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Philippe et Eve au sommet du Kilimandjaro, en tenue appropriée.













Philippe et Eve au sommet du Kilimandjaro, en tenue appropriée











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l'essentiel
Un pĂšre et sa fille originaires de Blagnac ont gravi le Kilimandjaro. Pour La DĂ©pĂȘche du Midi, ils racontent leur pĂ©riple. 

Deux Blagnacais, Philippe Owezarski et sa fille Eve, 16 ans, s’en reviennent d’un pĂ©riple en Tanzanie, au cours duquel ils ont gravi le Kilimandjaro, le toit de l’Afrique, Ă  5895 mĂštres. "Un des plus beaux voyages de ma vie", tĂ©moigne le pĂšre, avec un enthousiasme peu feint, avant de souligner la performance, en bon sportif qu’il est par ailleurs : "tous les dĂ©lais ont Ă©tĂ© tenus, et nous Ă©tions un groupe quasi homogĂšne de 9 personnes, dont j’étais le plus ĂągĂ© avec mes 52 ans et ma fille la plus jeune. Tout le monde marchait bien et les discussions du soir tournaient autour des trails, marathons et autres courses d’endurance. L’encadrement Ă©tait composĂ© d’un guide principal et trois adjoints, deux cuisiniers et 25 porteurs. Ces derniers pliaient le camp de chaque Ă©tape aprĂšs notre dĂ©part, nous dĂ©passaient dans la montĂ©e et quand nous arrivions, le camp Ă©tait fonctionnel".
Un pĂ©riple sportif dont la difficultĂ© Ă©tait nouvelle : "Il s’agit de l’adaptation Ă  l’altitude qui se fait progressivement et de façon trĂšs professionnelle avec surveillance constante des marqueurs biologiques et si besoin liaison tĂ©lĂ©phonique par satellite avec l’hĂŽpital. L’ultime Ă©tape nous fait passer au-dessus de 5 000 et l’on quitte le camp Ă  minuit avec arrivĂ©e au sommet Ă  6 heures du matin, au lever du soleil, par une tempĂ©rature de moins 15 degrĂ©s. C’était splendide, dans des conditions idĂ©ales, sans nuages ni vent, inoubliable". Avec quelles consĂ©quences au retour ? "La nourriture Ă©tait trĂšs abondante, cuisinĂ©e sur place, c’était excellent, mais j’ai perdu 3 ou 4 kg, et depuis mon retour j’ai mis plusieurs jours Ă  bien rĂ©cupĂ©rer". Quel challenge maintenant ?
"Nous voulons rester Ă  une pratique sans oxygĂšne, avec nos seuls poumons. Par ailleurs, ce type de course, notamment dans l’Himalaya, est vite inaccessible financiĂšrement. Celle-ci nous revient Ă  10 000 dollars pour deux personnes, ticket d’entrĂ©e Ă  1250 dollars et billet d’avion compris. Mais c’est une aventure humainement et physiquement fantastique".
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J'ai fait entre autres 9 treks dans l'Himalaya entre 1986 et 1996, organisĂ©s par moi mĂȘme avec 1,2 ou 3 ami(e) s, 126 jours de marche,
comment se fait il que je ne sois pas en premiĂšre page de La DĂ©pĂȘche ? LOL
La grand-tante de la cousine de mon beau-pĂšre gravit, plusieurs fois par jours depuis quarante ans, les quatre Ă©tages de son immeuble et personne n'en parle.
sil ny avait pas les sherpas les porteurs qui sont sûrement payes une misere toutes ces expéditions ne pourraient avoir lieu
l'européen n'est pas capable d'engendrer tout ce que subissent ces hommes o combien courageux
Nous avons gravi mon conjoint et moi le Kilimandjaro il y a 6 mois avec une Ă©quipe de 23 personnes (guides et porteurs), et je peux vous affirmer aprĂšs avoir eu le temps de discuter avec eux, qu’ils sont bien payĂ©s, fiers et ravis de faire ce job, il faut bien sĂ»r choisir une bonne agence, sĂ©rieuse qui respecte ses Ă©quipes et donc payer un prix raisonnable sans chercher l’expĂ©dition au plus bas prix possible. Donc non ils ne sont pas payĂ©s “une misĂšre” et ils sont bien soulagĂ©s de voir revenir les voyageurs aprĂšs 2 ans de Covid ! Il ne faut pas voir les choses “par le petit bout de la lorgnette” avec nos yeux de français bien-pensants et donneurs de leçons
. Parcourir le monde, parler aux gens, permet de se faire sa propre opinion souvent plus juste que les idĂ©es toutes faites et les Ăąneries qu’on peut malheureusement lire et entendre
 par ailleurs le poids qu’il transportent est limitĂ©, contrĂŽlĂ© et pesĂ© chaque jour. Ce ne sont pas des bĂȘtes de somme non plus
Oui c’ est une fantastique expĂ©rience mais n’est pas un exploit non plus, nous avons plus de 60 ans et il n’y a pas eu d’article dans le journal pour nous !!!! 😉

