Réaliser mon rêve de baiser ma belle-mère

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Réaliser mon rêve de baiser ma belle-mère

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Il faut vous dire que j’ai 47 ans et ma belle-mère Maryse 63. Elle est veuve et vient souvent nous voir. Moi depuis quelques mois, je fantasme sur elle au point d’en devenir fou. J’ai pris plein de photos d’elle à son insu, même sous sa douche, c’est vous dire ! Et je me demande toujours si elle ne ressent pas les mêmes choses pour moi. Toujours attentionnée, elle me ramène souvent des petits cadeaux (elle adore m’offrir des caleçons !) et même l’autre jour j’avais fait tourner ma webcam dans sa chambre, qui me sert de bureau, pendant qu’elle se déshabillait et je l’ai vue essayer de me mater quand je prenais ma douche (la salle de bain est à côté et j’avais laissé la porte entr’ouverte).
C’est vous dire que cette annonce de ma femme au petit-déjeuner me laissait espérer de réaliser enfin mon rêve. Si j’osais bien sûr, parce que Maryse est quand même ma belle-mère !
Fébrile, j’attends donc sur le quai de la gare. Je vois Maryse arriver de loin avec sa grosse valise. Je me précipite vers elle, je lui fais une bise et j’empoigne son bagage. Comme elle me plaît ! Elle d’habitude si stricte s’est habillée aujourd’hui d’une jupe rouge, elle a un chemisier entr’ouvert et des bas, ou des collants, noirs. Elle est maquillée, sans outrage, et parfumée abondamment. Je la félicite pour sa mise et elle me répond :
C’était tout elle, ce genre de phrase, toujours à double sens, mais bon, on verrait bien. Une fois dans la voiture, j’avais du mal à détacher mes yeux des genoux de Maryse gainés de nylon qu’elle croisait et décroisait. Je fis plusieurs fautes de conduite, ce qu’elle remarqua.
À quoi jouait-elle ? Avait-elle décidé de me mettre au supplice ou bien ne se rendait-elle compte de rien ? Heureusement, nous arrivions à la maison. Une fois dans le salon, Maryse sortit de sa valise un petit paquet :
Le rituel, quoi… J’ouvris mon paquet et, au lieu du traditionnel caleçon, je découvris dans le paquet une culotte de Maryse ! Une de ses vieilles culottes de grand-mère en coton blanc, bordée de dentelles… Je balbutiai :
Ainsi elle savait tout ! J’avais moi-même du mal à cacher mon trouble. Il faut dire que j’avais un pantalon ample déformé par une bosse proéminente. Entre la vue du décolleté de Maryse, de ses jambes gainées, de ses fesses un peu larges moulées dans sa jupe, j’étais servi. Et voilà que je tenais entre mes mains sa culotte que j’avais prise en photo, en cachette (du moins l’avais-je cru !) et que je regardais quand j’étais seul sur mon ordi pour me « motiver ».
Il n’y a pas d’autre mot : je bandais comme un taureau !
Toujours sérieuse, derrière ses grandes lunettes, ma belle-mère sut une fois de plus trouver les mots :
Ainsi elle me proposait d’aller me masturber en cachette avec sa bénédiction ! Mais je ne l’entendais pas de cette oreille et m’enhardis :
Et elle se penche en avant vers moi pour me dévoiler ses seins emprisonnés dans un soutien-gorge à dentelles noires. Je tentai alors le tout pour le tout et dégrafai ma ceinture, ouvris mon pantalon et sortis mon sexe gonflé de mon caleçon. Elle suivait mes gestes avec attention et dit :
Mais moi je voulais bien plus. Je restais donc sans bouger, en la regardant fixement.
Et elle vint s’asseoir sur le bras du canapé, à côté de moi. J’essayai de l’enlacer pour pousser mon avantage, mais elle ne l’entendait pas de cette oreille.
