Quelques coups de reins avec des homosexuels

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Quelques coups de reins avec des homosexuels





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Utilisateur anonyme
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Modifié par mdv3075 le 5/05/2014 à 17:56






begonie



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lafouine.



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5 mai 2014 Ă  17:54




Bonjour

Rien ne te dis que les personnes que tu qualifie de gay le sont en réalité.

Les hommes efféminé ne sont pas tous gay.
Leur façon de s'habiller ou de marcher ne font pas de eux des personnes automatiquement gay non plus .

Je connais des hommes trÚs efféminé qui sont hétéro à 300 %.
Et des homosexuels qui n'ont rien d'efféminé je t'assure :)





Utilisateur anonyme


5 mai 2014 Ă  18:19




Bonjour,

Tu as raison, j'ai un ami de ma classe qui fait vraiment penser et qui ne l'est pas.
Il n'empĂȘche que je le ressentais, je ne peux pas l'expliquer.

En attendant, tu ne réponds pas au sujet et ne m'aides pas.

Bonne journée.

mdv3075







ptiboy



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5 mai 2014 Ă  18:30




bonjour

et c'est quoi au juste, ta question?







Utilisateur anonyme




5 mai 2014 Ă  21:41




Je ne l'ai pas posé mais elle semble claire. Je veux qu'on m'aide.


claustra
6 mai 2014 Ă  04:35




bonjour, Essayez de ne plus regarder les garçons, mais les filles pour voir ce que ça donne...

Donc faites le test pendant quelques temps, et ne regardez plus des films gays, mais des films avec des hétéros, là aussi au moins pour voir quel effet ça fait et pour pouvoir comparer.

Attendez assez longtemps pour faire votre choix. Il ne faut pas que vous vous classiez trop tÎt dans une catégorie. Essayez de vous projeter quinze ou vingt ans plus tard.

Il est vrai que les esprits Ă©voluent, mais il se peut qu'en milieu scolaire il soit prĂ©fĂ©rable d'ĂȘtre assez neutre.

Si vous ĂȘtes douĂ© en classe, pensez Ă  votre avenir pour essayer d'avoir une bonne situation. Pensez que vous avez de la chance par rapport Ă  ceux qui ont du mal avec les diffĂ©rentes matiĂšres scolaires. Concentrez vous un peu sur vous aussi.





Utilisateur anonyme


6 mai 2014 Ă  10:40




Bonjour,

Je ne regarde plus de films depuis longtemps. Dans ma classe il y a juste une fille qui pourrait me plaire, mais les garçons c'est vraiment trop fort.

Je pense ĂȘtre plus heureux dans mon coeur si je m'en trouvais un, peu importe que les autres le sachent...
Je pense aussi qu'il me faut une certaine sĂ©curitĂ© et appui, car au primaire, je vivais avec ma mĂšre et ma soeur, qui ne m'ont pas appris Ă  vraiment me dĂ©fendre. A l'Ă©cole, on se moquait beaucoup de moi parce que j'Ă©tais petit, et mĂȘme en 6Ăšme ça Ă©tĂ© dur de s'intĂ©grer.
AprÚs, je ne vois pas ce qui pourrait faire que je suis attiré vers un homme...

Comme vous me dites, je vais essayer d'oublier les garçons, mais c'est ce que je m'Ă©tais dit pendant lĂ  6Ăšme et 5Ăšme un peu. C'est plus fort que moi et le fait que je cache ça et pourquoi pas au moins tester d'ĂȘtre avec un garçon? Ben j'en ai marre, ça me fatigue. Ca fait plusieurs annĂ©es que ça me travaille.

C'est pourquoi je réfléchis à mettre fin à ses souffrances en partant de ce monde.
Peut-ĂȘtre que s'il y a un aprĂšs, ce ne sera pas plus heureux, mais au moins je mettrais un terme Ă  ces souffrances lĂ .





Utilisateur anonyme


6 mai 2014 Ă  10:47




En ce moment je suis trop triste et trop stressé, je ne veux plus travailler.

Je n'ai plus le goût de rien faire, mes notes sont vraiment en baisse, ma mÚre s'énerve parce que je ne parle plus beaucoup, je ne mange que la moitié de mon assiette.

Oui, c'est sûr que plus tard j'aimerais avoir une belle maison, un beau métier et vivre dans une ville qui me plaßt etc... mais là j'ai plus envie de faire quelque chose.
Ca fait plus d'une semaine que je suis en vacances et je n'ai toujours pas commencé mes devoirs avec un exposé à préparer pour le mardi de la rentrée... J'ai plus envi de rien et le fait qu'il y ait plein de choses à faire ça me donne encore moins envi de les faire.







lafouine.



