Quand la belle-mère est une véritable chienne en chaleur
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Quand la belle-mère est une véritable chienne en chaleur
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Cette enseignante est une femme mature cochonne 13211
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Cette enseignante est une femme mature cochonne. La salope mature sexy française qui est une amatrice de sexe amateur offre son cul à baiser . Solange est une enseignante de sciences âgée de 43 ans. Cette femme célibataire est très respectée par l’ensemble du personnel administratif, le corps enseignant et les étudiants.
Cependant, comme on le dit très souvent, les apparences sont trompeuses. Effectivement, ce que beaucoup de personnes ignorent, c’est que cette enseignante est en réalité une mature salope aux idées perverses. En d’autres termes, cette infidèle femme mature est une grosse consommatrice de baise. La jolie femme est un véritable animal sexuel et une amoureuse de la baise bestiale. Cette meuf ne recule devant rien. Cette femme coquine a déjà réalisé ses fantasmes et fait divers relations sexuelles sans tabou. Des rapports sexuels pour faire jouir cette amatrice de sexe amateur. Cette femme au foyer est folle de nouvelles expériences sexuelles qu’elle raconte avec grand plaisir, mais surtout qui aimerait bien en revivre quelques-unes. Du sexe gratuit Hardcore, cette vieille femme Cougar adore ça .
Cette femme chaude en permanence est dominatrice. La femme mature cochonne adore lécher les couilles, sucer de la grosse bite et faire une bonne masturbation . La vieille salope adore masturber de la grosse queue et faire une bonne fellation pour une bonne éjaculation. En plus de son côté pervers sur les bords, il convient de souligner cette mère de famille à un corps de rêve. Quand vous l’a rencontrez pour la première fois, l’envie de la baiser automatiquement est la seule idée qui traverse votre esprit. Et, cela peu importe l’endroit. Mais comme nous l’avions décrit précédemment, cette femme mûre est une grosse cochonne, donc il faut être à la hauteur avant de prétendre à un éventuel plan cul avec elle.
Avec sa belle petite bouche pulpeuse, elle sait comment s’y prendre pour vous donner un max de plaisir. Avec ses lèvres et sa langue, elle vous taille une pipe comme vous n’en avez jamais imaginé. Elle le fait avec application et passion. Sa chatte est un véritable tunnel. Elle chevauche avec plaisir toutes les bites les plus surdimensionnées. Que dire de son trou de balle ? Se faire enculer ou sodomiser pour une partie de sexe anal, la coquine est toujours partante. En tous cas le jeune libertin qui lèche les gros seins naturels et qui fait gicler son sperme sur la grosse poitrine à bien pris son pied sexuellement en baisant en levrette cette belle femme mature nue . Une bonne baise bestiale d’une femme mûre à voir dans cette vidéo de cul !
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Florent doit rejoindre sa petite amie dans le sud de la France mais rien ne se déroule comme prévu et c’est finalement avec sa belle-mère, belle quadragénaire très gourmande, qu’il va passer le pont de l’ascension. Belle-maman va checker les capacités de son gendre, jusque dans les moindres détails.
Je vous écris mon histoire porno en direct de Ramatuelle tant le week-end que je viens de vivre est fou ! Nous devions aller passer quelques jours dans la maison secondaire des parents de Marine, ma petite amie pour ce pont de l’Ascension. Et rien ne s’est déroulé comme prévu.
J’avais posé mon vendredi pour profiter de ces quatre jours de mini vacances et nous devions partir tous les deux rejoindre Jacques et Emmanuelle, mes « beaux-parents » quand tout ce joli plan s’est écroulé. La boîte de ma copine l’a rappelée en urgence, elle est informaticienne au sein d’une SSII (un sous-traitant informatique), leur plus gros client s’étant fait hacker par des malfrats demandant une rançon contre l’arrêt de la cyberattaque. Marine a dû annuler son voyage, mais a insisté pour que j’aille respirer le bon air du Var, j’ai donc pris le train sans elle à regret.
