Recrue militaire se fait discipliner par son commandant

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Recrue militaire se fait discipliner par son commandant

Paul Journet
LA PRESSE

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L'ex-brigadier général Daniel Ménard, ex-commandant des Forces canadiennes en Afghanistan, pourrait se retrouver en cour martiale, encore une fois.
«This is my rifle, this is my gun/This is for fighting, this is for fun», chantent en choeur les recrues de l'armée, une main sur leur fusil, l'autre sur leur entrejambe. La scène du film Full Metal Jacket de Stanley Kubrick illustre une division limpide dans la culture de l'armée: Éros et Thanatos doivent rester chacun de leur côté.
L'histoire du brigadier général Daniel Ménard, ex-commandant des Forces canadiennes en Afghanistan, l'a rappelé cette semaine.
On soupçonne le père de famille d'avoir entretenu une relation extraconjugale avec une militaire sous son commandement. On l'a relevé de ses fonctions et ramené au Canada. Il pourrait se retrouver en cour martiale, encore une fois.
Le mois dernier, l'officier avait été condamné à une amende de 3500$ pour négligence (il avait déchargé accidentellement son fusil d'assaut à deux reprises à la base de Kandahar).
«Que ce soit un adultère ne change rien. Ç'aurait été la même chose avec sa femme», explique Rémi Landry, lieutenant-colonel à la retraite.
Les relations sexuelles sont interdites aux militaires en fonction, tout comme les gestes d'affection. «Par exemple, un couple de soldats peut prendre un café ensemble au Tim Hortons de la base de Kandahar. Mais ils ne pourraient pas se tenir la main», indique Terry Liston, général à la retraite.
De tels gestes sont même interdits en privé. C'est ce que stipulent les «directives sur les relations personnelles et la fraternisation». Malgré nos nombreux appels, hier, aucun porte-parole des Forces canadiennes n'était en mesure de répondre à nos questions.
Quant aux quatre anciens militaires que nous avons consultés, ils estiment tous que le règlement est justifié. «La discipline, c'est le ciment de l'armée. Et de telles relations mettent en péril la discipline», affirme Me Michel Drapeau, colonel à la retraite.
Il explique que si un militaire entretient des relations amoureuses avec une autre personne sous son commandement, cela pourrait fausser son jugement. Par exemple, le supérieur pourrait hésiter à envoyer le subalterne dans une mission dangereuse. Ou du moins, d'autres pourraient penser que le commandant affiche un tel préjugé favorable. Son leadership serait miné. La subjectivité importe ici autant que l'apparence de subjectivité.
Les couples de militaires - environ 6000 au pays - ne sont habituellement pas déployés ensemble en mission, ou du moins pas dans la même unité. Pratiquement tous les militaires sont séparés de leur conjoint. Il serait difficile pour leur moral de voir d'autres soldats folâtrer avec les quelques femmes présentes. La discipline et le leadership motivent aussi l'interdiction des amitiés trop serrées entre militaires de différents grades. Par exemple, les officiers et les sous-officiers ne fréquentent pas les mêmes mess.
Peut-on combattre ainsi la nature humaine? «C'est pour cela que les soldats en mission reçoivent des vacances aux trois mois, où ils sont libres», répond Rémi Landry.
«Nos troupes comptent beaucoup de jeunes hommes et femmes dans la vingtaine en excellente condition physique, observe Alain Pellerin, directeur général de la Conférence des associations de la défense. Évidemment, il peut y avoir des dérapages. Mais cela demeure l'exception, je pense.»
Lorsqu'il dirigeait les forces alliées pendant la Seconde Guerre mondiale, le général Dwight Eisenhower a entretenu une relation avec sa chauffeuse. Mais l'adultère du futur président américain est resté secret. Avec la montée des femmes dans l'armée, la possibilité de telles relations a augmenté. «À cause de cette nouvelle réalité, l'armée a instauré sa première politique sur le sujet en 1988. Elle l'a révisée en 1994, puis une autre fois vers 2004», rappelle Rémi Landry.
Depuis les scandales en Bosnie et en Somalie et les ajustements réglementaires des Forces, Alain Pellerin estime que les militaires sont plus disciplinés.
Michel Drapeau salue cette discipline et ces règlements. Mais il déplore son application trop «rigide». «La vie n'est pas en noir et blanc, il faut des zones de gris dans l'application. Dans le cas du brigadier général Ménard, on ne lui a pas laissé la chance de se défendre avant de révéler les soupçons (non prouvés) sur la place publique.»

(Halifax) La commissaire de la GRC, Brenda Lucki, s’est excusée mercredi pour l’incapacité du corps policier à répondre aux attentes du public lors de la tuerie de masse de 2020 en Nouvelle-Écosse, affirmant qu’elle espère que la confiance reviendra avec le temps.


