Quelle façon de découvrir que votre fille est salope

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Quelle façon de découvrir que votre fille est salope
VIE DE COUPLE - Pratique bien courante aux États-Unis, les détectives privés sont appelés à vérifier si un conjoint est infidèle… ou non. Selon une étude du renommé Kinsey Institute for Research in Sex, Gender, & Reproduction en 2011 , 19% des femmes ainsi que 23% des hommes avaient admis avoir été adultère.
Admis est ici le mot clé. De plus, la définition d’adultère d’une personne à l’autre semble être assez nébuleuse... sur cette question même Bill Clinton acquiescerait. N’empêche. Peggy Vaughn, l’auteure du livre The Monogamy Myth , affirme que 60% des hommes et 40% des femmes auront une aventure sexuelle hors union, et ce, au moins une fois dans leur vie.
Une étude de l’Université de Washington démontre que 62% des hommes et 46% des femmes ayant trompé leur conjoint l’ont fait avec un ou une collègue de travail. Vive le télétravail! Néanmoins, ces chiffres sont inquiétants.
Avez-vous parfois des doutes sur la fidélité de votre partenaire? Voici quelques propos recueillis en toute confidentialité de détectives privés qui ne sont que trop familiers avec le modus operandi des partenaires infidèles. De façon générale, certains indices ne mentent pas. Les voici :
Ce type de personne ne vit qu'au moment présent où toute gratification immédiate est jugée juste et bonne. Le leitmotiv narcissique "MOI, ENCORE MOI ET RIEN QUE MOI" prévaut.
Si votre tendre moitié est le portrait type du total hédoniste, attention! Car ce genre de personne n’est pas reconnu pour rester stoïque devant les tentations. La personne est-elle vaniteuse, a un besoin constant de compliments? C’est un trait non négligeable.
Tout changement d’attitude soudain est suspect. Vous receviez 20 messages de votre Jules et soudainement le nombre de messages chute dramatiquement? Chérie rentre plus tard, commence le boulot plus tôt, se met à faire du sport, a un nouveau passe-temps avec des amis qui vous sont inconnus? Votre partenaire devient plus distrait, vous prend la tête ou au contraire, démontre une bonne humeur générale non expliquée? Votre concubin se met à vous faire l’amour différemment, avec en prime de nouvelles positions? Attention. Car si cela n’est bien sûr pas une preuve en soi, un changement comportemental est l’un des premiers signes d’une infidélité.
Un rapport sexuel par semaine vous convient, votre sucre d’orge en prendrait volontiers 4 de plus. Soit. Chez les infidèles, c’est une intimité insatisfaisante, déficiente, la frustration qui en résulte, un besoin de vitalité et de passion au lit qui sont souvent cités. Si votre conjoint se dit moyennement satisfait de vos rapports, tenez-le pour dit. On l'entend souvent, l’insatisfaction sexuelle serait le berceau de l’infidélité… (dixit une étude du Washington Post en 1999, 65% des infidèles blâment une sexualité décevante).
De plus, très peu d’hommes et de femmes quittent leur mariage ou font mention de leur infidélité, car ils considèreraient leur comportement comme une façon de préserver leur couple en allant chercher ailleurs ce que leur relation ne peut leur procurer. Le mensonge le plus prononcé par quelqu’un s’étant fait prendre en flagrant délit? "J’étais justement sur le point de t’en parler..."
Un mot de passe sur le téléphone portable. Un second mot de passe sur le téléphone après cinq minutes d’inactivité. Un mot de passe sur des périphériques, sur la connexion à l’ordinateur lui-même et le moteur de recherche. La personne n’accède à son compte Facebook que lorsque vous n’êtes pas à ses côtés. Ne conserve pas ses courriels. Filtre et ne conserve pas son historique d’appels. Se fait poster sa facture téléphonique directement au bureau – et non au domicile. Cette personne n’accède pas à ses courriels personnels devant vous. Si vous surprenez la personne et que celle-ci cache son écran en réaction à votre présence, c’est mauvais signe. Très mauvais signe, à moins que votre douce moitié ne soit agent double. Cette personne ne vous laisse pas utiliser son ordi. Le portable de votre amoureux(euse) n’est jamais laissé seul et va jusqu’à accompagner la personne dans la salle de bain. Très suspect.
Gare aux nouvelles rencontres et aux amitiés qui vous excluent. En effet, les détectives en ont vu de toutes les couleurs. De la bimbo agent immobilier aux seins refaits avec qui monsieur a trompé sa femme enceinte, au conseiller financier européen de madame toujours bien mis et fonceur, à la gardienne d’enfants jeune et impressionnable, au meilleur ami de madame qui lui paie mille compliments, mais qui ne vous invite pourtant jamais; soyez au garde-à-vous! Chris H., détective privé dans le New Jersey, déclare n’avoir vu que trois ou quatre cas durant sa carrière où l’un des partenaires fut infidèle avec un total inconnu. "La plupart du temps, c’était un proche: un voisin, collègue, ami, dermatologue, entraîneur personnel, etc."
