationnel ou sexuel et se couper de la possibilité d'une nouvelle relation.
Pour les hommes, les reproches perçus comme "blessants" ont le plus souvent trait à leurs performances sexuelles, et impactent négativement leur virilité.
Pour les femmes, c'est davantage l'image de soi qui est en cause. La tyrannie de l'apparence étant très forte, un manque de confiance en elle ou des remarques désobligeantes peuvent entraîner des périodes "sans" sur une plus ou moins longue durée. Une maladie qui met le corps hors-jeu, ou une atteinte au corps sexué, comme l'ablation du sein peuvent également entrer en ligne de compte. La grossesse et la naissance d'un enfant jouent aussi un rôle non négligeable dans une situation de rupture avec la sexualité.

La première question qui se pose est d'en parler ou pas à un nouveau partenaire lorsque le thermomètre de la libido monte et que la possibilité de rapports sexuels se fait jour ? " Je recommande de jouer franc jeu, mieux vaut le dire à son partenaire sans rentrer dans les détails, ni dramatiser bien sûr " précise le Dr Paris.
En mentionnant cet élément, vous l'invitez à en tenir compte. Ca peut expliquer des hésitations, des défaillances aussi, et le désir de prendre son temps. Dans le cas contraire, l'autre peut se montrer maladroit(e) de manière non intentionnelle, et vous brusquer, avec des conséquences néfastes sur la rencontre !

Qu'on le veuille ou non, l'appréhension est au rendez-vous, avec des conséquences physiques inévitables. Les connaître permet d'en tenir compte et d'anticiper ! " L'appréhension va créer du stress avec une forte production d'adrénaline " ajoute le Dr Ghislaine Paris. Chez les femmes, cela peut entraîner un problème de lubrification et une contracture réflexe des muscles périnéaux. A la clé, des sensations de plaisir amoindries voire des douleurs pendant le rapport sexuel… Le risque de rentrer dans un cercle vicieux (Appréhension/contracture/douleur/appréhension) est bien réel.
Pour l'homme, les symptômes sont différents bien sûr, toutefois le risque est le même. La production d'adrénaline peut agir négativement sur l'érection , qui peut être soit difficile, soit menacée par une éjaculation précoce. Par ailleurs, la raréfaction des ébats entraîne une diminution de l'hormone sexuelle : la testostérone… un détail à prendre en compte.

Alors que le moment du passage à l'acte se précise, c'est fou le nombre de questions qui se bousculent dans la tête d'une femme. Est-ce que je suis suffisamment désirable ? Est-ce que mon corps va répondre ? Le doute va de pair avec une reprise des ébats après une longue abstinence. " Sa présence est normale , confie notre expert. Toutefois, mieux vaut l'anticiper et booster sa confiance en soi ".
Sa solution : se recentrer sur soi, devenir narcissique et retrouver ses sensations corporelles. " Tout ce qui vous permet de renouer avec le corps sur le mode du plaisir va simplifier le retour aux ébats ! " ajoute-t-elle. Pensez hammam , massage , bains , sport... Par ailleurs, réconciliez-vous avec votre image : une coiffure , une robe, des dessous sexy ... C'est le moment de conjuguer à nouveau séduction et érotisme !

Le rapport au sexe pour un homme s'inscrit en majeure partie dans un souci de performance… Après une longue abstinence, la pression est plus forte. Les ébats sont vécus quasi comme un examen de passage et le taux d'adrénaline élevé dû au stress peut entraîner des troubles…
La clé, c'est de se jeter à l'eau dans des conditions très positives, c'est-à-dire, avec un partenaire pour lequel vous avez une réelle attirance. " Evitez les coups d'un soir pour tester vos aptitudes sexuelles " prévient le Docteur. Plus vous tisserez des liens relationnels avec votre partenaire, plus vous allez être rassuré et plus vous serez détendu… Dans ce cas, l'autre devient un allié, et non plus un juge.
Le mot clé : Prenez votre temps ! " Faites monter le désir, laissez-lui le temps de naître, au risque de différer le passage à l'acte et de vous frustrer un peu " conseille le Dr Paris. En clair, flirtez avant de vous jeter à l'eau ! Vous pouvez être tenté(e) de vous précipiter pour dépasser l'obstacle, mais c'est une mauvaise idée. Il ne s'agit pas de se ruer d'emblée sur les zones sexuelles . Au contraire, parlez, séduisez, jouez la carte de la sensualité. Un toucher sensuel peut éviter bien des verrouillages ! Après tout, vous pouvez le vivre comme une nouvelle première fois à la lumière, cette fois, de toute votre expérience.

