Quelle pipe bordel
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Quelle pipe bordel
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Avant toute chose, je tiens à vous remercier : grâce à vous en effet, je m'aperçois que le format de la petite lettre ouverte, ça me plaît bien. Je ne pensais pas en refaire de sitôt, après celle que j'avais adressée à Louis Aliot au sujet de "l'IVG de confort" et celle écrite récemment à Philippe Brenot et Elisa Brune pour la levrette des pauvresses , mais apparemment je me trompais : on peut toujours compter sur les gens pour nous pondre environ une bouse par semaine dans la presse grand public, quand il s'agit de femmes et de sexe.
La couverture du magazine Elle la semaine du 20 juillet 2012 (Capture Le Plus)
Aussi, je me sens presque d'attaque pour faire de mon courrier en ligne un rendez-vous régulier. Convenons donc de nous retrouver chaque fin de semaine pour une lettre hargneuse consacrée au sexisme, au FN ou aux sexologues de merde, ok ? Un courrier de la chatte, en quelque sorte.
Qu'est-ce qui m'amène aujourd'hui précisément alors que vous produisez de la daube sexiste et rétrograde en permanence ? Si, si, je vous assure, c'est exactement ce que vous vendez. Ok, c'est plus ou moins bien déguisé, histoire de donner à vos contenus une apparence progressiste et féministe, mais tout de même, dans le fond, ce que vous écrivez n'est qu'une pérennisation des pires stéréotypes genrés (pour une démonstration en détail, cliquez ici , ou encore ici , et même là ).
Alors je ne devrais pas m'émouvoir outre mesure de la parution de votre article sur " la fellation, ciment du couple ". Oh, restons calmes, en fait je me fiche bien de lire dans votre magazine que la fellation constitue un facteur d'apaisement des conflits dans le couple. Vous avez écrit des conneries bien plus énormes que celle-là. À la limite, le cul comme lubrifiant relationnel, ça ne me paraît pas si con que ça.
En effet, au-delà même d'un "Je le suce pour qu'il ne fasse pas la gueule", qui me paraît manquer quelque peu de finesse, je suis moi-même convaincue de l'existence d'une véritable dynamique prostitutionnelle dans le couple. Surtout dans le couple hétéro marié. Je l'ai d'ailleurs expliqué dans un article, il y a quelque temps (pour le lire, cliquez ici ).
Et mon point de vue allait bien plus loin qu'une simple transaction économico-sexuelle ponctuelle. Non, j'allais jusqu'au bout du concept, et j'affirmais carrément que c'est tout le fonctionnement du couple qui est sous-tendu par une dynamique économico-sexuelle. Je ne me mettrai donc pas la rate au court-bouillon parce qu'aujourd'hui, on nous explique dans votre magazine de chiffons que la fellation apaise les conflits.
Non, ce qui me débecte, dans cet article pourri, c'est tout d'abord le rappel implicite de la place de la femme dans le couple, et de la sournoise hiérarchie relationnelle qui découle d'une pratique sexuelle précise. Un peu comme on rappelle à l'ouvrier qu'il est juste là, lui aussi, pour sucer, avaler et fermer sa gueule ensuite. Seb Musset l'a bien exprimé dans un tweet, d'ailleurs :
#Astuce Dans le Elle sur la pipe. Remplacer "couple" par "entreprise" et "mec" par "chef". Moins rire.
Et malgré les piètres tentatives d'affirmations paritaires qui, dans l'article, tentent d'évoquer le cunnilingus en parallèle de la fellation, hélas on ne quitte pas le sujet central : on parle bien de la pipe, uniquement de la pipe, et de ce qu'elle représente en terme de retour sur investissement. Pour les femmes. Or, si je conviens volontiers de l'aspect "économique" de la sexualité dans le couple, rapport au fait que sur le long terme, nous devenons toutes et tous un peu des putes (allez-y, gueulez, les indigné-e-s. Ou trollez, j'en ai rien à foutre), je conteste énergiquement cette vision unilatérale de la capitalisation des pratiques sexuelles dans un objectif de sérénité conjugale.