Arrivé sur place j’ai eu la surprise que ce soit Emmanuelle, ma belle-mère à la gare. Habituellement la répartition des rôles est toujours la même, Jacques vient me chercher tandis que son épouse est aux fourneaux. Nous nous sommes fait la bise et sommes partis dans la direction de la villa, j’ai appris pendant le court trajet qu’il était arrivé à peu près la même chose à beau papa qu’à sa fille, problème professionnel qui le retenait à Paris. D’un quatuor nous étions donc réduits à un duo. Et si le début de ce long week-end commençait assez bizarrement, la suite l’a fait passer pour un doux hiatus.
La maison était toujours aussi accueillante et lumineuse, je suis monté ranger mes affaires dans ma chambre tandis qu’Emmanuelle nous préparait un petit frichti puis j’ai filé sous la douche . J’ai enfilé un short d’été léger sans rien en dessous, j’adore cette sensation de liberté que confère l’absence de caleçon ou de boxer, un tee-shirt et je suis redescendu. L’air était doux et Emmanuelle avait décidé que nous mangerions sur la terrasse, il est vrai que la vue sur la mer y est à couper le souffle.
Nous avons déjeuné en ouvrant une bouteille de rosé puis une seconde. Malgré notre différence de génération, ma belle-mère est restée très jeune de caractère, elle est drôle et enjouée et physiquement parlant, c’est Marine avec quelques années et deux tailles de bonnets de plus.
J’ai diffusé de la musique sur mon enceinte portative et je l’ai invitée à danser, la tête nous tournait à tout deux, les treize degrés du Côte de Provence faisaient leur effet, et à force de faire valser Emmanuelle, elle a perdu l’équilibre et est tombée dans mes bras. L’instant s’est éternisé, nos bouches étaient à quelques centimètres l’une de l’autre, les seins voluptueux de belle-maman contre ma poitrine, nous nous sommes néanmoins remis sur pieds, un peu gênés, elle le feu aux joues, moi avec un début d’érection sous mon short fin.
Une musique sud-américaine est alors sortie du haut-parleur, j’ai ouvert les bras, invite à une nouvelle ivresse tournoyante. Les yeux brillants d’Emmanuelle étaient, en soi, une promesse de danses bien différentes de celles-ci. Elle est venue se blottir contre moi, une main dans la mienne, une derrière mon cou. C’est fou ce qu’elle bougeait bien, nous enchaînions les pas virevoltants, le décolleté a de nouveau fait son effet sur moi et, étant collés l’un contre l’autre, impossible que ma gaule, très franche cette fois-ci, puisse passer inaperçue.
J’ai tout de suite perçu un changement dans les ondulations d’Emmanuelle, j’avais désormais une féline entre les bras. Son bassin se lovait contre le mien, frottant son pubis contre ma queue de plus en plus à l’étroit. J’ai pensé à Marine et son image s’est mêlée aux traits de son sosie plus mature. J’ai fermé les yeux, prêt à me recevoir la gifle de ma vie, j’ai tendu les lèvres et j’ai senti l’haleine de ma cavalière. Ce fut d’abord un contact éphémère, les lippes s’approchaient, s’éloignaient pour mieux revenir, enfin une langue est venue chatouiller la mienne. Nous nous sommes roulé une pelle longue et sensuelle tandis que je gagnais les fesses ondoyantes. Quelques instants plus tard, j’avais relevé la robe courte et un cul ferme et seulement ceint d’un string s’est offert à mes caresses.
Ma belle-mère m’a entraîné dans la maison, ici les haies ont des yeux … pas question de se faire surprendre par un voisin trop voyeur et surtout bavard. Enfin à l’abri des regards, nous n’y sommes pas allés par quatre chemins, nous nous sommes déshabillés mutuellement avec empressement. J’avais vu Emmanuelle en maillot de bain bien sûr, mais je découvrais pour la première fois sa poitrine, ses fesses, tout … Quel choc ! Elle était super bien gaulée pour une femme de quarante-cinq ans, pas un pète de graisse, un cul ferme et sans cellulite aucune, des seins qui étaient la réplique de ceux de Marine, larges aréoles pâles et grains de beauté compris, mais étaient fabuleusement volumineux ce qui leur conférait une forme de grosses poires plus qu’appétissantes.
