Quelques coups de langue généreux entre mecs

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Quelques coups de langue généreux entre mecs

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Comme sur Russell Tovey, les oreilles décollées ça peut être sacrément sexy ! Crédit : Shutterstock

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Les Instagays sont-ils plutôt slip ou caleçon ?


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Oreilles décollées, coquetterie dans l’œil, cheveux sur la langue… Pour certains, ce n’est tout simplement pas possible. Pour d’autres, c’est le petit truc qui va les faire craquer. Pour nos témoins, ce sont ces particularités qui font que leur mec est « le meilleur » …
On ne va pas se mentir, si on peut avoir un mec qui ne ressemble à personne, qui est unique, que l’on va remarquer assez vite, on est fier. Laurent (46 ans, de Quimper) se rappelle ce qui l’a fait craquer chez son chéri : « Je suis fan de rugby et j’allais de temps en temps assister à un match amateur près de chez moi. Un jour, j’ai remarqué un garçon. Non pas pour sa gueule d’ange ou ses pecs développés, mais pour ses jambes arquées. Je ne voyais qu’elles. Et plus le match avançait, plus je trouvais le joueur en question super sexy. Je me suis débrouillé pour aller boire un verre avec les joueurs après le match. Et même dans son jean, ses jambes me faisaient de l’effet… Nous sommes ensemble depuis plus de quinze ans et il m’a fallu quelques années pour que je lui avoue pourquoi j’avais craqué sur lui. Et pour cause, il en était super complexé ! » .
C’est un détail, certes, mais il faut quand même faire un peu attention avec les garçons qui ont un petit truc spécial. Ce n’est pas forcément facile d’avoir des oreilles décollées pendant l’adolescence. Alors on est délicat…
Longtemps décriées, les oreilles décollées s’assument et s’exhibent. Elles deviennent même un « plus » dans le sex-appeal. Et vous ne direz pas le contraire en pensant à Russell Tovey , Jamie Bell ou le Prince Harry…
Javier (27 ans de Madrid) est fan : « Dès que je voyais un mec avec les oreilles décollées, je fonçais. Bêtement, on est d’accord. Mais je ne me retenais plus. J’ai dû surprendre plus d’un mec. Celui qui partage ma vie ne fait pas exception. Il a deux oreilles énormes et les cheveux rasés. J’en suis dingue. Je passe mon temps à vouloir les lécher… » .
Et oui, les particularités rendent dingues. Gus (38 ans, de Charleroi) est tout à fait d’accord : « J’ai dragué mon chéri en lui disant qu’il ressemblait à Russell Tovey. Ça l’a d’abord flatté. Puis, il a compris et a explosé de rire… On était en pleine période Looking . Tout le monde voulait un mari qui ressemble à Russell. » Serait-ce donc un effet de mode ? 
La coquetterie dans l’œil reste un must des particularités que les gays apprécient. Stefan (54 ans de Mende) se rappelle : « Je me souviens encore du choc que j’ai eu quand j’ai vu Greystoke, la légende de Tarzan, au cinéma… Je suis tombé sous le charme de Christophe Lambert. Ou plutôt de son regard… C’est ce qui m’a attiré chez mon chéri. En plus, il avait les cheveux longs à l’époque, lui aussi. C’est une private joke entre nous. On s’appelle Tarzan et Jane… » .
C’est vrai que le strabisme plait : Ryan Gosling, Gaspard Ulliel ou Robert Sean Leonard, sont tous des bombasses et leur regard y fait pour beaucoup. Et Stefan de rajouter : « Mon mec se fait souvent draguer. A cause de son regard certainement. Beaucoup plus que moi. Ça a le don de m’agacer. Pour me remonter le moral dans ce cas-là, il me rassure en me disant qu’il adore ma normalité ! »
Beaucoup comme Clovis Cornillac ou Laurent Ruquier ont tout fait pour corriger ce qu’il considère comme handicapant : leur cheveu sur la langue. Et pourtant, c’est tellement mignon. Rodrigue (32 ans, de Toulouse) acquiesce : « Je fantasmais grave sur les blonds aux yeux bleus. Je ne faisais pas une fixette là-dessus mais quand même. Jusqu’au jour où j’ai rencontré mon chéri, un sublime blond avec le regard clair. Mais ce n’est pas ça qui m’a fait fondre. Il a un cheveu sur la langue. On va dire une queue de cheval sur la langue et j’adore ça. Je lui pose des questions quelquefois, juste pour qu’il me réponde. En plus, il ressemble à Christophe Lemaitre, qui lui aussi, a un cheveu sur la langue… » .
Sylvain (41 ans, de Paris) a craqué sur ce que les médecins appellent un défaut orthophonique de son chéri. Il est bègue. Il explique : « J’aime mon mec comme un dingue. Être bègue est difficile. La société n’est pas très cool avec lui. Du coup, j’ai trop envie de le protéger… Si quelqu’un montre le moindre signe d’impatience quand il parle, il a affaire à moi. » . C’est beau l’amour, non ?
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Alors que 86% des femmes avouent prêter attention à ces signaux d’alertes en début de relation, ce nouvel élément du langage (pré)amoureux s’inscrit dans une sphère amoureuse obsédée par l’anticipation de la relation toxique avant même de l’avoir entamer.