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6 mai 2014 Ă  10:56




De toute façon si tu es homosexuel tu ne deviendras jamais hétérosexuel.
MĂȘme si tu arrĂȘte de regarder les garçon .

Et si tu essayais de parler avec des professionnel .
Pour te permettre de comprendre ou tu en es .

Il existe la maison des adolescents . https://www.filsantejeunes.com/mda
Essais de voir . Ils peuvent peut ĂȘtre t'aider .







begonie



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6 mai 2014 Ă  11:03




Bonjour.

" Un/e psychologue? J'ai en ai déjà vu plusieurs pour des problÚmes à l'école, ma mÚre, mais à chaque fois je garde ça pour moi, aussi parce qu'il/elle risque de le répéter à ma mÚre. "

Tu donnes l'impression d'ĂȘtre un peu perturbĂ© et surtout anxieux ce qui te fait chercher lĂ  oĂč il n'y a probablement pas de solution constructive te permettant de continuer ton dĂ©veloppement normal d'une façon plus satisfaisante, mĂȘme si l'adolescence est une Ă©tape de vie parfois trĂšs turbulente et difficile Ă  traverser.

Le problĂšme c'est que tu n'arrives pas Ă  parler de tes Ă©motions et tes frustrations et autres sentiments dont la dĂ©prime quand-mĂȘme.

Ta volonté de garder ce vécu pour toi ne t'aide donc pas.

Ce serait vraiment utile de reprendre contact avec un des psychologues, rapidement , en prenant encore un rendez-vous aujourd'hui tout en expliquant ces problĂšmes et ton besoin d'aide.
Je t'encourage vivement de te donner vraiment ce moyen de t'exprimer mĂȘme si c'est difficile.
Le psychologue ne va pas faire un compte-rendu et l'envoyer Ă  ta maman.
Explique lui carrĂ©ment que tu as des difficultĂ©s pour t'exprimer et c'est peut-ĂȘtre mĂȘme liĂ© au fait que tu n'arrives pas Ă  mettre des mots sur les maux.




Avortement couple détruit
La salmonelle est elle detruite a la cuisson
Anus détruit
Matrice ongle détruite
Boire le thé la nuit détruit les reins

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Ronald Crumpley arrĂȘtĂ© aprĂšs sa fusillade au Ramrod. « Je n’en ai pas descendu assez. Ces salopes ruinent le pays » a-t-il dĂ©clarĂ©. Photo Jeffrey D. Smith

Nous voici avec Alain Bizos le photographe d’Actuel Ă  l’hĂŽpital Saint-Vincent, Nord Manhattan. RenĂ© Matute, le premier blessĂ© de la fusillade de West Street, nous attend. Nous pĂ©nĂ©trons dans une des salles communes du quatriĂšme Ă©tage. Quelques vieillards s’agitent dans les lits de fer ou regardent le plafond. L’un d’entre eux se redresse toutes les deux minutes et crie : « Help me, Help me! ».
 Nous tirons le rideau qui isole Matute et restons stupĂ©fait. Un solide gaillard en string de cuir s’étire sur les draps. Il porte une casquette d’officier et son bras blessĂ© repose dans une gaine de peau cloutĂ©e Ă  ses initiales. MĂȘme Ă  l’hĂŽpital, RenĂ© Matute reste « leather », « cuir », une sous-culture trĂšs prĂ©sente dans les milieux gays, associĂ©e Ă  tout un fĂ©tichisme vestimentaire et des pratiques sexuelles extrĂȘmes et ritualisĂ©es comme le BDSM.
Matute sourit sans enthousiasme Ă  l’idĂ©e d’ĂȘtre prĂ©sentĂ© en Europe et Ă  Paris comme un martyr de la cause gay. Il nous montre ses blessures d’un air piteux. Deux Ă  la jambe, deux au ventre, deux Ă  l’épaule. Certains linges sont encore sanglants :
« J’ai senti comme de lĂ©gĂšres pichenettes je me suis Ă©croulĂ© sans comprendre. Le sang a commencĂ© de couler. Je me suis Ă©vanoui. La souffrance est venue au rĂ©veil, ici. Les jours suivants des dizaines de gay sont venus me voir. Plusieurs ont donnĂ© leur sang. Ils m’apportaient des livres, des fleurs. On m’a offert cette radio. Des inconnus m’ont achetĂ© une chaise roulante victorienne. Je n’ai jamais Ă©tĂ© aussi entourĂ©. »
Une heure plus tard, nous voilĂ  accoudĂ©s au long comptoir laquĂ© noir du Ramrod, exactement lĂ  oĂč commence le film « Cruising ». Nous avons mis un Ă©pais pilier entre nous et la fenĂȘtre Ă  travers laquelle un tueur straight pourrait tirer dans la foule. La parano d’Ed nous a gagnĂ©. Le Ramrod reste un des hauts lieux de la mythologie gay new-yorkaise. C’est la qu’apparurent dĂšs 1973 les premiers homosexuels bardĂ©s de cuir, virils et musculeux comme les aimait GenĂȘt, en rĂ©action contre les tendances chevelues, effĂ©minĂ©es et folles du dĂ©but des seventies. Depuis, le mouvement a pris de l’ampleur. Aujourd’hui la moitiĂ© des homos de la ville portent la moustache, pratiquent le body building et s’habillent clean. Certains affectionnent les bottes montantes, le cuir sur la peau nue et adoptent volontiers une allure martiale. D’autres prĂ©fĂšrent le style camionneur en dĂ©bardeur ou cow-boy en chemise Ă  carreaux

