Remercié par deux déesses

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Remercié par deux déesses

Liste de déesse, dieu, héros ... pour I, J, K, L, M


Liste alphabétique des divinités, dieux, déesses,
héros, monstres, nymphes et autres mythes dont
le nom commence par I, J, K, L, ou M.

Ino, divinité bienfaisante de la mer

Jupiter, dieu du ciel et de la terre

Laïos, roi de Thèbes et père d'Oedipe

Laocoon, prêtre de la ville de Troie

Léto, déesse romaine des naissances

Marcyas, défia Apollon dans un concours

Médée, magicienne qui aida le héros Jason

Ménades, femmes escortes de Dionysos

Minautaure, monstre à tête de taureau

Minerve, déesse romaine de la guerre

Minos, roi qui fit construire le
labyrinthe












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Nouvelle transformation le Bénédicta

Coucou je suis Liona la mini-fée de Béatrice! C'est elle qui a créé le blog et elle m'en a donner la direction alors quand il y a un mesage je la prévien! Mais il faut dire aussi que on y est toutes. On travaillent toutes pour le blog et on espère que vous aprétiraient le blog et toutes les infos sur ce que on espère être les nouvelles aventures!

Coucou! J'ai remarqué que Liona se laisse aller en ce moment. Apparement elle a oubliée de vous dire de quoi Sifara et Simmara étaient Déesses. Bon, ce n'esr pas grave je vou le dis.


Notre Simmara est la déesse de Acora, la lune de l'eau. Et Sifara celle de Glacira, la lune des glaces.