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Et donc ? Pourquoi preciser "une blonde"? C'est mal les blondes? C'est des salopes les blondes? Cliché stupide par une auteure manquant d'imagination, et de jugeote.

euh... en quoi l'homme canon ne mérite pas? Dans son cas c'est plutôt vous qui ne le méritez pas...

2 mars 2016, Franchement il n'y a pas que des clichés, c'est le cas pour beaucoup d'homme. Si vous êtes un homme, ne prenez pas cet article à Coeur alors que vois êtes un homme bien, pae contre si vous êtes une femme c'est que soit vous n'avez pas connu beaucoup d'hommes, soit que vois avez trouvé le prince charmant di premier coup et dans ce cas j'aimerai bien savoir où bous l'avez trouvé
Merci

Vous vous sentez visé.e, 2 mars 17h28?

J'ai d'abord penser Ne pas CRITIQUER Par un propos clichÉ, mais il DEVRAIT tout de meme y avoir un minimum de jus de cervelle dans ce type D'ARTICLE. HeLas, ce n'est qu'un VERITABLE ramassis de nieseUx cliches pour potiches eGarÉs et midinettes adolescentes
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Alors qu’une énième vague de Covid se répand sur l’hémisphère nord, une question d’ordre sanitaire me taraude avec une pénible insistance : saurions nous atteint (aussi) de daltonisme ?
Car clairement, il semblerait que nous soyons plusieurs à difficilement faire la différence entre le vert et le rouge, et plus particulièrement entre les “green flags” et les “red flags”, ces petits signaux qui, si on leur prête attention en début de relation, vous indiquent si la personne que vous venez de rencontrer est, en raison de ses comportements un brin problématiques, une personne à fuir ou non .
C’est du moins ce que suggère cette expression d’origine anglo-saxonne, qui sous la forme de mêmes humoristiques ou d’hashtags accompagnant des publications de développement personnel, vient redéfinir les contours de la rencontre et du rapport amoureux.
“Les red flags, ce sont des signes qui montrent que vous ne pourrez pas avoir de relations saines avec cette personne car s’y engager pourra se révéler émotionnellement dangereux”, confirme la psychologue clinicienne Wendy Walsh sur Very Well Mind .
Selon le site américain dédié la santé mentale, il existerait ainsi une dizaine de “red flags” incontournables à garder en tête lorsque l’on part en date : une forme d’alcoolisme ou d’ addiction à des substances (généralement) illicites, des manifestations de violence physique ou psychologiques (voire un manque d’empathie), un passé d’ infidélités (très) assumées, une tendance à la jalousie et à la possessivité (un chouilla) extrêmes, un besoin de vous contrôler et vous surveiller en permanence, une absente étonnante d’ami.e.s dans son entourage, une dévotion complète 24h/24 à votre petite personne, quelques histoires de soi-disant “crazy ex”, ou encore le refus de s’engager dans une forme d’intimité émotionnelle.
“Si les red flags relèvent de votre sécurité, il est forcement recommandé de consulter un thérapeute. Cela vous permettrait de partager vos émotions en toute sécurité et d’accéder aux outils nécessaires pour prendre une décision saine pour vous-même", enjoint la psychologue britannique Kalanit Ben-Ari , dans un article du magazine anglais Stylist .
Mais à en croire une étude menée par l’application de rencontres Badoo , les red flags les plus répertoriés par les utilisatrices seraient en réalité la mauvaise foi et les “cachoteries”, suivies de près par les commentaires négatifs sur l’apparence physique.
