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Actualité
publiée le 16/02/2022 à 14h36
- La Rédaction de DemarchesAdministratives.fr



Certains Français n’ont pas besoin de faire leur dose de rappel pour avoir un pass vaccinal. En effet, ils peuvent bénéficier d’un certificat de rétablissement illimité.


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Depuis le 15 février, certains certificats de rétablissement ne présentent plus de date d’expiration . Notons que ces documents ne peuvent être utilisés que sur le territoire français et permettent d’obtenir un pass vaccinal valide.
Cependant, toutes les personnes contaminées ne sont pas éligibles au certificat de rétablissement sans date de fin de validité . Ainsi, l’application TousAntCovid liste seulement 3 cas de figure :
En revanche, pour les autres personnes, le certificat de rétablissement sera valable 4 mois . Au-delà, pour présenter un pass vaccinal valide, il faudra obligatoirement faire la dose de rappel .
Si vous avez été testé positif avant le 15 février, vous devez d’abord mettre à jour l’application TousAntiCovid . Puis, vous devez importer votre dernier certificat de vaccination ainsi que votre dernier certificat de rétablissement.
Pour mémoire, vous pouvez récupérer le premier sur le site de l’Assurance maladie . En revanche, pour obtenir le certificat de rétablissement, vous avez deux solutions : soit passer par le professionnel ou le laboratoire qui a fait le test, soit aller sur la plateforme Sidep .
Une fois ces deux documents importés, direction l’outil Pass+ qui se trouve dans la partie « Carnet » de l’application. Vous n’aurez alors plus qu’à sélectionner votre dernier certificat de rétablissement et votre attestation de vaccination pour générer un certificat de rétablissement sans durée de validité .
Les personnes testées positives après le 15 février devront quant à elles présenter leur preuve de vaccination au professionnel de santé qui effectue le test . Ce dernier pourra alors générer le certificat de rétablissement illimité. Toutefois, seuls « les tests antigéniques effectués en pharmacie » ainsi que « les tests PCR et antigéniques effectuées dans certains laboratoires » permettent d’obtenir ce précieux sésame, précise la FAQ de l’application TousAntiCovid.

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En bleu, les docteurs Lionel Lamhaut (à g.), du Samu de Necker, et Céline Mesnil, du Smur Lariboisière (AP-HP). À genoux, au fond à dr., l’infirmier anesthésiste Bruno Meyer prépare l’Ecmo. Autour, des pompiers (en blanc) et, derrière, l’équipe du GPSR (sécurité du métro). Dans le couloir d’une correspondance entre La Chapelle et Gare-du-Nord, à Paris, le 15 octobre.


