Quand mon père n'est pas en ville ma belle-mère s'excite

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Quand mon père n'est pas en ville ma belle-mère s'excite
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Quand son mari n'est pas là, son beau-fils arrive pour prendre le courrier et elle profite de la situation pour faire une chose tabou avec ce jeune gars.


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Bonjour, je suis Paul, j’ai 60 ans. En plus de 45 ans d’ébats sexuels, avec un divorce il y a 15 ans et quelques rencontres amoureuses avant, pendant et après, j’ai quelques aventures à écrire. Elles ont toutes une base authentique, même si pour les besoins de la cause j’ai changé tous les noms propres sauf mon prénom ce que je trouve plus excitant. Pour éviter de faire « histoire », je raconte ces histoires dans le désordre. Au fur et à mesure, vous retrouverez certains personnages principaux comme ma première femme Françoise, mon amie cubaine Maria et mon vieil ami espagnol Juan Pablo. Mais ils ne sont pas forcément présents dans chaque épisode. Si vous êtes amateur de récits très hard où il n’est question que de bite, d’anus de femmes qui hurlent de plaisir en se faisant violer, passez votre chemin, lisez un autre récit. Chacun son style, chacun ses goûts. Si vous trouvez mon récit trop long méditez quand même la parole de Saint Jean « Plus long est le chemin, plus grand est le plaisir. »
J’ai souvent été attiré par les femmes plus âgées que moi. Complexe d’Œdipe, adolescence mal maîtrisée sexuellement, peu importe la cause mais les femmes plus âgées que moi m’ont toujours attiré, bien plus que les jeunes pucelles plus ou moins aguerries.
Lorsque j’ai rencontré Françoise, ma première et à ce jour seule épouse, j’avais 31 ans et elle 25. Très vite, nous avons décidé de nous marier, elle voulait avoir des enfants très vite, avant la trentaine. Elle craignait avec juste raison d’avoir hérité de sa propre mère une grande difficulté à concevoir des rejetons. De fait, malgré tout, nous n’avons jamais pu en avoir ce qui a très certainement contribué à l’explosion de notre couple.
Mais en 1978, même si Françoise n’était plus vierge depuis longtemps lorsque je l’ai rencontrée, même si nous avions mélangé nos sexes depuis quelques temps, avant le mariage, il était convenant que Françoise me présente à ses parents au cours d’une cérémonie officielle.
Je fus donc invité chez mes futurs beaux-parents un samedi à déjeuner. En 1978, mon beau-père avait 61 ans et ma belle-mère 55 ans. Françoise m’avait décrit ses parents d’une manière fort objective et je ne fus pas surpris en les rencontrant pour cette première fois. Il était évident que je ne pourrais jamais m’entendre avec mon beau-père. Officier général de l’armée de terre, ancien de Saint Cyr, il était tellement imbu de sa personne qu’il méprisait même les polytechniciens qui n’étaient pas « de vrais militaires » puisque la plupart d’entre eux quittaient l’armée pour aller travailler dans le civil ! Même sa fille qui terminait ses études de médecine ne trouvait pas grâce à ses yeux puisqu’elle n’avait jamais cherché à être médecin militaire. Il était con, il allait le rester jusqu’à la fin de sa vie.
Il ne savait pas que son planqué de gendre, puis d’ex-gendre, qui n’avait même pas fait son service militaire comme « un vrai militaire» mais comme architecte au titre de la coopération allait sur la fin de sa vie être le seul à s’occuper de lui avec sa femme.
Il était droit dans son uniforme qu’il avait revêtu en mon honneur pour m’accueillir ! Il me fit asseoir dans un fauteuil du salon en attendant ma belle-mère qui officiait en cuisine. Françoise m’avait dépeint sa mère comme une parfaite femme d’officier, toujours au garde à vous, obéissant aux ordres de son seigneur et maître sans jamais le moindre semblant de protestation. Elle m’avait aussi dit qu’elle avait été très belle et qu’elle en conservait de forts beaux restes. Selon Françoise, sa mère était un parangon de piété divine et de vertu. Protestante très rigoureuse appartenant à la famille des calvinistes, elle passait une bonne partie de son temps, celui que son mari lui laissait libre, à s’occuper des bonnes œuvres du temple. Aujourd’hui encore je lui crois une véritable foi très sincère même si elle ne fréquente plus guère le temple à maintenant 81 ans.
Par contre, je devais découvrir que sevrée d’amour par son butor de mari, elle s’était créé un jardin secret particulièrement intéressant !