Si les points précédents ne sont que des lignes directrices générales, c’est plutôt une tendance narcissique qui unit la grande majorité des conjoints infidèles ou sinon, un changement soudain d’attitude et/ou un manque de transparence. Maintenant, à en croire Chris H., est-ce dans la nature de l’être humain d’être fidèle? "Ah! je vois le pire de l’être humain à longueur de journée… c’est mon gagne-pain. Vous voulez vraiment mon avis sincère à ce sujet?"
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Elle n'est pas ronde et pourtant, elle sait bien ce "qu' avoir des complexes " signifie pour une femme. On vous présente Agnès, une youtubeuse qui nous a touchés tant par son humour que par sa franchise et son honnêteté .
On vous laisse découvrir la première partie de ce tuto hilarant sur "comment devenir la femme parfaite". Une caricature volontaire de notre société qui vous fera rire à coup sûr :
https://www.youtube.com/watch?v=lN7W_AeiNf8
Si, tout comme nous, vous avez regardé la vidéo en entier, le message d'Agnès vous aura touché en plein cœur . Il vous aura touché parce que mince, maigre, ronde ou très grosse, nous savons toutes ce que c'est que de vivre dans une société qui ne nous accepte pas .
Après ça, on est sans doute toutes d'accord pour dire que oui, la femme parfaite est une salope .
Chez Ma Grande Taille, la parole est donnée à toutes les personnes qui souhaitent s'exprimer sur l'estime de soi. On a donc décidé de contacter directement Agnès et de lui poser quelques questions sur sa vision des choses. On vous laisse découvrir une interview riche, touchante et surtout, marquante.
Ma Grande Taille : Après avoir publié cette vidéo, quel message vouliez-vous que les internautes retiennent ?
A : Pour être franche, je suis une petite vidéaste. Je n’étais même pas sûre que mon message serait entendu au delà de ma maman et de mes cousines... Le message principal de cette vidéo c’est que : tout le monde souffre de complexes.
Je n’ai "a priori" aucune raison d’être mal dans mon corps : je corresponds (presque) à l’image magazine : en gros (sans mauvais jeu de mot) : mince (mais en fait c’est vraiment tout) ! J’ai toujours eu honte d’admettre que je n’acceptais pas mon corps parce que, aux yeux des autres "ça aurait pu être pire".
Ce que je voulais faire passer dans cette vidéo, c’est que l’image de la « femme parfaite » est complètement irréaliste et que personne ne lui arrive à la cheville. Je pense que j’ai fait cette vidéo d’abord pour moi, parce que j’ai réalisé que je me sentais mal dans ma peau à cause des idéaux beauté que je n’arrivais pas à remplir.
J’ai souffert –entre autres- de ma minceur et j’ai souffert des gens qui ridiculisaient ma souffrance à cause de ma minceur. Mais je voulais aussi faire passer qu’il ne faut surtout pas se conformer au message d’uniformité.
L’être humain n’est pas uniforme. La richesse de l’humanité, c’est sa diversité. Tant sur le point physique que psychologique, émotionnel, moral… S’il nous semble évident que nous avons tous des personnalités différentes, on veut nous faire croire que c’est absurde de croire que l’être humain peut se présenter sous différentes formes et morphologies physiques. Et c’est là le problème de la « femme parfaite unique », celle que l’on voit partout : Elle ne permet pas à des milliards d’individus de trouver leur place et leur valeur.
L’autre problème, c’est que la beauté mise en avant, c’est la beauté physique. Et croyez moi, j’ai dans mon entourage des personnes qui, à chaque fois que je parle de quelqu’un, me demandent si "elle est belle ou pas ?". On s’en fout, non ? Pourtant je vous l’avoue : toute ma vie, j’ai eu peur d’être défigurée…
Pourquoi ? Est ce que je suis si superficielle ? En fait non (enfin j’espère), mais je sais que si jamais un jour j’étais défigurée, je serais surement rejetée et jugée par une grande partie de la population. Est ce que j’aurais changé ? Pas le moins du monde… mais bon, vous savez …
Le problème c’est que l’on finit par passer bien plus de temps à se soucier de son apparence physique que de ses qualités en tant qu’être humain. Et pourtant, trente ans après et les rides marquant de plus en plus leur passage (et les vergetures aussi d’ailleurs), je peux le dire : personne ne se souvient de ce à quoi mes abdos ressemblaient quand j’avais 14 ans. A part moi, probablement.