"Sur Grindr, un mec me reproche un jour qu’on ne voit pas assez mon corps sur les photos, sous-entendu que je suis potentiellement gros. Je l’ai supprimé immédiatement de mes “matchs” !”, raconte Pierre*, 28 ans qui y a vu dans cette discrimination sous-jacente un sens interdit cramoisi.
"Quand j’ai rencontré T., il m'avait bien fait comprendre qu'il n'aimait que les filles en talons. Je m'acharnais donc à porter des talons toujours plus hauts et fins. Un jour où j'ai une paire d'escarpins de 12 cm, on décide de monter sur un toit. Évidemment j'enlève mes talons (histoire de ne pas mourir...). Et là le mec me dit très sérieusement "oh non, c'est dommage... Tu étais jolie !". J’aurais du le quitter à cette minute là", abonde Flora*, 30 ans, qui a attendu pourtant plusieurs mois et quelques infidélités avant de le faire.
Des injonctions sexistes à se soumettre à des diktats de beauté stéréotypés au nom sacro-saint du simple plaisir de leurs partenaires, auxquelles Marion, 35 ans, a du également faire face lors de sa dernière relation."Est-ce que j’aurais dû partir quand il m’avait dit d’acheter des lentilles car il me préférait sans mes lunettes ? Quand il m’avait demandé pourquoi je me maquillais pas pendant ce 1 er confinement car ça me rajoutait un truc ? Ou encore quand il m’avait dit que je pourrais m’habiller de manière plus féminine quand même, arrêter avec mes Dr. Martens de festival et porter des talons car ça me donnerait plus d’allure ?", s’interroge-t-elle quelques semaines après la rupture , relatant ses tribulations personnelles sur son blog Derrière Les Stories .
Est-ce que j’aurais dû partir quand il m’avait dit d’acheter des lentilles car il me préférait sans mes lunettes ?
Parfois, ce sont des prises de position idéologique qui vont venir mettre la puce à l’oreille, d’une passion assumée pour un candidat fasciste à la présidentielle au militantisme anti-vaccin en passant par la défense inconditionnelle d’agresseurs sexuels présumés.
"Lors d’un date, un garçon m’emmène visiter les catacombes tout en me racontant qu’un mec est connu pour y emmener des filles et les agresser. Deux d’entre elles ont porté plainte et il me dit qu’il ne compte pas témoigner en raison d’un 'code entre les cataphyles'. Je me suis énervée en lui disant qu’il était très con. Et après notre rupture, seulement quelques mois plus tard, je me suis rendu compte que, à l’époque, deux semaines après, il avait commencé à se taper une de mes meilleures amies dans mon dos. Comme quoi…", se souvient encore Valentine*, 28 ans, près d’une décennie après les faits.
Pour d’autres témoins, le red flag sera le refus de leur partenaire de mettre un préservatif (“Car c’est quand même vachement moins agréable pour moi, tu comprends ?)”, l’absence de compassion face à un deuil d’un proche (“C’est pas en faisant la gueule que ça va le faire revenir, hein?) ou la tendance à légèrement oublier sa carte bleue quand il s’agit de payer les courses, l’addition ou encore les factures. (“Ah oui pardon ! Je dois encore gérer ce problème avec ma banque”).
Bref, autant de signes extérieurs de relations foireuses dont la liste non-exhaustive appelle bien entendu à la nuance et à la contextualisation. 
"Les red flags peuvent varier d’une personne à l’autre dans la mesure où ils sont liés à nos propres valeurs", commente la docteur Ben-Ari au magazine Stylist , pour qui la définition de red flag peut s’élargir aux indicateurs d’incompatibilité en dépit des affinités avérées.