Le supplice était à son paroxysme, j’avais près de moi une femme qui m’obsédait littéralement et j’en étais réduit à l’approcher au plus près sans pouvoir avoir un contact. Ma queue était quant à elle au meilleur de sa forme, dressée comme un I. Maryse me prit la culotte des mains et me dit :
Et elle encapuchonna ma queue dans le coton puis sa main vint se fermer sur le tissu. Quel contact exquis ! Mes yeux couraient du décolleté de Maryse, à la hauteur de ma tête, à ses cuisses gainées, sa jupe remontant. Je me contenterais de ça pour le moment. Puis la main de Maryse fit glisser l’étoffe de haut en bas de ma verge, sans appuyer. Elle me regardait dans les yeux.
Puis Maryse se mit à serrer un peu plus fort et à accélérer ses mouvements. J’étais si excité que très vite de grosses taches vinrent humecter la culotte en saccades. Quel orgasme incroyable !!! Elle continuait et continuait encore, comme si elle voulait me vider. Puis quand je commençai à débander, elle essuya ma queue, toujours sans la toucher directement, d’une façon très maternelle. Elle me fit alors un petit baiser au coin des lèvres, se leva, rajusta sa tenue puis me dit :
Et je la vis monter l’escalier, très digne, avec sa valise.
Moi, j’étais encore sous le charme de ce cadeau magnifique. Je restais sans rien dire, un peu rêveur. Quelle femme ! Quelle maîtrise de soi et quel savoir-faire !
J’étais seul dans le salon et retrouvais mes esprits petit à petit. Non, je n’avais pas rêvé. Je tenais entre mes mains la culotte de Maryse encore humide des caresses qu’elle avait su me donner. Où la cacher ? Je ne voyais que mon bureau, où ma femme ne vient jamais. Mais Maryse y était. Bah, elle a le sommeil lourd ! Je montais donc l’escalier sans bruit et mis mon oreille à la porte, je savais qu’elle ronflait. Mais au lieu de cela, j’entendis une respiration saccadée…
J’entrouvris la porte : quel spectacle ! La jupe rouge était remontée révélant les cuisses de Maryse, des cuisses larges gainées de bas noirs avec une petite dentelle. Je voyais sa culotte en dentelle, noire aussi, dans laquelle elle avait glissé sa main qui s’y agitait frénétiquement. Elle avait les yeux mi-clos, tout à son désir.
Je restais là à la contempler de longues minutes et l’effet ne fut pas long à venir. À nouveau je bandais. J’avais toujours à la main sa culotte blanche. Et si je testais son utilisation solitaire ? Je descendis ma fermeture Éclair et sortis mon sexe que j’encapuchonnai dans la culotte, comme elle me l’avait montré, quand le regard de Maryse croisa le mien.
Je vins donc m’asseoir près d’elle et lui proposai de lui rendre la politesse. Elle ne répondit pas et se contenta de me prendre la main et de la poser sur son chemisier. Quel plaisir de caresser ses gros seins ! Je m’allongeai près d’elle et mes deux mains jouaient sur son corps. Un à un je défis les boutons de son chemisier, je couvris son ventre rond de baisers. Elle ne disait plus rien sinon « Frédéric, vous êtes fou ! », mais elle se laissait faire. Ma main glissa dans sa culotte et vint caresser son bouton d’amour. Quelle chaleur, quelle moiteur dans son sexe ! J’étais fier de déclencher de telles envies chez cette femme.
C’est elle qui dégrafa sa jupe et la fit glisser aux pieds du lit. Je lui enlevai soutien-gorge et sa culotte. Je n’avais plus que Maryse nue près de moi, avec seulement ses bas. Je continuai mes caresses et me serrai contre elle. Mon sexe se frottait à ses hanches. Quelle peau douce ! Je quittai mon pantalon et mon caleçon et me retrouvai nu à mon tour. Je sentais la respiration de Maryse s’accélérer, son corps ondulait à mes caresses. Mon sexe se gonflait de désir. Je n’y tins plus et je vins sur elle, mon gland à la porte de sa grotte humide.
Mais pas un geste de refus, au contraire, elle me caressa la nuque puis me donna un long baiser. Comment résister ? Je m’enfonçai en elle, je sentis son sexe me serrer la bite. Je commençai de lents va-et-vient, elle avait fini par accepter et maintenant elle ne disait plus que des « Oh oui !!! ». Elle me prit les fesses entre ses mains pour me donner son rythme, elle réclamait des coups de boutoir ! Le rythme s’accélérait et j’entendais comme une longue plainte : elle jouissait de tout son être, je ne fus pas long à venir aussi. Nos râles emplissaient la pièce !