"De fait, les femmes que nous avons interrogées ne se dérobent pas : elles ont parfaitement digéré l’idée que la pipe est un facteur important du développement durable de leur couple".
C'est édifiant, et ça donne une idée de la façon dont on perçoit le rôle de la femme au sein du couple. Investisseuse raisonnable, financière du cul, gestionnaire au long cours des flux sexo-relationnels, bref, une stratège comme on aimerait en voir plus souvent dans certaines grandes entreprises.
Ensuite, ce qui retourne aussi l'estomac, c'est l'affirmation sans ambages de deux choses qui achèvent de construire une image de la femme aussi réductrice que mensongère. Je cite :
"D’autres, pas si rares, souffrant souvent d’immaturité psychoaffective, ne peuvent même pas envisager le contact de leur bouche avec un pénis ; leur dégoût est très fort, et se renforce si l’homme se montre insistant."
J'ai envie d'appeler au secours et de respirer dans un sac en papier quand je lis des conneries pareilles. Donc ne pas aimer tailler une pipe, c'est un symptôme d'immaturité affective ? Ne pas aimer le goût de la bite, c'est une pathologie psychiatrique maintenant ?
"Enfin, il y a une minorité de femmes qui, à la faveur d’un vrai lâcher-prise, parviennent à érotiser la fellation."
Ah ouais ok. Donc si on n'aime pas sucer, c'est qu'on a des soucis dans sa tête, et si on kiffe s'enfourner des quéquettes dans le gosier, c'est qu'on appartient à une "minorité", et qu'on est "parvenue" à érotiser la fellation. On n'a pas le cul sorti des ronces de la tradition, à ce tarif-là.
Quant à l'intervention des sexologues, elle me laisse une impression mitigée. Mais je pointerais tout de même du doigt ce que dit Damien Mascret dans l'article.
Damien, tu te souviens, tu disais que tu trouvais rafraîchissante ma façon de shooter dans la fourmillière de la sexo-médiatique ? Et tu te souviens aussi m'avoir invitée sans détour, le jour où j'estimerais que tu dis une connerie, à le dire sans hésiter ? Eh bien c'est aujourd'hui, et tu m'en vois désolée, parce qu'en règle générale, j'apprécie ce que tu écris (oui, même dans "Le Figaro". C'est dire). Mais sérieux, là, tu as déconné, Doc. Tu écris donc dans "Elle", au sujet de ce témoin qui affirme, sans aucune gêne, que si sa compagne n'avait pas aimé la fellation il irait voir ailleurs, parce qu'il adore ça et qu'il n'aurait pas eu envie de vivre sans :
"[c'est] un homme immature et narcissique, qui se comporte comme un petit garçon capricieux à qui l’on refuse un jouet. Ne pas accepter les préférences sexuelles de l’autre, c’est une attitude infantile. Ce genre d’homme cherche une excuse pour être infidèle : ici, le refus de la fellation n’est qu’un prétexte. L’embryon de la discorde ne se niche pas là, ce n’est qu’un signal à explorer quand les choses vont mal. Il ne faut pas confondre les symptômes et les causes. La fellation seule n’a pas le pouvoir de faire tenir une relation amoureuse, ni de la réparer, sinon il y aurait moins de séparations !"
Là, je ne te comprends plus : tu veux dire qu'avoir des préférences sexuelles et adorer certaines pratiques n'est pas légitime, et qu'on doit s'asseoir sur ses préférences pour préserver son couple ? Il me semble que le témoin a été clair et honnête : il aime la pipe et n'avait pas envie de s'en passer. Faire le choix de le dire et se mettre en couple avec quelqu'un qui partage ses goûts, ça me semble plutôt pertinent.
Autant je trouve débile qu'une personne se contraigne à des pratiques sexuelles qu'il ou elle n'aime pas, autant je trouverais dommage de se priver pour toujours d'un truc qu'on adore. C'est peut-être justement là qu'on doit interroger le choix du ou de la partenaire, plutôt que son background psychiatrique, non ?
