Rapprochement entre femmes avec masturbation divine

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Rapprochement entre femmes avec masturbation divine
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1) Comment ce dossier Chalom Bait est construit

Après avoir assisté à la formation en 6 mois de la 1ère promotion de l’étude de ce livre, j’ai organisé plusieurs groupes et effectué la 1ère traduction en français (non corrigée) en 2005. 10 ans plus tard, est sorti la traduction par le Rav Itshak Attali aux éditions Beth Abraham.
Si ce livre a été en son temps une véritable révolution dans la préparation au mariage, il lui manquait selon moi l’approche thérapeutique, c’est à dire le regard du conseiller conjugal. En effet, les rabanim qui ont écrit ce livre (il s’agit d’un VAD de Bné Brack) ont pu rassembler et expliquer les sources de la littérature juive qui traitent du domaine de l’harmonie et de la sexualité dans le couple, mais ne peuvent rapporter l’expérience de la thérapie de couple. (La partie psychologie sera écrite en violet)
2 ) Le Ohel Ra’hel: introduction, début du Sefer
Ce livre discute de la Mitsva de Onah mais traite aussi tous les aspects de la vie du couple, puisque les deux s’influencent mutuellement. Ainsi tout en parlant de la relation sexuelle, ce livre explique comment se rapprocher de la forme idéale du mariage. La Thora a désigné la relation sexuelle, Mitsva de Onah (MdO), comme moyen pour l’homme et la femme de parvenir à une relation empreinte de joie, d’union solide, et de la certitude que la Che’hina réside entre eux. L’intimité conjugale est le fondement du mariage.
Commentaire : le terme Mitsva de Onah est problématique du fait qu’elle fait référence à une mitsva, qui se traduit traditionnellement pas « obligation religieuse ». Or, le Ohel Rahel lui-même explique dans un des chapitres qu’il est impossible de faire d’une rencontre entre époux une obligation. Et que cela ne doit surtout pas être considéré comme une mitsva. Plus encore, le rapport est interdit s’il est effectué dans cet état d’esprit.
De la même façon que la Mitsva Onah influence l’amour que se porte le couple l’un pour l’autre, de même l’amour qu’ils se portent va avoir des répercutions sur leur sexualité.
Ainsi le dit Rabénou Yona: « une femme devra faire particulièrement attention à ce qu’il y ait une ambiance de paix entre elle et son mari « . C’est cela qui la fera aimée de lui, et avoir des conséquences favorables sur les enfants [du fait que ceux-ci pourront se construire sur des bases solides, et parce que ce comportement du couple permet à la paix de se déverser sur leur foyer].
Par contre, disent nos sages: « les enfants de la dispute et de la haine pourraient devenir des effrontés, des rebelles et transgresser les Mitsvot « . En d’autres termes, la Mitsva de Onah ne peut atteindre son but que dans une atmosphère d’amour et de volonté mutuelle de se faire du bien.
Au cours de mes consultations dans les milieux religieux, j’ai pu constater combien l’enseignement de ce passouk est problématique. J’ai souvent eu des couples habités par une telle crainte de concevoir des enfants rebelles qu’ils ne parvenaient plus à être spontanés dans l’intimité. La peur de la faute envahissant l’espace de leur rencontre sexuelle, ils préféraient s’abstenir plutôt que de mal faire.
Un second trouble du comportement qui s’est développé à partir de ce passouk est la culpabilité développée par les parents dont les enfants rejettent le judaïsme . A tel point qu’au lieu de se poser des questions sur la souffrance de leur enfant et comprendre pourquoi il se rebelle, ces parents s’interroge sur la qualité de leur union au moment ou ils ont conçu cet enfant. Pour ma part, je n’enseigne plus ces sources si je ne suis pas certaine de la santé affective et psychologique de mes étudiants.
Ceci explique pourquoi le Rambam inclue les lois de la Mitsva de Onah dans le même chapitre que les lois sur le Chalom Baït, concluant que c’est ainsi [en s’investissant dans la construction d’un climat chaleureux et gai et bienveillant] que se comportent les Bneï Israël. Ils sont alors « purs et saints », et leur foyer sera « plaisant et digne de louange ».