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Les modèles aident à façonner une nouvelle identité et à sortir de la répétition. Pour mieux saisir le sens de vos expériences et reprendre confiance en vous, quinze dieux et déesses grecs hauts en couleurs soutiennent l’énergie qui vous est propre. Chaque divinité personnifie une quête, des qualités et des défis spécifiques à un type de personnalité. Vous approprier leurs histoires vous permet de portez un regard neuf sur vous-même et de vous sentir moins seul sur le chemin. Élargissez votre vision et envisagez des réponses inédites à vos questionnements intimes, en augmentant les possibilités, les ressources et la créativité.
Les huit dieux et sept déesses du MytheMe définissent une typologie originale de la personnalité. La présentation des quinze portraits commence avec le puissant Zeus et se termine avec la belle Aphrodite. Les trois pères (Zeus, Poseidon et Hadès) et cinq fils (Apollon, Hermès, Arès, Héphaïstos et Dionysos) composent l’énergie masculine. L’énergie féminine quant à elle se décline en trois déesses indépendantes (Artémis, Athéna et Hestia), trois déesses sensibles (Héra, Déméter et Perséphone) et une déesse alchimique (Aphrodite). Vous êtes à la fois masculin et féminin : lisez leurs portrait incisifs pour vous retrouver ou reconnaitre ceux qui cheminent avec vous.
L’histoire commence ainsi. Chronos avalaient ses enfants de peur de se faire renverser par son propre fils. Leur mère Rhéa décida de sauver le dernier, Zeus, en le remplaçant par une pierre recouverte de ses habits de bébé : Chronos dévora la pierre croyant ingurgiter son propre fils. Zeus fut ensuite caché dans une grotte et y grandi nourri par une nymphe-chèvre, Amalthée. Devenu adulte, il donna à Chronos une potion vomitive qui le fit régurgiter les frères et sœurs avalés : ainsi naquirent Poséidon, Hadès, Hestia, Déméter et Héra. Après de nombreuses batailles pour supplanter les Titans, Typhon et les Géants, Zeus sort vainqueur grâce à la ruse. Il forme avec ses deux frères une trinité : Zeus prend le royaume du ciel (le monde de l’esprit), Poséidon celui la mer (le monde des émotions) et Hadès celui de la terre ou les Enfers (le monde de l’inconscient). L’esprit, les émotions et l’inconscient sont les trois parties qui divisent la psyché de l’homme. Trônant au centre de l’Olympe, Zeus devient ainsi la troisième figure qui ordonne le monde né du chaos. A l’origine, avec Ouranos, le monde n’avait pas d’altérité et était indifférencié dans la toute-puissance de la mère Gaia ; avec Chronos, apparaît le principe de réalité et de différenciation, mais le père est dévorateur et enferme ; avec Zeus, la souveraineté se partage, mais l’esprit (la lumière) prédomine au détriment des émotions et de l’inconscient (l’ombre). Le nom Zeus signifie briller : il est celui qui illumine et domine. Son œil voit et connaît tout, comme celui de l’aigle, à la vision d’ensemble et la vue perçante. Zeus est dans son élément avec l’éther, le ciel et les phénomènes célestes. Il habite les sommets, en haut des montagnes et des gratte-ciels, fait la pluie et le beau temps, détient le pouvoir du feu et de la foudre avec laquelle il règne et punit. Son but est d’établir son royaume : pour cela, il utilise l’intelligence de la ruse (il a avalé sa première épouse, Métis, pour incorporer son intelligence et sa prudence), s’allie à la force des autres, utilisant les réseaux et rassemblant les hommes de pouvoir autour de lui. Il est le patriarche qui préside au maintien des lois et se pose en protecteur. Par le mariage et sa nombreuse progéniture, par la taille-même de sa maison, il consolide sa puissance. C’est que la paternité affirme sa virilité : ce père mentor place ainsi sur l’échiquier ses enfants, subordonnés, et établit une dynastie pour que sa volonté soit présente y compris après sa mort. Dallas, ton univers impitoyable… Son pouvoir se déploie sur tout ce qui porte un jupon : il prend de multiples formes pour charmer et tromper la vigilance de ses futures conquêtes, mais aussi pou détourner la jalousie vindicative de son épouse légitime Héra. Jusqu’à ce que le couple mythique se sépare, mettant à jour l’immaturité émotionnelle de Zeus, pour mieux se retrouver autour d’un rire réconciliateur.
Poséidon obtient le royaume de la mer, mais n’est pas content. Il est démangé par l’envie de pouvoir régner sur plus grand. Il s’oppose à Athéna pour gagner le cœur des Athéniens, mais son puits d’eau saumâtre ne sera pas aussi séduisant que l’olivier offert par sa rivale : de rage et désespoir, en mauvais perdant il inondera toutes les plaines environnantes et retirera aux Athéniennes le droit de vote. Poséidon vit sous la mer, qui peut être calme ou déchaînée : on ne sait jamais quand il va surgir sur son charriot tiré par de magnifiques chevaux de feu. La mer représente le monde des émotions, des instincts et du refoulé : c’est ce qui est réprimé chez les hommes qui veulent tout contrôler. L’eau, qu’on ne peut ni attraper, ni arrêter, symbolise les émotions qui colorent notre vécu et nous donnent des indications précieuses sur nos expériences. Encore faut-il les écouter. Plonger sous la mer, c’est pouvoir sonder ce monde effrayant et merveilleux, jusqu’à atteindre les eaux les plus troubles de l’inconscient. Poséidon connaît les turbulences, les tempêtes dévastatrices, les rires tonitruants et les cris qui terrorisent, ainsi que la rage et les sentiments puissants qui inondent la personnalité et noient la rationalité. Cette profondeur émotionnelle, chère aux artistes, écoutez comme elle résonne dans la 5e symphonie de Beethoven. Voilà