Mais qui se souvient de quel être humain j’étais, de comment j’écoutais les autres et de l'amour que je leur portais (ou pas) ? Je pense, toutes les personnes que je côtoyais à l‘époque. On nous distrait de la vraie beauté. Parce que moi, je m'en fous si Julie pèse 120 kg ou si elle a vraiment un sale nez. Parce qu’en fait, ça ne définit pas qui elle est.
MGT : Selon-vous, pourquoi toutes les femmes (ou presque) sont soumises au diktat des complexes ?
A : D'abord je tiens à préciser que je pense que toutes sont soumises au diktat des complexes. Absolument toutes. Et ce pour deux raisons :
Cela me semble évident, nous sommes tous bombardés d’images de femmes (ou d’hommes) aux mensurations impossibles, à commencer par nos poupées dès l’enfance. Cette image irréaliste est imprimée dans nos esprits quotidiennement et depuis toujours puisque ça continue avec la télé et le cinéma où toutes les héroïnes sont toutes belles et minces (mais quand même pulpeuses, bien sûr) – les "grosses" et/ ou "moches" étant reléguées aux rôles de faire-valoir ou idiotes finies. Ne parlons même pas de la publicité où les femmes (de 15 ans pour une cible de 30) sont déjà triées sur le volet et en plus extrêmement retouchées.
La diversité est gommée, que ce soit en terme de morphologie, d’ethnie ou même d’âge. Personne ne correspond aux critères de la femme pub : le modèle se voit enlever des soi-disant bourrelets, des rides, allonger les jambes et ajouter des cheveux (par extension ou sous photoshop ) ou retirer des genoux… Ce qui m’énerve aussi, ce sont les messages mixtes des magasines qui appellent à l’amour de soi avant de t’envoyer 50 pages sur LE régime de l’été et publiant à côté exclusivement des photos de femmes stéréotypées. Que dans la pub on ait des mannequins très jeunes et très minces ne me pose pas de problème en soit. Ce qui m’ennuie, c’est qu’il n’y ait que ça.
Je suis consciente que tout cela vient de l’insécurité (dûe à l’image de la femme parfaite dans les médias notamment) mais je dois avouer que les pires remarques sur mon physique sont venues de la part d’autres femmes.
L’insécurité entraîne la jalousie , qui entraîne le besoin de rabaisser pour se sentir supérieur(e), et le cercle vicieux est lancé.. Je déteste voir des articles disant que Mila Kunis est dégueulasse sans maquillage. Et pourtant, le fait est que ces articles sont quasiment toujours écrits par des femmes (les hommes en ayant – pour la plupart - strictement rien à foutre). Nous souffrons de complexes, et pour essayer de se sentir mieux, nous critiquons et rabaissons les autres.
Du coup, un groupe agressé va agresser le groupe agressant et voilà comment détruire l’estime de soi de chaque personne sur terre :
« Pourquoi les petits seins c’est mieux ».
« Pourquoi une fille mince n’est pas féminine »
« Comment avoir un corps musclé et faire des jalouses ».
Il faut faire attention de ne pas critiquer et rejeter le type de morphologie prédominant pour faire place uniquement aux autres, mais accepter qu’il y ait des minces, des grosses, des plates et des pulpeuses, des grandes et des petites, des flasques et des musclées, des yeux bleus et des yeux marrons…
MGT : Y a t-il une "recette magique" pour arriver à dépasser ces fameux complexes ?
A : J’aimerais. J’aimerais avoir la solution. Le problème c’est que quand on vous a menti toute une vie, c’est difficile de croire autre chose (qui a vu Matrix ici ?)
Comme dit plus haut, nous avons deux responsabilités : changer l’image véhiculée dans les médias mais aussi notre responsabilité propre. Nous devons faire en sorte que les femmes de tout type soient représentées dans les médias (TV, publicité, etc..). Oui, je dis bien NOUS DEVONS. C’est tout à fait en notre pouvoir.
Nous devons aussi nous libérer de l’opinion des autres. Je suis super complexée. Mais genre, vraiment. J’ai honte de l’admettre... aussi parce que j’aimerais bien que toutes mes "rivales" pensent que je suis super sûre de moi et fière de mon corps. Hors, je suis incapable d’être à l'aise en maillot de bain et pourtant, je ne pèse "que" 58 kg (dans mes bons jours).
J’ai des vergetures, des bourrelets, un milliard de grains de beauté, une mauvaise posture, des bras immenses et maigres, des poignets osseux et minuscules, une poitrine disproportionnée, des hanches comme si j’avais eu 25 enfants, un cou long comme le Nil, je n’ai pas de lobe d’oreille (véridique), un grand front, des dents mal alignées et des cernes qui feraient pâlir Georges Clooney. Mes cheveux sont tellement fins que je n’ai jamais pu me faire une queue de cheval digne de ce nom et je ris (ou peut-être que je pleure) devant toutes les coiffures tressées sur Pinterest.
