Relation anale entre keums muscls

Relation anale entre keums muscls




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Relation anale entre keums muscls
(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
J'suis une vraie tepu, ou une bonne lopsa comme disent les rebeus. Eux, c'qu'ils kiffent, c'est une bonne bouche mouillĂ©e comme la mienne pour gicler tout c'qu'ils ont au chaud dans le fond de leur survĂȘt.

Je sais, c'est pas trĂšs sĂ©rieux. mais quand le p'tit bĂątard que tu suces te bloque la nuque et qu'il a sa teub fourrĂ©e au fond de ta gorge, tu peux pas te retirer quand il balance la purĂ©e, t'as plus qu'Ă  tout avaler. En fait, je me suis un peu calmĂ© depuis quelques annĂ©es, Ă  cause de c'te saloperie qui traĂźne, j'te fais pas un dessin. Mais avant, quand les rebeus Ă©taient pas encore des scarlas en costla, mais juste des keums bien auch prĂȘts Ă  dĂ©foncer le cul et la bouche des cĂ©frans comme moi, putain quel pied! J'ai Ă©tĂ© Ă©levĂ© au lait de rebeus, des litres et des litres, assez de sperme pour renouveler trois fois la population de la planĂšte en temps normal. Je kiffe grave les rebeus, ce sont les rois du monde. Quelques fois, j'en veux mĂȘme Ă  ma reum et mon daron de pas avoir des chromosomes du Maroc, de Tunisie ou d'AlgĂ©rie, et d'avoir fait de moi un p'tit blanc juste bon Ă  se faire niquer dans tous les sens.

La premiĂšre fois, j'avais 18 ans, dans un putain d'ascenseur en panne, ouais, tu penses «ce mec est mytho» mais tout est vrai, de la pure vĂ©ritĂ©, man! Donc c'Ă©tait dans un putain d'ascenseur, en plein Ă©tĂ©, chaleur Ă  crever. J'avais passĂ© mon temps Ă  mater les purs keums de mes rĂȘves en train de jouer au foot sur le terrain de la citĂ© d'Ă  cĂŽtĂ©. Kamel, Youssef, Farid, Sami, Kader et des dizaines de keums aussi bandants les uns que les autres.

Alors moi, ptit cĂ©fran de merde, j'suis lĂ , accrochĂ© Ă  un grillage Ă  mater. J'me prends le ballon, j'me fais insulter: «PĂ©dale! Casse-toi enculĂ©!» Et lĂ , plutĂŽt que de me barrer, je leur fais un doigt. Putain! La meute au cul, je dĂ©tale comme un lapin. Encore trois derriĂšre mes fesses, deux, puis plus qu'un. Une entrĂ©e d'immeuble, j'entre, trouve pas l'escalier. L'ascenseur est lĂ , portes ouvertes, prĂȘt Ă  partir. Et moi comme un con, j'entre dans la petite boĂźte. Je me retourne, il est lĂ , me pousse dans le piĂšge. Les portes se ferment. L'ascenseur grimpe, mais je m'en rends pas bien compte.

Le keum vient de me foutre son poing dans la gueule, je suis sonnĂ©. Le «monte charge» s'arrĂȘte d'un coup. Mon agresseur s'en branle, y me tape encore, m'attrape par le col et me regarde droit dans les yeux. «Putain! des ptites lopes comme toi, j'en ai niquĂ© des tas.» Il a 17 ou 18 ans, je le kiffe grave de chez grave. Je bande. Il s'approche encore et son survĂȘt est collĂ© Ă  ma braguette. Je transpire comme un ouf. Ascenseur bloquĂ©.

Le keum m'attrape la nuque et me pousse vers le bas, contre son survĂȘt qui a gonflĂ© en deux minutes. J'suis hypnotisĂ©, je pense plus qu'Ă  sa teub. J'suis Ă  genoux, il a sorti son zob et me tape sur les joues avec.

— Tu nous a fait un doigt, d'taleur, j'vais t'faire payer. Suce!