Lorsque je la vis entrer dans le salon, elle était bien comme sa fille me l’avait décrite. Elle était assez petite mais se tenait droite comme un « I » et levant la tête pour mieux vous contempler au travers de ses verres progressifs, elle vous toisait du haut de son mètre cinquante cinq ! Ses lèvres fines et pincées ne lui faisaient pas une bouche gourmande mais au-dessus d’un petit nez très droit, sous des sourcils très mobiles elle avait des yeux un peu trop ronds mais d’un bleu absolument superbe qui vous transperçaient comme des rayons X.
Françoise avait une poitrine magnifique et lorsque je l’en complimentais au premier temps de notre relation elle me disait : « tu verras celle de ma mère ». En effet, Yolande ne parvenait pas à dissimuler derrière un chemisier point trop serré une poitrine que je jugeais somptueuse malgré le peu de visibilité que j’en avais. Oui, pendant qu’elle s’avançait vers moi, je me disais qu’elle était bien comme sa fille me l’avait décrite.
Elle me tendit la main, l’air très hautain. Très homme du monde à mon tour, je la lui pris et lui prodiguais un long baise main. Le baise main est depuis longtemps passé de mode. C’est dommage, il permettait de caresser langoureusement des lèvres la main de toute femme qui vous était présentée. Un ami m’avait dit un jour : si, lorsque tu baises la main d’une femme cela lui donne la chair de poule sur le, ou les bras, c’est qu’elle a, sans forcément le savoir, envie de coucher avec toi. Et à ma grande stupéfaction l’avant bras de ma future belle-mère était hérissé d’une superbe chair de poule. Lorsque je relevai la tête, je plongeais mes yeux dans les siens sans impertinence, mais très profondément et je pus distinguer au fond de son regard si bleu comme un trouble qu’elle ne parvenait pas à masquer entièrement.
Il eut été convenable que mon père vienne demander à Louis, le père de Françoise la main de sa fille pour moi. Mais je n’ai pas de père connu ce qui avait au début complètement braqué le pauvre soldat et il avait fallu que Françoise déploie des trésors de persuasion pour que ses parents acceptent de me recevoir. Nous étions convenus que les parents de Françoise viendraient passer quelques jours dans la maison de famille de ma mère au bord du bassin d’Arcachon, que nous irions en même temps et que ma mère nous rejoindrait. Ensuite, mon parrain qui est un vieil ami de la famille de ma mère nous rejoindrait et qu’il demanderait à Léon la main de Françoise pour son filleul, moi en l’occurrence !
Nous nous retrouvâmes ainsi tous les cinq à Arcachon dans la propriété de ma mère. Cette maison lui venait de ses parents et mon beau-père fut très sensible au fait que mon grand-père ait été tué en 1915 sur la Marne sans avoir jamais vu sa fille née un an plus tôt. Mon beau-père eut à partir de ce moment une grande indulgence pour ma mère alors que sa fonction d’enseignante à la faculté de médecine l’avait laissé de marbre ! Du coup, il admit, que fille de héros elle ait pu m’enfanter sans connaître le nom de mon père, même si mon grand-père avait juste eu la mauvaise idée de se trouver au même endroit, au même moment qu’un obus allemand !
Dés le premier jour, il fut décidé que nous irions à la plage au Petit Nice où la foule était à l’époque moins nombreuse qu’aujourd’hui. Pendant ce temps, mon beau-père devait aller marcher dans la campagne. J’espérais en profiter pour voir la poitrine de ma belle-mère mieux et de plus prés. Je savais que sur cette plage où les gens n’étaient pas les uns sur les autres, nous étions quand même dix ans après Mai 68, beaucoup de femmes bronzaient les seins nus et je savais que Françoise et ma mère feraient de même. À peine arrivés, Françoise enlève son jean et son débardeur et se retrouve avec un bas de maillot de bain string que je lui avais ramené du Brésil. Elle le mettait pour la première fois et je ne pus m’empêcher d’admirer son corps superbe.
Cette fille avait pris le meilleur de ses parents, elle était grande comme son père, mince comme lui mais avait hérité de sa mère la couleur de ses yeux et une poitrine à couper le souffle qu’elle n’hésitait ni à mettre en valeur, ni même à exhiber dés que l’occasion lui en était fournie. À 25 ans ses seins ne semblaient malgré leur taille guère avoir besoin de soutien même si la gravité universelle les entraînait bien évidemment un peu vers le bas. Cette manifestation de la gravité les rendait d’autant plus désirables qu’ils « sentaient » le vrai ! Sa mère lui jeta un air de désapprobation tel que Françoise lui demanda : « Je ne te plais pas comme ça ? » Sans réponse, elle ajouta : « Mais je ne fais que comme les autres, regarde autour de toi et tu devrais en faire autant, tes seins aussi ont besoin de soleil.» Françoise vint me rejoindre dans l’eau dont j’avais pris la direction dés le début de l’escarmouche entre elle et sa mère : « Je lui ai conseillé de se faire bronzer les seins, mais elle ne le fera pas. Elle est bien trop pudique pour ça, même moi, je l’ai très rarement vue nue. J’espère que si elle le fait, tu ne banderas pas trop visiblement, mais cela m’étonnerait. » Comme elle ne doutait pas de ma capacité à bander, je compris qu’elle doutait que sa mère suive son conseil.