© Eric Hadj



Anne-Laure Le Gall

10/11/2021 à 13:20 , Mis à jour le 20/11/2021 à 13:52









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Ils ne sont ni sorciers ni démiurges. Pourtant, quand la réanimation a échoué, grâce à une technologie innovante, les médecins urgentistes du Samu-75 peuvent désormais « récupérer » des patients dont le cœur s’est arrêté de battre. Nous avons suivi un mois durant ces combattants pour la vie, prêts à monter sur tous les fronts tant qu’un espoir existe. 
Le corps dénudé gît à même le sol poussiéreux du métro parisien. Un homme de 26 ans est aux portes de la mort. Ses vêtements ont été découpés par les pompiers, appelés pour un « malaise ». En réalité, un arrêt cardiaque. Il est inconscient, placé sous oxygène, perfusé. Soulevées par les courants d’air du réseau souterrain, les plumes blanches de sa doudoune virevoltent autour de lui. Un paravent rouge et deux couvertures de survie protègent la scène du flot des voyageurs. Frontière dérisoire entre la vie qui va et le drame qui se noue.
Le massage cardiaque dure depuis de longues minutes. Les pompiers ont pris le relais d’un agent de la sécurité du métro. Puis l’équipe du Smur Lariboisière a pratiqué la réanimation, les chocs électriques. Sans succès… Ils ne baissent pas les bras. Reste un espoir : Ecmo, pour « extracorporeal membrane oxygenation », une machine capable d’oxygéner le sang et de le renvoyer dans l’organisme. Employé en chirurgie cardiaque, ce dispositif, de la taille d’un petit compresseur, peut désormais être utilisé partout, en extérieur comme au bloc. Sans oxygène, le cerveau s’éteint en quelques minutes. La stratégie consiste donc à remplacer cœur et poumon défaillants, le temps de la prise en charge à l’hôpital. Ils savent que l’équipe spécialisée du Samu de Paris, dirigée par le Dr Lionel Lamhaut, est déjà en route.
En France, on compte chaque année de 45 000 à 50 000 arrêts cardiaques et 95 % de décès. Un fléau. Grâce à l’externalisation de l’Ecmo, le taux de survie atteint 30 %. Cette innovation a été développée dans le service du Pr Pierre Carli, chef du Samu de Paris : « Lors de la grippe H1N1 de 2009, les hôpitaux ont été équipés de ces machines, une technologie éprouvée. On a alors découvert que ce dispositif pouvait aussi être mis en œuvre sur les arrêts cardiaques. On a ensuite transféré à l’extérieur une technique rodée à l’hôpital. » Le Dr Carli se souvient des drames pour lesquels il n’avait aucune solution : « Des gens, dont on récupérait l’arrêt cardiaque, ouvraient les yeux, et leur cœur s’arrêtait à nouveau. On les tenait par la main, par un fil, et ils nous échappaient… L’Ecmo permet de sauver des gens qu’on laissait avant morts sur place, sans aucune chance d’arriver à l’hôpital. »
Apporter l’hôpital à la maison, c’est la vocation du Samu. Un savoir-faire « made in France », surnommé le « stay and play » (« reste et joue ») par les Anglo-Saxons, diamétralement opposé à leur « scoop and run » (« ramasse et cours »). D’un côté, on soigne sur place avec un maximum de moyens, de l’autre on transporte au plus vite vers un « trauma center ». De ces deux visions est née la polémique autour de la mort de Diana. Avec cette nouvelle pratique, le Samu atteint son développement le plus spectaculaire. Dans ce bloc opératoire éphémère, des médecins urgentistes et non des chirurgiens repoussent les limites de la vie.
« Ecmo, Ecmo, départ. » Pour cet homme du métro, l’appel a grésillé dans les haut-parleurs du Samu Necker. C’est le Dr Lionel Lamhaut qui, quelques minutes plus tard, a embarqué à la volée dans le van Volkswagen équipé pour l’intervention hors normes qu’il pratique une dizaine de fois par an. Il est, avec son confrère le Dr Kim An, l’inventeur de cette technique audacieuse. Six médecins du Samu Necker, quatre hommes et deux femmes, sont formés, ainsi que des infirmiers anesthésistes. Dans le monde fermé du Samu, ils constituent une équipe soudée, ambitieuse. Un club à part. Il y a ceux qui les admirent et ceux qui les dézinguent…
Plus tôt dans la journée, Lionel Lamhaut évoquait avec nostalgie les débuts héroïques de cette « très grosse aventure humaine, dans laquelle chacun se dépasse pour sauver ceux qui ne devaient pas être sauvés ». C’était en 2010-2011, mais elle est restée longtemps confidentielle. Comme dans toute avancée médicale, il a fallu mettre le pied dans la porte, essuyer les échecs, faire face à l’hostilité, en particulier celle des chirurgiens cardiaques. « Pour les premières interventions, on utilisait nos voitures personnelles et la machine, miniaturisée depuis, pesait 20 kilos ! » La question de l’acharnement thérapeutique s’est posée immédiatement. « On a monté un protocole, organisé un comité d’éthique, on a travaillé avec un philosophe. » Grâce à des publications sur des résultats encourageants, des présentations dans des congrès à l’étranger, l’Ecmo version Samu n’a pas tardé à faire le buzz à l’international et des émules, notamment à Minneapolis, à San Diego, à Melbourne. En France, l’accueil était plus froid. « On nous a même accusés d’assassiner les gens en pleine rue ! »
Jusqu’où ne pas aller trop loin reste une obsession. Délai, choix du patient, chaque ordre de départ déclenché par la régulation du Samu obéit à des règles strictes. « On dispose d’un délai de soixante minutes entre le malaise et l’activation de la pompe, explique le Dr Alice Hutin. On intervient après échec d’au moins vingt minutes de réanimation. Et parmi les critères de sélection : que l’âge soit généralement inférieur à 65 ans, qu’il y ait des signes de vie – soupirs, mouvements, réaction des pupilles –, et que le massage cardiaque ait été pratiqué dans les cinq premières minutes. » Une seule minute sans circulation sanguine, c’est 10 % de chances en moins de s’en sortir, et peut-être des dommages irréversibles au cerveau.
Pour le Dr Lamhaut, Pedro Martins, ambulancier aide-soignant, et Bruno Meyer, infirmier anesthésiste, le « commando Ecmo » de garde ce jour-là, le compte à rebours pouvait être lancé. Le Dr Lamhaut a déjà récupéré un maximum d’infos par téléphone quand, à 14 h 26, le trio polyvalent et ultra-efficace se lance en courant dans les couloirs bondés du métro, chargé du matériel lourd et encombrant. L’annonce « Suite à un incident voyageur, la correspondance n’est plus assurée » résonne dans le long tunnel qui se vide enfin. Le calme s’installe. Restent une trentaine de personnes, soignants, forces de l’ordre, agents du métro. Une logistique énorme.
À 14 h 37, l’opération peut commencer. Dans le puissant faisceau d’une lampe braquée par un pompier sur le champ opératoire, il faut rapidement inciser le haut de la cuisse, trouver veine et artère, introduire les canules pour aspirer le sang, l’oxygéner via l’Ecmo, le renvoyer dans l’organisme. Avant d’intervenir à genoux, en tenue stérile, le Dr Lamhaut s’est mis à l’aise, en chaussettes. Il est assisté de Céline Mesnil, l’urgentiste du Smur Lariboisière, déjà sur place. C’est sa première fois. À 14 h 46, la machine Ecmo est enfin branchée, elle tourne. Neuf minutes seulement ont été nécessaires. Dans un tuyau passe le sang sombre, dans un autre celui, plus vif, régénéré. La circulation extracorporelle est établie, le visage de l’homme reprend peu à peu les couleurs de la vie.
Assister à une pose d’Ecmo relève de l’exceptionnel. Hommes et femmes de peu de mots, tous laissent échapper des « bravo ! », « chapeau ! » « c’est formidable ! ». La scène est bouleversante. Il ne s’en réalise qu’une quarantaine par an en Île-de-France. Durant les quatre semaines de notre reportage, l’équipe Ecmo a été déclenchée une vingtaine de fois pour être finalement rappelée par radio avant d’atteindre la destination : soit le patient était décédé, c’est-à-dire en mort cérébrale, ou bien, heureusement, récupéré par les secours. Deux interventions ont abouti, l’une sur un noyé repêché quai d’Anjou et celle-ci, station La Chapelle. « On fait le ménage et on se barre ! » lance enfin Lamhaut. L’homme du métro est évacué vers l’hôpital Pompidou pour une coronarographie, puis il sera admis en réanimation à l’hôpital Necker.
 Il est aujourd’hu
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