Réalise leurs rêves dans les bois
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Réalise leurs rêves dans les bois
Fabriquer un attrape-rêves en bois flotté
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Les dreamcatchers sont la tendance déco de ces dernières années. Dans cet article, je vous donne les ficelles pour fabriquer un attrape-rêves en bois flotté facilement et à moindre coût .
Nous avons l’habitude de voir des attrape-rêves sur tous les marchés, dans les boutiques de déco ou au-dessus du lit. D’origine amérindienne, peut-être avez-vous découvert leurs légendes grâce à notre article ici .
Pour changer de l’attrape-rêves traditionnel, je vous propose de fabriquer votre attrape-rêves en bois flotté avec du matériel de récup. Attrape-rêves original qui change du fameux cerceau tissé.
Comme son nom l’indique, vous aurez besoin de bois flotté pour réaliser votre attrape-rêves.
On le trouve facilement sur les plages et dans les forêts de pins. Voici ma dernière récolte !
Alors tout le monde n’a pas forcément tout ça à proximité…
Dans ce cas, remplacez le bois flotté par des branches d’arbre que vous trouverez en forêt.
Et si vous vivez loin de la plage, pensez à en ramener une cargaison à l’occasion de vos vacances ou week-ends à la mer.
Enfin, si vous voulez vraiment du bois flotté rapidement, vous pouvez en commander ici
Alors, pareil que pour le bois flotté, on peut en trouver assez facilement à la plage ou proche des réserves naturelles ornithologiques par exemple ; dans les parcs, les forêts etc.. Evitez les plumes de pigeons en plein centre ville.. Ils sont quand même porteurs de microbes !
Voici par exemple mes dernières trouvailles sur la plage :
Sinon, vous pouvez toujours en commander ici
Pour les rubans, j’ai trouvé dans les armoires et chez les copines, des anciens chemisiers ou robes qui trainaient et qu’on ne remettra jamais… On a tout simplement coupé des lanières de différentes longueurs.
Cela permet d’éviter de trop dépenser en matériel pour l’attrape-rêves ; c’est dans l’air du temps qui est au recyclage et ça donne un côté unique.
Ensuite j’utilise aussi des rubans que achète ici ou dans les magasins de destockage ou bazar et même sur les marchés.
Pour les perles, dans la mesure où nous sommes partis sur un modèle d’ attrape-rêves en bois flotté , on choisira des perles de couleurs plutôt naturelles et si possible en bois.
Là aussi, on a moyen de retrouver d’anciens bijoux, des vieux colliers de perles en bois qu’on ne portera plus. Récupérons les perles !
Sinon, vous avez toujours la possibilité de les acheter ici
Nous y sommes ! Nous avons le matériel pour la fabrication de notre attrape-rêves.
Là, le bois flotté remplace le cerceau. Il faudra donc créer le contour pour pouvoir effectuer ensuite le tissage.
Pour le modèle choisi, je vous propose de lier entre eux 3 bâtons de bois flotté de taille plus ou moins identique.
Et voilà, votre base est déjà réalisée.
Pour réaliser un tissage d’attrape-rêves, qu’il soit rond, triangle ou carré, c’est toujours la même chose.
Voici une petite vidéo pour vous expliquer un tissage simple d’attrape-rêves :
Donc, pour réaliser le tissage de l’attrape-rêves en bois flotté :
Voilà ! Le plus difficile est fait.
Pour les ornements, vous avez plein de possibilités :
Nouer différents rubans, nouer des fils et y insérer des perles en bois puis des plumes.
Je vous explique en détail la fabrication d’un attrape-rêves dans notre article ici .
Voici 2 différentes façon de placer les ornements sur votre attrape-rêves (il en existe beaucoup !) :
Pour insérer facilement les plumes, enfiler 2 perles sur un morceau de lanière en imitation daim et insérer la plume dans les 2 perles.
