Que des faux seins

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Qui n’a jamais rêvé d’avoir des seins plus beaux, plus gros, plus sexy ? Ce qu’il faut savoir pour sauter le pas ou renoncer en toute sérénité. Par Isabelle Sansonetti.
Les Françaises seraient-elles devenues addicts aux faux seins ? Si on a eu ce sentiment l’été dernier, à voir sur la plage "ces poitrines gonflées de ce désir de plaire", comme dit la chanson, on est loin d’une banalisation à l’américaine. Là-bas, la chirurgie des seins arrive en tête des interventions esthétiques chez les femmes, avec 383 886 procédures en 2006 *, et il n’est pas rare qu’une jeune fille se voit offrir un décolleté pushy pour ses 18 ans ! De ce côté de l’Atlantique, les chirurgiens constatent aussi un accroissement des demandes, notamment chez les jeunes femmes qui n’ont pas eu d’enfant, mais les chiffres manquent au niveau national. Une certitude : même plus fréquente, la pose de prothèses suscite moult interrogations. Vais-je les supporter ? Le résultat va-t-il me plaire ? Est-ce que cela va faire faux ? La parade pour minimiser les risques de déception : bien réfléchir à ce qu’on souhaite et bien l’expliquer au chirurgien.  "La pose d’implants est une intervention satisfaisante quand la patiente et le chirurgien se sont bien compris", constate le Dr Emmanuel Delay, chirurgien plasticien. Sur le volume comme sur la forme. Rêver d’une poitrine show off à la Victoria Beckham ou de seins parfaits à la Elle Macpherson ? "Tout n’est pas  possible, le chirurgien doit tenir compte de la morphologie de la patiente (taille et forme du thorax, base du sein, éventuelle asymétrie) et de l’épaisseur de la peau, explique le Dr Bertrand Mattéoli, chirurgien plasticien. Généralement, les femmes veulent juste les mêmes seins en plus gros." Mais un résultat naturel. « La majorité insiste pour que les implants ne soient pas “trop gros”, une notion très différente d’une personne à l’autre, remarque le Dr Robin Mookherjee, chirurgien plasticien. Parfois, il faut aussi mettre en garde contre des implants trop petits, qui risquent de décevoir." D’où l’importance de l’information préopératoire (place des cicatrices, type de prothèses...). Sachant qu’elle ne dispense pas la patiente de s’interroger sur l’essentiel : la "solidité" de son désir. 
* Source : American Society for Aesthetic Plastic Surgery.
Type, taille, forme, place des cicatrices, suites de l’intervention, complications possibles (hématome, infection, coque, asymétrie)... le chirurgien doit tout vous expliquer et vous indiquer quel est le meilleur choix dans votre cas.
*  Gel de silicone ou sérum physiologique ? Les implants remplis de gel de silicone donnent un résultat plus naturel et sont les plus utilisés, ceux remplis de sérum physiologique présentent plus de risques de vagues, de plis et de dégonflement, mais ils rassurent encore certaines femmes.
*  Prothèse ronde ou anatomique ? Ronde pour un effet bien galbé, notamment sur la partie supérieure du sein, anatomique (c’est-à-dire en forme de poire) pour un résultat plus naturel. Le choix dépend aussi de la morphologie et de la technique du chirurgien. Un implant rond est plus facile à poser, un anatomique présente un risque de rotation qui nécessite alors de réopérer. A savoir : chaque implant existe en trois « projections », basse, moyenne ou haute, qui correspondent à la profondeur du bonnet. "Plus la projection est basse, plus le résultat est naturel, plus elle est haute, plus il est artificiel", résume le Dr Jean-Luc Jauffret, chirurgien plasticien.
 * Devant ou derrière le muscle pectoral ? Cela dépend du volume initial des seins, de l’épaisseur cutanée... Le résultat est plus naturel quand l’implant est positionné devant le muscle, sauf quand la peau est très fine et la glande mammaire peu développée ; derrière le pectoral, les suites sont plus douloureuses  et le résultat moins naturel quand le muscle se contracte, mais les risques de coque moindres. 