(Ottawa) Le Conseil du trésor fédéral dit ne pas avoir l’intention d’élargir ses primes au bilinguisme aux fonctionnaires qui parlent une langue officielle et une langue autochtone. Les primes demeurent donc réservées aux employés parlant français et anglais.


(Halifax) Les premiers policiers qui ont été appelés à intervenir lors de la fusillade de masse d’avril 2020 en Nouvelle-Écosse ont fait tout ce qu’ils pouvaient, selon l’ancienne commandante de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) dans la province, mais les opérations ne se sont pas déroulées rondement, a avoué Lee Bergerman lundi.


(Washington) Des élus et des représentants américains du milieu des affaires augmentent la pression sur le gouvernement Trudeau pour réduire les retards de voyage entre les États-Unis et le Canada.


(Ottawa) Le Canada, qui comptait 38,2 millions d’habitants en 2021, devrait en enregistrer 56,5 millions en 2068, et le nombre de personnes âgées de 85 ans et plus pourrait être multiplié par trois.


Des Canadiens qui se sont portés volontaires pour combattre les forces russes en Ukraine disent avoir posé des mines antipersonnel dans l’est du pays, sous l’autorité de l’armée ukrainienne. Un geste qui constitue une violation de la Convention d’Ottawa, adoptée en 1997 par 164 pays.


(Vancouver) Des délégués de la Première Nation Nisga’a se rendront la semaine prochaine en Écosse pour discuter de la possibilité de récupérer un totem qui lui aurait été volé il y a près d’un siècle.


(Ottawa) La Cour suprême du Canada aura sa première juge autochtone. Le premier ministre Justin Trudeau a proposé la nomination de Michelle O’Bonsawin, qui est aussi « parfaitement bilingue ».


Une « honte internationale », des « voyageurs traités comme des rats de laboratoire »… Les partis de l’opposition n’ont pas été tendres envers le ministre fédéral des Transports, Omar Alghabra, lors de son témoignage devant le comité parlementaire sur le chaos dans les aéroports. Il a soutenu à plusieurs reprises que la situation s’améliorait.


(Pékin) Un magnat canadien d’origine chinoise a été condamné vendredi à 13 ans de prison pour une série d’infractions financières et sa société a été condamnée à une amende de 8,1 milliards, a annoncé un tribunal chinois.


(Ottawa) À compter de vendredi, les particuliers et les entreprises ne peuvent plus importer d’armes de poing à autorisation restreinte au Canada, à quelques exceptions près.


(Ottawa) Le gouvernement Trudeau écarte finalement l’option d’accorder une exemption « générale » à l’exigence de bilinguisme à ses employés qui parlent une langue autochtone, mais qui ne maîtrisent pas l’anglais ou le français, et laisse entendre que cela pourrait se faire au cas par cas.


(Ottawa) Un groupe installé à Ottawa, soupçonné d’avoir des liens avec le soi-disant « convoi de la liberté », affirme avoir été menacé d’expulsion et est prêt à porter sa cause devant les tribunaux pour tenter d’établir son siège social dans la capitale du pays.


(Ottawa) Le comité parlementaire sur la sécurité nationale enquêtera aussi sur le cadre qui permet l’emploi d’un logiciel espion par la Gendarmerie royale du Canada (GRC) ainsi que d’autres organismes de renseignement et de sécurité.


(Ottawa) Le poids du français continue de reculer au Québec et dans l’ensemble du pays tandis qu’un nombre croissant de Canadiens parlent une autre langue que le français ou l’anglais à la maison, selon les données du recensement de Statistique Canada publiées mercredi. Cette tendance inquiète Québec et préoccupe Ottawa.


(Ottawa) Farouchement opposés aux mesures sanitaires imposées durant la pandémie de COVID-19, des membres du « convoi de la liberté » ont déployé des efforts importants afin d’obtenir le nom et le numéro de matricule des agents de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) qui ont mis fin au blocus sur le pont Ambassador, en février.

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Non, le bizutage n’enseigne pas la discipline. En fait, il fait le contraire