L’amour intense qui se développe au moment de la Mitsva de Onah est de courte durée et ne peut pas s’alimenter toute seule. Pour autant qu’elle est vitale pour le couple, la Mitsva de Onah, seule, ne suffit pas à développer une relation constante de chalom, d’amitié et d’union forte dans le couple. Cette partie-là de la relation est nécessaire car elle crée un sentiment d’estime réciproque dans le couple et chacun ressent qu’il peut se réaliser.
Pour développer l’amour, il faut une attitude appropriée et améliorer certains traits de caractère . Comme être capable chaque jour de s’entendre et de se sentir concerné et touché par tout ce que l’autre vit. En développant l’empathie et la conviction qu’ils ont besoin l’un de l’autre tout au long de leur vie.
Pour autant, ces belles qualités et intentions ne suffisent encore pas à rendre un couple solide. Non, il faut quelque chose de plus… mais quoi?
Pour répondre à cette question, le Rachba explique: « c’est afin de construire une relation forte et solide, que Adam et ‘Hava ont été crées [dans un premier temps. Ensuite ils formeront 2 corps distincts] sous la forme d’une seule créature. ‘Hava ayant été créée à partir du corps de Adam, elle devint comme un de ses organes : une partie de lui. De ce fait, elle s’inquiète de lui, et lui se soucie de son bien-être « !
Or, une relation où l’autre est une partie de soi, est une relation qui fait désirer le meilleur pour l’autre. [Ce qui est bon pour l’autre, l’est aussi pour soi].
Mais on ne peut atteindre ce sentiment-là [de faire partie d’un tout], par la seule volonté ou qualités de cœur et de caractère. Il fallait introduire ce sentiment de façon essentielle, intime, structurelle; c’est pour cela que Dieu crée Adam et ‘Hava « un », avant de les séparer lors de la création de Adam.
Depuis, c’est en s’unissant au moment de la Onah que le couple ressemble au couple originel et qu’ils font partie d’un seul corps… Comme le dit la Thora Béréchit 2,24 « C’est pourquoi l’homme abandonne son père et sa mère; il s’unit à sa femme, et ils deviennent une seule chaire « . C’est cela l’union de la Onah: « devenir un ».
כד  עַל-כֵּן יַעֲזָב-אִישׁ, אֶת-אָבִיו, וְאֶת-אִמּוֹ; וְדָבַק בְּאִשְׁתּוֹ, וְהָיוּ לְבָשָׂר אֶחָד
Si la relation conjugale n’était pas entièrement Kedoucha [Sainteté des Mitsvot et privilège de pouvoir agir pour la perfection du monde grâce à elles] Dieu l’aurait-il crée?
La prière des fêtes dit: « Tu nous as choisi parmi les nations. Tu nous as aimé, et nous avons trouvé grâce à tes yeux. Tu nous as placé au- dessus de toutes les civilisations. Tu nous a sanctifiés avec Tes Mitsvot ». Ainsi, Dieu nous a choisi, puis il nous a aimé, nous plaçant « au-dessus de », pour enfin nous sanctifier par Ses Mitsvot. Cette téfilah- prière – nous enseigne le dessein de D.ieu et le moyen d’y parvenir.
Ainsi, lorsque D.ieu augmente le nombre des Mitsvot, il augmente aussi le nombre d’occasions de nous sanctifier. Le Ramchal en explique la puissance: « le Créateur – Beni soit Son Nom – a circonscrit le monde dans lequel l’homme et ses créatures peuvent évoluer. Il a prévu des chemins et l’intention qu’il fallait avoir dans l’utilisation de Son monde. C’est de cette façon, que les actes physiques et matériels ont le pouvoir de rendre le monde parfait ».
C’est en interagissant de cette façon avec son environnement, grâce aux mitsvot, que l’homme s’élèvera au-dessus de sa condition matérielle de départ.
En matière de sexualité, les gens ont tendance à déduire d’eux-mêmes ce qui est approprié ou non. Cette tendance tient au fait que nous avons notre propre définition de la perfection et de la sainteté! Ainsi d’autres cultures dans le monde ont pensé atteindre la Sainteté par exemple, en s’affligeant et par la flagellation de leur corps, étant convaincus que D.ieu hait le corps humain et désire sa destruction.
Cette attitude est étrangère à la Thora qui dit: « Soyez Saints car Je suis Saint. Je suis Hachem ton D.ieu ».