La petite astuce : faire un petit point de colle sur la plume juste avant de l’insérer. Ainsi elle ne bougera plus !
Pour découvrir la fabrication en vidéo, c’est ici :
Retrouvez toutes nos vidéos tutos sur YouTube – Les Rêves De Kris
Et si vous souhaitez acheter un attrape-rêves en bois flotté unique, fabriqué main, rendez-vous ici
Je vous ai expliqué dans cet article comment fabriquer votre attrape-rêves à l’aide de branches de bois flotté.
Il y a d’autres façons d’utiliser le bois flotté en gardant le cerceau de l’attrape-rêves.
En voici un modèle que j’ai fabriqué pour une résidence située en bord de plage, dans le Nord.
Entourer le cercle avec une corde et noué les 2 extrémités une fois qu’on a fait le tour complet
Attacher une branche de bois flotté en travers du cerceau à l’aide d’une petite corde
Insérer une ou deux plumes et coller un coquillage ramassé sur la plage
Couper de la ficelle en plusieurs morceaux et insérer des perles à intervalles réguliers.
Insérer des plumes dans les perles.
Ici ce sont des perles que j’ai récupérées sur un ancien collier.
Fixer les ficelles au cerceau et ajouter quelques rubans au cerceau de l’attrape-rêves
Coller de nouveaux coquillages à la base des ficelles pour cacher le noeud et rester dans le thème de la mer
Voilà pour l’attrape-rêves de la mer !
Une alternative au bois flotté ? Si vous faites une balade en forêt – ce qui apporte également un équilibre au niveau du chakra du coeur – ramassez des petites branches de bois, le résultat est tout aussi joli !
>> Et si vous souhaitez acheter un attrape-rêves unique, fabriqué main, n’hésitez pas à visiter notre boutique en ligne
Et vous ? Quelles sont vos idées de recyclage pour vos attrape-rêves ?
N’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires et à nous envoyer vos photos d’ attrape-rêves en bois flotté
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Bienvenue sur le site Les Rêves de Kris.
Création d’orgonites et d’attrape-rêves.
Apprenez à fabriquer vos dreamcatchers facilement grâce :
– aux vidéos tutos pour la fabrication d’attrape-rêves disponibles sur ma chaine Youtube
– aux notices et nombreuses photos que vous recevrez par mail
Je réalise aussi des modèles pour celles et ceux qui le souhaitent.
Elève assidue dans plusieurs studios de yoga, je vous propose aussi des articles yoga, méditation et bien-être et vous transmets mes bons plans (matériel, choisir son style de yoga, cours en ligne etc..)
Enfin, rééquilibrez vos centres énergétiques grâce aux orgonites que je fabrique dans mon petit atelier
Alors évadez-vous un instant avec moi et croyez en vos rêves !
Les Rêves de Kris, Blog consacré aux Attrapes-Rêves, au Yoga et au Bien-être.
Vente d’orgonites fabriquées artisanalement
Je vous propose aussi des tutoriels pour vous apprendre à réaliser vos attrapes-rêves .
Créatrice d’attrape-rêves et d’orgonites, je vous propose des modèles d’attrape-rêves faits main sur mesure, et des orgonites en galet ou dôme pour l’équilibre de vos chakras ou encore des orgonites pyramide pour protéger la maison des pollutions énergétiques
Vous trouverez également des articles pour vous permettre de découvrir le yoga .
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Le Bois dont les rêves sont faits
Une découverte curieuse, intrépide, tendre et de toute beauté
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Lundi 29 août, nous reprenons nos fils d'actualité et nos chroniques sur les publications et événements culturels les plus récents.
