Remy aime le Yoga lesbien

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Escapades Melissa Brouard 4 mai 2021 Mortagne-sur-Sèvre, Promenade, Insolite


Escapades Melissa Brouard 24 avril 2021 Falleron, Logement Touristique, Location, Gite

Bienvenue dans notre rubrique Ma Vendée, une série d’interviews qui grouille de bonnes adresses, de coins secrets & de coups de coeur dévoilés par des invités précieusement choisis. On vous emmène faire Un Petit Tour? C’est parti! Cette semaine, nous rencontrons Rémy, professeur de yoga, membre du comité de BD de la médiathèque de la Roche sur Yon, féru défenseur de l’environnement et pâtissier de « gâteaux à tomber par terre » à ses heures perdues. Et si vous ne le connaissez pas encore, il est l’organisateur des retraites de yoga qui feraient rêver tout californien qui se doit, on le retrouvera notamment fin mai pour une retraite de Yoga au coeur du Jolly Château le temps d’un long weekend qui sera rythmé entre cours de yoga, marche méditative, veillée sous les étoiles, découverte des légendes & mythes hindoues….…. On vous laisse un peu de mystère! Il nous emmène maintenant faire un petit tour sur la Roche sur Yon où il nous partage ses adresses favorites. Rencontre! Que faites-vous en ce moment? Je continue de donner mes cours de yoga au Potager Extraordinaire et en plein air. Je suis également deux formations. Une formation avec Mathieu Boldron autour du Pranayama, ce sont des exercices autour du souffle et sur des mantras. Et la seconde avec Amelie Annoni sur le Yin Yoga. C’est une pratique que j’ai déjà mais j’aime bien approfondir mes connaissances pour mieux accompagner mes élèves. À côté de ça, je finalise la préparation de la retraite de yoga qui aura lieu le dernier weekend de mai au Jolly Château avec une thématique spéciale autour des mythes de la mythologie hindoue. Et pour finir, je suis en pleine recherche d’un lieu pour ouvrir un studio de yoga à la Roche sur Yon. Je veux proposer un espace dédié à la pratique du yoga en collaboration avec d’autres professeurs. Ce sera un véritable lieu d’échanges, de bien être et de développement de soi. J’aimerais y projeter des films autour du yoga, créer un espace cocooning pour y savourer une infusion avant ou après les cours pour continuer à échanger et partager. Si vous pouviez vivre dans n’importe quel lieu en Vendée? Pour être honnête je ne m’imagine pas vivre ailleurs que là où je suis, au bord de la Roche sur Yon et la campagne. Je profite de la nature qui est juste là tout en ayant les avantages de proximité de la ville. J’aime bien la dynamique de la ville de la Roche sur Yon. Mais je dois admettre que j’ai tout de même un coup de coeur pour l’Ile d’Yeu…un petit paradis, calme, naturel et sauvage. Le fait de devoir se déplacer à pieds ou à vélo donne un charme particulier à l’île. Que feriez-vous si vous étiez maire pour la journée? J’ai vraiment très à coeur la protection de l’environnement. J’aurais envie de verdir encore plus les zones où il n’y a plus aucun arbre, mais toujours dans le respect de l’esprit locale. J’insisterais pour promouvoir une alimentation plus végétale et plus bio, par exemple avoir des arbres fruitiers en ville… Et pour finir, je développerais davantage les pistes cyclables pour quelles soient vraiment partout et je mettrais les transports en communs gratuits pour permettre aux gens de pouvoir se déplacer plus facilement tout en participant à la protection de l’environnement. Un dimanche parfait, c’est? Un brunch avec des pancakes. Il faut absolument des pancakes selon moi (rires)….de bons fruits frais de saison, du bon café, un jeu de société avec mon épouse et des amis. Ensuite, l’après-midi, je cuisinerais un bon gâteau à déguster pour le goûter. C’est important le gâteau le dimanche! (rires) Je suis hyper gourmand. C’est une tradition familiale. J’ai le souvenir de ma grand-mère qui cuisine un gâteau juste le dimanche. C’était un peu le moment exceptionnel de la semaine. J’aime bien revenir à des choses simples. C’est dimanche, on a juste envie de célébrer le fait qu’on est ensemble, de profiter de la nature, de s’évader, de partager un goûter et peut être une soirée qui commence a s’installer et qui traine un peu avec des amis ou de