Reçoit afin de donner

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Savez-vous vraiment donner… et recevoir ?




Savez-vous vraiment donner… et recevoir ?







Thierry Paulmier est l'inventeur du modèle "Homo emoticus". Il enseigne l’intelligence émotionnelle à l’ENA et à l’EDHEC Business School, ainsi qu’à l’Institut de formation de coaching professionnel, ELTY, à Genève et à Bordeaux. Il est également conférencier, consultant et formateur en entreprise auprès de managers et de dirigeants d’entreprise.
Il donnera une conférence sur ce nouveau modèle d'intelligence émotionnelle le 6 juin 2019, à 19h30, 11 bis rue Scribe 75009 Paris. Plus d'informations sur eventbrite .  


On en parle sur le forum de Psychologies




“donner, recevoir”




“Donner... recevoir...”




“donner recevoir”




“donner c'est recevoir”




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Mis à jour le 22 décembre 2020 à 14:44


Faire un don est plus difficile qu’on ne croit, car le don a des effets ambivalents sur le plan émotionnel et peut ainsi susciter l’amour ou la haine. Il n’est pas anodin que le mot « gift » qui désigne le « don » ou le « cadeau » en anglais signifie le « poison » en allemand et dans les langues scandinaves. Savoir donner s’apprend et se cultive tout au long de la vie. Voici comment réinterroger notre manière de donner et de recevoir.

On apprend à donner par les dons que l’on reçoit et par la manière dont on a appris à les recevoir. Autrement dit, on apprend à donner à l’exemple de la générosité des autres envers nous tandis que le désir de donner grandit à l’aune de la gratitude que l’on cultive envers eux. L’un des principaux soucis des parents envers leurs enfants est de leur apprendre à dire « merci » ; à chaque fois que l’un d’eux reçoit un cadeau – un bonbon, une image, quoi que ce soit –, si l’enfant reste muet, les parents ne manquent pas de dire : « Qu’est-ce qu’on dit ? Dis merci à la dame, dis merci au monsieur ».

Si l’on n’a pas appris à recevoir, c’est-à-dire à ressentir de la gratitude envers son donateur, on ne désirera pas donner, ou uniquement par intérêt ou par calcul, ce qui, évidemment, n’est pas donner mais s’adonner au « donnant-donnant ».

Le don se définit par quatre caractéristiques sans lesquelles il ne peut exister.

La première caractéristique d’un don est d’être un bien, c’est-à-dire quelque chose qui fait plaisir, qui est agréable, qui nourrit ou enrichit et qui procure des émotions positives. Une gifle ou un coup de poing ne sont pas des dons car ce ne sont pas des biens.

La deuxième caractéristique d’un don est d’être reçu de quelqu’un, c’est-à-dire d’être offert par un donateur. Un livre découvert sur un banc n’est pas un don, mais un objet trouvé, à moins d’imaginer que « quelqu’un » l’a déposé là pour nous – Dieu ou l’univers. Le don s’inscrit toujours dans une relation interpersonnelle : il institue un lien entre le donateur et le donataire. Un don anonyme ressemble à un oxymore car il prive de la possibilité de créer une relation et une affection entre le donateur et le donataire : un attachement réciproque.

La troisième caractéristique d’un don est d’être gratuit, c’est-à-dire qu’il est donné par quelqu’un sans exiger de contrepartie. Un inconnu qui nous tient la porte nous fait un don car il n’exige rien en échange et n’a pas d’arrière-pensées.

La quatrième caractéristique d’un don est d’être offert avec délicatesse par le donateur. C’est sans doute la caractéristique la plus négligée car on a tendance à se focaliser sur la matérialité du don, sa partie la plus objective (l’argent, le présent, le service rendu… et l’absence de contrepartie requise). Pourtant, le donataire accorde autant d’importance au don qu’à l’attitude du donateur lorsqu’il donne, car celle-ci détermine son interprétation du bien offert gratuitement, son ressenti à son sujet et, finalement, s’il le reçoit comme un don ou pas. La position du donateur étant une position de supériorité vis-à-vis du donataire – puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit –, il convient que le donateur soit particulièrement délicat dans sa manière de donner afin que le donataire ne se sente ni rabaissé, ni offensé, ni humilié par le bien reçu gratuitement ; dans le cas contraire, il le concevra non comme un don mais comme une avanie. Subjectivement, la manière de donner entre donc dans la définition du don ; elle couronne le bien offert gratuitement ; elle achève d’en faire un don. La délicatesse peut même parfois être vue par le donataire comme un don en soi qui s’ajoute au bien offert gratuitement. Dans Le nom de Dieu est miséricorde (Robert Laffont) , le pape François raconte une anecdote qui remonte à l’époque où il était archevêque de Buenos Aires : une jeune femme qu’il accompagnait spirituellement et à qui il donnait aussi des produits alimentaires pour faire vivre ses enfants tint à le voir pour le remercier. Il pensa qu’elle souhaitait le remercier pour la nourriture. Elle lui répondit : « Ça aussi mais je tenais à vous remercier de m’avoir appelée « Madame » [1]. Cette femme fut particulièrement touchée de cette marque d’égard parce qu’elle se prostituait de temps à autre pour faire vivre ses enfants, ce que l’archevêque de Buenos Aires n’ignorait évidemment pas. La délicatesse révèle la douceur du donateur et, si ce n’est l’amour qu’il porte au donataire, du moins que le don vient du cœur.

Un don est donc un bien offert gratuitement et délicatement. Ces quatre conditions sont nécessaires pour que le donataire puisse ressentir de la gratitude, ou tout du moins, une gratitude pleine et entière, sans réserve.