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Avec ces photos de vulves, elle veut briser les tabous


L’actrice Anne Heche meurt à l'ñge de 53 ans


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Publié le 13 septembre 2019 à 16h07 Mis à jour
le 17 mars 2021 Ă  17h39

Les vulves sont au cƓur du projet photo de Lily Rault, Tabou. e, qui espĂšre ainsi aider les femmes Ă  se rĂ©concilier avec leur corps.
Comme beaucoup de femmes, Lily Rault n’a pas toujours eu des relations simples avec son corps, et la hache de guerre est loin d’ĂȘtre enterrĂ©e. Mais depuis qu’elle s’est lancĂ©e sur le projet Tabou. e , elle a commencĂ© Ă  doucement emprunter le chemin vers la paix. Photographier des vulves dans une dĂ©marche artistique, voilĂ  la rĂ©ponse de la trentenaire Ă  ses propres interrogations et Ă  la douleur qu’elle a longtemps supportĂ© faute d’information. “J’ai commencĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu’on infligeait Ă  notre sexe quand j’habitais en Australie, raconte-t-elle. Je menais une vie nomade, et quand j’av ais des infections, je ne savais pas bien les traiter, je me sentais seule face Ă  ces questions.”
Une fois rĂ©installĂ©e en France et Ă  l’aube d’un deuxiĂšme switch de carriĂšre qui la mĂšne vers la photo, Lily Rault rencontre une gynĂ©cologue qui lui explique que les “soins intimes” dĂ©truisent la flore vaginale plus qu’ils ne la protĂšgent ; elle comprend alors Ă  quel point les femmes sont dĂ©sinformĂ©es, mĂȘme quand il s’agit de leur corps, ce qui ne les aide pas du tout Ă  entretenir des rapports pacifiques avec ce dernier. “J’ai commencĂ© Ă  me dire qu’on n’avait aucune information sur nous-mĂȘmes, et qu’on n’avait tout simplement pas accĂšs Ă  nos vulves, qu’on ne les connaissait pas, se souvient-elle. A germĂ© l’idĂ©e de les photographier, mais je ne savais pas du tout Ă  qui je pouvais demander ça, je pensais Ă  contacter des travailleuses du sexe ou des actrices porno sans oser. Un soir, alors que je parlais de mon projet Ă  des amies, elles m’ont dit qu’elles seraient partantes pour ĂȘtre mes modĂšles, et c’est comme ça que tout a commencĂ©.” De ce verre entre copines Ă  des expos en France et Ă  l’étranger, Lily Rault nous raconte le parcours inattendu de son initiative, qui n’en a pas fini de se heurter aux tabous qui entourent le sexe fĂ©minin. Interview.
Pourquoi as-tu choisi de photographier cette partie de notre corps ?
Lily Rault – Les vulves m’intĂ©ressaient car elles symbolisent autant la jouissance que la douleur. Les deux sont taboues. Ces derniĂšres annĂ©es, on parle de plus en plus de la jouissance des femmes et de leur façon de se la rĂ©approprier, mais moi, j’avais envie de m’intĂ©resser Ă  la douleur. Celle d’une mycose, d’un accouchement, d’une Ă©pisiotomie, de tout ce qui traverse le sexe d’une femme et que l’on tait. J’ai appris rĂ©cemment qu’une femme perdait du sang pendant deux semaines aprĂšs son accouchement, pourquoi on n’en parle jamais ?
Cela a-t-il Ă©tĂ© un shooting comme les autres ?
Pas du tout ! MĂȘme si je connaissais bien mes modĂšles, on a commencĂ© par un bon apĂ©ro pour se dĂ©tendre, on en avait besoin. On a beau ĂȘtre amies, c’était trĂšs intimidant. D’ailleurs, pour qu’on soit Ă  l’aise, on a dĂ©cidĂ© qu’on Ă©tait toutes Ă  poil, comme ça on Ă©tait Ă  Ă©galitĂ©. J’ai commencĂ© par photographier les pieds de l’une pendant qu’une autre tenait la lumiĂšre, puis je suis remontĂ©e petit Ă  petit et on a ensuite inversĂ© les rĂŽles. C’était une expĂ©rience trĂšs forte pour nous toutes et en regardant le corps des autres, on s’est rendu compte qu’on ne connaissait pas le nĂŽtre. Je ne me rendais pas compte de la diversitĂ© des sexes fĂ©minins. J’avais lu, vu des dessins et des photos, mais le vivre en vrai, ça a changĂ© beaucoup de choses, et ça a fait tomber des tabous.