Toute femme dans le même cas serait alors immature et narcissique si, adorant le cunnilingus, elle choisissait de ne pas être en couple avec quelqu'un qui n'aime pas ça. Sachant que cela peut constituer une part précieuse de la sexualité (et je prends l'exemple du cunnilingus à titre de miroir, mais ça peut être n'importe quelle autre pratique sexuelle), je ne vois pas en quoi le fait de désirer une vie sexuelle et amoureuse épanouissante, comportant la joie de prendre du plaisir dans une pratique qu'on aime, et d'infléchir le choix de son partenaire de vie, révélerait une quelconque immaturité affective. J'estime au contraire qu'il s'agirait là d'une bonne connaissance de soi-même, et d'une identification gratifiante de ses propres désirs.
Bref, dans cet article, chers gens du magazine "Elle", la femme est une fois de plus prise pour une conne, et l'homme est réduit à une irrigation non cumulable (la bite ou le cerveau). Voilà le couple selon "Elle" : un tandem d'abrutis, l'un complètement décérébré, exigeant et égoïste, et l'autre soumise et généreuse, le tout cimenté par une bonne pipe, histoire que Monsieur n'aille pas se faire sucer ailleurs.
Et au-delà de ce duo d'imbéciles, nous avons les lectrices, bien sûr, elles-mêmes cimentées au discours scintillant d'une scénarisation de leur vie sexuelle qui, comme on l'explique chez Entrailles , engage à baiser pour faire plaisir, parce que c'est bien " la moindre des politesses ".
Madame Zimmerma.
Votre article pseudo féministe m'a fait bien rire. Que cherchez vous exactement ? Prendre la place de Christine Boutin ? Moi qui pensait que le NO était un magazine de gauche. Refusez vous réellement la pipe à votre mari ? Ou bien est il déjà parti ? Je m'interroge encore. Souhaitez vous faire de la pipe un délit pénal ? Beaucoup de femmes pompent avec une finesse remarquable, si bien que Montaigne décrivez la fellation comme un art majeur. SI vous aimez réellement la femme et ce qu'elle représente, je vous prie de bien vouloir choisir les vrais combats. Bon aller frangine, je retourne me faire pomper en espérant que tu ne rapporteras mes agissements à la police.
Avec beaucoup d'admiration
Rolf
La pipe, ciment du couple... Rien que le titre fait peur quand même.
Je me demande franchement quel article est le plus rétrograde, celui d'elle, ou le vôtre.
Réponse : celui du magazine " Elle ". Si vous avez d'autres questions débiles, n'hésitez pas !
Je me demande franchement quel article est le plus con, celui d'elle, ou le vôtre.
Gaëlle-Marie Zimmermann a un petit côté Vladimir Poutine. Quand les réactions ne vont pas dans le sens de son "libre esprit", elle censure.
À bas les opinions des autres !
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Je suggère à Gaëlle-Marie Zimmermann de se demander, honnêtement si possible, à qui, d'elle-même ou de sa cible Catherine Roig, s'appliquent le mieux ses « environ une bouse par semaine », « de la daube sexiste et rétrograde en permanence », « pérennisation des pires stéréotypes genrés », « Vous avez écrit des conneries », « manquer quelque peu de finesse » ; en bref, laquelle est la plus intolérante, coincée dans une "tradition" ou dans des "stéréotypes", voulant à tout prix imposer ses propres opinions et descendant en flammes toute opinion dissidente.
Versailles, Sat 11 Aug 2012 18:59:00 +0200
Du racoleur et sans saveur,
Aux divines lignes...
Vive la musicalité amoureuse !
http://bribestrib.blogspot.fr/2012/08/pipe-turlutte-ca-cimente_10.html
Profitons de l'été,
Suave et chaud...
Titillez les "3 S"
Avec "Sensualité et Sensations Sensuelles" !
Jusqu'aux ailes du désir...
http://www.amazon.fr/gp/product/B00MFWIO8Q?*Version*=1&*entries*=0
C'est un article de mauvaise foi et pour enfoncer encore le clou dans la dénigration de la sexualité masculine.
