Qui peut la secouer le mieux

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Qui peut la secouer le mieux

Messieurs, aujourd’hui je vais vous révéler un secret.
Si vous avez déjà été dans une longue relation amoureuse ou si vous êtes en couple en ce moment même, vous le connaissez peut-être déjà.
Pourtant, la plupart des hommes ignorent complètement ce que je vais vous dire maintenant.
Les femmes ne cherchent pas à cacher cela, mais pour une raison ou une autre, cette information est passée à la trappe.
Oui, quand une femme se dispute avec vous, cela veut dire qu’elle tient à vous.
Cette situation peut vous paraître ridicule, mais c’est vrai.
Plus une personne se bat pour réparer ce qui semble être brisé au sein de votre couple, plus elle tient à vous.
Vous devriez donc presque apprécier ses remises à l’ordre.
Ce sont des signaux qui vous annoncent la couleur : si vous ne réagissez pas, vous allez la perdre définitivement.
C’est lorsqu’elle ne vous envoie plus de signaux que vous devez vous inquiéter.
En effet, c’est le premier signe qui prouve qu’elle ne se préoccupe plus tellement de vous.
Le silence d’une femme blessée est dangereux.
Je vais vous poser une question : est-ce que vous préférez entendre le tremblement de terre venir ou être surpris par ses secousses ?
Une autre question : est-ce que vous préférez que votre partenaire vous dise ce qui ne va pas dans votre couple ou qu’elle vous quitte sans préavis ?
Le silence d’une femme blessée est exactement ça : un rappel à l’ordre, un avertissement.
Une femme qui souhaite faire des efforts pour que votre couple fonctionne va s’exprimer.
Certes, ce ne sera pas toujours d’une manière saine.
Parfois, elle criera… Parfois, elle pleurera…
Mais tout cela fait partie de ses tentatives (souvent vaines) pour sauver votre couple de la rupture.
Le silence d’une femme blessée peut vouloir dire dix choses différentes.
Quand elle a essayé de réparer les choses maintes fois…
Quand elle a dit tout ce qu’elle avait dit…
Se battre ou expliquer les choses semblent inutiles.
Alors, au lieu de continuer à se faire du mal ou de vous faire du mal, elle accepte la situation telle qu’elle est.
Elle ne veut pas perdre plus de temps ou d’énergie.
Elle a tout fait pour sauver votre couple.
Elle vous a donné plusieurs chances de réparer les choses.
Maintenant, elle comprend que tout cela a été inutile. Donc elle a mal.
Ainsi, le silence d’une femme blessée peut vouloir dire qu’elle a besoin de se retirer pour prendre soin d’elle-même et pour guérir.
Elle sait parfaitement qu’elle a besoin d’être seule pour aller mieux donc elle prend peu à peu ses distances.
Une fois qu’elle a essayé de vous faire comprendre vos problèmes, elle veut faire une pause.
Après tout, pour faire avancer votre couple, elle a demandé des conseils à ses amis et à sa famille.
Mais tout cela n’a fait que compliquer les choses.
En effet, les conseils n’étaient pas toujours judicieux.
Alors, le silence d’une femme blessée peut vouloir dire qu’elle choisit de se débrouiller seule.
Le silence d’une femme blessée peut signifier que sa décision finale a été prise.
Et elle ne va pas faire marche arrière.
En fait, elle a simplement besoin de prendre son temps pour choisir la meilleure façon de le faire.
Parfois, le silence d’une femme n’est pas toujours lié à votre relation amoureuse.
En effet, elle a peut-être choisi de passer plus de temps avec ses amies, de se mettre au sport ou de lancer un business.
Bref, si votre relation bat de l’aile et que votre partenaire est silencieuse, cela signifie simplement qu’elle choisit de vous ignorer et de se concentrer sur ce qu’elle aime vraiment.
Votre couple a traversé des moments difficiles.
Vous avez essayé de faire des efforts, mais cela ne vous a pas amené là où vous l’espériez.