"Pour certaines personnes, cela va se restreindre à la potentielle agressivité de leur partenaire , pour d’autres ce sera le refus de leur partenaire d’avoir des enfants quand eux/elles ont envie de fonder une famille", conclut-elle.
C’est ainsi que certains expert.e.s établissent au côté des red flags ce qu’ils appellent les "yellows flags" ou encore les "amber flag", déclinant une typologie de signaux façon drapeaux de plage autorisant (ou non) à la baignade.
Le but ? Faire la distinction entre ce qui peut être effectivement potentiellement dangereux pour notre intégrité physique et émotionnelle… et ce qui ne correspond pas tout simplement à nos ambitions, nos valeurs ou nos goûts.
Et pour s’y retrouver, les coachs en relations amoureuses conseillent d’établir, au préalable de toute entreprise affective, ce que l’on veut soi-même, ce sur quoi on est prêt à faire des compromis ou, au contraire, ce sur quoi on refuse de transiger. Il est aussi généralement conseiller de prendre conscience de son propre bagage émotionnel et autres casseroles hérités de nos précédentes relations, tout en acceptant sa propre part de responsabilité dans l’évolution du couple.
"Les problèmes de relations peuvent être aussi le fruit de deux individus aux expériences et ressentis différents, et pas seulement la conséquence des actions d’une seule et même personne" relève Jacqui Gabb, experte en couple pour le site Paired , dédié au bien-être conjugal, pour qui une classification figée et arbitraire de red flags peut s’avérer problématique.
Sa solution ? Communiquer sur ce qui nous dérange tout en restant ouvert à d’éventuels compromis face aux yellows flags .
Une façon de poser les bases d’une relation saine tout en se reconnectant plus facilement à son intuition en cas de conflits intérieurs, la peur d’être (de nouveau) seul.e, "l’envie d’y croire" ou l’intériorisation d’une forme de syndrome du sauveur pouvant parfois nous conduire à ignorer inconsciemment d’évidents red flags .
"En tant que femme, je trouve qu’on trouve toujours des excuses à tout, on justifie des choses qui ne devraient pas l’être", commente Anne-Charlotte, 32 ans, conscientes des biais genrés qui affectent les femmes, plus souvent conditionnées à faire passer leurs besoins après celui de leur partenaire. "La faute aux histoires parfaites des dessins animés de l’enfance ? Aux comédies romantiques à la noix ? Possible aussi", analyse celle qui reconnaît a posterio être passé à côté de multiples red flag qui étaient pourtant sous ses yeux tout au long de sa vie sentimentale.
J’ai compris le rôle protecteur de ma colère. Quand on a ce sentiment qui gratte, qui monte et explose, ce n’est pas qu’on est dingue, qu’on est trop sensible ou ingérable. C’est juste qu’une limite a été franchie.
Dans d’autres cas, les red flags se noient dans un quotidien somme-toute heureux conduisant à relativiser leur gra vité ou leur impact sur notre santé mentale. "C’était 10% de la relation, à peine. Cela parait rien 10% au milieu de 90% géniaux !", se souvient Marion, dont les émotions - parfois explosives - ont fini par se muer en lanceuses d’alerte face aux tentatives de son ex-compagnon de la contrôler ou de la déprécier.
"J’ai compris le rôle protecteur de ma co
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