Tout comme nous, bien des cultures ont à cœur de se rapprocher de Dieu et ont effectué leurs propres recherches avec beaucoup de sérieux. Elles sont arrivées pour certaines à la conclusion que les êtres spirituels sont plus proches de Dieu et que c’est en délaissant la matière qu’on y parvient. Certains groupes religieux juifs l’affirment aussi quand ils recommandent par exemple de se rouler dans la neige pour contrôler leurs pensées et leurs pulsions sexuelles .
Le Ram’hal explique que l’essence même du Bien et du Mal vient du fait que le Maître de l’univers a crée un monde où Il a placé la Sainteté et l’Impureté. La signification de Sainteté est « se rapprocher de D.ieu ». Celle d’Impureté est « éloigné de D.ieu ». Ceci a été définit par Lui et n’est pas dépendant des convictions et croyances que les hommes se sont faites. Il a choisi ce qui permet de se rapprocher de Lui et ce qui en éloigne. La proximité avec la Kedoucha ne peut dépendre de la façon dont l’homme traite son corps, Dieu a déjà décidé ce qui rend le corps « Saint ».
La Mitsva de Onah, la relation sexuelle, qui est appelée par nos Sages « La Mitsva « , a, à n’en pas douter, la même force, le même effet de rapprochement que les autres Mitsvot. Or, la portée des Mitsvot ne se mesure pas avec un baromètre, mais plutôt au travers des réflexions de nos Sages qui remarquent: « de même que Israël mérite la Sainteté et la perfection lorsqu’il pratique les Mitsvot, de même dans le mariage, le couple atteint la Kédoucha par la relation sexuelle « .
Le peuple juif a accepté les Mitsvot avec foi: « nous ferons puis nous comprendrons », démontrant ainsi qu’il les prenait au même titre qu’un décret, sans que cette acceptation dépende de la connaissance du bénéfice qui pourrait en découler.
Ce n’est qu’après avoir pratiqué les Mitsvot que la joie qu’elles procurent sera ressentie. C’est ce qu’explique David Ha Mélè’h: « Donne-moi un bon jugement et apprend moi la sagesse car j’ai cru en tes Mitsvot ». De même pour la Mitsva de Onah. Les époux doivent faire confiance à leur capacité de l’appliquer et d’en retirer les bénéfices, comme le garantit Hachem.
Ce que dit le Ohel Ra’hel, c’est que toutes sont des Mitsvot venant de Har Sinai. Celles concernant le couple aussi. Et à ce titre, on ne saurait les remettent en question. Que celui qui appliquent la hala’ha concernant la cheh’ita, applique avec la même crainte du Ciel les lois concernant l’amour dans le couple. La bénédiction s’épanche pour toutes les mitsvot en général, et pour celles du couple en particulier.

Lorsqu’un homme se marie, il promet de s’unir à sa femme « comme le veut la nature et le dére’h érèts » [expression que l’on pourrait traduire par « savoir vivre » ou « bons principes »] et « en accord avec la coutume juive ».
Ces expressions démontrent à quel point la Mitsva de Onah fait partie de la nature humaine. Comme l’explique le Passouk [relatant la vie des Hébreux en Égypte]: « et D.ieu vit notre souffrance », qui s’applique à l’arrêt de la vie sexuelle des Hébreux en Égypte, dû à la fatigue extrême de l’esclavage dans lequel ils étaient.
Le Rambam explique la nature de la Mitsva de Onah: « C’est une preuve de droiture de se sanctifier au moment de la Onah ». Il s’agit tout simplement de la Kedoucha dont bénéficie celui qui a une vie sexuelle active et dont l’intention est de réaliser le plan divin: « constituer une seule chaire ». Celui qui ne laisserait pas s’exprimer sa nature, irait donc à l’encontre du but de la création! Celui qui agirait ainsi prouve que ses seuls objectifs comptent et détruit le Bien et la Sainteté de la Mitsva de Onah, ne se donnant évidemment aucune chance d’en apprécier la valeur.
L’expression « combien sont belles tes tentes, Yaacov » décrit un foyer construit sur les Mitsvot, et où le Bien du monde futur se fond dans le perfectionnement de l’homme dans ce monde-ci.
Le livre Ohel Ra’hel a pour but de parler de la Mitsva de Onah; il discute des Hala’hot majeures et rapporte des Haggadot. Il veut clarifier le point de vue de la Thora sur la MdO, la Mitsva de Croissez et multipliez-vous -Perou ou revou et leur sainteté.