Elle est grosse. J'ouvre la bouche et il pousse sa teub au fond, elle glisse sur ma langue, cogne sur mon palet et entre entiĂšre. J'attrape ses boules, elles sont pleines, c'est sĂ»r. Je suis puceau, mais pour une premiĂšre, j'crois que j'me dĂ©merde pas trop mal. Il passe son t-shirt au-dessus de sa tĂȘte. Ses muscles sont tendus. Je le regarde dans les yeux, il m'traite de pute, Ă©crase ma tĂȘte sur lui et balance trois, quatre giclĂ©es au fond de moi. J'avale, sans rĂ©flĂ©chir. Moi aussi j'ai joui, sans rien faire, dans mon froc.

Pas le temps de reprendre mon souffle, il me retourne, baisse mon fute en me traitant de pĂ©dale et me fout Ă  quatre patte, comme une chienne. Putain d'ascenseur bloquĂ©. Il crache de la salive sur ma rondelle vierge. Je sens son zob contre mon trou. Il pousse d'un coup et me dĂ©fonce. Il se retire et replonge dans mes entrailles. Je gueule pas. De toute façon, il m'Ă©crase la gueule sur le sol crade. L'ascenseur redĂ©marre. Cinq secondes, dix secondes, quinze aller-retour dans mon cul et il jouit dans moi. Pas le temps de sentir son sperme dans mon rectum. Il se retire de mon cul et remonte son survĂȘt. Moi, comme une chienne en chaleur, je reste sur le sol de l'ascenseur.

Les portes s'ouvrent. 15Ăšme Ă©tage. Personne. Il me regarde. Se marre. Me balance un coup de pied dans les cĂŽtes et appuie sur le bouton «3Ăšme sous sol». La cabine descend. À chaque fois que je veux me rhabiller, il me tabasse et me traite de salope. 2Ăšme, 3Ăšme sous sol. Les portes s'ouvrent. Et lĂ , toute la bande attend devant l'ascenseur...



ArchivĂ© de: Lettres Gay – NumĂ©ro 112
Date de parution originale: Mai 2001

Date de publication/archivage: 2013-10-13

Auteur: Thierry
Titre: Pas d'Ăąge pour apprendre
Rubrique: Jeunes keums, max de tendresse
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant Ă©tĂ© publiĂ©s au fil des ans, Ă  titre d'archive, notre but premier Ă©tant que la littĂ©rature homo-Ă©rotique se prĂ©serve au fil du temps. Si vous ĂȘtes l'auteur de ce texte ou si vous dĂ©tenez des droits lĂ©gaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans dĂ©lais.
Ce texte a été lu 6403 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


J'avais vingt-deux ans Ă  cette Ă©poque. J’en ai aujourd’hui quarante-quatre... Jean Ă©tait le cĂ©libataire endurci du village oĂč je vais en vacances voir mes parents. Je l’avais toujours connu seul ou avec sa vieille mĂšre. Une casquette que soulevait une tignasse frisĂ©e poivre et sel, un pantalon de velours noir et large, des bretelles sur une chemise Ă©cossaise. Il Ă©tait couvreur et travaillait dans le village d’à cĂŽtĂ©. Personne Ă  part ses frĂšres, ses sƓurs et la vieille qui tenait son mĂ©nage, n’était entrĂ© chez lui. On ne lui connaissait aucune attache fĂ©minine; l’ours, mais l'ours bien lĂ©chĂ©. II en avait d’ailleurs l’allure et la dĂ©marche. Je devinais chez lui la peur des autres, et il devait bien ĂȘtre travaillĂ© par le sexe, car, par moments, ce qui ballottait dans le pantalon trop large, laissait Ă  penser que la nature ne l’avait pas oubliĂ©. Il n’avait jamais voulu du tĂ©lĂ©phone, et mes parents lui servaient de messagers pour les rares appels.

Un soir, je reçus aprĂšs dĂźner un message pour lui de son patron. Mes parents devant la tĂ©lĂ© refusant la promenade du soir, je me suis proposĂ© d’aller lui transmettre l’appel sur mon chemin. Il Ă©tait Ă  table, lisant le journal; il avait quittĂ© la chemise, et une toison Ă©paisse, bouclĂ©e, courait sur son torse et ses Ă©paules, moussait entre les larges bretelles.