Claire Simon a planté sa caméra pendant quatre saisons dans le Bois de Vincennes… On s’attend à ce que la « pioche » d’images soit modeste, pour ne pas dire banale… Et, surprise, émerveillement même, il en ressort un film d’une richesse de caverne d’Ali Baba… Certes, on ne coupe pas à ce que tout le monde connaît… Des plans (très beaux tout de même !) de coureurs, de promeneurs, de piqueniqueurs, de cyclistes ou d’amoureux. Mais ce ne sont là, en fait, que des séquences « d’appel ». Car d’allées en bosquets, de pelouses en buissons, nous voilà entrainés à la découverte d’un monde qu’on ne soupçonnait pas, ou plus exactement, de plusieurs mondes, mystérieux et secrets qui s’emmêlent, se juxtaposent ou s’imbriquent. Grâce à la caméra si curieuse, si intrépide et si tendre aussi de la cinéaste, on en apprend de belles sur ce Bois de Vincennes ! Qu’il abrite, par exemple, des passions avouables, comme celle de ce travailleur pour ses colombes. Qu’il en cache d’autres qui le sont beaucoup moins, comme celle de cet homme pour le « voyeurisme ». Ou aussi qu’il accueille toutes sortes d’humains, des inadaptés à la vie urbaine, des solitaires qui ne conçoivent la vie qu’en ermite, des réfugiés qui viennent se donner l’illusion de retrouver leurs racines, etc... Commentée par la cinéaste, la « visite » va durer 2h25 . On ne verra pas le temps passer.
- Le pari même de l’entreprise. Ce n’était pas gagné d’avance de réussir à transformer un Bois aménagé pour les loisirs des citadins en «objet de désirs» cinématographiques. Sur ce plan là, la réussite est totale.
- Certains témoignages du film qui laissent bouche bée, soit parce qu’ils sont poignants, comme celui de cet homosexuel qui vient dans le bois pour essayer d’oublier sa solitude (quel doigté a-t-il sans doute fallu à Claire Simon pour recueillir ses propos), soit parce qu’ils sont d’une franche cocasserie, comme celui de ce pêcheur à la ligne qui, affirme- t il avec assurance, n’a « jamais tué de poisson ».
- La beauté des images. Claire Simon aime la nature. C ‘est visiblement pour elle une source de poésie et d’inspiration.
- L’humanité qui irrigue chaque séquence du film. Claire Simon aime les gens, et les respecte. Cet amour et ce respect transparaissent d’un bout à l’autre du film.
- L’hommage rendu au « passé » du Bois. On l’avait oublié, mais, dans les années 1970, Vincennes abrita une université expérimentale dont l’un des professeurs était Gilles Deleuze. Claire Simon fait revivre cette université, en faisait apparaître le philosophe en surimpression sur les ruines du bâtiment. La séquence « impressionne » beaucoup.
- La durée de certaines séquences. Si certaines paraissent un peu trop longues (celle consacrée aux cyclistes, par exemple), d’autres (comme celle du colombophile) auraient peut-être mérité un traitement plus approfondi. Mais c’est bien sûr très subjectif !!
- Le commentaire. Tout beau, intelligent et nécessaire qu’il soit, il souffre, par moments, d’un léger excès de lyrisme (défaut très mineur).
Un morceau de nature encerclé par les villes, qui s’est transformé en un refuge rêvé (et pourtant bien réel) pour toutes sortes d’êtres vivants, et pas seulement des humains… Avant ce documentaire passionnant d’un bout à l’autre… qui aurait pu le croire ? Face à ce « Bois dont les rêves sont faits » impossible de rester de... marbre.
Née à Londres en 1955, c’est dans le Var que Claire Simon passe la majeure partie de son enfance. Plus tard, étudiante en ethnologie, elle apprend l’arabe et le berbère, et part pour Alger où elle décroche des stages de montage à la Cinémathèque. A son retour en France, elle refuse d’intégrer une école de cinéma, et tourne en autodidacte, dès les années 70, ses premiers courts-métrages. Ayant découvert aux Ateliers Varan les vertus du cinéma direct, elle décide de s’orienter vers le documentaire. Outre plusieurs « courts », et parallèlement à son travail de monteuse, elle réalise en 1991, pour le petit écran, « Scènes de ménage », une série de dix petits films où elle s’amuse à brouiller les frontières entre documentaire et fiction. Elle ne cessera plus d’alterner les genres ou de les mélanger dans la même œuvre. Exemple, en 2007, « les Bureaux de Dieu », tourné, avec Nathalie Baye dans un centre de planning familial ou encore, en 2013, « Gare du Nord », avec Nicole Garcia, entièrement réalisé dans la gare parisienne.