Trois conditions amplifient la valeur du don aux yeux du donataire et accroissent la gratitude envers le donateur. On pourrait les appeler « les coefficients multiplicateurs de la gratitude ».

Le degré de sacrifice consenti par le donateur. Plus le don réclame un sacrifice de la part du donateur, plus il suscitera de la gratitude de la part du donataire. A l’inverse, plus le don semble n’avoir rien coûté au donateur, moins il génèrera de gratitude de la part du donataire. Ainsi, par exemple, si un ami nous offre un objet qui lui a été donné ou qu’il possède en double, la gratitude est modérée, alors que s’il se prive de cet objet pour nous en faire cadeau, le gratitude est accrue. Si le don ne coûte rien au donateur, ne lui occasionne aucun sacrifice, la gratitude diminue fortement et peut même devenir quasiment nulle. Toutefois, le degré de sacrifice consenti par le donateur n’est pas toujours visible ou connu du donataire ; il peut donc ne pas agir sur son niveau de gratitude.

Le degré d’intimité avec le donateur. Pour un même don, la gratitude à l’égard d’un inconnu sera plus grande qu’à l’égard d’un intime car le don paraît plus gratuit puisqu’il n’est commandé ni par des sentiments ni par l’intérêt.

Le degré de besoin du donataire. Pour un même don, la gratitude à l’égard du donateur sera plus grande si le donataire est dans le besoin. Le degré de besoin du donataire dépend de l’importance et de l’urgence pour lui de disposer de ce bien. Autrement dit, plus le donataire est dans le dénuement ou dans la détresse et plus il aura de la gratitude envers son bienfaiteur.

Un don reçu d’un inconnu lorsque l’on est dans le besoin et qui exige de sa part un sacrifice suscite donc en nous la plus grande gratitude. La Chanson pour l’Auvergnat de George Brassens exprime cette gratitude infinie que l’on ressent pour les petits dons offerts par des inconnus dans les moments d’infortune :


Elle est à toi cette chanson
Toi l'Auvergnat qui sans façon
M'a donné quatre bouts de bois
Quand dans ma vie il faisait froid
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
M'avaient fermé la porte au nez
Ce n'était rien qu'un feu de bois
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
À la manière d'un feu de joie
Toi l'Auvergnat quand tu mourras
Quand le croque-mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel Au père éternel


Elle est à toi cette chanson
Toi l'hôtesse qui sans façon
M'a donné quatre bouts de pain
Quand dans ma vie il faisait faim
Toi qui m'ouvris ta huche quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
S'amusaient à me voir jeûner
Ce n'était rien qu'un peu de pain
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
À la manière d'un grand festin
Toi l'hôtesse quand tu mourras
Quand le croque-mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel Au père éternel


Elle est à toi cette chanson
Toi l'étranger qui sans façon
D'un air malheureux m'a souri
Lorsque les gendarmes m'ont pris
Toi qui n'as pas applaudi quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
Riaient de me voir emmené
Ce n'était rien qu'un peu de miel
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
À la manière d'un grand soleil
Toi l'étranger quand tu mourras
Quand le croque-mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel Au père éternel

Le don a parfois un goût amer parce que le donateur ou le donataire lui portent atteinte en l’offensant.           

Le donateur peut porter offense au don de quatre manières : refuser de donner, ne pas donner assez, donner à contretemps ou mal donner. La première offense est la plus grave car elle correspond au refus d’être donateur. Les trois autres correspondent à un donateur déficient : un donateur partiel, tardif ou maladroit. Ne pas donner assez ou avec retard (par exemple avec hésitation, ne serait-ce parfois qu’une seconde !) peut être perçu par le donataire comme un signe de mesquinerie, d’avarice, d’indifférence ou de cruauté. Mal donner signifie donner avec rudesse ou manque de tact, soit intentionnellement, soit par maladresse. Dans les trois cas, le don peut être compromis car l’offense au don provoque une blessure, un affront ou une humiliation chez le donataire ; une amertume se mêle à la saveur du don chez le donataire car le don ne lui semble pas venir totalement du cœur.

Le donataire peut porter offense au don de quatre manières : refuser de témoigner sa gratitude au donateur, ne pas assez la témoigner, la témoigner à contretemps ou mal la témoigner. La première offense est la plus grave car elle consiste à nier le don reçu, à refuser de se reconnaître donataire. Les trois dernières offenses correspondent à un donataire déficient : donataire partiel, tardif ou maladroit. Ne pas remercier suffisamment ou avec retard peut être perçu comme un signe d’ingratitude et un manque de respect. Mal remercier signifie remercier avec rudesse, soit intentionnellement, soit par maladresse. Dans les trois cas, le donateur a l’impression que son don n’a pas été reconnu à sa juste valeur, au point d’en ressentir une blessure ou d’en subir un camouflet, voire une humiliation. La saveur du don est amère du côté du donateur car le cœur du donataire ne semble pas avoir été touché.

Le don est un phénomène qui active l’émotion de la gratitude, laquelle s’achève dans la joie, tant chez le donataire que chez le donateur.

On sait que l’on a reçu un don lorsque l’on ressent de la gratitude et de la joie. Si l’on ne ressent ni l’une ni l’autre, c’est qu’on n’a pas ressenti l’objet offert comme un don. Cela peut être dû au don lui-même (ce n’est pas un bien pour nous), au donateur (son intention ne nous paraît pas désintéressée et donc son don n’est qu’un « donnant-donnant » différé) ou à la ma
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