*  Qui consulter ? Un pro du bistouri, bien sûr, compétent en chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique. A vérifier sur l’annuaire du conseil de l’ordre ( www.conseil-national.medecin.fr ). La meilleure piste : le chirurgien d’une amie, ravie de ses nouveaux seins. A moins que le courant ne passe pas avec lui. La règle : se fier à ses intuitions et ne pas poursuivre si vous n’avez pas confiance, prendre un deuxième avis.
*    Ça se passe comment ? Vous exposez votre demande, le chirurgien explique ce qu’il peut faire, vous fait essayer des gabarits dans votre soutien-gorge, sous un T-shirt, vous prescrit une mammographie ou une échographie et vous invite à réfléchir au moins quinze jours (délai légal de réflexion). Vous repartez avec le devis (désignation de l’acte, coût détaillé de l’hospitalisation, implants compris) et le consentement éclairé, à renvoyer signés. La fois suivante, vous calerez le rendez-vous avec l’anesthésiste, la date de l’intervention et poserez vos dernières questions. Vous hésitez encore ? Il n’y a aucune urgence : mieux vaut reporter votre décision.
*    Le jour J. L’intervention se déroule sous anesthésie générale. Compter de 24 h à 48 h d’hospitalisation, huit à dix jours d’arrêt, dix à quinze jours de bleus et d’oedèmes ; la prise d’antalgiques et les suites (pansements, drains, sutures, port d’un soutiengorge...) vous auront été précisées par le chirurgien avant l’opération. Pas de soleil pendant un mois (risque de tatouage des cicatrices) ni de sport avant deux mois. Et un suivi régulier (deux ou trois visites le premier mois, puis à trois, six et douze mois).
*  Avant ou après bébé ? Minimum un an avant une grossesse, le temps de la cicatrisation, et un an après l’accouchement.
  * Est-ce que je pourrai allaiter ? A priori, oui, selon l’Afssaps, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé.
  * Et les cicatrices ? Généralement discrètes. Le chirurgien choisit d’inciser au niveau de l’aréole (le plus courant), dans le sillon sous-mammaire ou, plus rarement, dans le creux de l’aisselle.
  * Est-ce que mon homme aimera ? Mieux vaut en discuter avant avec lui et le convaincre que c’est important pour vous. La décision vous revient. En général, les femmes qui y sont allées contre l’avis de leur partenaire rapportent qu’il s’y est fait. Beaucoup d’autres n’y vont pas car leur compagnon n’aime pas (20,4 % des internautes qui ont répondu à notre enquête sur www.elle.fr ).
*   Est-ce que je vais sentir les implants ? Oui, si vous avez la peau très fine et s’ils ont été placés devant le muscle ou si leur volume est important.
  * Retrouverai-je toute ma sensibilité ? A priori, oui, partiellement ou totalement, dans les mois qui suivent l’intervention.
  * Devrai-je les changer ? Oui, dans dix, quinze ans... personne ne peut dire quand, en l’absence de recul sur les implants dernière génération. Ou en cas de complications. Aucun implant n’étant éternel, vous devez accepter l’idée d’un contrôle régulier (tous les cinq ans) et l’éventualité de repasser sur le billard au moins une fois. Pensez à vous faire préciser les conditions de réintervention, notamment financières.
  * Est-ce que cela remonte les seins ? Non, sauf par effet d’optique. Quand ils sont très affaissés, une chirurgie associée est conseillée, pour repositionner les seins.
  * Mes seins vont-ils tomber plus vite ? Ils vont continuer de "vieillir" normalement. Des implants trop volumineux accélèrent le relâchement.