« Le Bois dont les rêves sont faits » est un documentaire à part entière sur le bois de Vincennes, où elle aime venir s’évader dès qu’elle le peut, pour,dit elle, être « dans une fiction de la Nature »
À Annie et Mary Émilie Danchin exprime dans son travail des questionnements qui traitent du réalisme de la photographie en faisant intervenir le corps dans l’espace photographique. Celle-ci est vivante. C’est une aventure, et ce qu’Émilie Danchin représente est une forme de rêve éveillé, ancré dans la matière, un réel légèrement halluciné, plus ou moins habité ou animé. Dans cette perspective, l’acte photographique débouche sur une phénoménologie intime et la création progressive d’un langage plastique capable de retranscrire un vécu chargé d’images et d’affects qui, dans leur universalité, sont susceptibles d’émouvoir, de renverser la pensée et de faire rêver.
Émilie Danchin présente ici Le Bois des Rêves , le fruit d’un travail de performance et de photographie effectué dans une propriété remarquable par son architecture et ses jardins dans le style Arts and Crafts. Ce site patrimonial se prêtait à sa proposition d’investir librement un espace et un corps, le sien en l’occurrence, dans un lieu étranger qui permette d’aborder la question des origines de façon paradoxale, c’est-à-dire partant d’un lieu originel qui aurait lui-même disparu. Or, cette propriété convoquait, toutes mémoires confondues, son propre lieu de naissance anglais, les maisons grand-maternelles, leurs jardins à la campagne et à la mer, le bain, les tissus, les boiseries, les odeurs, les vêtements, les meubles, la musicalité... toute une atmosphère qui lui est globalement, culturellement familière. Et simultanément, elle rappelait l’absence, les personnes disparues, l’effraction, le vide corporel, la maison restée jusqu’il y a peu au sein d’une même famille, la perte, la filiation qui s’est interrompue.
En pratiquant l’autoportrait, Émilie Danchin s’est demandé quel visage prendrait l’intérieur de la maison. Quels émois l’extérieur de la maison traduirait-il dans les paysages qu’elle produirait ? Comment allait-elle extraire son corps de la matière pour le faire apparaître dans un paysage qui lui ressemble ? Comment le temps s’immiscerait-il dans ce lieu hypermnésique où son propre corps, son peignoir, certains de ses vêtements mêlés à ceux ayant appartenu à trois générations de femmes, la maison, le jardin, l’acte photographique lui-même sont devenus ensemble la matrice d’une capitale fiction identitaire ? Il s’agissait pour elle de fonder l’espoir d’investir un espace, sorte de double d’un autre espace imaginaire, qui puisse laisser transparaître et combler une forme d’absence, le lieu des origines, lointain et proche, inaccessible, effacé, supprimé, sorti du corps et de la maison et néanmoins, inaliénable.
Le Bois des Rêves est porté par les déclinaisons du corps de l’artiste devenu la mesure sensible de ce que le lieu pouvait susciter. Et de manière équivalente, le lieu a donné vie à des souvenirs dénués de matérialité, dont les contours un peu flous n’auraient pas pu saillir sans cette mise en scène indissociée de son corps et de l’
Le père est dans la pièce et le fils baise la mère
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Deux jeunes et jolies françaises, une brunette et une blondinette, vont se fait démonter dans un club libertin par deux jeunes hommes assoiffés de sexe.