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Le camp d’entraînement du corps des Marines est réputé pour transformer les jeunes hommes et femmes de civils en Marines. Il est à juste titre connu comme la formation des recrues la plus rigoureuse de l’armée américaine, mais pour certains instructeurs de drill, ce n’était tout simplement pas assez dur.
Le Washington Post a récemment obtenu des documents détaillant des incidents dans lesquels plus de 20 Marines ont été disciplinés pour mauvaise conduite juste au MCRD San Diego, l’un des deux dépôts de recrues, depuis 2017. Cette année est pertinente, car la formation des recrues marines était censée être réinitialisée après le décès par suicide en 2016 du soldat Raheel Siddiqui, qui s’est suicidé après avoir été vicieusement bizuté, ce qui incluait des insultes raciales et ethniques et le fait d’être mis dans un séchoir à linge industriel.
Les incidents nouvellement découverts comprennent des instructeurs de drill agressant des recrues, ainsi que des mesures plus inventives, telles que l’utilisation d’un pistolet à agrafes sur une recrue ou l’ordre de manger une pomme de pin. Un rapide coup d’œil à la section des commentaires du Post et d’autres sites couvrant la controverse montre que de nombreux vétérans pensent que ce genre de choses est acceptable, voire même une bonne chose. Que ce soit en ligne ou en personne, ces déclarations sont souvent accompagnées d’histoires apocryphes sur un événement horrible qui s’est produit pendant l’expérience du camp d’entraînement de cette personne.
Peut-être que les histoires sont vraies. Peut-être qu’elles ne le sont pas. Si elles le sont, cela illustre deux ou trois choses. Premièrement, tout comme les enfants maltraités, les personnes maltraitées dans l’armée sont plus susceptibles d’abuser elles-mêmes des autres lorsqu’elles en ont l’occasion. Deuxièmement, tout le monde pense que la génération qui suit la leur est en quelque sorte inférieure à la leur, quelles que soient les preuves du contraire. Pour cette raison, ils ont besoin d’être fouettés en forme tout comme, ou plus, que les générations précédentes.
Peut-être vaut-il la peine de décomposer quels sont les objectifs de l’entraînement militaire en général, et de l’entraînement des recrues en particulier. Les services ont des degrés variables de langage fleuri pour leurs énoncés de mission de formation des recrues. Celui de la Marine est très concret, avec une description concise des objectifs de la formation : « …transformer les civils en marins intelligemment disciplinés, physiquement aptes, fondamentalement formés… ».
« Fondamentalement formés », enseigner un ensemble particulier de connaissances aux recrues. Cela se fait dans des salles de classe et par la pratique. « En forme physiquement », ou être capable de courir, marcher, soulever des choses, etc. Cela se fait par des programmes de conditionnement. Aucun de ces objectifs n’est favorisé par la violence physique. Jamais une seule fois dans l’histoire de l’instruction, se faire frapper n’a aidé quelqu’un à apprendre plus vite.
« Mais ça les incitera à apprendre ! » Ce qui nous amène à la discipline, la pratique de la maîtrise de soi et l’obéissance aux ordres. Le bizutage représente le contraire. Dans un pourcentage important des cas, il est le produit d’un manque de maîtrise de soi et de paresse. L’humeur ou la cruauté sous-jacente du bizuteur prend le dessus et il reporte cette perte de maîtrise de soi sur une personne placée sous son autorité. Ou bien le bizuteur sait qu’il existe un grand nombre de méthodes sanctionnées pour apporter des corrections, de l’instruction militaire supplémentaire à l’action disciplinaire formelle, mais de telles choses prennent réellement du temps et des efforts.
L’autre partie de la discipline est l’obéissance aux ordres. Considérant que chaque service a une myriade d’ordres et de règlements interdisant le bizutage, il est assez étrange de briser les ordres pour essayer d’enseigner à un subordonné comment suivre les ordres, n’est-ce pas ? Êtes-vous en train de dire, par exemple, que vous en savez plus sur la formation des Marines que le Commandant ou le Sergent Major du Corps des Marines ? Soutenez-vous que lorsque le Commandant a donné tous ces ordres, il faisait un clin d’œil sur le moment et ne le pensait pas vraiment ?
Les services donnent à leurs chefs, depuis la formation des recrues, d’innombrables outils pour améliorer les performances et corriger les erreurs et les fautes. Si vous n’avez pas le temps ou les ressources pour les utiliser correctement, alors c’est quelque chose que vous devez faire remonter dans votre chaîne de commandement, pas sur vos subordonnés.
Pourrait-il y avoir plus d’outils dans la boîte à outils des leaders ? Probablement. Le corps des Marines a expérimenté le retour de l’unité de garde correctionnelle, dans laquelle les délinquants de bas grade passent trente jours dans un environnement de travail dur et d’entraînement rigoureux, mais qui est étroitement contrôlé et réglementé.
L’entraînement pourrait-il être plus exigeant ? Bien sûr. Faites réviser ce syllabus ou ce manuel d’entraînement et de préparation pour ajouter un entraînement plus important et plus dur, alors. Vous n’avez pas le droit de donner des coups à vos subordonnés pour les humilier juste parce que les supérieurs n’ont pas accordé assez de temps pour les former.
Mais si votre méthode pour faire respecter la discipline est elle-même une rupture de la discipline, c’est vous qui avez le problème, pas votre subordonné.
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