Mais une chose est sûre : l’homme dont elle est tombée amoureuse lui manque.
Elle veut se blottir dans vos bras, mais elle ne se sent pas suffisamment à l’aise pour faire cela.
Ses propos vous ont blessé, elle le sait !
Mais elle a encore beaucoup de choses à vous dire.
Pourtant, elle n’a pas envie de continuer à vous faire du mal.
Dans ce cas, le silence d’une femme blessée veut dire qu’elle vous donne l’espace nécessaire pour comprendre ses propos et guérir votre coeur.
Bref, elle fait un gros sacrifice par rapport à ses désirs et besoins pour vous !
Votre partenaire n’a pas envie de rompre avec vous, mais elle n’en peut plus.
En effet, elle a été bouleversée et blessée par votre dernière dispute.
Elle voit bien que vous ne comprenez pas le message qu’elle essaie de véhiculer.
Votre partenaire a vraiment envie de faire fonctionner votre couple, mais elle a aussi besoin d’être tranquille pendant un moment.
C’est un peu l’apanage des femmes : la suranalyse !
En effet, votre partenaire s’inquiète… Elle veut savoir si vous l’aimez, si elle aurait dû faire les choses d’une autre façon, etc.
Elle coule sous les émotions et elle n’arrive plus à les gérer.
Le silence d’une femme blessée peut être un dernier appel à l’aide, que vous êtes censé saisir.
Elle a tout fait : elle vous a parlé, elle a crié, elle a expliqué les choses.
Pourtant, elle sait que si elle n’exprime pas clairement le fait que vous allez la perdre, vous n’allez jamais comprendre.
Mais elle a besoin de regrouper ses dernières forces pour ça.
Mais votre histoire l’a rendue vulnérable.
Une femme qui se dispute avec son partenaire est une femme qui ressent des émotions profondes pour lui.
Si ce n’était pas le cas, elle ne prendrait pas la peine d’écouter ses sentiments.
Amoureuse, une femme peut perdre le contrôle de ses réactions lorsque son partenaire fait quelque chose qui la blesse ou qui lui montre qu’il manque de respect pour elle.
C’est alors que vous devez vraiment écouter ce qu’elle essaie de vous dire.
Dans ces moments intenses, elle cherche simplement à attirer votre attention.
Elle veut vous signaler un ou plusieurs problèmes que vous avez ou que votre couple commence à traverser.
Vous devez donc faire preuve de compréhension et de patience.
Quand elle parle, hurle ou pleure, elle traverse une tempête d’émotions.
Vos actions ne sont pas corrélation avec ce qu’elle attend de vous. 
Elle est déçue, mais elle est aussi inquiète pour votre avenir commun.
Elle a donc besoin de vous entendre lui proposer des solutions, des options.
Surtout, elle a besoin de voir que vous comprenez la gravité de la situation.
Cette tempête qui se trouve au fond d’elle est très puissante et elle n’arrive pas à la calmer seule.
Le fait qu’elle parle ou crie est sa façon à elle de lâcher du lest.
Elle laisse la tempête s’enfuir peu à peu.
Lorsqu’elle manque de force pour se battre pour votre relation ou quand elle cesse d’être à l’aise avec vous pour partager ses secrets et ses expériences, c’est alors que son silence est dangereux.
Oui, le silence d’une femme blessée est l’annonce d’une tempête silencieuse destructrice.
Et cela est bien plus dangereux que ses paroles ou ses cris.
Le silence d’une femme blessée est le signe qu’elle ne pense plus à vous comme quelqu’un qu’elle peut continuer à aimer.
Elle ne voit plus votre relation amoureuse comme un lien émotionnel qui peut durer.
Lorsqu’une femme se tait soudainement après de longues conversations, sachez que vous avez perdu toutes les chances.
Il n’y a plus de retour en arrière possible.
Les femmes aiment exprimer leurs sentiments avec des mots.