De fait quelques minutes plus tard lorsque nous sommes revenus de l’eau ma mère avait toujours son soutien-gorge de maillot de bain et ma belle-mère avait sur son maillot de bain une pièce un chemisier bleu foncé fermé jusqu’au cou. Elles discutaient cuisine comparant leurs recettes favorites. Le retour de Françoise fut l’occasion de revenir sur le sujet des seins nus à la plage.
« Mais alors Maman, tu n’as pas suivi mes conseils. Dommage pour toi Paul qui voulais voir les seins de ma mère. »
Je ne savais plus où me mettre, même si je l’avais fortement pensé, je n’aurais jamais osé le dire à cette époque à Françoise et j’étais atterré qu’elle le dise comme cela devant ma mère et sa mère… Je bredouillais une réplique idiote du genre :
« Tu dis n’importe quoi » et me faisais reprendre de pleine volée :
« Ne me dis pas que tu n’as pas remarqué la poitrine de ma mère dés le premier jour que tu l’as vue, amateur de fortes poitrines comme tu l’es. »
Ma mère faisait mine de ne rien entendre, plongée dans un livre qu’elle venait d’ouvrir comme si elle lisait depuis des heures.
« Allez, maman, fais plaisir à ton gendre, profite de la vie, fais profiter ton corps de la lumière du soleil. À dose modérée, c’est excellent pour la santé, n’est ce pas belle maman ? »
Françoise était, est toujours comme ça. Quand elle démarre, rien ne l’arrête. Sabre au clair comme son père, elle charge sans se préoccuper de l’environnement !
« Je conçois que toi tu te mettes en monokini, même si je le réprouve moralement, mais conviens que ce n’est pas de mon âge. »
Ma mère faisait semblant de ne rien entendre, mais je sentais que Françoise allait la prendre à témoin dans peu de temps, comme un missile, elle fonçait !
« Belle maman, habituellement vous faites comme moi, comme les autres, pourquoi pas aujourd’hui ? Ma mère vous coince ? »
Je commençais à craindre, nous étions tous les cinq là pour que les parents de Françoise acceptent ma mère et son fils sans père et Françoise était en train de semer la panique ! Heureusement, maîtresse d’elle comme toujours, et superbement diplomate, ma mère intervint :
« Françoise, vous devez respecter votre mère et son éducation d’une part parce qu’elle est votre mère, d’autre part parce qu’au-delà d’une mode il y a des convictions. C’est parce que je respecte sa conviction que se promener les seins à l’air sur une plage publique n’est pas convenable que pour ne pas la gêner j’ai gardé le haut de mon maillot aujourd’hui. Je fais comme elle pour ne pas qu’elle se sente isolée, je suis solidaire en quelque sorte même si comme vous j’aime bien enlever le haut habituellement. Mais vous savez Françoise, quand il m’arrive de venir seule à la plage, d’abord j’évite cette plage où il y a pas mal d’exhibitionnistes et de voyeurs, ensuite je garde le haut pour être tranquille ! »
Ma belle-mère avait suivi avec attention le discours de ma mère, Françoise n’avait rien répliqué, sans doute le même réflexe que lorsqu’elle écoutait les cours de ma mère à la faculté de médecine. C’est ma belle-mère qui rompit le silence et tout de suite je compris que ma mère avait gagné.
« Mais Anne-Marie, je suis désolée de vous priver de vos habitudes. Enlevez le haut si vous avez l’habitude de le faire. Peut être que votre exemple m’aidera demain ou un autre jour à vous imiter. Finalement, je me demande si je ne vous envie pas. Quand j’étais jeune, j’étais très complexée par la taille de ma poitrine et mon mari m’a toujours traitée de bonne grosse vache laitière avec des gros nichons et un gros cul pour… »
Elle s’interrompit brutalement se rendant compte qu’elle s’était laissée aller beaucoup trop loin selon sa volonté. Finalement, dans la famille, Françoise n’était peut-être pas la seule à ne pas être totalement maître de son débit oratoire. C’était au tour de Françoise de se sentir gênée et ma mère vint encore au secours.