Nous sommes restés enlacés, épuisés, de longues minutes, puis Maryse, toujours les pieds sur terre, regarda sa montre et me dit :
Elle avait raison, une fois rhabillés ma femme ne fut pas longue à revenir :
Et la soirée se passa tranquillement, comme si rien n’était arrivé. À la fin du repas, Maryse se leva puis nous ramena de sa chambre ses traditionnels petits cadeaux, un foulard pour mon épouse, un caleçon pour moi. Nous avons papoté un peu, puis Maryse nous dit qu’elle allait se coucher, le voyage l’ayant fatiguée. Nous ne fûmes pas longs à en faire autant. Quand je partis me laver les dents, en caleçon et t-shirt pour la nuit, ma femme me dit :
Je frappai donc à sa porte. Elle avait un pyjama en flanelle, rien à voir avec ses tenues sexy. J’allai vers elle pour l’embrasser, elle me fit un long baiser accompagné d’une caresse sur mon sexe. J’étais de nouveau en feu. Je voulus la prendre dans mes bras, mais elle me repoussa :
Et effectivement, ce soir-là, ma femme eut droit à un festival. Je m’endormis épuisé avec un petit sourire : lorsque Maryse m’avait dit qu’elle ne voulait que le bonheur de sa fille, elle était sincère, même si elle s’arrangeait avec la morale…
J’ouvris un œil, ma femme était là, habillée, il était 10 h au réveil. J’avais dormi comme un bébé. Il est vrai que toutes ces émotions m’avaient fatigué. Elle me fit un bisou et me lança « À tout à l’heure ». Moi je faisais semblant de dormir. J’attendis que la voiture soit loin et me levai. Personne à la cuisine, personne dans le salon. J’entendais juste au premier étage le bruit de la douche. Maryse était donc là !
Je pris à peine le temps d’avaler un café et montai les escaliers. Ah, cette salle de bains ! Combien de fois avais-je espionné ma belle-mère dans ses ablutions par une lucarne donnant sur le balcon. J’avais même des photos d’elle dans ces moments intimes qui avaient plus d’une fois excité mon imagination.
Ainsi Maryse voyait tout et entendait tout. Quelle coquine ! Je pouvais la voir près de moi, elle avait ouvert le rideau de douche et se savonnait abondamment. Elle prenait un malin plaisir à s’attarder sur ses seins, ses fesses. La vue était imprenable, bien meilleure qu’à mon poste d’observation habituel et la vapeur d’eau qui emplissait la pièce donnait à la scène une touche irréelle. Bien sûr, mon caleçon ne fut pas long à ressembler à une tente apache, ce que ne manqua pas de remarquer ma belle-mère.
En quelques secondes j’étais nu sous la douche. Maryse prit une savonnette et s’employa à me laver, comme un enfant. Ses mains enduites de mousse me massaient : quel plaisir, surtout lorsqu’elles vinrent sur ma colonne tendue. Elle me branlait avec douceur en riant.
Moi je caressais aussi tout son corps ruisselant. Ses grosses fesses emplissaient mes mains, ses seins aussi.
Et Maryse coupa la douche. Je protestai mais elle fut intraitable.
Il fallait bien prendre ce qu’elle me donnait, la garce ! Je rouvris donc la douche et continuai à me savonner pendant qu’elle se séchait. J’essayai de continuer ce qu’elle avait commencé, mais il faut bien reconnaître que les sensations n’étaient pas les mêmes. Elle, faisait comme si je n’étais pas là. Elle noua une serviette autour de ses seins, une autre sur ses cheveux et se fit une beauté devant la glace qu’elle avait essuyée. Ses fesses apparaissaient dans les plis de la serviette. Elle me tournait le dos et la vue était excitante. Trop ! Je sortis de la douche et vins derrière Maryse, mon sexe collé contre ses fesses. J’empoignai ses seins et lui déposai des baisers dans le cou.
Elle avait l’air d’aimer ! Elle prit appui sur le lavabo pour me présenter sa croupe. Ses fesses étaient dégagées, dessinées par la serviette-éponge, je n’en pouvais plus et la pénétrai en levrette. Son sexe était trempé. Nous fîmes l’amour comme des bêtes, ce fut bref mais intense. Je déchargeai tandis qu’elle jouissait.
