Rencontre passionnée entre l'employée et sa patronne

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7 conseils pour optimiser la première rencontre avec votre nouveau patron
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Rédacteur pour LSM Editorial Consulting, il a été journaliste senior pour l’édition américaine de Harvard Business Review après avoir été rédacteur en chef puis responsable éditorial de CXO Media.
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Rencontrer son nouveau chef pour la première fois, c’est un peu quitte ou double – surtout si celui-ci vient d’arriver dans l’entreprise et cherche à initier certains changements. Vous pourriez être tenté d’imposer vos propres priorités. Or, ce faisant, vous rejoindrez dans l’esprit de votre nouveau supérieur la longue liste des pétitionnaires venus tour à tour présenter leur petit lot de doléances (lire aussi la chronique « Votre chef est-il un psychopathe ? »).
Ne vous rendez pas à cette première entrevue avec plusieurs dossiers sous le bras ainsi qu’une présentation PowerPoint. Ne préparez pas non plus une diatribe passionnée qui récapitulerait vos recommandations sur LinkedIn. Découvrez qui est ce nouveau patron, la façon dont il aime travailler, ce qu’il ignore encore et que vous pouvez lui apprendre. Répondez à ses questions franchement, sans vous crisper à l’idée que vous n’avez peut-être pas su lui montrer qui vous étiez.
Tom Gilmore, l’un des responsables du Center for Applied Research, propose sept conseils pour rendre ce premier entretien le plus fructueux possible :
– Glissez-vous dans la relation . Allez-y progressivement. Dans un premier temps, concentrez-vous uniquement sur quelques problématiques essentielles, celles qui vous aideront à bâtir les fondations d’une alliance efficace avec votre nouveau patron. Par exemple, commencez par lui présenter les récentes initiatives d’innovation ouverte de votre service. Au fil du temps, vous pourrez discuter plus en profondeur des projets ayant déjà obtenu le feu vert.
– Observez son style . Préfère-t-il les conversations longues ou courtes ? Une palette d’options ou une recommandation ? Des données chiffrées ou le ressenti des équipes ? Utilisez ces indicateurs pour façonner votre manière de vous présenter et de parler de vos idées.
– N’oubliez pas que d’autres cherchent aussi à obtenir son attention. Même si vous êtes en tête-à-tête avec lui dans son bureau, vous n’êtes pas le seul à en attendre quelque chose. Prenez en compte la façon dont d’autres interlocuteurs clés peuvent influencer son ordre du jour, et mettez en avant la manière dont vos problématiques s’intègrent à ces priorités plus générales.
– Collaborez . Aidez-le à se forger une opinion sur les sujets importants à vos yeux, aux siens et à ceux de l’entreprise. Ne vous contentez pas de chercher son jugement sur vos idées. Si vous pensez, par exemple, que l’entreprise présente désormais une trop grande aversion au risque, entamez une discussion au sens large sur le risque. Faites-lui part des anecdotes sur la façon dont le groupe a géré cette problématique par le passé, posez-lui des questions sur son expérience et ses idées.
– Soyez honnête . La plupart des dirigeants comprennent la difficulté de parler ouvertement à sa hiérarchie ; ils doivent néanmoins compter, dans un premier temps, sur les appréciations et opinions honnêtes de quasi-inconnus. Cherchez les occasions de faire preuve d’une sincérité utile sur un aspect essentiel de son ordre du jour. Racontez-lui que votre responsable cherche à lancer un projet requérant l’adhésion de deux chefs d’équipe qui ont beaucoup de mal à travailler ensemble. Faites-lui part diplomatiquement de cette dynamique et racontez-lui comment les autres sont parvenus à faire collaborer les deux cadres (lire aussi la chronique « Pourquoi les chefs sont-ils (souvent) déçus par leurs équipes » ).
– Adaptez-vous à ses préférences . Votre nouveau boss a hérité de systèmes et de processus taillés à l’image de son prédécesseur. Plus vous en apprendrez sur la façon dont il aimerait être soutenu, plus vite vous développerez de nouveaux systèmes adaptés à son fonctionnement. Par exemple, si son style est de déléguer, suggérez-lui une réunion hebdomadaire pour passer en revue les tâches et charges de travail de ses collaborateurs. Indiquez-lui quelles sont les missions qui vous correspondent le mieux et informez-le de l’étendu de vos compétences.
– Établissez une forme de connexion , en « trouvant des liens entre les choses que vous voudriez voir se développer et celles que votre nouveau patron veut accomplir. » Vous aurez tout le temps de lui faire part de vos priorités une fois établie entre vous une relation solide.