la famille. Votre restaurant favori? Je suis végétarien et allergique au lactose de fait les choix sont très peu nombreux mais j’apprécie particulièrement L’Atable à la Roche sur Yon. C’est un restaurant qui est un peu gastronomique et vraiment délicieux. Lorsqu’on les prévient à l’avance, le chef me prépare un menu spécial, je trouve ça hyper attentionné, il arrive a préparer des plats qui ne sont pas sur son menu et c’est toujours delicieux, cuisiné avec des produits frais, de saison, des petits producteurs locaux. Et lorsqu’il vient apporter le plat à table, il est tellement enjoué, il t’explique tout ce qu’il a mit dans ton assiette avec passion. C’est un vrai plaisir. Un autre coup de coeur c’est L'Anticà à Talmont Saint Hilaire. C’est une pizzeria où les pizzas sont cuites au feu de bois, les produits proviennent d’Italie, le cadre est joli…. Et les pizzas sont tellement bonnes. La dernière adresse culturelle visitée? La Médiathèque de la Roche sur Yon . J’en suis très friand. Je fais parti de leur comité de BD. Les équipes sont hyper sympas, ils ont un choix énorme. C’est un lieu que je fréquente beaucoup. J’ai une tendance plutôt minimaliste, donc cela me permet de ne pas acheter sans arrêt, de recycler et de réutiliser ce que j’ai déjà. Je trouve ça plutôt sympa. Sinon, une autre adresse que j’affectionne pour trouver de belles lectures, c’est Agora . Ils sont toujours de très bons conseils et très gentils. Ils ont beaucoup de choix. C’est une librairie locale que je soutiens si je souhaite acheter un livre plutôt que de commander en ligne. Un lieu idéal pour une séance de yoga en plein air? L’été je donne des cours à la vallée verte à la Roche sur Yon, très proche du centre ville. J’y prend vraiment plaisir à y aller, il y a un petit cour d’eau, c’est plutôt apaisant. Sinon, la plage du Veillon! La meilleure adresse pour s’amuser? Je dirais le cinéma, le Grand Défi à Saint Julien des Landes ou bien l’Escape Game Echappe Toi Si Tu Peux à la Roche sur Yon. Le meilleur bar pour se retrouver entre amis? À La Roche sur Yon il y a le « Phoenix Flaming » ancien "1987 Coffee House", que j’aime particulièrement. Une déco de fou à la fois chaleureuse, magique et surréaliste, un patron anglo-saxon adorable et un choix de café au top, des thés glacés maison l’été, sans parler des pâtisseries trop gourmandes. Une bonne adresse shopping? Lunaria à Nantes, c’est une petite boutique qui ne choisit que des vêtements avec une fibre écologique. Et sinon pour les baskets, Quartier Général à la Roche sur Yon avec un choix assez pointus que l’on ne trouve pas forcément ailleurs. Un classique vendéen dont vous ne vous lassez pas? La Gâche évidemment mais si je dois donner un énorme coup de coeur!! Mon coeur chavire pour les pains de la Boulangerie Potier à la Roche sur Yon. Ils ont un énorme choix de pains avec différentes farines, formes, ils sont croustillants et tendres à la fois….. J’aurais du mal aujourd’hui à me passer de leurs pains. Quel est le plus bel endroit où faire Un Petit Tour en Vendée? C’est vraiment dur de ne donner qu’un seul lieu! (Rires)….. Entre Noirmoutier, l’Ile d’Yeu, la Forêt de Mervent…. Je suis vraiment tombé amoureux de la Vendée. Bon…Je dirais peut être L’Ile d’Yeu… pour la simple raison que l’on est complètement ailleurs, les contrastes sont très forts, entre les plages, les falaises. L’ambiance un peu différence, comme-ci d’un coup on pouvait ralentir et prendre le temps de vivre. Découvrez davantage sur Yoga Flow With Rémy ☀ PLANNING COURS DE YOGA (horaires à partir du lundi 10 mai, les cours seront sur zoom ou en plein air selon les modalités sanitaires)
Lundi : 10h15 - Hatha /Hatha Flow & 19h15 - Vinyasa yoga en soft flow Mardi : 19h15 - Yin yoga Mercredi : 17h45 - Vinyasa yoga en crunchy flow (plus dynamique/engagé) ☀ PAPOTERIE INSTAGRAM
Vendredi 14 mai à 11h15 sur Instagram . Un live Instagram avec Capucine Hurel sur le thème « Croyances, convictions ou connaissances ? » ☀ RETRAITE YOGA MYTHE & DÉTENTE
Du 28 au 30 mai au Jolly Château. Un week-end comme une parenthèse pour vous détendre et approfondir votre pratique de yoga. Au programme: Yang-Yin yoga, vinyasa, mythes et légendes hindoues, veillée étoilée et moments de détente. Réserver ici