Si l'article d'Elle avait dit : "Je lui fait des petits plats savoureux pour qu'il ne me fasse pas la gueule", ça ramènerait autant la femme à son rôle traditionnel, mais l'auteure n'aurait pas réagit avec la même véhémence, voir pas du tout .
Je pense que peu importe ce que la femme dit faire pour qu'IL ne fasse pas la gueule, on reste dans le même registre de soumission et de bassesse.
Elle peut même faire du saut à l'élastique si elle veut, ça ne change rien. Un problème ne se résout ni par une fellation, ni par un plat, ni par un saut à l'élastique, mais par une mise au point et une bonne discussion.
Nous ne sommes pas des putes et autant que je sache vous n'êtes pas des macs !
Alors pourquoi être offusqué à ce point , cher pechnatrovaambre ???
Et puis cet article ne dénigre pas la sexualité masculine, mais met l'accent sur la soumission inadmissible conseillée aux femmes. C'est odieux !
Votre réponse est le point de vue de beaucoup de femmes et d'hommes. Ca prouve que le couple est contaminé par cette idéologie individualiste et de confrontation qui existe dans la société.
Plus d'amitié, plus d'affection, plus de "petits marchandages câlins". Si je cède, j'accorde, je concède ou j'offre, je suis soumis/e. Tout est revendication, nombrilisme et confrontation.On voit que la crise est passé par là et que tout le monde a peur d'être dépossédé, des ses biens ou de sa dignité (pour certains c'est la même chose)
C'est la nouvelle psychologie et les nouvelles règles de relations humaines.
Très bon article. Le ton est juste.
Je suis un homme hétérosexuel (ce n'est pas très fashion, je sais mais nul n'est parfait) et je m'interroge:
- il appert que je ne prise pas le pompier, mon couple est-il en péril?
- Supposons que je trouve la pratique dégradante pour elle, suis-je immature?
- Supposons que je me sente dégradé par une femme qui réduirait l'équilibre de ma psyché à la pression règnant dans ma vésicule séminale, n'aurais-je rien compris à la vie de couple?
Qu'on me réponde vite, j'angoisse!
Je te rassurerai peut-être en te disant que le "fashion" de nous jour est basé sur l'immoralité, la frime, les têtes de bandits qui ne sourient jamais et les regards cachés par des lunettes de soleil noires avec en plus une bonne dose de méconnaissance de soi, du monde, des femmes, des hommes, des enfants, de tout quoi !
Franchement, être fashion, vu sous cet angle, et de mon point de vue, ça paraît assez ringard.
En fait, tu me paraît plutôt être un type bien.^^
Pardon, Gaëlle_Marie, mais autant j'adorais Zone Zero Gene, autant sur le Plus, je trouve la plupart (pas tous... j'ai adoré celui sur les jeunes couples aisés geignards...) vos articles très très en dessous. Eh ! Reveillez-vous, que diable ! Reparlez de prostitution, et de gynécologie, et d'avortement, et d'amour, et d'autre choses que la levrette dans Game of Thrones et la pipe dans Elle ! Comme avant, quoi...
Mon arrière arrière grand-maman, celles qui ont l'ont suivie et jusqu'à maman, personne n'a sucé son mec ... pourtant leur couple ont duré - et elles étaient heureuses! Pourtant il y a avait aussi des problèmes de couple. Je me demande comment faisaient-elles ?
j'étais en train d'écrire un message incendiaire, quand d'un coup je me suis dis: "mais non c'est inutile, tu ferais la même chose que ce que tu es en train de lui reprocher (c a d, ouvrir sa grande gueule pour rien)"
J'espère que vous n'osez pas vous prétendre journaliste
Comme disait un de mes collègues de bureau en regardant un magazine féminin :" Dire qu'elles font tout ça pour nous faire b...."