Et effectivement elle reprit une douche, puis tint à me laver le sexe elle-même. Elle essaya sans succès quelques manipulations et eut un petit sourire.
Et elle me fit un petit bisou sur le bout du sexe.
La journée fut longue effectivement. En famille. Maryse avait remis des vêtements de tous les jours, un large pull, un pantalon ample. La vie avait l’air de reprendre comme avant, comme s’il ne s’était rien passé. À nouveau, au moment du coucher, je vins lui présenter mes hommages. Elle eut les mêmes gestes que la vieille, et Nathalie ne s’en est pas plainte !
Dimanche. Avant le repas Maryse est partie se changer et est revenue avec la « tenue de combat » qu’elle portait vendredi, prétextant la nécessité de se faire belle pour voyager. Elle mangeait en face de moi et je ne pouvais m’empêcher de me remémorer tous les épisodes de ce week-end. Elle le savait et elle en jouait, me lançant des œillades assassines, se penchant pour un oui pour un non pour me montrer ses seins. Au dessert, je sentis son pied nu gainé de nylon remonter le long de ma jambe puis chercher mon entrecuisse. Son gros orteil trouva mon sexe tendu dans le pantalon et lui dispensa une courte caresse. Elle eut un grand sourire et dit :
Puis la mère et la fille ramassèrent la table pour aller à la cuisine faire la vaisselle. Je n’osai pas me lever tant qu’elles n’étaient pas parties. Je montai alors au bureau, sortis la culotte de Maryse de sa cachette et « l’étrennai ». Je ne fus pas long à jouir… Je retrouvai Maryse et Nathalie au café, papotant. Je m’assis avec elles, comme si de rien n’était.
Je la regardai dans les yeux et lui répondis sans ciller :
Nous emmenâmes Maryse à la gare. Elle nous remercia pour l’excellent week-end.
Je la regardai s’éloigner sur le quai, ses fesses se dandinant. Au retour, c’est Nathalie qui allait encore une fois en profiter ! Le temps serait long jusqu’à Noël, mais avec tous les souvenirs qu’elle m’avait laissés, je saurais faire avec…
Déjà trois semaines que Maryse nous a rendu visite. Trois longues semaines ! Difficile de ne pas me souvenir des moments délicieux qu’elle m’avait accordés. J’y repensais souvent en me couchant et il faut bien dire que ma vie conjugale s’en trouvait au beau fixe. Baiser la fille en pensant à sa mère, bizarre, non ? Mais finalement tout le monde trouve son compte dans ce petit arrangement de famille, non ?
Ce soir, c’est mercredi et Nathalie est partie au cinéma avec ses copines. Je suis seul à la maison et enfin je vais pouvoir voyager en pensée avec Maryse pour essayer de retrouver les sensations qu’elle a su si bien me procurer. Je monte dans mon bureau, qui est devenu un vrai sanctuaire depuis que je l’ai découverte se masturbant sur le canapé-lit. J’allume mon ordinateur pour visionner les quelques photos volées que j’ai gardées d’elle et je sors de sa cachette la culotte qu’elle m’a offerte, un peu raidie du sperme séché, souvenir de ce week-end érotique. Le décor est planté et je vais pouvoir laisser vagabonder mon esprit pour m’offrir une branlette de qualité.
Je commence à regarder des photos de Maryse cet été, en t-shirt moulant. Celle que j’adore, c’est une de dos, penchée, où ses fesses sont un peu dévoilées ; elle m’a toujours fait un effet extraordinaire. J’ouvre mon pantalon, je défais ma braguette, je baisse mon caleçon. Comme ça va être bon de me caresser avec la culotte de Maryse tout en matant ses photos !!!