Les relations mère-fille


Par Suzanne Décarie





Bien-être

Bons pour le foie!



Bien-être

Oser, pour transformer ma vie



Forme

Yoga: 4 étirements pour mieux s’accroupir (VIDÉO)



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Yoga: délier les raideurs articulaires (VIDÉO)



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Yoga: activation de la colonne (VIDÉO)

Nous les avons portées, bercées, consolées... Attendues ou inattendues, elles ont été nos bébés. Tantôt rieuses, tantôt inconsolables, elles ont été des fillettes attachantes, tranquilles ou turbulentes; des adolescentes rebelles, taciturnes ou bavardes qui nous remettaient peu ou prou en question. Chaque étape de leur développement a contribué à ce que nous nous séparions l’une de l’autre, à ce qu’elles se distinguent et deviennent elles-mêmes. Nous avons rêvé de protéger nos filles, de leur offrir même ce que nous n’avions pas reçu. Secrètement, nous souhaitions racheter, conjurer ou prolonger le lien à notre propre mère. Battantes ou accablées, sereines ou tourmentées, en couple ou en solo, lesbiennes ou hétéros, mères ou pas, nos filles sont maintenant femmes. Et nous en sommes fières, comme nous pouvons en être déçues, surtout si nous voyions grand pour elles. Mais que nous le voulions ou non, notre rôle d’éducatrice est terminé. Nos filles sont qui elles sont. Nous avons fait ce que nous avons pu avec ce que nous étions et dans les circonstances qui prévalaient aux différents âges de leur vie et de la nôtre.
On peut avoir des regrets, penser que l’on aurait pu faire mieux, ou autrement. «Les femmes se sentent perpétuellement coupables», se désole Doris-Louise Haineault, psychanalyste et auteure de Fusion mère-fille: s’en sortir ou y laisser sa peau . «Cessons de croire que les mères doivent être parfaites, dit-elle. Nous devons nous assumer, et assumer nos torts. En reconnaissant que nous n’avons pas été parfaites, nous permettons à nos filles de ne pas l’être non plus.» De plus en plus de mères sont heureuses de leurs rapports avec leurs filles, qu’elles jugent souvent meilleurs que ceux qu’elles avaient avec leur propre mère. D’autant plus que nos filles disent davantage ce qu’elles pensent, osent nous remettre en question et être en désaccord avec nous sans craindre la fin de notre relation, qui n’est pas simple pour autant. Elle est plutôt complexe et se joue sur un lot d’attentes et de déceptions. Attentes inconscientes de la mère qui rêve de la fille idéale, capable de réparer ses manques et ses déceptions. Difficultés de la fille d’être différente de ce que sa mère voudrait qu’elle soit. Derrière bien des querelles mère-fille se profile d’ailleurs soit une résistance à accepter la différence, soit un désir de différence. Le plus dur, dans les relations mère et fille, c’est d’arriver à se séparer, à rompre la fusion tant souhaitée, à être deux personnes distinctes tout en étant capables de partage.