Je m'étais bien amusée à la lecture de cet article dans Elle ...je ne doute pas de l'importance de disserter sur l'importance de la fellation ; en fait ..je m'en fous .....n'ayant jamais considéré que ma liberté de femme se situe à ce niveau ....Mais ce qui m'a vraiment amusé , c'est , dans l'introduction de l'article le parallèle qui est fait entre la normalité de la fellation ...et celle de Hollande , la normalité bien sûr..je trouve que la mention du président de la république dans "ce sujet " est curieuse..à moins qu'il est été mentionné ...à titre d'exemple : ou comment faire oublier un Tweet ...relisez bien cet article et donnez-moi votre avis voulez-vous ??????..en toute liberté bien sûr.....
Indignation facile et sans intérêt, rédigée dans une langue si volontairement crue que ça en devient ridicule. On peut reprocher des choses à Elle, mais là vous faites fausse route et on peine à vous suivre. Vous n'avez visiblement pas bien saisi l'esprit de l'article : la femme, c'est elle qui domine la relation sexuelle dans le couple, et c'est ce que confirme le papier. La très large majorité du temps, l'homme est dépendant du désir de la femme. Le sexe dans le couple, c'est une histoire de plaisir, de satisfaction, mais aussi de frustration et de négociation, il n'y a pas vraiment de quoi s'indigner. Quant au tweet que vous citez, il est proprement ridicule. Tenez, des trucs aussi débiles, je vous en écris tous les matins au petit déj' : Dans le Elle sur la pipe. Remplacer "couple" par "enfance" et "mec" par "pouce." Intéressant, non? Vous pouvez hurler quand un psy (et pas la journaliste) déclare que ne pas sucer c'est une preuve d'immaturité (et pourquoi pas, d'ailleurs?), mais ensuite venir affirmer sans sourciller comme vous le faites que si son partenaire refuse de sucer, il faut le quitter, c'est du grand n'importe quoi ! Bref, la critique des médias est devenue un exercice si répandu sur Internet que ça se transforme souvent en chasse aux sorcières, avec délire paranoïaque à la clef. Si on vous montrait une tâche du test de Rorschach, vous y verriez du sexisme.
Bonjour, je ne pense pas que vous ayez lu attentivement l'article du Elle, ainsi que celui de Gaëlle. En effet, vous évoquez une domination sexuelle de la part de la femme alors qu'il est manifeste que ce n'est pas le cas dans la plupart des témoignages. Certaines femmes utilisent la fellation comme une récompense ou encore comme un moyen d'obtenir la paix, ou une faveur. Bref, quasiment une sorte de prostitution conjugale. ( Bien sûr j'exclue les femmes qui prennent du plaisir dans la fellation .) Bonne journée !
Si, si, j'ai très bien lu. Vous parlez d'ailleurs de deux simples témoignages, et pas du tout de l'article en entier, qui synthétise bien d'autres points de vue, tous différents. D'ailleurs, la seule chose qu'on pourrait en réalité reprocher à cet article, c'est qu'il ne tranche pas, il dit en résumé que chacun fait ce qui lui plaît, merci pour le conseil !
D'autre part, bien sûr que la fellation est une faveur ! ça confirme que c'est bien la femme qui domine ici. C'est une faveur, comme n'importe quel plaisir accordé par une personne à une autre. Faire un massage à son partenaire, c'est une faveur, ce n'est pas forcément un plaisir en soi. Mais faire plaisir est un acte désintéressé, auquel on ne prend pas forcément part en tant que jouisseur. On peut faire un cunnilingus et n'y prendre aucun plaisir, mais ça n'empêche pas de le pratiquer pour autant. Enfin bref, je sais à quel point certaines personnes aiment s'indigner pour la moindre broutille alors qu'il existe des motifs d'indignation autrement plus graves...
Prostitution conjugale ? Ou moyen de chantage (donc de domination) conjugal ?
Moi qui croyait que c'était le cunnilingus... :( C'est vrai aussi que ces magazines sont un ramassis de conneries du style; "Je me suis fait brouter le minou pour savoir qui de l'homme ou de la femme est le meilleur amant" ou "Comment piquer le jules de sa meilleure copine" tout ça noyé sous un flot de pubs qui te font croire qu'on va te transformer en bombe sexuelle (Parce que je le vaut bien).
Egoïsme, narcissime, "y'a que le cul qui compte"...
1. Je n'aime pas cette image de la femme. O
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