Elles aiment dire ce qu’elles pensent parce que les mots reflètent la profondeur de leur âme.
Alors, quand il n’y a pas de mots, quand il n’y a que le silence d’une femme blessée, c’est le début de la fin.
C’est très certainement parce qu’elle ne ressent plus rien pour vous.
Ou alors, c’est parce qu’elle a finalement compris que votre relation amoureuse ne vaut plus la peine d’être sauvée.
Quand une femme commence à être silencieuse, plus rien de ce que vous dites ou faites peut lui faire changer d’avis.
Même si elle ne vous dit rien, sa décision est prise.
Elle n’est plus amoureuse de vous ou elle est bien trop déçue par votre comportement pour vous donner une autre chance.
D’abord émotionnellement, ensuite physiquement.
En effet, votre partenaire ne va pas vous quitter du jour au lendemain.
C’est là que le silence d’une femme blessée devient un signe avant-coureur de la douleur qu’elle s’apprête à vous infliger.
Puis, elle va se replier sur elle-même.
Ensuite, elle va finalement accepter la situation et se laisser aller.
Le silence deviendra alors son meilleur ami.
Le silence d’une femme blessée vous donne beaucoup d’opportunités pour réfléchir.
Il vous permet de vous poser et de peser le pour et le contre.
Le silence donne aussi à son partenaire le temps de se préparer pour le coup final.
Sauf s’il est idiot, il comprend bien que quelque chose se prépare.
Pourtant, c’est bel et bien ce qui va se passer.
Votre partenaire va vous quitter sans une seule explication. Sans se retourner. Sans vous donner une énième chance.
Vous allez être pétrifié et confus.
Comment est-ce que vous n’avez pas vu ça venir ?
Pourtant, si vous aviez ouvert les yeux, vous auriez pu voir tous les signes se manifester, un par un.
En effet, vous auriez compris qu’avec ses cris et ses disputes, elle était en train de vous réveiller.
Elle essayait de vous faire comprendre que quelque chose devait changer.
Alors, elle s’est sentie blessée et peu à peu, ses paroles ont été remplacées par le silence.
Ce même silence qui vous a menés à la rupture.
Alors, n’ayez pas peur de vous disputer avec votre femme.
N’ayez pas peur de ses paroles et de ses larmes.
Craignez le silence d’une femme blessée et son refus de parler.
Cela signifie qu’elle ne veut plus se battre pour vous, cela signifie qu’elle est prête à partir irrémédiablement.
Posted on Last updated: avril 13, 2022
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Bébés secoués : le mieux est-il l’ennemi du bien ?

Longtemps ignoré en France, bien que décrit dès le début des années 70 en Grande-Bretagne, ce SBS a enfin été l’objet de recommandations nationales adoptées par la Haute autorité de Santé (HAS) en 2010, recommandations réactualisées en 2017. Ces préconisations permettent d’orienter le diagnostic de SBS et sa prise en charge. La publication de ces recommandations s’est accompagnée d’une sensibilisation des professionnels de santé et des familles. Ainsi, désormais, le carnet de santé remis aux parents lors de la naissance comporte différents conseils en cas de surmenage ou de sentiment d’être dépassé. Le danger des secouements, même légers, est clairement signalé. Par ailleurs, chaque 8 janvier, une journée de sensibilisation est organisée par l’association Tatiana, qui rappelle les conséquences graves du fait de secouer un nourrisson.
Ces actions pourraient connaître des résultats tangibles. Parallèlement à une attention plus soutenue des équipes hospitalières, le nombre de SBS repéré tendrait à diminuer. Ainsi, dans un article consacré à ce sujet par le Monde , le neurochirurgien Matthieu Vichon (CHU de Lille) qui tient un registre des traumatismes crâniens du nourrisson fait état d’une forte diminution en 2018 par rapport aux années précédentes. En Touraine, une charte de prévention du bébé secoué adoptée par le parquet de Tours, le conseil départemental, le CHU de Tours, le Pôle Santé Vinci, la maternité de Chinon et des associations de pédiatres et de sages-femmes libérales a conduit à une forte sensibilisation. Et là encore, le nombre de cas rapportés a considérablement régressé : un seul cas a été recensé en 2018 contre quatorze entre 2015 et 2017. « On ne peut pas prouver précisément le lien entre cette campagne et la baisse du nombre de bébés secoués déclarés. Ce n’est pas une science exacte, même si on peut se réjouir du résultat » précise Cécile Ancelin, substitut au parquet de Tours, dans la presse locale.