Je lui transmis le message, et puis, moi qui n’étais dĂ©jĂ  plus puceau, j’ai osĂ© lui dire:

— Jean, tu te souviens Ă  l’école, j’étais petit, tu m’avais dit: “Moi qui suis grand, je te protĂ©gerai. Si un jour tu veux quelque chose de moi, demande!” Eh bien, je vais te demander quelque chose!

— Vas-y, je tiens toujours mes promesses.

— Je voudrais que tu me prennes sur tes genoux, comme Ă  cette Ă©poque...

Et je me suis assis sur ses genoux. Qu’il Ă©tait viril, mon Jean!

— Tu te souviens, une fois je suis tombĂ© du vĂ©lo et tu m’as consolĂ© comme ça...

Et j’ai passĂ© un bras autour de son cou, posant ma joue sur la poitrine velue. Puis, tu m’as embrassĂ©... et j’ai approchĂ© de ses lĂšvres, non ma joue, mais ma bouche qui se posa sur la sienne, sous l’épaisse moustache brune. Je ne risquais pas grand’chose. Je me doutais bien depuis quelques annĂ©es que mon Jean pouvait bien ĂȘtre comme moi; mais Ă  vivre ici, dans ce bled... Il ne bougeait pas, se demandant quoi, et moi j’avais toujours devinĂ© qu’il Ă©tait travaillĂ© par le sexe et qu’il n’avait jamais pu assouvir ses besoins et ses penchants. Ma bouche s’ouvrit et ma langue caressa ses lĂšvres. Petit Ă  petit, celles-ci s’écartĂšrent, puis enfin ses dents, et ma langue partit chercher la sienne. Elle la trouva, dure, Ă©paisse comme les muscles de ses bras qui, maintenant m’étreignirent. Nos langues se nouĂšrent, la salive passant abondamment d’une bouche Ă  l’autre. Ma main caressait sa nuque et ses Ă©paules velues. Et je sentis durcir contre moi, gonfler le pantalon de son pantalon. J’ai relĂąchĂ© mon Ă©treinte. Je me suis levĂ©, je l’ai pris par la main et je l’ai menĂ© vers le fond de la piĂšce, lĂ  oĂč Ă©tait le lit.

— Jean, tu veux que je te fasse l’amour? Moi, j’en ai vraiment envie! Tu es si beau...

Un sourire d’enfant plissa ses yeux, et la moustache frĂ©mit dans un sourire.

— Tu n’as pas dĂ» avoir souvent l’occasion.

— Non, tu sais, c’est la Veuve Poignet depuis toujours!

Je fis couler les bretelles, le pantalon tomba. Dieu, quel mĂąle! Les jambes un peu arquĂ©es mais des cuisses puissantes, des mollets durs et ronds, et cette pilositĂ© qui bouclait tout autour du slip gonflĂ©, renflĂ© sous une monstrueuse turgescence. Je me suis vite dĂ©shabillĂ©, collant mon corps nu contre cette fourrure de rĂȘve. Ma bouche retrouva la sienne, puis descendit, mes dents cherchĂšrent dans les poils des pectoraux, les tĂ©tins qu’elles mordillĂšrent et qui durcirent immĂ©diatement. Ma langue s’enfonça dans le nombril velu, puis j’ai sautĂ© le slip pour coller ma figure entre les deux cuisses musclĂ©es et velues. Quelle sensation que cette chair dure et chaude, ces poils qui me caressaient... Il avait appuyĂ© ses deux mains sur ma tĂȘte et haletait.