une personnalité qui a besoin de vivre dans un environnement naturel, soumis aux cycles, pour élaborer sa météo personnelle. Quand une émotion est reconnue, tout s’apaise. Ainsi Poséidon était-il aussi honoré pour sa clémence et son aspect pacifique, capable de calmer la mer instantanément. Cet homme fort symbolise aussi la virilité capable de féconder tous les aspects de la femme : il aime sexuellement autant la jeune fille que la femme dans la fleur de l’âge ou mure. Surnommé le “mari de le terre”, en frappant celle-ci de son trident, il l’embrasse et la fait trembler pour exploiter ses ressources. C’est la vigueur de l’homme sauvage, instinctif comme le cheval et puissant comme le taureau, qui utilise la force pour séduire. Mais grâce au dauphin, sensible, attentionné et communicatif, il épouse celle qu’il avait violé, Amphitrite, et peut se transformer en roi fier, courageux et aimant.
On l’appelle l’Invisible car il ne sort qu’une seule fois de chez lui, pour enlever celle qui deviendra sa femme. Il est aussi surnommé le Riche , parce qu’il règne sur un royaume aux nombreux sujets : c’est dans le monde souterrain (les Enfers) que vivent les âmes. Ce royaume d’ombres, effrayant et craint, symbolise l’inconscient collectif : on y trouve tout ce qu’on pourrait imaginer et qui n’a jamais été, tous les possibles, les mémoires, le savoir intuitif et les archétypes, ces structures humaines universelles qui se réactivent et renaissent. Hadès se manifeste aussi par la dépression qui réactualise nos expériences refoulées et nous coupe de ce qui fait sens. C’est le spectre de la mort qui nous conduit dans les Enfers : la mort d’une relation, d’une façon d’être, d’un but, de l’espoir, ainsi que la perspective de la mort physique. La descente aux Enfers est ce que va expérimenter celle qui en deviendra la reine : Perséphone, la jeune fille de Déméter. Hadès l’a prise pour femme après l’avoir enlevée et violée sous l’œil consentant du père. L’histoire de ce fameux enlèvement, vous l’avez sans doute entendue. Perséphone cueillait des fleurs avec des amies et s’éloigna pour contempler un magnifique narcisse, sorte d’appât : au moment de le cueillir, la terre s’ouvrit devant elle et Hadès apparu sur son chariot conduit par des chevaux noirs. Il la saisit pendant qu’elle appelait à l’aide son père Zeus qui ignora ses cris. Puis le chariot retourna dans les enfers et la terre se referma comme si rien ne s’était passé. Hadès n’est plus jamais ressortit de sous terre : tel un reclus, il vit avec les ombres, là où peu de personnes s’aventurent. Plutôt en retrait, observateur et introverti, Hadès est souvent considéré comme un outsider, un marginal solitaire, étranger et perdu dans le monde productif, sans image sociale bien définie. Il valorise la subjectivité, les rêves, les sensations intimes, les richesses et les visions intérieures : cette perception intuitive fait de Hadès le bon conseiller pour les choix personnels. Plongez-vous dans l’univers de Fellini ou écoutez Celine lu par Fabrice Lucchini : un monde tout à la fois riche, source de connaissance et de créativité qui fertilise et nourrit la vie, et déroutant ou terrifiant pour l’esprit rationnel. En se familiarisant avec ce sombre royaume, originairement féminin et considéré comme la caverne sacrée de la renaissance, on peut découvrir les richesses cachés dans l’obscurité, la froideur et la sombre nuit de l’âme. C’est de là que nait la lumière.
Avec son physique d’éphèbe, ce kouros , dieu du soleil, brille comme son père, mais reste à sa place de second. Apollon, fils préféré de Zeus, possède les attributs qui apportent le succès, deux instruments à cordes : la lyre et l’arc. Il est un athlète élégamment musclé et un musicien performant qui réussit ses études et sa carrière. Excellent archer, comme sa sœur jumelle Artémis (déesse de la lune), il est sûr d’atteindre les objectifs qu’il se fixe : ceux-ci sont toujours visibles. Pour lui, c’est sûr : deux et deux font quatre. Il croit en la logique, valorise l’effort constant de la volonté, observe et agit avec distance et prudence. Pas d’excès : ici, tout n’est qu’ordre, pureté et harmonie. Une harmonie cosmique où musique et mathématiques se rejoignent, comme les notes pures d’un concerto de Bach élèvent l’esprit et emportent vers la vérité. Son mot d’ordre : apporter la forme et les lois pour organiser un monde de paix. Il est le législateur qui structure la communauté et les institutions, grâce notamment à l’autorité acquise sur l’oracle de Delphes : il seconde ainsi son père, avec ses dons de prophétie. Ce gendre idéal, sorti tout droit d’une grande université ou fraternity , pourvu des bonnes notes et de la bonne impression, au CV impeccable, deviendra un parfait corporate guy qui porte à merveille le costume trois pièces et apprécie le travail d’équipe. Réputé pour sa grande beauté, il est paradoxalement assez malheureux en amour : jugé souvent trop peu physique ou émotionnel, il est attiré par son contraire, des femmes passionnelles, imprévisibles et irrationnelles, qu’il essaie de contrôler. Il connaît l’isolement, mais sa distance émotionnelle lui permet de dégager de son expérience des leçons spirituelles. Ainsi, grâce à la musique et la danse, les hommes arrivent à supporter la misère de leur condition.