Ces données contrastent avec l’idée parfois avancée par certaines associations de parents d’une augmentation des cas de SBS, voire d’une multiplication de diagnostics erronés, jetant des familles innocentes dans une spirale infernale. Suspectés de répondre par l’excès à des années de négligence, certains services hospitaliers élimineraient trop rapidement certains diagnostics différentiels. Aussi, quelques familles dont les enfants sont atteints de maladies rares et pour lesquels un SBS avait été incorrectement suspecté, se sont réunies en associations et dénoncent des placements abusifs. La majorité des spécialistes du droit et des professionnels de santé se récusent contre l’idée d’une tendance au sur-diagnostic. S’ils reconnaissent la possibilité de quelques erreurs fortement dommageables, ils signalent la nécessité d’accorder la priorité à la protection des enfants : tel fut notamment le sens d’une tribune d’experts publiée il y a quelques mois dans le Monde en réponse à un autre texte écrit par des parents accusés.
Cependant, alors qu’une controverse ancienne existe en France et à l’étranger, qui concerne notamment les signes cliniques et anatomiques devant conduire au diagnostic du SBS, certains praticiens invitent eux aussi à un certain recul. « Aujourd’hui, on assiste à une véritable fuite en avant dans les diagnostics de SBS, sans prise en compte des facteurs endogènes de fragilité des nourrissons. Les recommandations de la HAS ont pour but de guider les pratiques et d’alerter, pas de constituer une référence scientifique » observe par exemple cité par le Monde , le neuropédiatre Bernard Echenne. Cette perception n’est cependant pas unanimement partagée. « La démarche diagnostique du SBS est rigoureuse, et passe par l’élimination de certaines pathologies, listées dans nos recommandations. Des causes souvent alléguées par les auteurs [de violence], comme une chute de faible hauteur, ne sont pas recevables », assure Anne Laurent-Vannier chef du service de rééducation des pathologies neurologiques acquises de l’enfant au sein des hôpitaux de Saint-Maurice, qui se montre très critique vis-à-vis d’un rapport officiel suédois qui aurait remis en cause les critères diagnostics du SBS et qui est depuis mis en avant par ceux qui redoutent une « fausse épidémie ».
Est-on face à un nouvel exemple, même en l’absence d’enjeux financiers, d’une dérive de l’utilisation par des non spécialistes (soutenus par certains spécialistes) de données complexes pour servir des thèses controversées et dangereuses, constate-t-on une nouvelle mise en avant de l’expérience personnelle érigée en principe face au consensus global ou s’agit-il d’une mise en garde justifiée face à une sur réaction après des années d’indolence ?
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On a tous vu des concerts pendant lesquels les spectateurs passent des heures à remuer la tête. Cela s’appelle le head banging. C’était à l’origine une façon d’augmenter les effets de certaines substances, surtout de l’alcool, mais un fan a été victime d'un hématome sous-dural à force d'avoir secoué la tête lors d'un concert de hard rock. Et d’après les spécialistes du cerveau, ce serait loin d’être rare : remuer trop sa tête pendant un concert peut provoquer des accidents vasculaires cérébraux (AVC).
Cette pratique consiste à secouer la tête, sur le rythme d’une musique rock. Elle est apparue en 1968, lors d’un concert de Led Zeppelin. Elle n’a, depuis, pas cessé d’évoluer, accompagnée de son lot de légendes.
Le « head banging » était dev
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