«Toute mère porte en elle le désir que sa fille soit son double, rappelle Doris-Louise Haineault. Il faut se dire qu’elle est différente de soi, qu’elle a d’autres qualités, qu’elle doit développer ses propres aptitudes, aller au bout d’elle-même, là où elle s’épanouira, même si ça ne ressemble en rien à ce que l’on avait imaginé. La fille qui s’emploie à être le double de sa mère rate sa vie. La mère doit la laisser partir, l’aider même à le faire.» «Le maître mot dans les relations avec nos filles, c’est le respect», insiste Véronique Moraldi, auteure de La Fille de sa mère . De la difficulté des rapports mère-fille. Il faut accepter le fait que nos filles sont adultes, les regarder avec curiosité plutôt qu’en les jugeant, apprendre à ne pas nous ingérer ni dans leur vie ni dans leur intimité, faire preuve de bienveillance et de compassion. Il faut travailler sur soi, savoir se taire et, surtout, ne pas être intrusive, soutient pour sa part Doris-Louise Haineault. «Laissons à nos filles leur liberté!», lance-t-elle en nous invitant à accepter nos failles et celles de nos enfants. «Les mères qui sont trop critiques et trop dures envers leurs filles peuvent leur causer un tort extrême. Ce sont elles qu’elles n’aiment pas. Elles ne doivent pas être bien dans leur peau et elles gagneraient à aller en thérapie.»
Leur façon de s’habiller, leur allure, leur style de vie… Tout peut nous hérisser ou nous faire envie. Il n’est pas toujours facile de ne pas émettre de commentaires, de ravaler les «je te l’avais dit»… Si nous sommes trop proches de nos filles, leurs conjoints peuvent avoir l’air d’intrus, de rivaux. Nous pouvons souffrir de voir nos filles s’engager dans des relations sans issue ou à l’issue trop prévisible, ou simplement au bras d’un homme qui ne nous revient pas. «La seule chose à faire, croit Véronique Moraldi, c’est d’exprimer notre point de vue avec délicatesse. Il faut dire ce que nous ressentons, toujours parler au je, sans accuser. Si nous remettons notre fille en cause, elle ne se sent pas considérée en tant qu’adulte. Et puis, nous ne sommes pas à sa place: nous ne connaissons pas tous les tenants et aboutissants de la relation, ses bénéfices secondaires.» Et nous ne sommes pas tenues de le voir si souvent. Le rythme des visites peut être sujet de reproches ou de conflit, surtout s’il y a injonction, devoir, obligation. «C’est lorsqu’il y a de la contrainte et du chantage affectif que cela se passe mal», remarque Véronique Moraldi.
La naissance des petits-enfants fait déferler des vagues d’émotions. Mères et filles se rapprochent alors, ou s’éloignent, surtout quand ça n’a pas bien été entre elles. Entichées des petits, la plupart des grands-mères souhaitent dorloter, cajoler, chouchouter... Et c’est ce que l’on a de mieux à faire, puisque leur éducation n’est pas de notre ressort! Quelle que soit l’attitude de nos filles envers leurs chérubins, «il faut encore nous taire!, dit Doris-Louise Haineault. Nous ne sommes pas censées vouloir que nos filles soient les mères que nous avons été. Nous les trouvons permissives ou trop sévères? C’est leur choix.» «Tout conseil n’est pas interdit», tempère cependant Véronique Moraldi. On peut faire profiter de notre expérience. Il s’agit de choisir la manière de le dire pour que sa fille ne se sente pas remise en cause dans son rôle de mère. Et si elle nous reproche de vouloir faire avec nos petits-enfants ce que nous n’avons pu faire avec elle? «C’est le privilège des grands-mères de pouvoir faire avec leurs petits-enfants des choses qu’elles n’ont pas eu le loisir de faire avec leurs enfants, qui ont peut-être manqué de temps ou d’affection, poursuit Mme