  * Est-ce que je ferai une coque ? Autour de l’implant, l’organisme fabrique naturellement une capsule fibreuse. Parfois, celle-ci durcit trop, c’est ce qu’on appelle une coque (le risque est estimé à 3 % à un an mais augmente au fur et à mesure des années). Si elle devient trop inesthétique ou douloureuse, cela nécessite une réintervention.
  Désirer plus de poitrine quand on est plate ou retrouver celle d’avant bébé sont des demandes apparemment claires, que la chirurgie paraît pouvoir combler. Sauf quand elles masquent une situation plus complexe. Pour preuve, l’échec de certaines interventions techniquement réussies et très mal vécues. Faut-il pour autant courir chez le psy avant de consulter le chirurgien ? "Pas forcément, on peut aussi s’auto-analyser et réfléchir à la vraie motivation de son désir, suggère Rébecca Lustman, psychanalyste et coauteur de “S.O.S. Je n’aime pas mon corps !” * En tant qu’analyste, je m’interroge toujours sur ce qui se cache derrière une demande de réparation, même légitime. Quand elle concerne les seins, il y a toujours un rapport à la féminité, une question d’identité sexuelle, quelque chose que la patiente  arrive très vite à identifier." Pour peu qu’elle y réfléchisse. Quid du gain narcissique apporté par l’augmentation mammaire et décrit à la fois par les chirurgiens et les femmes comblées par leur nouvelle poitrine ? "La chirurgie esthétique répare en surface, pas en profondeur. Une intervention réussie peut améliorer l’estime de soi,  mais, pour que cette amélioration soit durable, il faut avoir pris le temps de se poser les bonnes questions avant." 
* Avec Vladimir Mitz, chirurgien plasticien (éd. du Cygne).
     Zoé, 32 ans    "Un jour, un de mes ex m’a lancé : “Cette robe serait super si tu avais plus de seins !” J’étais vexée mais d’accord avec lui. En fait, je rêve de seins bien remplis, comme quand j’étais enceinte... Je ne l’ai pas encore fait parce que mon mari est contre et qu’il aime mes seins comme ça. Mais je ne désespère pas : j’en parle dans les dîners pour qu’il comprenne que je ne suis pas la seule à y penser !" 
     Véronique, 43 ans    "J’ai toujours trouvé mes seins trop petits pour ma taille, 85 B pour 1,74 m, avec l’impression de ne pas être terminée. Enceinte, je me suis enfin sentie  moi-même et féminine. Il y a huit ans, cela m’a paru essentiel de me faire opérer. Mon mari n’était pas d’accord, il craignait de me perdre, que je sois plus séduisante. Pour moi, c’était un besoin, pas un caprice, point. J’ai vécu l’intervention comme un soulagement. Depuis, avec un 90 D, je suis plus en accord avec moi-même, je n’ai pas changé de style." 
     Patricia, 45 ans    "Voilà quinze ans, après trois grossesses, je me suis fait poser des prothèses. Après l’allaitement, mes seins étaient vidés. Cela m’a donné une poitrine de  rêve comme jamais avant, même jeune. Il y a deux ans, il a fallu changer les implants. Cette fois encore, le résultat était magnifique. Mais, il y a quelques mois, j’ai commencé à faire une coque. Le chirurgien m’a dit qu’il faudrait réopérer. Cela va me coûter cher et je crains une nouvelle complication." 
     Angélique, 24 ans    "J’y pensais depuis l’âge de 16 ans, mais mon père craignait que ça se voie. Et j’avais peur de l’anesthésie. Mais, vers 22 ans, j’ai consulté trois chirurgiens, et choisi celui qui avait compris que je voulais quelque chose d’harmonieux, pas une poitrine dressée comme on en voit à la plage. Aujourd’hui, j’ai plus confiance en moi, je m’habille comme avant, mais c’est plus joli. J’ai perdu un peu de sensibilité, mais le résultat est tellement naturel que mon nouvel ami n’osait pas me poser la question." 
Des précisions sur www.plasticiens.org et sur www.agmed.sante.gouv.fr 
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