Voilà un petit malin. À peine né, Hermès sort de son berceau, joue avec une carapace de tortue, y coud des boyaux et invente la lyre. Puis, la faim se faisant sentir, il vole le troupeau de vaches de son frère Apollon, brouille les traces en faisant marcher les vaches à l’envers et en mettant des branchages sous ses pieds, cuit deux vaches et les mange, ensuite il cache soigneusement le troupeau. Enfin, il retourne à son berceau et se recouche, ni vu ni connu. Découvert par Apollon et Zeus, il finit par avouer son méfait. Pour le remercier, Zeus lui laisse le troupeau de vaches et Apollon reçoit la lyre en échange. Hermès incarne l’esprit inventif qui obtient tout ce qu’il veut par la ruse et qui charme par son discours. Dieu du vent, il file à l’anglaise et on le nomme protecteur des voyageurs, businessmen et voleurs. Toujours en mouvement, il passe d’un schéma, d’une idée, d’une personne à une autre. Il est celui qui transporte les mille idées qui émergent à la seconde, les croise et les fait voyager, par terre, air et mer. Avec Aphrodite, son amante, il aime refaire le monde. Pour lui, pas question de prendre le chemin le plus conventionnel : il essaie des raccourcis, défriche de nouveaux territoires, développe l’innovation et la créativité pour faire autrement. C’est le petit frère, moins talentueux que l’aîné, mais qui par la ruse se hisse au même niveau que les grands. Son business, c’est de communiquer et de fédérer : Hermès est le messager des dieux. Il agit partout à la fois en délivrant Perséphone, en sauvant Arès, en aidant à la naissance de Dionysos… Il guide les âmes dans les enfers, aide ceux qui cherchent leur chemin ou sauve les innocents et vulnérables, tel un Robin des Bois. À la fois good boy et bad boy , tout en profondeur et en légèreté, il fascine. Un homme charmant, difficile à capter, à l’aise partout, ne montrant que ce qu’il veut bien montrer et ne disant que ce qu’on veut entendre, il peut disparaître aussi vite qu’il est apparu. Il est l’amant qui s’échappe, un Peter Pan qui ne grandit pas, mais aussi le thérapeute qui soulage, l’innovateur qui réussit. Il est l’alchimiste qui peut réunir les opposés et transformer le sens de l’expérience en quête spirituelle.
Dieu de la guerre, Arès est l’image masculine de la puissance physique, de l’intensité et de l’action immédiate. Voilà un homme poussé par son cœur et ses instincts qui agit et réagit physiquement. Son sang ne fait qu’un seul tour à la moindre provocation. Arès est un homme guidé par les sensations et les muscles de son corps, qui agit avant de penser. On peut dire qu’il rebute l’intelligente et fine stratège Athéna. Quand il est blessé lors d’un bataille, les dieux se moquent de lui et Zeus le répudie parce qu’après tout, les bains de sang, il aime ça. Son côté irrationnel et impulsif, son esprit de querelle l’ont mis sur le banc de touche dans un monde régi par la rationalité. Souvent désigné comme bouc-émissaire, il dissimule pourtant un cœur et un courage exemplaire : il se jette dans la bataille sans avoir pris le temps de mesurer son ennemi. En bon protecteur, il veille sur sa famille, sa communauté et personne n’ose s’attaquer à lui. Avec son tuteur Priapus, Arès a appris la danse avant le combat : aujourd’hui encore, les grands joueurs de rugby comme les All Blacks , dansent et chantent avant chaque match. Certaines personnalités ont besoin de bouger pour penser… Voyez danser Baryshnikov : quand les émotions et le corps bougent ensemble, la grâce émane de lui. Une nature intense et sensuelle, vibrante comme la flamme, qui vit l’instant présent, sans préoccupations ni prises de tête. Arès croque dans la pomme avec plaisir et appétit : qu’on ne vienne pas l’embêter. Il aime boire et manger, se retrouver au bar avec ses potes , se dépenser physiquement et faire l’amour. Sa nature passionnée et physique, son intégrité émotionnelle font de lui l’amant préféré d’Aphrodite. Une vie de plaisirs simples lui convient parfaitement, si ce n’est cette étiquette de macho et bagarreur qui lui colle à la peau. Peut-être parce qu’enfant il a été sauvé de justesse par Hermès, après avoir été enfermé pendant treize mois dans une jarre par deux géants…
Dieu du feu souterrain, créateur de génie, blessé dans sa plus tendre enfance par sa propre mère Héra, il brûlera sa souffrance au fer chaud. On dit qu’Héra a fait Héphaïstos toute seule, par parthénogénèse, pour se venger de la naissance d’Athéna. Mais ce fils, né laid et boiteux, humilia Héra et elle le chassa de l’Olympe. On raconte aussi qu’Héphaïstos, assistant à une querelle entre Héra et Zeus, pris parti pour sa mère : Zeus, en colère, le jeta de l’Olympe avec une telle vigueur que le pauvre enfant mit plusieurs jours à tomber. Son handicap symbolise toutes les blessures archaïques : c’est le mal-aimé, capable de sentiments forts et intenses, hyper-sensible à tout ce qui le traverse, rejeté et dévalué socialement. Héphaïstos personnifie l’éclat de la flamme : né d’une petite étincelle, il se fortifie et se révèle en grandissant. Ce feu qui émerge des profondeurs de la terre, comme la lave d’un volcan, est intense et passionnel : il transforme le fer brut en objet d’art. C’est au creux d’un volcan que se trouve sa forge : lieu alchimique de transformation, il y créera les plus beaux objets, bijoux, palais, armes, machines ou créatures. Ainsi ses œuvres d’art et son génie créatif permettront à ce fils rejeté de réintégrer l’Olympe. Héphaïstos est le seul dieu à travailler : pour lui, le travail est une création qui donne un sens à sa vie. Seul dans sa grotte (l’équivalent de l’atelier, du studio ou du laboratoire), complètement absorbé et identifié à sa tâche, il répare inlassablement : grâce à son travail, il peut se refléter intact et en bon fonctionnement. Il est né laid et crée de la beauté, il est né boiteux et fait fonctionner ce qui était cassé. La belle Aphrodite, son épouse, l’a bie
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