C’est le téléphone qui sonne en bas. Qui est ce fâcheux ? Tant pis, je laisse sonner, et puis il y a le répondeur. Répondeur qui décline son annonce : « Veuillez nous laisser un message après le bip sonore ». C’est alors que j’entends une voix connue, un peu grave, très suave :
Je dévale les escaliers quatre à quatre en tenant tant bien que mal mon pantalon pour ne pas m’entraver, pourvu que j’arrive à temps ! Je décroche, essoufflé :
Il est vrai que souvent la mère et la fille passent de longues heures au téléphone, et que moi, je suis plutôt lapidaire quand Maryse appelle. Mais ce soir, je n’ai pas envie de la lâcher comme ça. Alors j’essaie de faire durer la conversation.
Je suis dans le salon, assis dans le canapé où elle m’offrit ses premières faveurs, j’entends sa voix contre mon oreille. Ah non, je ne vais pas la laisser raccrocher si vite !
Si je m’en rappelle !!! Je ne pense qu’à ça même !!! Et de l’imaginer dans cette tenue lorsqu’elle me parlait a avivé une belle érection. Je balbutie :
Voilà qu’elle me parle maintenant de son décolleté ! Je n’y tiens plus et commence à caresser ma queue en l’écoutant.
Ce que j’attends d’elle, c’est difficile à avouer. Alors je brode :
Sitôt dit, sitôt fait. Je reprends le combiné et le colle à l’oreille.
Elle a raison, je suis dans un état proche de l’explosion. Sa voix grave et douce m’emplit la tête et je la sens près de moi.
Ma main va-et-vient sur ma queue, je sens la douceur de la culotte qui caresse mon sexe empli de désir et j’entends sa voix qui me susurre :
Il me semble qu’elle est là, très près de moi, et que c’est elle qui me fait tout ça.
Je me branle frénétiquement. Un jus visqueux emplit spasmodiquement la culotte. Je gémis au téléphone :
Après un long silence je l’entends enfin :
Elle a un dernier petit rire et elle raccroche. Tout d’un coup, le salon me semble vide. Je suis seul dans la pénombre. Mon sexe a perdu de sa superbe. La culotte est trempée, c’est le seul souvenir de ce moment d’extase.
Il est temps pour moi de remettre un peu d’ordre. Je monte au bureau éteindre l’ordinateur. Le diaporama est en train de passer une vieille photo de Maryse qui me tend la main pour m’inviter à danser. Je ferme la session. Je cache la culotte. Je vais faire un brin de toilette. Je me coucherai tôt. Je me mets en tenue de nuit, caleçon et t-shirt et redescends au salon. Dans la pénombre, une lumière clignotante. Ah oui, c’est le répondeur. Machinalement j’appuie sur le bouton pour réentendre la voix de Maryse. Ce que je n’ai pas prévu, c’est qu’il avait continué à enregistrer après que j’ai décroché.
Alors j’écoute. Pas une seconde de nos ébats virtuels ne manque. Je souris et pense : « Quelle sainte Nitouche, cette Maryse ! Mais c’est elle qui mène le jeu, et elle sait très bien ce qu’elle fait ! ».
À la deuxième audition, ce qui devait arriver arrive. Je suis à nouveau excité. Je regarde l’heure : 22 heures, ma femme ne rentrera pas avant trois quarts d’heure. J’efface l’enregistrement en regrettant de ne pouvoir le conserver et appuie sur la touche rappel.
Deux sonneries et c’est Maryse qui répond, d’une petite voix :
C’est vrai que Maryse a un téléphone à côté de son lit. La situation est très excitante !
J’entends sa voix résonner, elle a dû mettre le chorus.
Je ne sais pas ce qu’elle a, mais elle a l’air pressée que je raccroche.
Elle a son petit rire que j’aime tant et qui a le don de m’exciter.
J’entends toujours sa voix résonner et son souffle me semble court, voire haletant. Pourquoi tient-elle à garder les mains libres ?
Elle a repris le contrôle de la situation ! Rien que la pensée de ma queue entre ses seins me fait de nouveau bander. Et elle continue :
Et je commence à me caresser en l’écoutant.
De l’entendre jouir me déclenche un orgasme simultané :
Maintenant Maryse a repris sa voix habituelle, elle parle dans le combiné et me susurre :
Nous nous disons au revoir. Je vais pouvoir me coucher, épuisé, mais heureux. Nathalie ne tarde pas à arriver. Je suis dans la chambre en train de lire :
Rien n'est meilleur que l'amour bien fait, suivi d'un coca bien frais :)

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