Mon visage remonta Ă  travers le tissu gonflĂ© du slip, mes dents happĂšrent un sexe dur, Ă©norme. Il me fallait enlever ce dernier rempart! Mes deux mains saisirent le slip, mais il dut m’aider car le caoutchouc ne laissait pas passer la verge. Il la comprima, j’ai baissĂ© le slip et j’ai poussĂ© Jean sur le lit. Je me suis roulĂ© sur lui, pressant entre nos ventres nos sexes en bataille. Nos bouches Ă©taient soudĂ©es, nouĂ©es. Je frottais mon sexe contre le sien et ma main partit Ă  la dĂ©couverte du trĂ©sor. Les couilles velues Ă©taient bandĂ©es, remontĂ©es Ă  la base de la verge; j’en avais une pleine main! Puis j’ai pris l’outil, comme le manche de son marteau de travail, long, Ă©norme, lĂ©gĂšrement aplati avec un gland qui faisait une grosse prune, un peu dĂ©calottĂ©. Je sentis une lĂ©gĂšre humiditĂ©. Je me suis collĂ© contre lui. Il me fallait activer ce bel engin. Je pris le gland dans ma bouche, ma langue contourna, lissa ce beau fruit mĂ»r, odorant. Je sentis le mĂ©at qui suintait lĂ©gĂšrement.

Et j’ai empalĂ© ma gorge sur l’instrument. Ma main gauche tentait d’en faire le tour et Ă©vitait qu’il ne m’étouffe, faisant tampon, car Jean rythmait mes succions et mes aller-venues avec ses Ă©normes battoirs autour de ma tĂȘte. Ma main droite fourrageait dans les pectoraux moussus Ă  la recherche des tĂ©tins, puis descendait entre les cuisses, massait les couilles et s’égarait en douces caresses vers l’anus. Il geignait. Sa tĂȘte allait et venait Ă  droite, Ă  gauche. Dans un grand frĂ©missement, il me lĂącha dans la bouche de grandes giclĂ©es de son liquide. J’en eus bien six ou sept jets qui dĂ©saltĂ©rĂšrent ma bouche en feu.

Avant qu’il ne retrouve ses esprits, il me fallait taire vite. J’ai lubrifiĂ© mon anus et me suis placĂ© Ă  cheval sur lui. Sa verge Ă©tait grosse de son trop-plein de semence.

J’ai pointĂ© le gland. Mon anus s’ouvrit, il me fallait forcer, serrer les dents pour que le gland franchisse le sphincter. AprĂšs, doucement, millimĂštre par millimĂštre, je me suis empalĂ©. Quand il fut tout en moi, tout Ă  moi, lorsque je sentis ses couilles heurter mes fesses, je me suis masturbĂ©. Il n’avait rien perdu de sa raideur. Sentir cette Ă©norme bite, qui n’avait jamais dĂ» combler beaucoup de trous, me remplir, me rendit fou, et je le lui ai dit avec tous les mots qui me vinrent Ă  l’esprit.

Dans un soupir, j’ai lĂąchĂ© sur mon Jean une pluie, un geyser de foutre; son ventre, sa poitrine en furent constellĂ©s et le liquide laiteux coula dans la fourrure. C’était fini! Je le sentis diminuer en moi et sa verge ressortit, encore Ă©norme mais molle, de mon anus. Je me suis penchĂ© sur lui, j’ai pris du bout de la langue mon sperme qui lui avait giclĂ© dans la moustache et je l’ai embrassĂ©. Nos semences se sont mĂȘlĂ©es dans nos bouches; nous avions communiĂ©, joint notre amour.

Je suis restĂ© inerte prĂšs de lui. Il m’a caressĂ© doucement la nuque, serrĂ© contre moi. Nous avons Ă©coutĂ© notre cƓur se calmer.

— Hein, petit gars, c’est ça! Tu l’aimais ton Jean! Je le savais bien, moi aussi! Comment as-tu su? Comment as-tu pu ne pas avoir peur?

— Tu m’a toujours aimĂ©, non, quand j’étais petit?

— Oui, mais je n’aurais pas cru que tu oserais, je le souhaitais pourtant. Et il ajouta: tu m’a appris l’amour, tu sais!

— Jean, veux-tu ĂȘtre mon maĂźtre, mon amant, mon ami?

Il ne répondit pas, mais sa main sur mon sexe et sa bouche qui chercha la mienne, en apporta la confirmation.

Jean est restĂ© mon mec pendant six ans sans que personne n’en sut rien. Puis il est mort. D’un cancer de la gorge.



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