Pourquoi avoir choisi de coller des photos de vulves sur des photos de voyage ?
Depuis le dĂ©but, je veux m’emparer du sujet de façon artistique. Je veux montrer qu’un sexe fĂ©minin, c’est beau. J’ai d’abord travaillĂ© les couleurs en prenant beaucoup de photos au nĂ©on avec mon appareil numĂ©rique. Une fois que j’ai obtenu les couleurs que je voulais, j’ai choisi des photos argentiques de mes voyages qui matchaient. L’idĂ©e c’est qu’on ne reconnaisse pas tout de suite le sexe fĂ©minin, ça crĂ©e un effet de surprise. Et puis, je crois que la couleur permet de prendre de la distance avec la prise de vue sans filtre, c’est une forme de pudeur.
Quelle est la rĂ©action des gens quand ils les voient ?
Justement, ils ne rĂ©alisent pas tout de suite. J’ai deux tirages qui sont affichĂ©s sur les murs de mon salon, et souvent on me dit “c’est sympa cette photo” , et quand j’explique ce que c’est, il y a toujours un moment de gĂȘne. Ça me confirme qu’un sexe fĂ©minin, c’est encore tabou, pour les femmes comme pour les hommes. C’est pour ça que j’aime particuliĂšrement le nom du projet Tabou.e . Je ne me rendais pas compte Ă  quel point ça l’était quand j’ai commencĂ©.
Oui, la premiĂšre fois, c’était Ă  l’occasion du 8 mars dernier. Le bar Saint-Sauveur, dans le 20Ăšme arrondissement de Paris, cherchait des projets artistiques fĂ©ministes et on leur a parlĂ© de mes premiĂšres photos. Ils m’ont donnĂ© la chance d’exposer mes neuf clichĂ©s, que j’ai exposĂ©s Ă  nouveau Ă  l’Espace Lamarck ensuite. Puis, cet Ă©tĂ©, j’ai Ă©tĂ© invitĂ©e Ă  participer au festival Garbicz en Pologne . Mais tout n’a pas Ă©tĂ© simple sur les rĂ©seaux sociaux, et notamment sur Instagram.
Que s’est-il passĂ© sur Instagram ?
J’ai voulu communiquer sur ces diffĂ©rentes expos et partager mes photos sur mon compte, qui est la vitrine de mon travail photographique. Je ne sais pas si j’ai Ă©tĂ© signalĂ©e ou si les robots ont fini par reconnaĂźtre les vulves, mais j’ai reçu un premier avertissement. Ça m’a Ă©nervĂ©e car mes photos n’ont rien de vulgaire ni de choquant, je fais un boulot Ă©ducatif. J’ai continuĂ© Ă  poster et Ă  partager des stories, jusqu’au jour oĂč mes posts ont Ă©tĂ© supprimĂ©s et mon compte bloquĂ©. J’ai dĂ» rester un mois sans rien pouvoir faire sur Instagram, ce qui est trĂšs handicapant pour quelqu’un qui, comme moi, se lance comme photographe. Et quand petit Ă  petit, j’ai rĂ©cupĂ©rĂ© mes accĂšs, j’ai rĂ©alisĂ© que plus personne ne voyait mes contenus, et que c’est encore le cas. Ce bannissement d’Instagram est au cƓur de ce que je veux montrer avec Tabou. e , ça don ne du sens Ă  ce que je fais mais ça m’attriste que le sexe fĂ©minin doive toujours ĂȘtre cachĂ©.
Le projet s’adresse-t-il aux femmes ou aux hommes ?
Il s’adresse Ă  tout le monde. Ni les femmes ni les hommes n’ont des raisons d’ĂȘtre gĂȘnĂ©s. Statistiquement, il y a des chances qu’on ait tou·te·s vu une ou plusieurs vulves dans notre vie. Ce qui est sĂ»r, c’est qu’on en sort tou·te·s, donc on peut se dĂ©tendre ! (Rires.)
Comment aimerais-tu que Tabou. e évolue ?
J’aimerais poursuivre mes prises de vue avec d’autres modĂšles, d’ailleurs s’il y a des volontaires qui me lisent, elles peuvent me contacter . Je n’exclus pas de photographier par la suite des femmes transgenres, et je voudrais aller plus loin en montrant des vulves qui ont Ă©tĂ© abĂźm Ă©es, que ce soit par un accouchement, des produits trop abrasifs, de la chirurgie esthĂ©tique ou une excision. Je ne m’interdis rien, je suis convaincue que l’art est politique et qu’il faut montrer le sexe des femmes. Personnellement, j’aurais aimĂ© avoir des images et avoir plus d’informations pour Ă©viter de commettre certaines erreurs. Si mon projet photo peut aider les femmes Ă  faire la paix avec leur corps, alors j’aurai l’impression d’avoir fait avancer les choses.
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