De son côté la rigidité de ma queue dressée semblait passionner ma belle-doche aux belles loches.
« On ne devrait pas, c’est mal … » m’a-t-elle soufflé, visiblement plus pour se donner bonne conscience que pour se motiver à stopper ce que nous étions en train de faire puis elle a rajouté « C’est tellement bon de voir qu’on fait bander un beau mec comme toi, Jacques bande mou … et encore quand il bande … »
J’ai été troublé par cette révélation, de mon côté je ne pouvais pas me plaindre, marine était très porté sur la chose comme on dit et je n’allais pas tarder à savoir de qui elle tenait cet amour de la gaudriole.
Emmanuelle s’est laissée glisser contre mon corps, ses nibards de compétition m’ont effleuré tout du long et elle est venue loger ma bite entre ses globes charnus. Ma première branlette espagnole ! Elle a compressé ses seins autour de ma hampe et a commencé à les soulever puis les relâcher tout en me suçant lorsque mon gland émergeait de son sillon mammaire.
J’ai écarté les pieds pour ne pas perdre l’équilibre et j’ai profité du spectacle comme des sensations. Ma longue queue fine et toute droite était parfaite pour « l’exercice » et j’ai été enchanté tant par les talents buccaux d’Emmanuelle que par le rythme effréné qu’elle imprimait à ses globes charnus. Je sentais l’irrémédiable arriver, je l’ai donc invitée à se relever, nos langues se sont de nouveau mêlées, j’ai glissé une main vers son sexe, son duvet bouclé était onctueux, tel un tapis de mousse humide et son sillon avait déjà le velouté d’une conque hospitalière.
Mes doigts ont joué un moment dans ce sous-bois fertile et humecté de sucs parfumés de désir animal. Belle-maman minaudait et gémissait tout en mordillant mon cou lorsque ma pulpe a touché quelque chose de métallique, elle portait un bijou sur le capuchon de son clitoris ! Que de nouveautés pour moi !
Emmanuelle a basculé sur l’immense canapé du salon, riant de ma surprise. Elle s’est allongée en relevant ses longues jambes, sans aucune hésitation ni aucune pudeur.
« Viens ! Bouffe-moi, j’en meurs d’envie … »
Je ne me le suis pas dire deux fois et me suis empressé de m’agenouiller devant cet autel de chair dont la source coulait en irisant les nymphes jusqu’au petit trou brun en dessous. « Oui, viens, bouffe-moi partout et je te donnerai tout, tout, tout ! »
La prescription laissait peu de doutes sur ce qu’elle désirait. J’aime faire plaisir, je lui ai donc mangé la chatte et le cul avec beaucoup de minutie et d’entrain dois-je avouer.
Marine a un joli minou tout ombiliqué, rien n’en dépasse, même son bourgeon est rétif à émerger, chez sa mère, en revanche, les petites lèvres étaient des dentelles ourlées et roboratives, des ornements gothiques qui gonflaient à vue d’œil et son clitoris était comme une mini bite , excroissance rose et nacrée qui pointait haut, tout droit.
Je n’ai pas eu besoin de la doigter, son premier orgasme est arrivé comme ça, par surprise alors que ma langue remontait de sa pastille, écartait la fente pour venir mourir sur son bouton que j’écrasais contre l’anneau d’or juste au-dessus. Elle a attrapé ma tête et l’a plaquée sur son mont de Vénus, m’interdisant tout nouveau mouvement tant, visiblement, son sexe était sensible durant cette phase paroxysmique.
J’ai senti le corps se décontracter bientôt et elle a relâché son étreinte sur mon crâne, son vagin rose et ouvert se serrait doucement, son anus aussi. J’étais fasciné par la liberté qu’Emmanuelle avait avec sa nudité et son plaisir.