Je dĂ©barque chez Jean vers une heure du mat. Il regarde d’un oeil Ă©cƓurĂ© la tĂ©lĂ© porno par cĂąble. C’est l’heure d’Ugly George. Le nez Ă©pais comme une bintje, de gros boutons sur le dos, Ugly George saute chaque semaine en direct une tĂ©lĂ©spectatrice volontaire. Il reçoit un courrier fou. Cette fois, il besogne une certaine Sharon, une blonde fadasse aux seins Ă©normes qui roucoule Ă  chaque coup de reins. DĂ©goutĂ© Jean Ă©teint.
– Mais comment fais-tu pour faire l’amour avec une femme ? Tu aimes vraiment ces grosses mamelles, ce sexe qui bave, pouah !
-Tu deviens straight pour le coup, mon vieux. Toi comment fais-tu pour pas passer tes nuits avec des corps identiques au tien ? A la longue, j’aurais l’impression de me baiser moi-mĂȘme.
En Ă©coutant Jean ce soir-lĂ  expurger son dĂ©goĂ»t physique des femmes, je me suis rendu compte que je n’étais pas un homo pur et dur. Je n’éprouvais pas du tout comme lui cette rĂ©pugnance devant les femmes. Au contraire. J’étais toujours attirĂ©, aimantĂ©, fascinĂ© par elles, par leurs formes, leur grĂące, leur cul, leur chatte, leurs sĂ©duction, curieux de leurs Ă©lans, leur jouissance, toute leur personne – elles demeuraient un mystĂšre Ă  explorer, l’Autre irrĂ©ductible. Cela dit, cela ne m’empĂȘchait pas d’ĂȘtre attirĂ©, je l’ai dit, par certains garçons. Tel Jean. En cela, je me pense bisexuel – ou alors sexuel tout court
 au delĂ  des genres
 au grĂ© des rencontres
 et de l’amour

Jean a allumĂ© un pĂ©tard d’herbe californienne et a repris, langue de vipĂšre.
-Alors tu as vu les ploucs du Ramrod ?
-Les ploucs ?
-Mais oui, ils sont minables, ils sont tous en cuir, astiquent leur ceinturon et vont parader lĂ -bas pendant des heure! Aujourd’hui, les pĂ©dĂ©s suivent la mode comme des moutons. Les clones d’un cĂŽtĂ©, les cuirs de l’autre, tout ça est nul.
-Je me demande quand mĂȘme si le trip rĂ©pĂ©tĂ©, cuir, sado-maso, nazi ne finit pas par perturber quelques mecs style Ronald Crumpley 

-Allons ma poule, il ne faut pas croire que seuls les pĂ©dĂ©s sont pervers. C’est le mĂȘme cinĂ©ma chez les hĂ©tĂ©ros. Les petites annonces sado-masos pullulent dans Screw, Pleasure , les journaux pornos straight. Ça partouze hĂ©tĂ©ro sĂ©rieux dans les boites comme Plato’s Retreat . Que la grande consommation du sexe perturbe les petites tĂȘtes, c’est normal. Chez les gay, les trois quarts des mecs en cuir sont de gentils employĂ©s de bureaux qui courent les magasins de fringues. TrĂšs peu s’accrochent au mur pour se faire mettre un poing dans le cul. Il faut ĂȘtre trĂšs sur de soi et de ses amants. Si tu veux voir ça, va au Mineshaft , Washington Street. Mais si tu veux dĂ©couvrir la grande folie pĂ©dĂ© hebdomadaire, file au Flamingo , la boĂźte fĂȘte ce soir son sixiĂšme anniversaire.
-Tu viens avec moi ?
-Non, je préfÚre aller au sauna. »
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