Faire l'amour, pour éviter la guerre dans le couple !
Du Dr Ghislaine Paris
Editions Albin Michel.
208 pages
Prix : 15,20 €
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Les jouets érotiques évoluent. Plus faciles d'accès, ils gagnent du terrain chez les Françaises qui concèdent de plus en plus avoir des plaisirs solitaires.
SEXUALITÉ - Les sextoys n'ont pas fini de faire parler d'eux. Alors que l'un de ces petits jouets a agité le milieu de l'innovation, au moment du dernier Consumer Electronics Show de Las Vegas, au mois de janvier, on apprend que près d'une Française a déjà utilisé un vibromasseur . C'est ce que révèle une enquête de l'institut de sondages Ifop pour le magazine ELLE , ce vendredi 15 février.
Un usage qui ne cesse de grimper. D'après l'étude, elles n'étaient qu'une sur trois à en utiliser un, il y a cinq ans, et à peine 9%, il y a dix ans. "Ce 'boom' découle d'un changement radical à la fois des produits et des représentations qui leurs sont associées", analyse les auteurs. La commercialisation des sextoys a beaucoup évolué. On peut désormais s'en procurer facilement sur des sites de vente en ligne ou dans des boutiques spécialisées de centre-ville.
Cela permet "à ces jouets érotiques de quitter l'univers déclassé et vulgaire des sex-shops traditionnels, associés aux clichés d'une clientèle d'hommes célibataires et libidineux, précise l'étude. Ce changement des modes de distribution s'est accompagné d'un renouvellement radical des produits au niveau du style". Leur apparence gagne en élégance et s'éloigne de plus en plus des représentations associées aux vibromasseurs.
Mais là n'est pas la seule explication à cette grandissante utilisation. Non, si les Françaises sont de plus en plus nombreuses à posséder un vibromasseur, c'est aussi parce que leur vie sexuelle évolue. En 2019, trois femmes sur quatre concèdent, par exemple, s'être déjà masturbées. Cela peut paraître anodin mais le tabou sur la question se lève petit à petit. Elles étaient à peine 19% à en parler ouvertement, en 1970.
Dans la même logique, une femme sur deux raconte avoir déjà visité sur un site pornographique, "soit une proportion plus de dix fois supérieure à celle observée en 2006", note l'étude.
Même si ces chiffres témoignent d'une banalisation du plaisir féminin solitaire, les femmes ne rattrapent pas encore les hommes sur le sujet. L'auto-sexualité, comme l'explique le sondage, reste une expérience plus pratiquée chez ces derniers, qui reconnaissent à 95% s'être déjà masturbé. Ils sont 28% à le faire "souvent", tandis que seules 14% des Françaises s'autorisent cette même fréquence.
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Publié
le 28/05/2015 à 12:30 , Mis à jour le 03/06/2015 à 17:14
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Alors qu'elle enchaîne les petits boulots ingrats ou à temps partiel, Kim, bac +5, décide de devenir masseuse naturiste pour pouvoir se payer une bonne école. Elle découvre alors un monde inattendu, éloigné selon elle, des clichés de la prostitution.
Kim, 26 ans, est une jeune femme ordinaire. Issue de la classe moyenne, jolie, drôle. Épanouie dans le brouhaha parisien, entre une vie sociale riche et un travail à temps partiel dans un quartier chic du 16e arrondissement. Une routine qu'elle casse deux jours par semaine quand elle se transforme en masseuse naturiste dans l'un de ces petits salons dont les prospectus décorent les pare-brise de la capitale. Entièrement nue, elle masse avec ses mains et son corps des hommes inconnus, nus eux aussi. Elle a trouvé ce travail sur un site de petites annonces, une annonce parmi les " moins pires". "Très bonne rémunération", était-il spécifié. Son bac +5 ne lui a pas suffi pour trouver un travail intéressant. Plutôt que de rester amère et d'enchaîner les boulots d'hôtesse précaires, la jeune femme a décidé de sauter le pas. Sa motivation : engranger assez d'argent pour faire