Nous y parlerons de la fréquence de la Onah et de l’importance de tenir compte de la nature que D.ieu a mis en nous. On ne fera donc pas ici de liste de tout ce que l’on peut faire ou non dans l’intimité [au niveau technique]. On expliquera plutôt ce vers quoi il faut tendre.
Trouver sa propre façon d’être en couple et surtout, surtout… ne pas imiter. Nous ne décrirons que les lois adoptées par tous les Poskim (décisionnaires), sans décrire une façon de « faire » en particulier.
Le vaad des rabanim qui ont écrit le Ohel Rahel ont eu la sagesse fabuleuse de se refuser à donner une note aux pratiques sexuelles. Ils se sont interndit de dire ce qu’il faut ou ne pas faire!
Du point de vue de la psychologie on confirme que la façon de se comporter dans l’intimité ne regarde que le couple, et l’on observe que donner des conseils techniques aboutirait à des résultats exactement opposés. En effet, les couples penseraient devoir imiter un acte qu’ils doivent au contraire créer et inventer en fonction de leur relation particulière et de leur originalité. On ne doit jamais intervenir dans l’intimité d’un couple, les dégâts pouvant être énormes.

Comme il est dit: « Et il vit comment les Bnei Israël avaient placé l’entrée de leurs tentes les unes par rapport aux autre ». L’entrée d’une tente ne permettait pas de voir l’intérieur des autres. De cette façon, les couples pouvaient créer leur relation propre sans avoir à imiter celle du couple voisin. C’est cette Tsniout véritable (*) qui permettait à la Présence Divine de résider parmi eux.
Commentaire : la tsniout dont il est question ici est un état d’esprit qui consiste en une certaine réserve, une vigilance à ne pas se mettre en avant inutilement, en particulier si cela pouvait éveiller un rapprochement entre deux personnes non mariées.
Les enseignants peuvent aider à comprendre le but de la Mitsva Onah, en expliquant sa place dans la vie d’un couple. Cependant le travail qu’un couple doit effectuer pour bâtir sa relation, trouver les moyens d’augmenter leur amour, et la façon dont cet amour va s’exprimer, et ce sur tous les plans (des mots, des gestes et dans l’intimité) est incontournable. « Avec sagesse on construit une maison. Par l’entendement, elle est établie: les chambres à coucher sont remplies de tous les trésors et richesses agréables… ! »
C’est en apprenant de nos fautes que nous découvrons petit à petit notre but sur terre. De la même façon, chaque couple doit rechercher le type de communication qui lui va le mieux. Il ne peut l’éviter. Et il ne peut se soustraire à cette évidence : on tâtonne, on se tromper, on échoue…. et on apprend.
Chaque couple doit chercher de nouvelles façons de communiquer et de s’aimer. Ainsi, le conseil conjugal n’encourage pas les couples à un zéro faute. Tout comme en thérapie de couple, il s’agira plutôt d’enseigner et d’accompagner les conjoints à changer leur façon de communiquer et à sortir des conflits. En un mot, à mieux s’aimer.
Afin d’atteindre la perfection, il convient que chacun sente qu’il a la possibilité et la force de réaliser le potentiel de sa vie de couple. Pour cela il faut prendre le temps d’y réfléchir, préciser son idéal de couple et le moyen d’y parvenir. Or, c’est en particulier en étudiant la Thora [et ce livre], que le couple renouvelle l’envie et sa capacité à s’améliorer, et bénéficie de la « Siyata Dichmaya », l’aide Divine.
Enfin, on sait que « l’étude mène à l’action ». D’après le Ramcha, l’élévation de la personnalité et l’acquisition de bonnes midot s’obtiennent par la réflexion et l’étude. » C’est en étudiant que l’individu peut découvrir en quoi il doit se travailler « . Rav Israël Salanter dit également: « Cette étude éloigne l’âme de la Avéra (faute) ».
L’être humain doit parcourir un long chemin jusqu’à ce qu’il détermine le style de couple auquel il veut aboutir. L’intention de ce livre est de démontrer la nécessité de commencer ce processus de construction du couple, et la Kédoucha de cette entreprise. Enfin, on démontrera le rôle crucial qu’elle joue dans la perfection de l’être humain et de ses enfants.