Moraldi. Mais à l’époque, nous ne pouvions faire autrement… Nous pouvons expliquer à nos filles qu’à telle période, ça n’allait pas et que nous n’avons pas pu être aussi disponibles ou sereines que nous l’aurions souhaité.» Il faut entendre la souffrance de notre fille, la laisser dire ce qu’elle a sur le cœur, reconnaître nos torts, mais nous ne pouvons revenir en arrière… Notre fille abuse, nous demande sans cesse de garder ses enfants, nous réclame de l’argent, des repas, le gîte? «Il faut alors se parler pour vrai, suggère Doris-Louise Haineault. Dire ce que nous pouvons faire et quand, fixer clairement nos limites en insistant sur le fait qu’on ne les outrepasse pas.»
Malheureusement, il arrive aussi parfois que nos filles préfèrent nous éviter. Certaines ont l’impression que ce que nous leur avons donné, et que ce que nous pouvons encore leur apporter, est si négatif qu’il vaut mieux qu’elles s’éloignent. Doris-Louise Haineault suggère alors de laisser passer un peu de temps, «le temps de reprendre ses esprits», puis de faire les premiers pas. «C’est le rôle de la mère d’ouvrir des portes. Nous devons essayer de comprendre ce que l’on nous reproche, annoncer notre disponibilité, mais accepter la distance.» Nous pouvons simplement leur rappeler que nous sommes là et maintenir le lien par des messages, des lettres, des courriels, des cadeaux aux anniversaires, même si elles ne répondent pas. Nos filles doivent comprendre que l’on n’a jamais la mère que l’on veut; nous n’avons pas eu la mère idéale et leur fille ne l’aura pas non plus. «C’est le deuil le plus difficile à traverser, admet Doris-Louise Haineault. Mais il faut passer à travers, se réaliser soi-même. C’est maintenant à la fille de jouer.»
Pour garder l’harmonie dans ses relations, on doit donc accepter le fait que sa fille est une adulte et consentir à sauter de rang généalogique pour devenir une grand-mère. «L’une est une mère, l’autre est une fille. Chacune son rang, explique Véronique Moraldi. Une mère doit être une maman par moments, c’est-à-dire être complice, gratifiante, affectueuse, ce qui n’a rien à voir avec le fait d’être la meilleure amie de sa fille. Il ne s’agit surtout pas d’être sa confidente sur sa vie amoureuse, sur sa vie affective, sur sa vie sexuelle…» Doris-Louise Haineault invite pour sa part les mères à lâcher prise, à s’occuper d’elles-mêmes, à se donner des plaisirs en dehors des enfants et des petits-enfants, à user d’humour. Rien de tel pour dédramatiser les situations corsées et apaiser les humeurs !
La Fille de sa mère , par Véronique Moraldi, Les Éditions de l’Homme, 2006, 336 p. Explore les dérives de la relation mère-fille avec une dose d’humour, témoignages à l’appui. Pistes et conseils concrets pour améliorer sa relation à sa mère ou à sa fille. Fusion mère-fille , s’en sortir ou y laisser sa peau , par Doris-Louise Haineault, 2006, 118 p. À travers le parcours de trois femmes qui, grâce à la psychanalyse sont parvenues à sortir de l’histoire de leur mère, à s’affranchir de leurs “surmères, ces mères que rien ne fait renoncer à leur rêve de fusion”, pour vivre leur propre histoire», l’auteure plonge dans l’inconscient de la relation mère-fille.
Le billet d' Aline Pinxteren , Éditrice et rédactrice en chef
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