« Yolande, si vraiment cela ne vous gène pas, je vais faire comme Françoise et profiter justement que nous soyons en groupe chaperonnées par Paul pour faire voir le soleil à mes seins. J’ai quelques années de plus que vous, ma poitrine n’affiche pas la fermeté de ses vingt ans mais je constate qu’elle semble encore beaucoup plus plaire que déplaire. Et aucun homme ne m’a jamais dit qu’il m’aurait préférée plate. Jeunes, toutes les femmes ont honte de leurs seins, ou elles les trouvent trop gros comme nous, ou elles trouvent trop petits. Il y a des amateurs pour tous les genres et même des qui les aiment petits ou gros, n’est-ce pas Paul ? »
Ma mère s’était levée et commençait à dégrafer le haut de son maillot de bain. Tenant les bonnets de celui-ci, elle laisse descendre doucement sa poitrine qui n’est plus maintenue.
« J’espère que mes seins résisteront aussi bien au temps que les vôtres. »
Le compliment de Françoise fait sourire ma mère qui se passe du produit solaire sur les seins avec volupté. Un couple d’une trentaine d’année passe prés de nous, l’homme et sa compagne ne cachent même pas l’intérêt qu’ils ont pour les seins de ma mère et pour ceux de Françoise qui s’est levée elle aussi pour se mettre de la crème protectrice contre le soleil. Ils passent leur chemin sans faire la moindre observation.
Le reste de l’après-midi se passe sans encombre, ma belle-mère consentant tout de même à retirer le chemisier qu’elle avait gardé sur son maillot une pièce. Même emprisonnée dans ce carcan sa poitrine était parfaitement bandante et je me demandai si un jour elle oserait m’en faire profiter.
En toute hypocrisie, pour ne pas choquer mes futurs beaux-parents, ceux-ci dormaient au deuxième étage de la maison, Françoise et ma mère au premier et moi au troisième étage dans ce qui avait été autrefois une chambre de bonne Seul, la nuit, passablement excité par tout ce que je venais de vivre l’après-midi, nu sur mon lit, je me caressai longuement d’une manière très narcissique. Très excité, muni d’une superbe érection je décidai de descendre très doucement par l’escalier de service pour gagner un débarras contigu à la salle de bains de la chambre de mes beaux-parents. Adolescent, j’avais percé une ouverture dans la cloison derrière le miroir de la salle de bains et avait remplacé celui-ci par un miroir sans tain trouvé aux puces. Un vieux tableau accroché au-dessus de l’ouverture à l’intérieur du débarras complétait le dispositif. Ma mère absente lors des « travaux », n’avait jamais rien remarqué et je ne comptais pas les fois où je m’étais masturbé en jouissant du spectacle offert par nos visiteurs et visiteuses utilisant cette salle de bains.
Mais ce soir, il était trop tard, les futurs beaux-parents dormaient déjà et je ne pouvais profiter du spectacle des seins de Yolande qui commençaient à me hanter sérieusement.
Nous étions convenus avec Françoise de ne rien tenter pour nous rejoindre nuitamment pendant la présence de ses parents afin de ne pas compromettre nos efforts. Pour respecter cette convention je me terminais dans le noir, les yeux clos en pensant aux seins de Françoise, à ceux de ma mère et à ceux de ma future belle-mère. Je ne sais plus entre quels seins j’étais lorsque j’éjaculais enfin.
Le lendemain, profitant encore du beau temps, nous décidons de retourner à la plage pendant que mon beau-père avait décidé d’aller en voiture à Bordeaux voir un ancien collègue de l’armée. Cette fois ma belle-mère a mis un maillot deux pièces. C’est un maillot complètement démodé mais il met tout de même beaucoup mieux en valeur sa poitrine que le une pièce de la veille. Ma mère n’a pas hésité à enlever le haut du sien, Françoise, couchée sur le ventre me demande de lui retirer le bas pour ne pas avoir les fesses blanches. Françoise trouvant que le maillot de sa mère est vraiment trop démodé décide que nous allons lui en offrir un neuf le soir même. Elle m’explique que sa mère n’a pas le moindre argent de poche et qu’elle doit tout demander à son mari. Lequel mari trouverait ridicule de dépenser de l’argent à pareilles futilités. Ma mère et Françoise vont donc après la plage faire les boutiques de maillot de bain du Pyla, puis celles d’Arcachon. Moi, j’ai été renvoyé à la maison attendre le retour du beau-père ! Je souris en songeant à ma belle-mère prise en charge par les deux comparses que sont devenues Françoise et ma mère pour émanciper un peu la protestante rigide. Elles ont sûrement fort à faire.
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