La seule façon de passer de la pensée à l’action est donnée par l’habitude: le fait de s’astreindre à des habitudes est la seule façon d’appréhender la profondeur et l’essence des actes. Comme les paroles du ‘Hinou’h l’indiquent : « les cœurs se forment selon les actions « .
Le Rambam lui aussi précise: « chacun devrait refaire, répéter et répéter une troisième fois jusqu’à ce que la chose lui soit facile, et que son caractère se soit transformé ».
De même, le mariage demande de prendre des habitudes qui permettront au couple d’être unis et de forger une relation solide. C’est d’ailleurs dans l’optique de permettre au jeune couple de créer une relation forte, que la Thora établit la Mitsva « il sera libre pendant une année et réjouira la femme qu’il a épousée » (devarim 24:5). Afin qu’il s’habitue à être « un » avec elle, qu’ils forment un même être, ainsi il l’aimera toujours et chérira tout ce qu’elle fera. (‘hinou’h 582)
ה  כִּי-יִקַּח אִישׁ, אִשָּׁה חֲדָשָׁה–לֹא יֵצֵא בַּצָּבָא, וְלֹא-יַעֲבֹר עָלָיו לְכָל-דָּבָר: נָקִי יִהְיֶה לְבֵיתוֹ, שָׁנָה אֶחָת, וְשִׂמַּח, אֶת-אִשְׁתּוֹ אֲשֶׁר-לָקָח.
La rapprocher de lui et développer son amour pour elle. Si un couple veut se rapprocher l’un de l’autre, il doit aménager du temps pour le faire, réfléchir à leur couple et mobiliser de l’énergie dans ce sens.
Voici ce que dit le ‘Hazon Ich dans une de ses lettres: « Durant la première année il est nécessaire de réaliser l’union entre l’homme et sa femme, car c’est le but de la création que de devenir une seule chaire… c’est pendant cette année là que le mari pourra et devra montrer clairement à sa femme qu’il l’aime. Il devra y passer beaucoup de temps, discuter et développer tout ce qui peut augmenter leur amour.
Ainsi il s’exercera à toujours agir de façon à la rapprocher de lui, [et ils seront] tout comme la main droite pour la main gauche. Cette relation-là concerne bien deux parties d’un même corps et non pas deux éléments étrangers l’un à l’autre. En fait l’homme doit considérer la relation à sa femme comme une partie de son corps avec lui -même! »
Tout ce que dit la Thora concerne à la fois l’homme et la femme, attendu que le foyer se construit grâce aux efforts des deux. Cependant, c’est à l’homme spécifiquement que la Thora a donné la Mitsva de Onah et de Pérou ou revou . Pourquoi? Parce que D.ieu a déjà mis dans la nature même de la femme cette volonté d’épanouir la relation dans le couple. Comme il est dit: « Et ton désir ira vers ton mari » (Mechè’h ‘Ho’hma – Noa’h). וְאֶל-אִישֵׁךְ, תְּשׁוּקָתֵךְ, וְהוּא, יִמְשָׁל-בָּך
Considérer et chérir sa femme comme une partie de lui-même
Résultat, la Thora donne l’obligation à l’homme de dépenser de l’énergie et diriger la construction idéale du couple. Comme il est dit: « Et il réjouira sa femme » (dvarim 21:11) , c’est à lui de le faire. L’initiative de la relation prend sa source en lui. Selon nos Sages, « le mariage est à comparer à un homme qui a perdu un objet. Dans ce cas, qui cherche qui? C’est le propriétaire qui cherche l’objet » (Nidah 31b)
En ce qui concerne la femme, la Thora révèle ce qu’elle doit faire envers son mari, sans pour autant en faire un commandement explicite. Pourquoi? Parce que D.ieu a déjà prévu que la femme, grâce à la nature qu’Il lui a donné (si elle la suit), créera naturellement une relation parfaite avec son mari.
La femme détient le pouvoir de façonner l’homme afin qu’il puisse réaliser son potentiel. De même que c’est le mari qui donne l’impulsion au couple et dirige la relation dans le foyer, de même, la femme joue un rôle majeur et central. Rien de tout ce qui vient d’être dit dans ce livre ne peut
Il baise une teen sensuelle
Baise une Indienne
Des jumelles pour deux hommes noirs

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