Comment gérer un collègue désagréable

Harvard Business Review Août-septembre 2022
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Chapeau patronne, votre employée était au poil. Marie-Claude Andrieux, originaire de Picardie, s'est installée vers Bourganeuf il y a un peu plus de 30 ans. Elle a développé cinq salons de coiffure en Creuse.
Elle a souhaité offrir la médaille d'or du travail et réunir quelques personnes pour la cérémonie qui va de paire, à l'une de ses employées, Béatrice Germain, qui a pris sa retraite.
Cette dernière, depuis l'ouverture du salon de Saint-Dizier-Leyrenne il y a 23 ans, a toujours accueilli les clients avec le sourire. Depuis deux ans, sa patronne l'avait rejointe pour lui donner un coup de main et pour préparer son remplacement par Sophie Demargne, une enfant du pays.
Si Béatrice et Marie-Claude se sont toujours bien entendues, à se demander si elles n'étaient pas de mèche, elles avouent s'être taquinées de temps en temps. Certes, elles n'ont pas été jusqu'à se crêper le chignon, mais chacune leur tour a parfois voulu couper les cheveux en quatre.
Après avoir mis les doigts dans de nombreuses chevelures, Béatrice va désormais s'entraîner à avoir la main verte. Elle va continuer à apporter de la joie, cette fois du côté de ses racines, dans les Deux-Sèvres. Elle ne coupera plus de cheveux, mais des arbustes ; elle ne jouera plus des couleurs avec les crinières, mais avec les fleurs… Mais elle ne manquera pas de demander des nouvelles de ses anciennes têtes leyrennoises.
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Publié le
09/08/2012 à 17:14 , mis à jour le

24/12/2012 à 15:50








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Par Cécile Maisonneuve, fondatrice de DECYSIVE et conseillère auprès du centre Énergie Climat de l'IFRI.

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EMPLOI-Les salariés français estiment leur niveau en anglais trop faible, et c'est un frein dans leur travail.
[Express Yourself] La passion est un plus inestimable qui n'est pas indispensable pour être heureux au travail . Elle prend et éprend la personne avec une force irrésistible qui lui fait oublier les contraintes de sa situation. Ni bonne, ni mauvaise, elle est une énergie prodigieuse à canaliser. 

Qu'elle soit en amour, au travail ou hors du travail, la passion envahit la personne et la transporte avec intensité jusqu'aux extrémités de ses désirs et de sa volonté. Elle est cette énergie inépuisable qui pousse la personne presque malgré elle à aller toujours plus loin pour assouvir la soif d'aimer, de comprendre, de réaliser. Le passionné est pris et épris par l'objet de sa passion. Il oublie son devoir à la fois parce qu'il est saisi par cette force instinctive qui le pousse hors des contraintes de son environnement et parce qu'il assume avec une certaine facilité la pénibilité de ce qu'il accomplit. Son engagement absolu vers l'objet de sa passion tend à le détourner de ses autres engagements, tellement est forte sa soif permanente de découvrir, de connaitre et d'expérimenter. 

Quelle est donc cette passion? Est-elle bonne? Est-elle mauvaise? Dans une certaine vision moralisante, la passion s'apparente aux passions de l'âme qui rabaissent la personne vers ses instincts les plus bas en affaiblissant sa volonté. L'homme fort la maitrise, l'homme de devoir la mate, l'homme de vertu la domine. Au niveau du travail, la passion retrouve son titre de noblesse car elle enrichit la personne d'un surcroit d'énergie, de volonté et d'intelligence. Ni bonne, ni mauvaise, elle est le signe d'une appétence naturelle qui ne demande qu'à être comblée, nourrie et assouvie. 

L'homme passionné par son travail fait ce pour quoi il est fait sans avoir le sentiment de travailler. Il a trouvé sa voie, c'est-à-dire le moyen de son épanouissement personnel. Il fait ce qu'il aime sans se forcer ni se raisonner à aimer ce qu'il fait. Celui qui travaille sans passion accomplit son labeur par obligation, volonté et devoir, alors que le passionné oublie qu'il doit travailler. L'exercice de son activité l'attire comme la pratique d'un jeu, où le plaisir allège le poids des contraintes et arrête le défilement du temps. Libre et hors du temps, il mène sa passion à l'écart des autres, non par mépris mais par la force des choses. 

La passion serait-elle indispensable au bonheur de la personne? Serait-elle nécessaire à son épanouissement au travail? Le penser serait absurde car ce serait moraliser quelque chose qui ne peut se décider. Ce serait aussi oublier la réalité des gens heureux et épanouis au travail sans être des passionnés. La passion est utile comme un plus qui facilite le bonheur et accélère l'épanouissement. Elle se découvre au fil des expériences et des rencontres en s'imposant comme une évidence. Touchant la fibre naturelle de la personne, son talent, elle devient le booster de sa volonté. 

Un travail passionnant est un travail qui nous correspond , un travail qui est aligné avec notre talent naturel, avec notre potentiel. C'est celui qui nous offre un champ à explorer, qui nourrit notre soif de connaître, de comprendre, de réaliser ou d'aimer. Qu'il soit manuel, intellectuel, relationnel ou artistique, l'enrichissement personnel que nous en retirons fait passer au second plan la fatigue qu'il génère. Il porte avec lui son lot inévitable de contraintes, mais son intérêt les relativise et leur donne un sens. 

Est-ce que la passion se transmet? Faut-il rencontrer un passionné pour devenir soi-même passionné? Le passionné n'est pas toujours passionnant, ni le passionnant passionné. Le passionnant sait intéresser les autres parce qu'il transmet avec pédagogie l'expérience qu'il a su capitaliser. Le passionné n'a pas toujours les qualités pédagogiques requises pour intéresser les autres et peut parler de son activité avec une obsession qui peut saouler son auditoire. La passi
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