J’avais envie de la prendre, de la pénétrer, de la baiser. Elle a compris à mon regard, elle s’est levée, de nouveau disponible à de mâles assauts et a jeté son dévolu sur la table en chêne massif du salon. Elle y est montée comme une chatte et, à plat dos, a ouvert ses cuisses en se doigtant, l’invite était claire.
J’ai adoré la prendre ainsi, debout, arrimé au sol, le bois lui interdisant de glisser en arrière, mes coups de boutoir faisaient mouche, j’ai accentué mes va-et-vient, ses chairs se refermaient sur mon membre, elle se caressait le clito, deux phalanges de chaque côté, comme si elle branlait un mini pénis. Au grand damne de Marine, je crois que ce que je préfère dans les pornos , ce sont les scènes d’éjac et j’avoue avoir toujours été tenté de savoir ce que cela faisait d’astiquer une autre queue que la mienne.
La vision d’Emmanuelle s’activant sur son long pistil rose m’a fait venir d’un coup. Je me suis enfoncé une dernière fois et j’ai explosé en elle. J’ai senti ma bite être parcourue du frisson annonciateur puis les salves de spermes ont été propulsées au fond de la matrice. Quel pied !
Nous nous sommes remis de nos émotions et avons couru comme des ados jusqu’à l’étage pour nous ruer sous la douche, l’eau tiède et les mains d’Emmanuelle qui me savonnaient mon redonner toute ma vigueur, elle aussi, de toute évidence, était partante pour une prolongation. La chambre était à côté, j’étais un peu gênée de baiser belle-maman dans la suite parentale, mais visiblement, elle s’en fichait royalement.
C’est en levrette qu’elle a finalement offert son cul divin. Elle m’a montré la table de nuit, j’en ai ouvert le tiroir. Nouvel élan de stupeur pour moi, il y avait là un véritable attirail de sex-shop . Menottes, préservatifs, jouets en tout genre, des DVD X et des tubes de gel.
Je me suis exécuté, je suis revenu vers elle. Pas de doute sur l’endroit où elle voulait que j’en mette, Emmanuelle avait déjà deux doigts enfichés dans son petit trou et se masturbait en les faisant aller et venir très lentement, élargissant son anneau couleur café.
J’ai posé le bord du tube et une grosse noisette en est sortie, elle se l’est étalée elle-même puis, prenant appui sur sa tête, elle a écarté son cul splendide de ses deux mains. La belle pastille s’est déridée puis ‘est carrément ouverte, j’ai regardé l’orifice un bon moment, fasciné par la perversion sensuelle de cette maîtresse femme.
« Alors ? Tu viens ? Aller, encule-moi petit salaud. Tu n’as pas envie de sodomiser ta belle-mère ? Tu peux me donner la fessée si tu trouves que je suis une vilaine fille ».
Mettez-vous à ma place, comment ne pas péter un plomb ?
J’ai posé mon gland fin bien décalotté sur le puits sombre et j’ai poussé d’un coup en abattant une claque piquante sur l’une des rotondes de chair. Emmanuelle est devenue une vraie chienne en chaleur , j’ai commencé à oser m’exprimer aussi, j’ai bien fait.
La traiter de salope, de petite pute l’a fait monter au plafond en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. J’avais déjà enculé une ou deux filles, mais toujours à me demande et le résultat avait systématiquement été décevant pour elles comme pour moi. Emmanuelle, elle, aimait ça, et jouissait réellement de cette pénétration serrée. Quand elle a senti que j’allais éjaculer, elle m’a ordonné de me retenir pour venir me sucer et avaler le peu de sperme que j’ai pu émettre lors de cette seconde explosion.
Autant vous dire que, durant ce séjour, je n’ai pas défait mon lit, en revanche, c’est moi qui vais rentrer défait. J’ai une tête de déterré ! Quatre jours et trois nuits à baiser, baiser et encore baiser, ça vous flingue un homme, même de vingt-cinq ans. Et attendez ! Il y a le trajet de retour. Emmanuelle m’a demandé d’annuler mon billet de train et nous allons nous partager le volant sur le chemin vers Paris. Mais à mon avis il n’y a pas que cela que nous allons partager …
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