un autre master dans une très bonne école de commerce, master qui lui permettra d'obtenir un poste intéressant. Parmi les masseuses des quelques dizaines de salons de massage naturistes parisiens, on trouve surtout des étudiantes et des femmes travaillant à temps partiel, dont le maigre salaire leur permet tout juste de payer leur loyer.Le premier jour, Kim a travaillé quatre heures ; elle est ressortie avec 250 euros en poche. En cinq mois, après avoir effectué environ 150 massages, elle a pu mettre 10.000 euros de côté. Tout en profitant largement de la vie, sans compter. Et sans scrupules. L'argent n'est désormais plus un souci.
Que se passe-t-il de l'autre côté de la vitre de ce lieu que l'on s'imagine être l'antre de la lubricité ? Les clients arrivent à l'improviste ou prennent rendez-vous. "Mais si un client a l'air louche, on trouve des parades. On prétexte que personne n'est disponible ou que d'autres clients sont prévus", assure Kim. Après avoir réussi l'examen de passage à l'entrée, le client peut choisir celle qui le massera. Puis il file prendre la douche obligatoire et s'installe nu dans la fameuse " pièce du fond", dans laquelle se trouve un matelas entouré de petites bougies. Kim entre enveloppée d'une serviette, et se déshabille. Le massage commence. "Au début, c'est plutôt traditionnel : on passe ses mains sur les jambes et le dos. Puis, dans les quinze dernières minutes, il y a la partie body massage : on utilise ses seins, ses fesses, son ventre pour masser le dos et le torse du client, décrit-elle. C'est une sorte de corps à corps. " Jamais elle ne "chevauche" le client. "Tu apprends vite les mouvements qu'il faut faire pour éviter cette zone. " Il y a aussi le massage réciproque pendant lequel les rôles s'inversent. Le client paie pour masser la jeune femme nue.
Kim dit aimer ce travail parce qu'elle garde le contrôle. "Dans le massage, c'est toi qui décides de la position, du mouvement, du rythme. C'est toi qui tiens les rênes. Lorsque c'est au client de me masser, il peut me caresser un peu les seins et les fesses. Mais rien de plus. Pas de bisou. Quand ça devient "limite", je dis que ce n'est pas compris dans le massage et le client arrête. Tu as toujours un moyen de t'extirper d'une situation embarrassante : tu peux changer de position ou de mouvement si un client répugnant commence à te toucher."
Il existe aussi des séances "à domicile", qui se déroulent souvent dans des appartements ou des hôtels classieux entre l'Opéra et les Champs-Élysées. Kim y rejoint des hommes d'affaires pressés ou des couples en panne d'inspiration, comme celui qui avait commandé deux masseuses pour pimenter ses jeux sexuels. S'il y a dérapage, la masseuse peut se retrouver prise au piège des fantasmes un peu tordus des clients. Comme cette fois où, dans le salon, un client fétichiste s'était mis à lui lécher les pieds. La fois d'après, elle a dit non.
Peut-on parler de sexe ? Chacun s'arrange avec sa propre définition de l'acte pour ne pas franchir ses propres limites. "C'est plus sensuel, érotique. Il n'y a pas d'acte sexuel en soi, ni de contact avec les parties génitales, relativise Kim. Pour moi, il s'agit plus d'un début de préliminaires." Pourtant, lors du massage dit "tantrique", les mains de Kim s'attardent sur les fesses du client et son entrejambe, par effleurements. Aller au-delà est officiellement interdit. Le patron a prévenu ses employées. "Si on trouve des préservatifs dans le salon, ça n'ira pas et vous serez virées." D'après les bruits de couloir, rares sont les filles à avoir fait "plus" avec les clients. Ce fut la porte. Le patron ne voudrait pas donner raison à la mauvaise réputation de ce genre d'établissement. Pour Kim, il ne s'agit pas de prostitution. Et pour ses clients, il ne s'agit pas d' adultère
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Ils ne sont pas naturels

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