Je ne suis pas à bout de mes complexes. Mais à un moment dans ma vie, j’ai décidé de dire merde aux autres. Merde aux filles qui, en cours de natation en 4 e se sont moquées de mon « gros ventre » même si j’étais maigre. Merde aux mecs qui disaient que je mettais du coton dans mes soutifs. Merde à ma prof de Français qui m’a prise à part pour me parler d’anorexie. Merde aux gars qui m’ont appelée la girafe ou qui disaient qu’à force d’être si courbée, mon menton toucherait le sol. Merde à ceux qui m’ont demandé "pour quand c’était ?". Merde aux réflexions sur le type de fringues qu’il vaudrait mieux que je porte pour être plus "féminine" et cacher mes seins/mes hanches/barrer la mention inutile.
Oui, j’ai souffert. Non, pas comme une femme ronde. Non, pas comme une femme petite. Non pas comme une femme blonde. Mais oui, j’ai souffert. Et je veux juste que les gens comprennent que tout le monde souffre de ces petites choses. Je n’ai pas mis de manches courtes pendant des années à cause de mes « petits poignets ».
Et puis un jour mon oncle m’a dit :
"Ce ne sont pas de petits poignets, ce sont des attaches royales… Enfin c’est ce que ma grand-mère me disait pour me remonter le moral… "
Je suis persuadée que notre état d’esprit peut venir à bout de grandes forteresses. Je suis persuadée qu’on peut dire : Ouais, j’ai un grand nez.. et alors ? Juste être fière de ce que nous sommes, embrasser notre unicité sans devoir forcément rabaisser les autres. Surtout ne pas être l’hippopotame qui court sur sa machine en fantasmant sur la licorne qu’il pourrait être. Mais être fier d’être un hippopotame, une mouche, un aigle, un hareng ou une limace.
Si nous succombons tous à l’idéal de l’être parfait à grand coup de chirurgie, régimes, astuces etc… ne sommes-nous pas en train de tuer l’identité, la beauté qui se trouve dans nos particularités ? Pitié, n’uniformisons pas l’être humain et sa beauté… Ne les limitons pas ! De plus, en prenant la parole et en dénonçant cette mascarade, nous pouvons aussi réconforter ceux et celles qui souffrent comme nous et qui pensent être seuls. Et ça c’est important aussi.
MGT : Pensez-vous que la société se dirige vers plus de tolérance ? Voyez-vous un changement par rapport aux années précédentes ?
A : C’est difficile à dire. On voit de plus en plus de publicités réalistes qui mettent en scène des gens différents de la "norme" publicitaire . Et c’est bien.
Ce que personnellement je déplore, c’est le manque d’hétérogénéité ou la tendance que j’ai mentionnée plus haut qui consiste à dénigrer les autres : c'est bien de voir des sites grandes tailles, des pubs « femmes rondes ». La société essaye de se défaire des clichés (ce qui est nécessaire). Malheureusement parfois au détriment de celles qui rentrent dans les pseudo-caractéristiques des clichés (puisque je rappelle, personne n’atteint la « perfection » des modèles). Et on voit souvent passer des insultes envers des mannequine minces qui doivent se défendre… Je n’ai pas particulièrement envie de voir la multiplication de magasins ou magasines « grandes tailles ».
Bien sur, à ce stade ils sont NECESSAIRES. Parce que les grandes tailles ne sont pas représentées et il est INDISPENSABLE QU’ELLES LE SOIENT. Et puisqu’il faut que le monde commence à ouvrir les yeux sur le fait que la majorité des corps humains ne rentre pas dans le moule de modèle type. Et je pense que, petit à petit, on y arrive… grâce aux magasines et sites « grandes tailles ». (Et je suis fière de ça ! )
Mais j’aimerais qu’un jour les designers de fringues conçoivent des fringues du 34 au 56 et qu’on cesse de distinguer les grandes tailles des petites. Qu’un même webzine te propose des looks pour femmes rondes, pour nana mince et sans nichons et des coiffures pour nez crochu (où la solution n’est pas de cacher ton nez ni de te le faire refaire…). Et qu’un jour peut-être, une femme avec des rondeurs cherchant l’amour ne se sente pas obligée d’aller sur un site de rencontre de fétichistes rondeurs..
J’ai aussi un problème avec la prolifération des articles et blogs soi-disant « Healthy » qui véhiculent souvent de mauvais messages (exemple type d’un site pour faire du sport : "Prêtes à faire des jalouses ?" qui entretient le complexe de supériorité /infériorité et l’impression qu’il est nécessaire de s’affirmer en rabaissant les autres).
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Je n'arrive pas à y croire

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